Congo : la CNI valide plus de 257 milliards FCFA pour 11 dossiers des entreprises

Les membres de la commission nationale des investissements (CNI), ont validé 11 dossiers sur un total de 22, des sociétés œuvrant dans divers secteurs.

 

La CNI valide 11 entreprises sur les 22 dont les dossiers ont été examinés. Ces sociétés prévoient un investissement de plus de 257 milliards de FCFA avec plus de 1489 emplois à créer. L’information a été donnée mercredi 10 juillet à Brazzaville, par le directeur de cabinet du ministre de l’Economie et des finances, Athanase Ngassaki.

« Les sessions de la commission nationale des investissements sont une occasion importante d’évaluation des engagements pris par les entreprises qui veulent investir dans notre pays en créant des emplois en apporter de la richesse », a dit Athanase Ngassaki, à l’ouverture des travaux de la première session de la CNI de l’année 2024.

Les 11 entreprises dont les dossiers ont été validés œuvrent entre autres dans les domaines de l’élevage, des BTP, des transports, des services, des télécommunications, de l’industrie, de l’industrie alimentaire, de la construction et de l’industrie métallurgique.

« L’ensemble des investissements accordés aux sociétés soumissionnaires représente près de 258 milliards de Francs CFA avec à la clé plus de 1489 emplois à créer », a précisé Athanase Ngassaki.

Notons que neuf dossiers ont reçu un avis favorable sous réserve et 2 ont été ajournés.

Congo : le FMI décaisse plus de 26 milliards F dans le cadre de la FEC

La décision a été approuvée mercredi 10 juillet, à Washington, aux Etats-Unis par le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI).

 

La République du Congo va recevoir près de 26 milliards 055 millions 300 mille FCFA (environ 43 millions de dollars). Ce décaissement du FMI s’inscrit dans le cadre de la Facilité élargie de crédit (FEC), octroyé au Congo au titre de l’article 4 de ses statuts.

La mise à disposition du prêt, est consécutive à la performance du programme, les objectifs quantitatifs ayant été atteints par le gouvernement. Ce qui permet la mise à disposition immédiate de 32, 4 millions de Droits de tirage spéciaux (DTS). C’est du moins ce qu’a souligné le ministère de l’Economie et des finances dans un communiqué.

Congo : du matériel pour améliorer la lutte contre le sida et la tuberculose

C’est don du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) pour apporter des améliorations dans la collecte des données.

 

Ordinateurs, imprimantes et un véhicule sont les éléments qui constituent le don du Pnud au Programme national de lutte contre le sida (PNLS) et au Programme national de lutte contre la tuberculose (PNLT). Le matériel a été réceptionné lundi 08 juillet, par les différents directeurs des deux structures, Cécile Mapapa Miakassissa du PNLS et le Pr Franck Hardain Okemba-Okombi du PNLT.

Ledit matériel permettra d’améliorer la collecte des données et les indicateurs de prise en charge des malades. Un geste qui arrive en appoint dans la lutte contre le VIH/Sida selon Cécile Mapapa Miakassissa. Pour le Pr Franck Hardain Okemba-Okombi, l’appui de la représentation du Pnud leur permettra d’approcher d’une façon régulière les centres de prise en charge pour les accompagner et résoudre le niveau d’atteinte des indicateurs.

Notons que le don a été remis par la représentante résidente du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) au Congo, Adama Dian Barry.

Congo : 500.000 dollars pour soutenir l’agriculture

Cet appui est destiné aux agriculteurs victimes d’inondations dans les cinq départements de la Cuvette, de la Cuvette-Ouest, du Pool, des Plateaux et de la Likouala.

 

L’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) s’engage à donner un montant de 500.000 dollars au Congo. C’est un appui qui sera affecté aux agriculteurs victimes d’inondations dans les départements de la Cuvette, de la Cuvette-Ouest, du Pool, des Plateaux et de la Likouala.

Un accord de coopération technique relatif à ce financement a été signé le 9 juillet à Brazzaville entre la représentante résidente de cette agence onusienne, Yannick Ariane Rasoarimanana et la ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire, Irène Mboukou-Kimbatsa.

Notons que cette aide de la FAO s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet d’appui d’urgence initié par le gouvernement à la suite d’inondations survenues en décembre dernier dans plusieurs départements au Congo. Ces agriculteurs avaient perdu des hectares de plantations.

Congo-BECP : plus de 110000 candidats affrontent les épreuves

Les épreuves écrites du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) ont démarré, sur l’ensemble du territoire national.

 

Lancées mardi 09 juillet, ce sont 119.067 candidats qui sont face aux épreuves écrites du BEPC en République du Congo. Ils sont repartis dans 526 centres d’examen. Le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation Jean-Luc Mouthou, a sillonné les différents centres d’examen, en vue de lancer les épreuves et s’enquérir de l’effectivité du déroulement du BEPC.

« Les téléphones portables et calculatrices programmables sont strictement interdits dans les centres d’examen », a précisé le ministère. Il a aussi souligné que la session de 2024 enregistre une baisse des candidats, soit 119.050 contre 121.940 en 2023.

A Pointe-Noire, ils sont 33.006 candidats inscrits au BEPC, répartis dans 199 centres, ils prennent part aux épreuves écrites de cet examen d’Etat, session du 9 Juillet 2024.

Les candidats ont débuté par les mathématiques et l’histoire-géographie. Ces épreuves écrites du BEPC prendront fin le 12 du mois en cours par l’expression écrite.

AGL Congo modèle du pacte de sécurité

A fin Juin, Africa Global Logistics (AGL) a réalisé à Pointe-Noire un score de 100% dans la mise en œuvre du pacte sécurité sur le site d’un client du secteur énergétique. Il s’agit d’un Indice de Performance Sécurité (IPS) record qu’une entreprise partenaire peut atteindre dans le cadre de son implication dans le programme de sécurité du client.

L’initiative ‘’ Pacte de Sécurité & Environnement ’’ traduit l’engagement et la politique de ce client en vue d’améliorer ses performances sécurité et atteindre l’objectif zéro accident, en mettant un accent particulier sur les activités conduites par ses partenaires et sous-traitants. Il consiste à répertorier les forces et faiblesses du personnel impliqué dans les opérations onshore au moyen de l’évaluation des comportements et bonnes pratiques HSE. Les résultats alimentent l’indice performance sécurité & Environnement (IPSE) de l’entreprise partenaire et permettent de mesurer l’implication active du management et des opérateurs via un système de bonus/malus qui repose sur les compteurs sécurité & Environnement.

« Ce score obtenu par AGL démontre que l’appropriation des exigences HSE du groupe et de nos clients par nos collaborateurs porte ses fruits» estime Destaing LOUKOMBO, Coordinateur HSE AGL Congo.

AGL est le partenaire pilote de son client pour ce projet au Congo depuis son lancement en 2022. L’entreprise a toujours réalisé un score oscillant entre 94% et 99% avec un record de 100% établi sur  la dernière évaluation

Congo-Ciar : plus de financements pour reboiser les forêts africaines

C’est le cri lancé par les chefs d’Etats africains lors de la clôture vendredi 05 juillet à Brazzaville, de la première conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement (Ciar).

 

La Ciar a refermé ses portes vendredi 05 juillet 2024. Aux moins présidents (Congo, Gabon, Éthiopie, Ghana, Éthiopie, Guinée-Bissau), ont assisté à la clôture de cet évènement. Ils ont tous plaidé pour plus de mobilisation des financements par les bailleurs, en vue de renforcer le couvert végétal mondial, pour une lutte efficace contre les changements climatiques.

Dans la déclaration finale, les participants ont adopté une recommandation en vue d’adosser cette initiative dans l’agenda des Nations unies. « S’agissant de la gouvernance du système mondial sur l’afforestation et le reboisement, nous recommandons l’adoption d’une résolution par la 79e Assemblée générale des Nations Unies [prévue en septembre 2024 à New York, NDLR] pour endosser officiellement la décennie africaine et mondiale de l’afforestation et du reboisement, reconnaissant ainsi son importance cruciale pour la planète », peut-on lire dans le document. Le document a été lu par la ministre congolaise de l’économie forestière, Rosalie Matondo.

Congo-UDSN : le budget 2025 estimé à plus de 11 milliards FCFA

Ce montant a été adopté vendredi 05 juillet, dans la commune de Kintélé, lors de la tenue du Comité de direction de l’Université Denis-Sassou-N’Guesso (UDSN).

 

Plus de 11 milliards FCFA, c’est le montant adopté pour le budget 2025 de l’UDSN. Ce budget a été arrêté vendredi 05 juillet au cours de la réunion du Comité qui s’est tenue à Kintélé. On note une hausse par rapport à celui de 2024 qui était de 9 816 000 000 FCFA.

Hormis le budget de l’exercice 2025, le comité a également adopté plusieurs autres documents notamment le compte-rendu de la session extraordinaire du comité de direction du 5 octobre 2023, le rapport d’activités 2023, les comptes administratifs et de gestion 2023, l’évaluation à mi-parcours du plan stratégique de développement (2022-2026), le budget rectifié 2024, les programmes de l’école des mines, de l’hydraulique et de l’énergie (EMHE) qui sera ouverte en 2025, le programme de master professionnel es sciences de l’éducation.

Autres adoptions, on note les programmes révisés de l’Institut supérieur des sciences géographiques, environnementales et aménagement, et de l’Institut supérieur d’architecture, urbanisme, bâtiment et travaux publics, le programme d’activités 2025, le calendrier universitaire 2024-2025, le rapport d’autoévaluation, le manuel de procédures et programmes, le rapport d’activités au 30 juin 2024 ainsi que les accords de coopération et les partenariats.

Congo : la lutte anti vectorielle se poursuit avec la validation du plan stratégique 2025-2029

Des acteurs du système de santé congolais se sont réunis, le 2 juillet à Brazzaville.

 

Le plan stratégique national du projet de lutte anti vectorielle (PSN/Plav) 2025-2029 a été validé mardi 02 juillet à Brazzaville. C’était au cours d’une réunion à laquelle ont pris part les acteurs du système de santé congolais.

Pour le directeur de cabinet du ministre de la Santé et de la Population, Jean Ignace Tendelet, la lutte anti vectorielle consiste à promouvoir les méthodes biologiques, chimiques et mécaniques afin d’attaquer ce fléau qui mine la société.

Lancé en octobre 2021, le Play qui a pour coordonnateur Fabrice Djockah Toutoubelly, est une structure de mobilisation de fonds dont le but est d’outiller la République du Congo dans sa lutter contre les vecteurs.

« Le gouvernement a institué par arrêté n°21623/MSP/CAB du 30 septembre 2021 le projet de lutte anti vectorielle dont l’objectif est de faire le plaidoyer technique et de mobiliser les ressources financières afin de lutter contre les vecteurs dans notre pays », a expliqué Jean Ignace Tendelet.

La mise en place du Play est une recommandation de l’assemblée mondiale de la santé à tous les Etats membres.

Congo : la Banque mondiale approuve un prêt de plus de 60 milliards FCFA

Cette somme va servir à la réhabilitation et au renforcement du réseau de transport d’électricité entre Pointe-Noire et Brazzaville.

 

61 milliards FCFA, c’est montant approuvé par la Banque mondiale (BM) à la République du Congo. Ce financement est destiné à la réhabilitation et le renforcement du réseau de transport d’électricité entre Pointe-Noire et Brazzaville, ainsi que des réseaux de distribution au niveau des deux villes.

Le directeur des opérations de la BM pour le Cameroun, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine et le Congo, Cheick Fantamady Kanté, est allé mardi 02 juillet, à Brazzaville, donner l’information au ministre de l’Energie et de l’Hydraulique, Emile Ouosso.

« Avec le ministre et son équipe, nous avons travaillé depuis quelques mois sur la mise en place d’un financement qui permettra au gouvernement d’accélérer le renouvellement de la ligne de transport de Pointe-Noire à Brazzaville. Ce projet qui vient d’être approuvé par notre Conseil d’administration, nous espérons signer l’accord cette semaine. Nous avons discuté sur les modalités d’accélérer son déroulement pour que, à terme très rapidement, la population puisse sentir que le problème de l’électricité est désormais derrière elle », a expliqué Cheick Fantamady Kanté à sa sortie d’audience.

L’énergie est un secteur dans lequel le groupe de la Banque mondiale intervient de façon prioritaire pour appuyer les efforts du gouvernement dans le cadre de l’amélioration de la fourniture en électricité. C’est du moins ce qu’a précisé Cheick Fantamady Kanté.

Congo : la France va financer le projet « Former, informer et protéger »

Un mémorandum d’entente a été signé entre le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean-Luc Mouthou et Claire Bodonyi, ambassadeur de France au Congo.

 

La mise en œuvre du projet « Former, informer et protéger », se fera par l’organisation non gouvernementale Renatura et financé par la France. Il a pour objectif de sensibiliser la population congolaise en général et les apprenants en particulier à la sauvegarde de la biodiversité et du climat ainsi qu’aux enjeux de la protection de l’environnement et de son potentiel en matière de développement socioéconomique.

Le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean-Luc Mouthou, a signé un mémorandum d’entente avec Claire Bodonyi, ambassadeur de France au Congo.

Pour Jean-Luc Mouthou, la signature de ce partenariat est un moment crucial qui scelle la collaboration entre la France et le secteur éducatif congolais. « Ce partenariat enrichit notre système et crée des ponts entre la volonté du président de la République et notre système éducatif », a-t-il conclu.

Selon adiac-congo.com, le Congo fait partie des trois premiers pays au monde à être engagés dans un country package, et le seul à consacrer un axe entier de ce partenariat à la sensibilisation de sa population à la sauvegarde de la biodiversité et du climat en complément d’axes dédiés à la recherche, à la gestion, à l’extension d’aires protégées et à l’afforestation.

Congo : ouverture de la conférence internationale sur la reforestation

L’initiative qui va réunir du 2 au 5 juillet de nombreux experts venus du continent, vise à augmenter la superficie forestière pour lutter contre les changements climatiques.

 

Brazzaville accueille à partir de ce mardi 02 juillet, La conférence internationale d’afforestation et de reboisement (Ciar). L’objectif de rencontre est d’augmenter la superficie forestière pour lutter contre les changements climatiques. Ce sont donc plusieurs experts venus des pays d’Afrique qui sont attendus dans la capitale congolaise.

Jusqu’au 05 juillet prochain, il sera question de multiplier des actions en vue de planter davantage d’arbres pour lutter efficacement contre les changements climatiques, la dégradation de l’habitation de certaines espèces animales et la dégradation des sols.

Pour lancer cette initiative, environ 2 000 plants d’acacias ont été plantés par des experts, des membres de la société civile et d’associations sur le site de Bambou Mingali, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Brazzaville.

Des chefs d’Etats sont annoncés à l’évènement notamment ceux des deux Congo, les présidents du Gabon et du Kenya.

Congo-aéroport International de Maya-Maya : du nouveau matériel de contrôle de police

Des passagers en provenance de l’étranger sont soumis à un exercice de contrôle de police aux frontières à l’aide d’un nouveau matériel.

 

Scannage du passeport, prise des empreintes, de la photo biométrique ainsi que des renseignements particuliers sont les différentes étapes que parcours ces voyageurs. Ce nouveau matériel est installé dans le hall au sortir de la passerelle aéroportuaire. Le passager y accompli lui-même les formalités de police au débarquement.

L’innovation est encore expérimentale, le temps pour les voyageurs d’appréhender les différents mécanismes de son utilisation. Ceux qui rencontrent des difficultés sont accompagné par les agents. A côté des machines est installé un écran passe en boucle une vidéo du mode d’utilisation de l’appareil.

Congo : les problèmes des jeunes au centre d’un échange entre le CCJ et l’AN

Le Secrétaire exécutif permanent du Conseil consultatif de la jeunesse (CCJ), Michrist Kaba Mboko a été reçu jeudi 27 juin, par le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba.

 

Plusieurs sujets concernant la jeunesse congolaise ont meublé les échanges le 27 juin dernier, entre Michrist Kaba Mboko et Isidore Mvouba.

« Nous avons parlé de l’année de la jeunesse. Et nous sortons de cette audience, satisfaits puisque notre plaidoyer qui consistait à solliciter du Chef de l’Etat une rallonge de cette année commence à entendre raison parce que, en une année, on ne peut pas tout faire. Donc nous sommes rassurés qu’une, deux ou trois années supplémentaires nous soient accordées pour régler l’épineuse problématique du chômage des jeunes, l’adéquation formation-emploi », a expliqué Le Secrétaire exécutif permanent du CCJ.

Autres sujets abordés entre les deux hommes, « les questions de bourses des étudiants, des quotas écoles des jeunes finalistes de nos écoles en vue de leur recrutement à la fonction publique ».

Le Secrétaire exécutif permanent du CCJ, Michrist Kaba Mboko rassure les jeunes que « la commission spécialisée sur les questions d’économie et de finances est à pied d’œuvre. »

Notons que cette rencontre a eu lieu après la tournée nationale Michrist Kaba Mboko, au cours de laquelle il a collecté les préoccupations des jeunes des localités de l’intérieur du Congo.

Congo-Éliminatoires coupe du monde 2026 : la FIFA sanctionne le Congo

La République du Congo vient de se voir infliger une double sanction par la FIFA, après avoir déclaré forfait face au Niger le 6 juin dernier, en match comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2026.

 

« Conformément à l’art 58 du Code Disciplinaire de la FIFA (…) Le match Congo – Niger initialement prévu le 6 juin 2024 dans le cadre de la compétition préliminaire de la Coupe du monde 2026, est déclaré perdu par forfait 3-0 par l’équipe nationale du Congo », a informé la FIFA

Les Diables Rouges ne pourront donc pas avoir l’occasion de disputer cette rencontre lors d’un éventuel report. En plus de cette sanction « La Fédération Congolaise de Football est condamnée à une amende d’un montant de 10 000 Francs Suisse soit 6 millions 750 mille Francs CFA). »

Rappelons que les Diables rouges ne s’étaient pas présentés à Kinshasa pour affronter le Niger lors de la 3ème journée des éliminatoires du Mondial 2026, le Congo a été officiellement déclaré forfait par la FIFA.

Congo : les cas de torture passent de 13 en 2023 à 122 en 2024

C’est ce qui ressort du rapport de l’organisation de défense des droits humains dénommée Centre d’actions pour le développement (CAD).

 

L’ONG CAD vient de publier un rapport dans lequel elle indique l’augmentation des cas de torture en République du Congo, passés de 13 durant le premier semestre de 2023 à 122 pendant la même période en 2024. Une hausse qu’a déploré mercredi 26 juin, devant les hommes de médias, l’organisation de défense des droits humains, à l’occasion de la journée internationale pour le soutien aux victimes contre la torture.

« Puisque nous parlons de la torture, l’année passée, au premier semestre, nous étions à 13 cas de torture documentés. Cette année, donc la même période, le premier semestre 2024, nous sommes passés à 122 cas de torture, de traitements cruels, inhumains et dégradants. Ce qui montre une augmentation très importante de la pratique de la torture. », peut-on lire dans le rapport.

Créé en 2021, le CAD mène et publie chaque année une enquête sur la torture, alors que le pays est signataire de la convention des Nations unies contre cette pratique.

Congo : vers un dispositif de lutte contre le commerce illicite des médicaments

Le sujet était au centre d’un séminaire d’échange organisé par l’Agence congolaise de normalisation et de la qualité (ACONOQ).

 

Mettre en place des solutions efficientes de marquage et de traçabilité des produits pharmaceutiques, en vue de lutter contre le commerce illicite des médicaments au Congo. C’est l’objectif que visait le séminaire d’échange organisé par Opangault.

Les participants au séminaire sur les solutions de marquage et de traçabilité des produits pharmaceutiques doivent s’imprégner des mécanismes permettant de tracer et d’authentifier les médicaments tout le long de la chaîne d’approvisionnement et de distribution.

« Ce séminaire est un moment de discussion avec les acteurs pharmaceutiques afin qu’ils imprègnent des techniques modernes de marquage et de traçabilité, qui sont développés à travers le monde, indispensables à la lutte contre le fléau de la contrebande dans notre pays est confronté », a laissé entendre Jean Jacques Ngoko Mouyala, directeur de l’Opangualt.

Congo : le parc de Nouabalé-Ndoki reconnu pour son intégrité écologique

Le bureau pays de la Société pour la conservation de la vie sauvage (WCS)l’a annoncé lundi 24 juin 2024, à travers un communiqué.

 

D’une superficie de plus de 4.000 kilomètres carrés de forêt tropicale humide, le parc national de Nouabalé-Ndoki abrite d’importantes populations de mammifères en danger d’extinction. Géré depuis 30 ans par la WCS, ce site a une faune n’a pas eu de contact avec les humains.

Selon ce communiqué de la cette désignation intervient à un moment crucial alors que la communauté internationale redouble d’efforts pour atteindre les objectifs mondiaux en matière de biodiversité, conformément au Cadre mondial pour la biodiversité de Kunming-Montréal.

Notons que, le critère d’intégrité écologique concerne spécifiquement les zones qui restent exemptes de perturbations majeures, préservant ainsi la structure, la composition et les fonctions de leurs écosystèmes.

Congo : plus de 4000 filles candidates aux Brevets techniques et professionnels

Les candidats des Brevets d’études techniques ; d’études professionnelles et de technicien forestier affrontent les différentes épreuves depuis mardi 25 juin 2024.

 

Les candidats aux brevets techniques et professionnels ont démarré, le 25 juin, les épreuves écrites session de juin 2024 sur l’ensemble du territoire national.  Ils sont au total 6 473 candidats en lice dans tout le pays parmi lesquels 4283 filles. Ces candidats sont répartis dans 62 centres d’examens.

Les épreuves qui ont été lancé le 25 juin, se dérouleront jusqu’au 29 juin. Il s’agit de trois types de Brevets : le Brevet d’études techniques avec 5969 candidats ; le Brevet d’études professionnelles qui compte 407 candidats et le Brevet de technicien forestier qui a 97 candidats dans tout le pays.

Les candidats au Brevet d’études techniques, option industrie et agriculture, ont démarré respectivement la première journée avec les épreuves de technologie, dictée-questions et la dictée avec fautes, anglais, commentaire de texte, agriculture générale et spéciale.

Quant aux candidats du Brevet d’études techniques, option économie sociale et familiale avec des filières comme hôtellerie, préscolaire, puériculture et les techniques d’habillement, la première journée a été marquée par les épreuves de sciences naturelles et hygiène, dictée-questions, anglais touristique, puériculture et la technologie des textiles.

Dans la ville de Brazzaville, les épreuves ont été lancées au centre de l’Institut des jeunes sourds par le ministre de l’Enseignement technique et professionnel, Ghislain Thierry Maguessa Ebomé.

JO de Paris 2024 : Natacha Ngoye Akamabi est le porte étendard du Congo

L’athlète de 30 ans du 100 et 200 mètres, conduira la délégation congolaise aux jeux olympiques qui se tiendront à Paris.

 

C’est la deuxième fois que Natacha Ngoye Akamabi va conduire l’équipe d’athlètes de la République du Congo aux jeux olympiques. L’athlèque de 30 ans spécialiste du 100 et 200 mètres sera le porte fanion de la délégation du Congo à Paris en France.

« Je suis fière de conduire la délégation des athlètes congolais aux JO de Paris 2024. C’est une responsabilité et une fierté de représenter mon pays mais surtout comme porte-drapeau pour la deuxième fois après 2020 à Tokyo au Japon », s’est satisfaite Natacha Ngoye Akamabi.

La jeune femme entend faire bonne figure à ces JO de Paris 2024. « Les JO représentent le sommet des compétitions au monde où on croise les meilleurs athlètes. L’objectif pour moi est d’aller le plus loin possible et tenter de dépasser mes records aux 100 et 200 mètres », espère-t-elle.

Rappelons que Natacha Ngoye Akamabi avait été porte drapeau du Congo pendant les JO de Tokyo au Japon en 2020.

Congo : le Pape François attendu à Brazzaville

Le souverain pontife va effectuer une visite officielle en République du Congo en 2025.

 

« Le Saint-Père a manifesté sa disponibilité à venir au Congo pour rendre visite aux catholiques et officiellement à ce pays. Nous attendons la prochaine année, 2025 ». C’est une annonce faite par Monseigneur Javier Herrera Corona, nonce apostolique en République du Congo et au Gabon.

La déclaration a été faite lors de la présentation du nouvel archevêque métropolitain de Pointe-Noire, Monseigneur Abel Liluala au ministre de l’Intérieur, de la décentralisation et du développement local, Raymond Zéphirin Mboulou.

Monseigneur Javier Herrera Corona intronisé le 24 février dernier, a profité de la rencontre avec le ministre pour réitérer la disponibilité de l’Église catholique à œuvrer pour le maintien de la paix au Congo.

Rappelons qu’en avril 2022, certains journaux annonçaient la visite du Pape François en République du Congo. Une visite qui n’avait pas eu lieu. Le souverain pontife avait néanmoins adressé ses vœux les meilleurs au Chef de l’Etat, Denis Sassou Nguesso, et à la population congolaise le 31 janvier 2023, durant son vol en direction de la RDC.

Congo : les automobilistes ont jusqu’au 30 septembre pour se faire recenser

La direction générale des transports terrestres (DGTT) a lancé vendredi 21 juin dernier, la campagne de recensement des chauffeurs et propriétaires de véhicules.

 

La campagne lancée par la DGTT le 21 juin 2024, concerne les chauffeurs des taxis, des taxis collectifs appelés communément 100/100, des motos, minibus, autobus, autocars, camions et engins ; propriétaires des véhicules.

L’objectif de cette action est dactualisation du fichier national des activités des transports terrestres en République du Congo. L’opération qui a commencée le 21 juin va s’étendre jusqu’au 30 septembre 2024.

Les documents à fournir pour être recensé sont la carte nationale d’identité, le passeport, le NIU, le RCCM ou récépissé, le permis de conduire, la carte grise du véhicule. Les automobilistes peuvent le faire en ligne via l’adresse  www.recensement.dgtt.cg ou se rendre à l’agence digitale de la DGTT le hub situé sur le boulevard Denis Sassou-Nguesso en face du ministère des télécommunications.

Congo : Joseph Miandzoukouta alias Yowanet incarcéré

Le membre de la Commission nationale des arbitres a été déféré à la maison d’arrêt de Brazzaville mardi 18 juin 2024.

 

Joseph Miandzoukouta est impliqué dans une affaire de de corruption et de falsification de résultat sportif. L’on se souvient de cet audio dans lequel Joseph Miandzoukouta dit Yowanet, demandait à Chynel Géo Bango, arbitre international, devant officier le match Léopard contre Cara à Dolisie, que la somme d’un million de Francs CFA lui avait été réservée, pour favoriser les manœuvres du Club Otoho afin de faire perdre Léopard de Dolisie par forfait contre Cara.

Une plainte avait été déposée par le Ministère des Sports qui s’est porté partie civile. La gendarmerie avait ouvert une enquête, et c’est à la suite de cette enquête que Yowanet a été placé sous mandat de dépôt et incarcéré.

Vendredi 7 juin 2024 à Brazzaville, le président de la FECOFOOT, Jean Guy Blaise Mayolas avait dissout la Commission nationale des arbitres.

 

Congo-baccalauréat général : plus de 89 000 candidats face aux épreuves

Les épreuves écrites du baccalauréat général ont commencé ce mardi 18 juin 2024, sur toute l’étendue du territoire national.

 

Ce sont 89 849 candidats qui sont inscrits au baccalauréat session de juin 2024. Les épreuves écrites ont été lancées ce mardi 18 juin dans tout le pays et vont se dérouler jusqu’au 21 juin prochain.

D’entrée de jeu, toutes les séries scientifiques et littéraires commenceront par les mathématiques ce mardi matin. Le 19 juin, les candidats des séries littéraires affronteront l’épreuve de français, tandis que ceux des séries scientifiques passeront les sciences physiques. En fin de journée, tous les candidats composeront en anglais.

La troisième journée, le 20 juin, les candidats des séries littéraires se concentreront sur l’histoire et la géographie, tandis que ceux des séries scientifiques passeront l’épreuve des sciences de la vie et de la terre. L’après-midi, les littéraires composeront en seconde langue, et les scientifiques choisiront entre l’histoire et la géographie.

Pour la dernière journée, les candidats des séries scientifiques choisiront entre le français et la philosophie. Alors que les littéraires affronteront l’épreuve de philosophie. L’examen s’achèvera avec l’épreuve d’éducation physique et sportive, pour toutes les séries.

Congo : deux trafiquants fauniques écopent de deux ans de prison

Ils sont accusés de détention, circulation et commercialisation de peau de panthère et sept pointes d’ivoire, représentant quatre éléphants tués.

 

Philippe Mboumba et Davy Mancacath viennent d’écoper de deux ans de prison ferme et d’une amende solidaire d’un million FCFA et de deux millions autres de dommages et intérêts qu’ils verseront à l’Etat congolais. Ces deux trafiquants fauniques ont été condamné le 11 juin, pour détention, circulation et commercialisation des espèces animales protégés.

Avant le verdict, plusieurs audiences portant sur cette affaire avaient eu lieu à Pointe-Noire, au cours desquelles ils avaient reconnu les faits qui leur ont été reprochés. Ces deux détenus avaient été interpellés par les agents de la région de gendarmerie de Pointe-Noire, en collaboration avec la direction départementale de l’Economie forestière avec l’appui technique du Projet d’appui à l’application de la loi sur la faune sauvage (Palf).

Ils appartiendraient à un vaste réseau de trafic de produits de la faune. L’un serait un fournisseur de munitions aux chasseurs et l’autre, quant à lui, l’aiderait dans le trafic de ces produits.

Rappelons que le Congo, qui s’est engagé à protéger ses espèces animales en voie d’extinction, reste vigilant et sanctionne tous ceux qui entravent la loi en matière de protection de la faune sauvage.

Congo : le budget du Proclimat arrêté à plus de 12 milliards FCFA

Il a été adopté mardi 11 juin à Brazzaville, lors de la session inaugurale du comité de pilotage du projet de création des activités économiques inclusives et résilientes au changement climatique (ProClimat).

 

Les membre du ProClimat se sont réunis mardi 11 juin dernier à Brazzaville. C’était à l’occasion d’une session inaugurale au cours de laquelle le budget prévisionnel a été arrêté à 12 980 328 770 FCFA.

Cette enveloppe va entre autres permettre de renforcer les capacités des institutions et promouvoir la cohésion sociale, de financer des activités soutenant les capacités institutionnelles et communautaires pour construire des moyens de subsistance inclusifs.

« La composante 6 du projet ProClimat porte sur la mise en œuvre des réponses d’urgence à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle, question de répondre aux besoins les plus aigus en matière d’insécurité alimentaire à court terme. La mise en œuvre de cette composante est confiée au Programme alimentaire mondial, conformément à la recommandation adoptée par les membres du comité de pilotage », a expliqué Maixans Sosthène Mayoukou, coordonnateur du projet.

Congo : les membres du jury au baccalauréat en séminaire

Cette formation concerne les chefs de centre et adjoints, les membres de l’équipe pédagogique, les agents de sécurité et bien d’autres acteurs.

 

Les membres du jury au baccalauréat session de juin 2024, mettent à jour leurs connaissances. Le séminaire de renforcement des capacités de l’ensemble de ces acteurs impliqués dans le déroulement des épreuves écrites et pratiques du baccalauréat général a été ouvert, le 11 juin, à Brazzaville.

Ils doivent être prêts pour commencer le travail le 18 juin prochain. Cet ensemble est constitué des chefs de centre et adjoints, membres de l’équipe pédagogique, agents de sécurité et bien d’autres acteurs impliqués dans l’organisation du baccalauréat.

Pour le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean Luc Mouthou, qui a présidé au lancement de « Ce séminaire qui est un choix stratégique pour asseoir un leadership organisationnel fort afin de maximiser la bonne tenue de cet examen d’Etat qui ouvre la porte des études supérieures aux candidats ».

Ladite formation a pour thème « La gestion du baccalauréat à l’ère de la digitalisation des processus d’organisation et du fonctionnement des examens d’Etat et concours » avec pour sous-thèmes, entre autres : procédure de supervision, du contrôle des opérations et communications informationnelles entre les acteurs impliqués ; sécurisation des acteurs, des biens et des centres d’examens lors du déroulement des épreuves écrites et pratiques du baccalauréat.

Eliminatoires pour le Mondial-2026 : le Congo s’incline face au Maroc

Le Maroc s’est imposé face à la République du Congo sur un score de 6-0, mardi 11 juin au Grand Stade d’Agadir.

 

Les Diables rouges tombent face aux Lions de l’Atlas. La rencontre entre les deux équipes comptait pour la 4e journée des qualificatifs du groupe E (Zone Afrique), de la Coupe du Monde 2026 de football.

Les Diables Rouges ont encaissé trois buts après seulement vingt minutes de jeu. Au retour des vestiaires, El Kaabi a complété son triplé à la 53ème minute, avant que Rahimi ne scelle le score à 6-0 à la 62ème minute. Le score a été ouvert dès la 8e minute de jeu sur une frappe d’Azzedine Ounahi. Le match s’est achevé sur un score de 6-0 en faveur du Maroc.

Les Diables Rouges se retrouvent derniers du groupe E, n’ayant obtenu aucun point après quatre journées. En tête, le Maroc conforte sa position avec 9 points, suivi de la Tanzanie avec 6 points. Le Niger et la Zambie sont à égalité avec 3 points chacun, tandis que le Congo est lanterne rouge avec 0 point.

Coopération : Henri Okemba présente ses lettres de créance à Nataša Pirc Musar

Le nouvel ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Congo en Slovénie a été reçu par le président de Slovénie, Nataša Pirc Musar.

 

Après la présentation de ses lettres de créance, Henri Okemba a signé le livre d’or du Président de la République de Slovénie, Nataša Pirc Musar. Les deux personnalités ont eu un entretien. Au centre de cet échange, des relations bilatérales entre la Slovénie et le Congo, ainsi que des opportunités pour renforcer leurs liens.

Selon congomediatime.com, Henri Okemba a également rencontré Eva Knez, la secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation, des Sciences et de l’Innovation, ainsi que Tibor Simonka, le président de la Chambre de commerce et d’industrie slovène. Les échanges avaient pour objectif d’établir une coopération concrète et durable entre les deux pays.

« Nous avons parlé pratiquement de toutes les questions, non seulement des difficultés mais aussi des atouts. Le travail qui reste à faire c’est de nous retourner vers les autorités de notre pays, faire le rapport et surtout travailler avec les différentes chambres de commerce qui sont au Congo et pouvoir bâtir ce qui pourrait être l’élément déclencheur de cette coopération » , a déclaré Henri Okemba.

Rappelons que c’est le 19 avril 2007 à New York, aux Etats-Unis, que les relations diplomatiques entre le Congo et la Slovénie ont été établies.

Congo : le projet « kobikisa » pour renforcer le système de santé national

Cofinancé par le gouvernement et la banque mondiale, l’initiative vise à subventionner les structures sanitaires privées.

 

Le gouvernement congolais entend apporter son soutien aux hôpitaux privés à travers le projet « Kobikisa ». Cette initiative est cofinancée par l’Etat et la banque mondiale. Mais l’accès aux subventions est conditionné au respect de la règlementation en vigueur et à la participation aux activités du ministère de la santé.

Pour permettre à toutes ces structures sanitaires privées de bénéficier des subventions, une campagne de sensibilisation a été lancée vendredi 07 juin dernier, pour susciter l’adhésion des promoteurs de ces hôpitaux à la procédure de régularisation.

Le constat est clair, l’état des lieux du secteur privé de la santé montre de nombreuses faiblesses liées au non-respect de la règlementation. La méconnaissance des procédures, l’absence de coercition et d’incitation positive ainsi que le refus des promoteurs à se conformer aux normes en vigueur sont entre autres les facteurs qui causent cette faiblesse. C’est du moins ce que pense le Pr Richard Bileckot, inspecteur général de la Santé.

La campagne de vulgarisation des procédures de régularisation a pour objectifs de recueillir les avis des promoteurs sur les obstacles à la régularisation, susciter leur adhésion et leur signature au mémorandum stipulant les engagements des cliniques privées, ainsi que d’augmenter le nombre des centres de santé formels par une campagne de dépôt de dossiers d’agrément.

Selon adiac-congo.com, les promoteurs des 429 formations sanitaires privées se sont engagés, à travers un mémorandum sous forme de contrat de performance, à négocier, afficher et appliquer le tarif forfaitaire pour les prestations subventionnées avec les représentants de la population, y compris pour les prestations non payantes ; à communiquer à la tutelle le tarif négocié et à l’appliquer de manière stricte.