Congo : Brazzaville abritera les assises de la 2e édition du Fora’ess

Les travaux préparatoires de ce grand rendez-vous des acteurs africains du domaine se clôturent ce 10 juillet dans la capitale congolaise.

 

« Économie sociale et solidaire, moteur de résilience, de développement durable et inclusif en Afrique ». C’est sur ce thème que se tiendra la deuxième édition Forum africain de l’économie sociale et solidaire (Fora’ess). La capitale congolaise va abriter ce rendez-vous du 20 au 24 janvier 2026. Selon le président du forum, Malick Diop, l’économie sociale et solidaire est une réponse aux défis du développement durable et inclusif ; un levier essentiel susceptible de booster le développement des pays Africains.

En prélude à ce rendez-vous des travaux préparatoires ont été organisé Brazzaville et se clôturent ce jeudi 10 juillet 2025. Des coopératives, mutuelles, fondations, entreprises sociales ou associations régies par la loi du 1er juillet 1901 ainsi que les chercheurs, les administrations publiques, les collectivités locales, les organisations internationales, définissent les contours qui vont favoriser la réussite de cet évènement.

Il s’agit entre autres, de la mise en place du comité locale d’organisation, des commissions spécifiques, de la détermination du thème central et des sous thèmes. Aussi, le format et la durée de l’évènement.

Pour la ministre de la Promotion de la femme, de l’Intégration de la femme au développement et de l’Économie informelle, Inès Nefer Ingani Voumbo-Yalo, l’économie sociale est une source de création d’emplois durable, d’innovation et de renforcement du lien social.

Congo : la 5e édition de la Rencontre des entrepreneurs francophones se tiendra à Brazzaville

Le forum est dédié à la promotion des opportunités économiques et au renforcement des partenariats au sein de l’espace francophone.

 

La capitale congolaise, Brazzaville va abriter du 26 au 28 juin, la 5e édition de la Rencontre des entrepreneurs francophones (REF). Ledit forum se veut une plateforme dédiée à la promotion des opportunités économiques et au renforcement des partenariats au sein de l’espace francophone.

Cette 5e édition REF rassemblera plus de 1.000 participants, notamment les chefs d’entreprise, les représentants d’institutions économiques, les experts, les leaders d’opinion et les entrepreneurs issus de divers pays francophones.

La REF est considérée comme un carrefour d’affaires, propice à la création de synergies entre entrepreneurs, décideurs économiques et institutions francophones. Cette édition vise à bâtir une Francophonie économique dynamique, compétitive et résolument tournée vers l’avenir.

Pendant cet évènement, il y aura diverses activités économiques et professionnelles, notamment des événements valorisant l’expertise des entreprises congolaises et favorisant les échanges entre acteurs locaux et internationaux, des stands d’exposition où les entreprises pourront présenter leurs produits et services, ainsi que des ateliers thématiques animés par des intervenants de haut niveau. C’est du moins ce qu’à expliqué Nancy Chenard, secrétaire générale de l’Union patronale et interprofessionnelle du Congo (Unicongo), structure organisatrice de l’événement.

Assainissement urbain : Albayrak Waste Management entre en service à Brazzaville et Pointe-Noire

La nouvelle entreprise chargée de la propreté urbaine au Congo, Albayrak Waste Management, a officiellement lancé ses activités le 19 juin à Brazzaville, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère dans la gestion des déchets dans les deux principales villes du pays.

 

Succédant à la société Averda dont le contrat est arrivé à expiration, Albayrak Waste Management, entreprise de droit congolais, a pris les rênes de l’assainissement urbain à Brazzaville et à Pointe-Noire pour une durée de cinq ans. Ce lancement fait suite à la signature, le 23 avril dernier, d’un accord de délégation de service public qui confère à la société la gestion de la collecte, du transport et du traitement des déchets solides urbains.

Dès son entrée en fonction, la société a mobilisé ses premières équipes techniques dans plusieurs quartiers stratégiques de Brazzaville. Les opérations de nettoyage sont déjà visibles au rond-point du 5 juin 1997 à Mpila — communément appelé « Place Plus Jamais Ça » — ainsi que sur l’avenue Pointe Hollandaise, les rues de Poto-Poto, l’avenue Amilcar Cabral, le boulevard Denis Sassou N’Guesso et aux abords du ministère des Finances.

Munis de balais, pelles et équipements spécialisés, les agents s’attellent à redonner à la capitale son lustre, par des activités intensives de balayage, de ramassage des ordures et de désencombrement des abords routiers. Ce déploiement progressif s’accompagnera dans les prochains jours d’un renforcement des effectifs et de l’arrivée de moyens logistiques supplémentaires.

Outre la propreté des artères urbaines, les missions de la société incluent la collecte sécurisée des déchets dans les aires de transit, la gestion des décharges et le désengorgement des canalisations. Des concertations sont en cours avec la mairie de Brazzaville pour assurer une transition fluide, notamment par la reprise des infrastructures précédemment utilisées par Averda.

Ce changement d’opérateur s’inscrit dans la dynamique gouvernementale de réforme du secteur de l’assainissement. En confiant cette mission à Albayrak Waste Management, les autorités souhaitent poser les bases d’un service plus efficace, durable et adapté aux défis croissants de la gestion urbaine.

Les attentes des populations de Brazzaville et Pointe-Noire sont élevées. Dans un contexte marqué par la prolifération des décharges sauvages et leurs impacts sur la santé publique, l’environnement et l’économie, la société est appelée à jouer un rôle déterminant dans l’amélioration du cadre de vie urbain.

À travers cette opération, le gouvernement entend faire de l’assainissement une priorité nationale, pour des villes plus propres, plus saines et plus attractives. Albayrak Waste Management est désormais attendue au tournant.

Congo : le gouvernement lance une aide humanitaire d’urgence après les inondations meurtrières

À la suite des fortes pluies qui ont frappé Brazzaville dans la nuit du 13 au 14 juin 2025, causant d’importants dégâts humains et matériels, le gouvernement congolais a déclenché une opération d’assistance humanitaire d’urgence, en particulier dans le sixième arrondissement, Talangaï, l’un des plus touchés.

 

Selon un bilan provisoire communiqué par le ministère des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire, sept personnes ont perdu la vie et plusieurs autres ont été blessées. De nombreuses familles se retrouvent sans abri, leurs habitations ayant été englouties sous le sable ou envahies par les eaux.

À la tête de la cellule de crise mise en place pour faire face à cette catastrophe, la ministre Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbsatsa s’est rendue sur les lieux en compagnie des autorités municipales pour évaluer l’ampleur des dégâts. Le dimanche 15 juin, elle a lancé la distribution de kits alimentaires et de literie aux familles sinistrées, marquant ainsi le début de la prise en charge humanitaire.

« Cette remise constitue le point de départ de l’assistance. D’autres actions viendront, notamment pour évaluer plus en détail les pertes et répondre aux besoins à moyen terme », a déclaré la ministre.

Dans les quartiers sinistrés comme Mikalou, les habitants, encore sous le choc, saluent la réactivité des autorités. « Depuis des années, jamais une telle pluie ne s’était abattue en pleine saison sèche. Nous remercions le gouvernement pour cette aide rapide », a témoigné Xavier Sonimba, qui a perdu plusieurs biens, dont des documents officiels.

De son côté, l’administrateur-maire de Talangaï, Privat Frédéric Ndeke, a précisé que seuls cinq des douze quartiers touchés avaient pour l’instant fait l’objet d’un recensement. Le bilan pourrait donc s’alourdir. « L’assistance sociale est en cours. Une réflexion sera engagée ultérieurement sur les modalités de relogement des familles qui ont perdu leur toit », a-t-il indiqué.

Face à cette situation d’urgence, les services sociaux et municipaux poursuivent leur mobilisation pour venir en aide aux sinistrés et évaluer les besoins sur le terrain.

Congo : renforcement des capacités des comités de santé à Brazzaville

L’Observatoire congolais des Droits des Consommateurs (O2CD) a lancé un projet de renforcement des capacités des comités de santé (Cosa) des districts sanitaires de Brazzaville.

 

Ce projet vise à améliorer l’accès aux soins de proximité pour la population en incluant les représentants des usagers dans la gestion des Cosa.

Douze Cosa des cinq districts sanitaires de Brazzaville ont été restructurés dans le cadre de ce projet, financé par l’ambassade de France au Congo à hauteur de 26 millions de francs CFA, représentant 76% du budget total. Les bénéficiaires, notamment les délégués des Cosa restructurés, les chefs des districts sanitaires partenaires et les leaders des associations, participent à une session de formation de deux jours pour renforcer leurs capacités sur le rôle des représentants des usagers au sein des hôpitaux de proximité.

La formation vise à sensibiliser les participants au rôle du comité des usagers dans la gestion des centres de santé intégrés (CSI), examiner un projet d’arrêté portant organisation, composition et fonctionnement du comité des usagers dans les hôpitaux de référence du district sanitaire, promouvoir les droits des patients et des accompagnants, favoriser l’implication de la communauté dans les instances de prise de décision au sein des districts sanitaires

Selon Richard Bileckot, inspecteur général de la Santé, une gestion efficace des CSI doit inclure la participation de tous les usagers concernés. Les associations de patients doivent être consultées pour l’élaboration des politiques de santé, participer à des recherches et sensibiliser le public aux besoins des patients.

La formation permettra aux participants de mieux comprendre leur rôle et leurs responsabilités dans la gestion des CSI. Les bénéficiaires pourront ainsi contribuer à l’amélioration de la gestion de leur CSI et promouvoir les droits des patients et des accompagnants.

Brazzaville : plus de 40 maisons englouties à Ngamakosso après de fortes pluies

Ce mardi 3 juin 2025, de violentes pluies se sont abattues sur Brazzaville, provoquant de lourds dégâts dans le quartier Ngamakosso, situé dans le sixième arrondissement, Talangaï.

 

Plus de 40 habitations ont été englouties, et le bilan pourrait encore s’alourdir alors que les précipitations se poursuivent. À ce stade, aucune perte en vie humaine n’a été signalée.

Installé sur les versants de collines, le quartier Ngamakosso fait face à un grave problème d’ensablement dû au ruissellement des eaux. Les habitations sont souvent envahies par les eaux ou ensevelies sous le sable, poussant de nombreuses familles à fuir vers d’autres quartiers plus sûrs.

Dans la capitale congolaise, les pluies sont devenues si fréquentes et intenses qu’elles donnent l’impression que le ciel se vide entièrement. Cette situation accentue les phénomènes d’érosion des sols, mettant en péril non seulement les maisons mais aussi les infrastructures comme les routes et les canalisations.

Chaque année, Brazzaville déplore des sinistrés, parfois même des pertes humaines, liées à ces catastrophes naturelles. Pour y faire face, la loi de finances 2023 avait alloué 1 800 milliards de francs CFA à la lutte contre l’érosion. En 2024, ce budget a été revu à la hausse, atteignant 2 500 milliards de francs CFA.

Selon les autorités, les interventions varient selon la gravité des cas : certaines érosions nécessitent un simple rebouchage à l’aide de grandes quantités de terre, tandis que d’autres demandent des travaux de grande envergure.

Avec un investissement de 2,5 milliards de francs CFA pour freiner un phénomène qui menace la sécurité et la stabilité de nombreuses familles à chaque saison de pluie, l’espoir reste permis. Mais à Brazzaville, c’est toujours vers le ciel que se tournent les regards, là où se cache la menace constante, que le chercheur et écrivain congolais Dr Michel Innocent Peya appelle dans son ouvrage La Bombe N.

Ambassadeur des Droits et Devoirs de l’Humanité et de l’Environnement, Dr Peya continue d’alerter sur les dangers écologiques, rappelant à tous l’urgence d’une véritable politique de protection de l’environnement.

Congo : Brazzaville accueille la 5e édition de la Rencontre des entrepreneurs francophones

Cet événement économique sera l’occasion de renforcer les liens économiques, d’explorer de nouvelles opportunités d’affaires et de découvrir le dynamisme des économies francophones.

 

La capitale congolaise, Brazzaville, accueillera du 26 au 28 juin prochain la 5e édition de la Rencontre des entrepreneurs francophones (REF). Cet événement économique majeur de la francophonie sera l’occasion de renforcer les liens économiques, d’explorer de nouvelles opportunités d’affaires et de découvrir le dynamisme des économies francophones.

Le thème de cette édition est « Renforcer les chaînes de valeur dans l’espace francophone ». L’événement est organisé par l’Alliance des patronats francophones (APF) en partenariat avec l’Union patronale et professionnelle du Congo (Unicongo). Plus de 1000 participants sont attendus, notamment des investisseurs, des décideurs publics-privés et des représentants d’institutions.

Au programme de l’événement, des tables rondes, des conférences et des ateliers animés par des experts reconnus. Les participants auront également l’occasion de bénéficier d’opportunités d’affaires et de réseautages stratégiques.

L’APF est le premier réseau d’entreprises de l’espace francophone, avec quarante organisations professionnelles représentatives. Elle représente le secteur privé formel dans les pays francophones et met au cœur de son action la circulation des entrepreneurs, la formation des jeunes, la transition écologique et l’accompagnement des jeunes pousses (startups).

La REF Francophone rassemble chaque année des chefs d’entreprise, des institutions et des organisations patronales pour stimuler l’innovation, encourager les échanges et bâtir des partenariats économiques stratégiques au sein de la francophonie. Cet événement est une occasion unique pour les entrepreneurs francophones de se rencontrer, de partager leurs expériences et de créer de nouvelles opportunités d’affaires.

Congo : Brazzaville accueille le Congrès mondial des peuples autochtones et des communautés locales des bassins forestiers

La capitale congolaise, Brazzaville, va accueillir à partir du 27 mai le premier Congrès mondial des peuples autochtones et des communautés locales des bassins forestiers.

 

Ce congrès est précédé d’un précongrès des femmes leaders de ces communautés, qui se sont réunies pour définir une feuille de route visant à améliorer leur autonomie financière et leur capacité à mobiliser les financements auprès des partenaires au développement.

Le précongrès des femmes leaders, initié par le mouvement des femmes du Gatc et le Réseau des populations autochtones et locales pour la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique centrale (Repaleac), vise à consolider le processus de coordination des actions entre les personnes vulnérables des bassins de l’Amazonie, du Congo et du Bornéo-Mékong-Asie du Sud-Est et méso-Amérique. Les femmes leaders ont imploré la communauté internationale à porter un regard sur leur situation et ont appelé à l’affermissement des liens entre femmes dirigeantes, donateurs et alliés pour faciliter le soutien financier et technique.

Les discussions du précongrès visent à proposer un document contenant des programmes d’activité coordonnés par les femmes autochtones elles-mêmes. La nouvelle feuille de route devra aborder les opportunités et les défis liés aux ressources dans les bassins forestiers mondiaux, en promouvant les actions des femmes autochtones et locales sur le terrain. La représentante du Repaleac, Maïmouna Umaro, a souligné que cette vision vise à favoriser le développement durable autour du modèle écologique des autochtones.

La ministre congolaise de l’Economie forestière, Rosalie Matondo, a exhorté les participantes à poursuivre la lutte pour l’autonomisation des femmes. Elle a également souligné que la République du Congo a élaboré et mis en œuvre un corpus juridique et règlementaire cohérent, garantissant la protection des droits des peuples autochtones. Le Congo est déterminé à préserver les écosystèmes forestiers de la planète et les traditions autochtones.

Congo : 500 filles vont bénéficier d’une formation professionnelle

La ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire, Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa, a lancé, le 19 mai à Brazzaville, des formations professionnelles pour jeunes âgés de 18 à 35 ans.

 

Environ 1029 jeunes, dont 500 filles vont bénéficier des formations professionnelles aux métiers de bâtiment ainsi que de l’agriculture, de l’industrie et des services. Le programme prévoit deux types de formation, notamment à l’entrepreneuriat et à l’apprentissage d’un métier, et est ouvert aux jeunes âgés de 18 à 35 ans au moment de l’inscription et résidents dans les zones urbaines et périurbaines de quatre localités à savoir Brazzaville, Pointe-Noire, Ouesso et Dolisie.

D’après le coordonnateur du Psipj, Régis Antoine Ngakegni, cette première cohorte de formations vise à répondre à la réalité socio-économique du pays et à favoriser une insertion professionnelle durable. Le programme va durer six à neuf mois et en bénéficier, les demandeurs devront être déscolarisés et sans emploi ou exerçant une activité dans le secteur informel.

Au total, 5000 bénéficiaires seront formés en apprentissage des métiers et projets, dont 2000 à Brazzaville et 2000 à Pointe-Noire, 500 à Quesso et 500 à Dolisie. Le Psipj entend également venir en aide à 22 000 ménages vulnérables en leur octroyant des allocations et la seconde phase consiste à former 45 000 jeunes vulnérables.

Pour rappel, le Psipj a été lancé officiellement en juillet 2024, le programme vise à fournir une aide d’urgence aux ménages touchés par la crise sanitaire et économique provoquée par la covid-19 et à accroître l’accès des ménages ainsi que des jeunes pauvres et vulnérables aux filets sociaux dans les zones d’intervention retenues. Il est financé par la Banque mondiale à travers un fonds additionnel de 83,7 milliards F CFA (133 millions de dollars).

Assainissement : le Congo opte pour l’économie circulaire

Le ministre de l’Assainissement urbain, du Développement local et de l’Entretien routier, Juste Désiré Mondelé, a eu le 12 mai à Brazzaville une séance de travail avec la délégation de la Alacrity Corporate solutions PVT.LTD.

 

Le gouvernement mise désormais sur l’économie circulaire. La société indienne Alacrity Corporate solutions PVT.LTD va réaliser les études visant à valoriser les déchets dans les villes de Brazzaville et Pointe-Noire. Le sujet était au centre des échanges entre le ministre Juste Désiré Mondelé et une délégation de la société indienne conduite par son fondateur Pranav Kumar.

En effet, le consortium indien Alacrity Corporate solutions PVT.LTD qui intervient dans la valorisation des déchets, va non seulement réaliser les études, mais aussi accompagner les entreprises locales qui s’intéressent à la transformation des déchets.
Pour le ministre, l’idée est d’aller vers la production de l’électricité, la fabrication des produits manufacturés. Ce sera à base de 1500 tonnes de déchets journaliers que la société Albayrak va collecter dont 1000 à Brazzaville et 500 à Pointe-Noire.

Le patron de la société Alacrity Corporate solutions PVT.LTD, Pranav Kumar, a rassuré la partie congolaise que son entreprise apportera son expertise en ce qui concerne les déchets sont des produits commerciaux et fiables.

Pour rappel, le Congo a signé le 23 avril, un contrat de cinq ans avec la société turque Albayrak Waste Management, dans le cadre de l’exercice du service public de collecte des déchets solides et d’exploitation des services de propreté dans les villes de Brazzaville et Pointe-Noire. Jusqu’ici les argents de la société turque n’ont pas encore été aperçus sur le terrain. Le membre du gouvernement a rappelé que la société turque est en train de s’organiser. Elle travaille actuellement avec les acteurs locaux (les municipalités de Brazzaville et de Pointe-Noire), son démarrage est imminent.

Congo : tête à tête entre Denis Sassou N’Guesso et Umaru Sissoco Embalo

C’est dans la capitale politique du Congo que les présidents de la République du Congo et de la Guinée Bissau ont eu un échange mercredi 30 avril 2025.

 

Les échanges entre Denis Sassou N’Guesso et Umaru Sissoco Embalo ont porté sur la mise en œuvre des accords de coopération signés entre leur pays, lors de la dernière visite du président congolais à en Guinée Bissau.

Les deux chefs d’Etat ont échangé sur les questions de sécurité qui touchent la sous-région. Ils ont profité de l’occasion pour se féliciter l’adoption par les Nations unies de la résolution sur l’afforestation proposée par le président Denis Sassou N’Guesso à la 27e conférence annuelle de cette organisation sur le climat (COP 27) tenue en 2022 à Sharm El-Sheik, en Egypte.

Rappelons que, la Guinée Bissau et le Congo entretiennent d’excellentes relations d’amitié et de coopération. Cette coopération est régie par l’accord-cadre signé en janvier 2022, à Bissau, qui permet aux deux pays de raffermir leurs liens, et a pour vocation de favoriser les accords sectoriels dans plusieurs domaines.

Congo : plusieurs quartiers de Brazzaville n’ont pas d’électricité

Les coupures d’électricité constatée ces trois derniers jours dans certains quartiers nord de la capitale sont les conséquence d’un incendie déclaré dans la nuit du 27 avril au poste de Très haute tension (THT).

 

Nkombo, Massengo, Djiri, Ngamakosso, Jacques Opangault, le marché Talangaï et la commune de Kintélé sont privés d’électricité depuis le 27 avril 2025. . Selon la Société énergie électrique du Congo (E²C), cette situation est causée par l’incendie qui s’est déclaré dans la nuit du 27 avril au poste THT de l’arrondissement 9 de Djiri.

« Suite à un incendie déclaré dans la nuit du 27 avril au poste de THT de Djiri, la direction de l’exploitation Brazzaville-Pool informe son aimable clientèle que des perturbations dans la desserte seront observées…Cependant, des équipes d’intervention de ladite société sont d’ores et déjà à pied d’œuvre pour remédier rapidement à cette situation dans un délai raisonnable », précise le communiqué de la société E²C publié le 28 avril.

La société E²C sollicite l’indulgence des usagers pour le désagrément et les rassurer que la desserte en électricité reprendra son cours normal dès la fin des travaux.

Cette situation vient s’ajouter aux coupures intempestives d’électricité et aux baisses de tension observées depuis quelque temps par les habitants de la capitale du Congo.

Congo : Averda cède la place à Albayrak

La société turque Albayrak va se charger de débarrasser les villes de Brazzaville et Pointe-Noire des ordures.

 

Ce mercredi 23 avril 2025, le gouvernement congolais et la société Albayrak vont signer un contrat de délégation de service public pour la collecte des déchets solides et l’exploitation des services de propreté à Brazzaville et Pointe-Noire.

Le ministre de l’Assainissement urbain, du Développement local et de l’Entretien routier, Juste Désiré Mondelé, et les responsables du consortium spécialisé Albayral Waste Management et Albayrak Turizm Seyahat Insaat Ticaret A.S. ont eu une réunion le 22 avril,  à Brazzaville. Il était question de peaufiner ledit contrat. Les deux parties  ont convenu que les maires de Brazzaville et de Pointe-Noire représenteront les citoyens.

« Nous avons hâte de commencer, cela fait 40 ans que nous travaillons dans ce secteur. Partout nous avons un taux de réussite de 90%, au Congo nous espérons faire un peu plus. La réussite ne dépend pas seulement d’Albayrak, tout le monde doit s’impliquer pour atteindre le but commun. Nous sommes prêts à travailler ensemble, d’accomplir avec responsabilité notre tâche, en espérant que vous en ferez autant pour la réussite du partenariat », a dit le chef de la délégation d’Albayrak.

Ce contrat de délégation de service public sera soumis aux contreseings des ministres de l’Intérieur et de la Décentralisation, des Finances, du Budget et du Portefeuille public

Congo-Secteur forestier : les acteurs sollicitent industries de transformation de bois

Un atelier de réflexion qui s’est tenu mardi 2 avril 2025, à Brazzaville, a réuni les acteurs du secteur forestier.

 

La réflexion a porté sur « La mise en œuvre de l’interdiction nationale d’exportation des grumes : une approche multi-acteurs ».  C’est une initiative du Centre d’action pour le développement. Des organisations de la société civile, des organisations patronales, des partenaires techniques et financiers puis des ministères et autres administrations clés étaient réunis autour d’une table pour échanger.

Les échanges ont portés sur des sujets tels que l’afforestation et l’industrialisation du secteur forestier, les retombées positives de l’application formelle de la loi n°16-2000 du 20 novembre 2000 puis du nouveau code forestier de 2020 qui interdisent l’exportation du bois en grume et obligent leur transformation locale; le partage des mises à jour et informations crédibles nécessaires pour identifier les obstacles à l’effectivité de la loi et autres stratégies concernant son exécution.

Plusieurs autres recommandations ont été faites à l’endroit de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac), du gouvernement congolais, de la société civile ainsi que des autorités décentralisées. Entre autres recommandations, de renforcer le suivi de l’application en mettant en place un comité interministériel ; d’augmenter la capacité énergétique de la zone économique de Pointe-Noire pour soutenir l’industrialisation ; de mettre en place un groupe de suivi, d’évaluation et de pression pour garantir l’application des mesures.

L’atelier a permis aux participants d’identifier les obstacles puis de mettre en place des solides propositions en termes d’action et mécanisme devant accompagner l’effectivité de l’interdiction d’exportation de grumes du pays.

Congo : une société turque prête à assurer la gestion des ordures ménagères

Les négociations entre le Congo et ladite entreprise est en cours pour mieux définir les termes du contrat sur le ramassage et le traitement des ordures à Brazzaville et Pointe-Noire.

 

« La société manifeste la volonté de démarrer les activités le plus vite possible », a précisé l’ambassadeur de Turquie au Congo, Hilmi Ege Türemen. Cette déclaration du diplomate turque a été faite à l’issue de son audience avec le ministre des Finances, du Budget et du Portefeuille public, Christian Yoka, mercredi 19 mars à Brazzaville.

La signature du contrat entre les deux parties va contribuer à la préservation de l’environnement et l’amélioration du cadre de vie des populations de Brazzaville et Pointe-Noire.

Rappelons que le contrat relatif à la délégation des services de collecte des déchets et d’exploitation des services de propreté de Brazzaville et Pointe-Noire, signé le 1er juillet 2015 entre la Société Congo environnemental service (Averda) et le gouvernement pour faire face à la forte production des déchets, a expiré le 13 avril 2023.

A cause des arriérés causé par le non-paiement de leur salaire, le personnel de la société Averda avait observé un mouvement de grève prolongé. Une situation qui a entraîné le blocage du mécanisme de collecte des ordures avec pour conséquence l’accumulation des déchets et l’inconfort des citoyens dans les deux capitales.

 

 

Congo-Fitaas : la huitième édition se tiendra le 25 mars

Le Festival international du théâtre et autres arts de la scène (Fitaas) sera organisé dans les villes de Brazzaville, Dolisie et Pointe-Noire.

 

La huitième édition se tiendra du 25 au 30 mars à Brazzaville, Dolisie et Pointe-Noire. Le thème de cette édition est « Femme et Homme : égalité et équilibre ». L’évènement est organisé par le Centre de la République du Congo de l’Institut international du théâtre.

Le Fitaas a pour objectifs d’œuvrer pour l’émergence et la promotion des talents littéraires et statistiques ; de faire du Congo un point de mire du théâtre mondial ; et de créer une passerelle culturelle entre le Congo et d’autres pays de la planète.

A Brazzaville, c’est le Cercle culturel Sony-Labou-Tansi qui abritera le festival. L’espace culturel Yaro et le Musée cercle africain de Pointe-Noire serviront de cadre au Fitaas, et enfin à la Gare routière de Dolisie.

Spectacles de théâtre, danse, musique, conte, slam, stand up, conférence, table ronde, masterclass d’écriture dramatique, exposition, présentation et dédicace de livres, visite touristique et autres meubleront le festival.

Congo : la BAD fait un don de 1,5 millions de dollars pour financer le secteur énergétique

La Banque africaine de Développement et le gouvernement congolais ont signé deux accords de don d’un montant de 1,5 million de dollars.

Les deux parties ont signé les documents le 26 février 2025 à Brazzaville. Le directeur général par intérim du groupe de la Banque pour la région Afrique centrale, Solomane Koné, et le ministre de l’Economie, du Plan et de l’Intégration régionale, gouverneur de la Banque pour le Congo, ont paraphé les accords pour le compte de leurs institutions respectives.

Le premier don, d’un montant de 585.000 dollars, émane du Fonds d’assistance technique pour les pays à revenu intermédiaire. Cette enveloppe va financer les études d’aménagement pour des barrages hydroélectriques sur les sites de Mbana Ndounga au sud du pays et de Linzolo à une vingtaine de kilomètres de Brazzaville.

Le second don s’élève à 995 000 dollars. L’enveloppe provient du Fond fiduciaire de coopération économique Corée-Afrique (KOAFEC). Il est destiné à financer les études de faisabilité et de conception des lignes de transmission entre Pointe-Noire et Brazzaville, et entre Loudima et Djambala.

Les différents dons vont contribuer à mettre sur pied des projets visant à renforcer la capacité de production de l’électricité et à promouvoir l’autosuffisance énergétique du Congo.

Congo : 2% de projets liés à la santé ont été réalisés entre 2020 et 2023

C’est ce qui ressort d’une étude menée par l’organisation non gouvernementale congolaise « Publiez ce que vous payez ».

 

L’ONG congolaise Publiez ce que vous payez vient de rendre public les résultats d’une étude qu’elle a menée. Selon cette étude, entre 2020 et 2023, sur 160 milliards de FCFA mis à disposition en vue de mener des projets destinés à améliorer le taux d’accès à la santé, seulement 2% ont été réalisés.

Parmi les projets qui n’ont pas été exécutés, figure par exemple la mise à niveau de la station d’épuration du CHU de Brazzaville. Publiez ce que vous payez a dénoncé une faible exécution des projets

Pour conduire son étude, l’ONG congolaise, qui était à son huitième exercice du genre, a déployé près de 80 agents dans sept départements du pays pour recueillir les données sur 55 projets, tous essentiellement dans le domaine de la santé.

Congo : ouverture d’une conférence sur l’assainissement urbain

Les acteurs doivent mettre en place des mécanismes pour assurer une collecte et gestion durable des ordures qui jonchent les rues des principales villes.

 

La conférence sur l’assainissement urbain s’est ouverte, ce lundi 3 février, à Brazzaville. Il est question « d’envisager une transformation profonde et structurée de l’approche de gestion des déchets en y intégrant les réalités locales ainsi que les exigences des objectifs de développement durable », à en croire Juste Désiré Mondélé, ministre de l’Assainissement urbain, du Développement local et de l’Entretien routier.

Les participants à cette conférence vont proposer une feuille de route qui prévoit, entre autres, la mise en œuvre d’une économie circulaire à travers la transformation et la valorisation des déchets ; la construction des centres de tri et de recyclage ; l’amélioration des voiries ; la promotion des technologies comme la bio-méthanisation et la pyrolyse des déchets plastiques.

Il est important de noter que Les deux principales villes du pays, Brazzaville et Pointe-Noire, font actuellement face à une importante crise de collecte des ordures ménagères. La crise des ordures qui s’est déclenchée depuis la fermeture en septembre dernier de la société Averda. L’entrepreneur turc qui devrait remplacer Averda n’a toujours pas totalement posé ses valises.

Selon le Premier ministre, les projets d’assainissement à réaliser avec l’appui de l’Agence française de développement concernant les villes de Pointe-Noire et de Brazzaville vont démarrer sous peu.

Congo : une conférence pour amélioration du cadre de vie dans les grandes villes

Le palais de Brazzaville servira de cadre lundi 03 février à la conférence sur les enjeux et les défis de l’assainissement urbain.

 

Améliorer le cadre de vie des populations dans les grandes villes. C’est l’objectif visé par la conférence sur les enjeux et les défis de l’assainissement urbain. La rencontre est organisée par le 3 février au palais de Brazzaville, par le ministère de l’Assainissement urbain, du Développement local et de l’Entretien routier.

La conférence va réunir toutes les parties prenantes, notamment les ONG, les chefs de quartiers, les administrateurs maires, les partenaires au développement, bilatéraux, multilatéraux. Selon le ministre de tutelle Juste Désiré Mondelé, ce sera un moment d’échange.

« Nous allons nous retrouver en une journée le 3 février pour parler non seulement de comment collecter ou enlever les déchets, mais aussi du mécanisme, du processus de toute la chaîne des déchets, à savoir du ramassage jusqu’à la transformation, à la valeur ajoutée à donner aux déchets. Tout en sachant que les déchets sont une matière, un produit qui peut permettre à ce qu’il y ait des jeunes entrepreneurs, des start-up qui peuvent aussi intervenir dans l’assainissement », a expliqué le ministre de l’Assainissement urbain, du Développement local et de l’Entretien routier dans un extrait tiré d’une publication de adiac-congo.com.

Après cette conférence, le ministère va établir un calendrier devant lui permettre d’aller sur le terrain. Juste Désiré Mondelé a également évoqué la possibilité d’instaurer des journées d’assainissement pour inciter les populations dans les quartiers.

Congo : le forum des entrepreneurs francophones se tiendra du 26 au 28 juin

L’objectif de cette rencontre est de promouvoir une économie dynamique et prospère au sein des pays membres de l’Alliance du patronat francophone (APF).

 

Le ministre chargé du Développement industriel, Antoine Nicéphore Fylla Saint Eudes s’est entretenu mardi 28 janvier à Brazzaville, avec une délégation de l’APF et le président du conseil d’administration de l’Union patronale et interprofessionnelle du Congo (Unicongo), Michel Djombo. Les échangent ont porté sur les préparatifs du forum international des entrepreneurs francophones qui se tiendra du 26 au 28 juin dans la capitale congolaise, sous l’égide d’Unicongo.

Cette conférence annuelle a pour objectif de promouvoir une économie dynamique et prospère au sein des pays membres de l’APF. Ce sont les acteurs du secteur privé du patronat francophone qui couvre 35 pays d’Afrique, de l’Europe francophone, du Canada et certains pays d’Asie qui prendront part aux activités.

Plusieurs thématiques seront développées lors de ce forum, dont le thème principal portera sur « L’intégration régionale au sein des pays francophones ». Les acteurs économiques évoqueront aussi la problématique du financement des infrastructures, la collaboration entre les entreprises, le développement des accords entre les entreprises ainsi que la promotion des relations commerciales dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine. C’est du moins ce qu’a indiqué Michel Djombo, président du conseil d’administration d’Unicongo.

Congo : des coupures d’électricité persistent à Brazzaville et Pointe-Noire

La société nationale annonce une révision « générale » de l’une des trois turbines de la centrale électrique basée à Pointe-Noire.

 

Les villes de Brazzaville et de Pointe-Noire sont confrontées à des coupures intempestives d’électricités. Celles-ci vont se poursuivent jusqu’au 02mars 2025 prochain. La société énergie électrique du Congo qui annonce une révision « générale » de l’une des trois turbines de la centrale électrique basée à Pointe-Noire.

Les perturbations constatées ces jours-ci vont durer une quarantaine de jours, le temps de faire une révision générale de l’une des trois turbines de la centrale électrique du Congo de 150 MW, qui a largement dépassé les heures de fonctionnement prévues. C’est du moins ce qu’a expliqué une source de à la société énergie électrique du Congo.

Congo : Corsair va ouvrir une nouvelle ligne à destination de Brazzaville

Une décision qui intervient au moment ou la compagnie aérienne entend se recentrer sur ses principales destinations dont l’Afrique.

 

La compagnie aérienne Corsair va ouvrir une nouvelle ligne à destination de Brazzaville en République du Congo, d’ici la fin du premier semestre. D’après ses dirigeants, la décision qui va être mise en place d’ici à juin fait suite à un changement de stratégie ayant pour base la rentabilité et l’optimisation de son réseau.

En décembre 2023, la compagnie aérienne française de longs courriers avait estimé le prix des billets à partir de 460 000 F CFA pour les vols Brazzaville-Paris, contre les 850 000 FCFA minimum qu’offre Air France.

Notons que cette information intervient après plusieurs mois de rumeurs autour d’une éventuelle entrée de la République du Congo dans le capital de Corsair, à travers une participation estimée à 9,8 milliards F CFA

Créée en 1981, Corsair dispose d’une flotte composée uniquement d’appareils long-courrier. Pendant les périodes d’affluence, la compagnie fait souvent appel à l’espagnole Wamos Air, en lui louant un avion.

Congo : le gaz butane est rare introuvable à Brazzaville

Les ménagères et autres consommateurs parcourent parfois de longues distances sans trouver le précieux sésame.

 

Plusieurs points de vente de gaz butane sont fermés dans la capitale congolaise. Dans des brouettes, les pousses-pousses, sur les motos ou encore dans les taxis, des consommateurs parent de longues distances en espérant s’en procurer. Malgré tous ces efforts il est difficile de trouver du gaz butane.

Selon lesechos-congobrazza.com, l’entrepôt de la société de distribution dénommée Faaki à Makélékélé a baissé son rideau depuis deux jours. La rareté serait due à un problème d’approvisionnement. Aucune source officielle n’a communiqué sur cette pénurie.

Les consommateurs ont recours au bois de chauffe et au charbon de bois pour la cuisson. Ils attendent tout de même que les autorités trouvent une solution à cette situation.

Congo : le CEIF se tiendra au mois de mars à Brazzaville

Le Forum économique et d’investissement du Congo (CEIF) réunira des investisseurs internationaux et des acteurs locaux.

 

La capitale congolaise Brazzaville abritera les 25 et 26 mars 2025, le CEIF. Le groupe panafricain de conseil juridique et commercial CLG a été désigné partenaire juridique officiel de ce rendez-vous économique. Le directeur général de CLG Congo, Yves Ollivier, interviendra en tant qu’orateur pour partager son expertise sur le secteur énergétique congolais.

« Notre stratégie en Afrique a consisté à développer notre offre au Congo en tant que plaque tournante pour la CEMAC, en complément de notre croissance continue en Afrique. Renforcer les capacités et encourager le contenu local est la clé de notre travail au Congo », a déclaré Yves Ollivier

Ce sont des investisseurs internationaux et des acteurs locaux qui se réuniront pour explorer les opportunités nationales et régionales dans les domaines de l’énergie et des infrastructures. Il sera question de mettre en lumière les projets de transformation du gaz en électricité et fournira des mises à jour sur les expansions en cours dans le pays.

Le cabinet CLG représente des entreprises pétrolières et gazières dans 16 pays africains.

Congo : plus 1500 vendeuses bénéficient d’un financement

C’était en faveur d’une campagne de financement des activités lancé mardi 31 décembre dernier par la Génération auto-entrepreneuriat (GAE).

 

Ce sont 1500 femmes qui vendent dans les marchés domaniaux de Brazzaville qui ont reçu des financements de la GAE. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Matissa affaires », « Booste ton business ».

Digne Elvis Tsalissan Okombi qui est le coordonnateur général de cette association, a remis des chèques de 100 000 FCFA à un échantillon de deux cents vendeuses issues des neuf arrondissements de Brazzaville.

Pour Digne Elvis Tsalissan Okombi, le montant de 100 000 FCFA octroyé à chacune de ces femmes à la veille de la fête du nouvel an va aider ces femmes à développer les petits commerces. Il a également invité les autres bienfaiteurs soutenir les activités génératrices de revenus des vendeuses

Congo : Brazzaville et Shao Yang signe un accord de partenariat

L’accord a été paraphé par le président du Conseil départemental et municipal, Dieudonné Bantsimba, et Riping Ouyang, conseiller principal du gouvernement populaire municipal de Shao Yang.

 

Le partenariat signé dimanche 29 décembre entre les villes de Brazzaville et Shao Yang, s’inscrit dans le cadre de la coopération décentralisée entre les deux villes et porte essentiellement sur l’ingénierie municipale. Il est question de développer des projets d’intérêt public et renforcer l’assainissement dans la ville.

La mise en œuvre des projets qui sont en cours d’indentification se fera par Omex, une société partenaire de la ville Shao Yang, spécialisée dans la construction et le développement des infrastructures urbaines.

« En signant ce protocole d’accord qui sera suivi d’effets escomptés, nous ne saurons que renforcer la coopération sino-congolaise pour le bien de nos populations et la transformation de notre ville. Notre ville de Brazzaville doit se mettre en branle pour rechercher les financements et Shao Yang, pour sa part, doit sélectionner les entreprises pour que tous ces travaux puissent démarrer au plus vite », a indiqué le président du Conseil départemental et municipal.

Congo : les forages industriels de la patte d’oie viennent résoudre la pénurie d’eau

Ces forages ont été inaugurés mercredi 4 décembre, à Brazzaville par le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso.

 

Les forages industriels de la patte d’oie ont été inaugurés mercredi 4 décembre à Brazzaville par le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso. Ces forages vont permettre de desservir en eau potable les abonnées de La congolaise des eaux (LCDE) du quartier Plateau des 15 ans et ses environs.

D’une capacité de  quatre réservoirs de 20 m3  soit une capacité de stockage de 80 m3, chaque  réservoir est doté de  sondes de niveau haut et de niveau bas ; deux pompes de surpression de 20 m3 par heure chacun avec une pompe  de secours ; quatre pompes doseuses pour injecter les produits de traitement, un système de comptage d’eau brute et d’eau traitée ; une ligne électrique équipée d’un régulateur de tension ; un générateur diesel de secours d’une capacité de 66 kva pour garantir la continuité de service.

D’une capacité de  quatre réservoirs de 20 m3  soit une capacité de stockage de 80 m3, chaque  réservoir est doté de  sondes de niveau haut et de niveau bas ; deux pompes de surpression de 20 m3 par heure chacun avec une pompe  de secours ; quatre pompes doseuses pour injecter les produits de traitement, un système de comptage d’eau brute et d’eau traitée ; une ligne électrique équipée d’un régulateur de tension ; un générateur diesel de secours d’une capacité de 66 kva pour garantir la continuité de service.

Il y a également des tableaux de commandes électrique automatique ; un système de supervision et de télésurveillance permettant d’exporter les données d’exploitation ( volume d’eau produit et émis au réseau , niveau des réservoirs) vers le poste central de télégestion pour un suivi en temps réel ; une rampe d’alimentation des camions citernes avec une pompe dédiée par le biais d’un tuyau de 20 mètres  de longueur ; un derick muni d’un palan électrique d’une tonne et demie pour chaque forage en vue de faciliter les opérations de maintenance  et  d’entretien.

La quantité d’eau produite est susceptible de satisfaire aux besoins quotidiens d’une population d’environ 13 000 habitants sur la base d’une consommation spécifique moyenne de 75 litres jour et par habitant. C’est du moins ce que pense le Directeur général de LCDE, Parfait Chisostome Makita.

Congo : une campagne de consultation gratuite lancée à Bacongo

Les populations du deuxième arrondissement de Brazzaville, ont jusque au 7 décembre prochain, pour se faire consulter du diabète, l’hypertension artérielle, le VIH/sida et le cancer de la prostate.

 

Une campagne de sensibilisation et de dépistage gratuit contre le diabète, l’hypertension artérielle, le VIH/sida et le cancer de la prostate est organisée à Bacongo, deuxième arrondissement de Brazzaville. C’est une initiative de la Maison médicale Swalou Diagnostics. Lancée le mercredi 27 novembre dernier, la compagne va s’étendre jusqu’au 07 décembre 2024.

C’est la 5e campagne de consultations gratuites lancée par la clinique Swalou Diagnostics depuis sa création en 2020. Elle offre plusieurs services dans diverses spécialités. Notamment, la neurologie, la rhumatologie, la diabétologie, la gynécologie obstétrique, la pneumologie, la pédiatrie, la cardiologie et la prise en charge des patients vivant avec le VIH.

« Cette année, nous avons voulu saisir le mois de novembre bleu dédié au cancer de la prostate en intégrant le dépistage du VIH, puisque le mois de décembre est consacré à cette affection. C’est pourquoi nous avons organisé notre campagne de sensibilisation et de dépistage du 27 novembre au 7 décembre », a déclaré la promotrice de la clinique médicale, Dr Simone Loubienga.

Bon à savoir, avant le lancement de ladite campagne une journée portes ouvertes avait été organisée au sein de cette clinique.

Congo : l’Aconoq tient un séminaire sur « la maintenance » à Brazzaville

Organise, les 25 et 26 novembre par l’Agence congolaise de normalisation et de qualité (Aconoq) en collaboration avec la société MCV Services.

 

Placé sous le thème « La maintenance : levier incontournable pour une production de qualité », ce séminaire a pour but de mettre en lumière l’importance stratégique de la maintenance. Les séances de travail ont permis entre autres de promouvoir les métiers de la maintenance ; promouvoir la maintenance comme processus dans l’industrie et le tertiaire ; renforcer les compétences des responsables de maintenance ainsi que la position et la posture des responsables de maintenance au sein des organisations.

Pour le directeur de cabinet du ministre du Développement industriel et la Promotion du secteur privé, Émile Pascal Blaise Opangault, que ce séminaire arrive à point nommé. Selon lui, la maintenance permet non seulement de prévenir les pannes mais aussi optimiser les performances des équipements ainsi que de garantir la continuité de la production et assurer la sécurité des travailleurs.

La rencontre a permis de susciter l’idée d’un réseau des mainteneurs congolais mais aussi celle de l’adhésion à la formation certifiante Responsables de la maintenance.

L’Aconoq est un établissement public à caractère administratif et technique doté de personnalité morale et d’autonomie financière qui a été créé en 2015. Sa mission est d’assurer les activités de normalisation, de métrologie, de certification et de promotion de la qualité dans tous les secteurs socio-économiques.