Congo : Dolisie déclaré ville en épidémie

La shigellose dite maladie des mains sales s’est déclarée le 11 juillet à Dolisie, dans le département du Niari, causant une dizaine de morts.

 

Le gouvernement a déclaré Dolisie en état d’épidémie lundi 17 juillet 2023. Ceci fait suite à l’apparition d’une maladie qui a déjà fait 12 morts. Chef-lieu du département congolais de Niari, Dolisie est en épidémie de choléra, de shigellose et de fièvre typhoïde. Le gouvernement n’a pas précisé la maladie à l’origine de cette épidémie.

Selon un communiqué du ministère de la santé, à ce jour 1.365 cas suspects, dont 12 décès ont été enregistrés. Les résultats d’analyse de laboratoire sur cette maladie, dont les principaux symptômes sont la fièvre de 39 C à 40 C, les céphalées, les douleurs abdominales, la diarrhée, les vomissements et la fatigue générale, ont mis en évidence trois types de bactéries, à savoir le choléra, la shigellose et la fièvre typhoïde, explique le communiqué.

Jusqu’ici, 16 cas suspects, dont deux décès ont été rapportés à Pointe-Noire, capitale économique, alors qu’un cas probable décédé a été signalé à Brazzaville, la capitale congolaise.

Deux autres cas suspects ont été enregistrés à Mouyondzi, dans le département de la Bouenza, toujours selon la même source, précisant que les échantillons de cas suspects de Pointe-Noire et de Mouyondzi « sont en cours d’acheminement » au Laboratoire national de santé publique de Brazzaville pour analyse.

Face à cette situation survenue en période de vacances scolaires « où la mobilité des personnes est très importante », les départements non encore en épidémie devraient « se mettre en alerte », a exhorté le gouvernement, appelant sa population à observer les mesures sanitaires préventives.

Congo : un mort dans un accident de la circulation à Dolisie

Un bus de la société Océan du nord, en provenance de Brazzaville pour Pointe-Noire, s’est renversé le 12 janvier 2022.

 

Un accident de de la circulation s’est produit mardi 12 janvier 2022.Un bus de la société Océan du nord, en provenance de Brazzaville pour Pointe-Noire, s’est renversé le 12 janvier, dans le cours de 11 heures, à environ 10 Km de Dolisie, dans le département du Niari. Le chauffeur qui tentait de faire un dépassement sous une pluie battante n’a pas pu se frayer un passage entre un gros véhicule en stationnement et un taxi.

Le bilan provisoire fait état de deux morts et de plusieurs blessés graves. La vidéo de l’accident postée sur les réseaux sociaux montre des personnes immorales qui se précipitent sur les colis placés dans les coffres à bagages au lieu de secourir les accidentés.

Congo : deux présumés trafiquants de mandrill devant la justice

Les deux présumés délinquants fauniques, interpellés le 19 mars dernier à Dolisie, détenaient de manière illégale un jeune mandrill, animal intégralement protégé par la loi au Congo.

 

Le tribunal de grande instance de la ville de Dolisie aura à la barre, ce 22 octobre, deux présumés trafiquants d’un bébé mandrill vivant, interpellés par les services de lutte contre le trafic illicite d’espèces protégées.

Les deux présumés délinquants fauniques, interpellés le 19 mars dernier à Dolisie, chef-lieu du département du Niari, détenaient de manière illégale un jeune mandrill, animal intégralement protégé par la loi au Congo. Ils l’avaient transporté de la ville de Mossendjo à Dolisie dans des conditions inadéquates, dans le but de le vendre.

Conformément à la loi, les deux présumés trafiquants sont passibles de peines allant jusqu’à cinq ans d’emprisonnement ferme et d’une amende dont le montant peut s’élever jusqu’à cinq millions de FCFA.

Le mandrill est classé parmi les espèces animaliers vulnérables par l’Union internationale de la conservation de la nature et figure dans l’annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction, c’est-à-dire dans la catégorie la plus menacée de disparition.

Plus rare dans les massifs forestiers de la République du Congo, le mandrill est une espèce de primates que l’on trouve dans le sud du Cameroun, au Gabon et en Guinée équatoriale. Après sa saisie, le jeune mandrill avait été confié à une équipe de l’Institut Jane Goodall pour recevoir les soins appropriés avant d’être relâché dans son habitat naturel.

Signalons que l’interpellation de ces deux contrevenants avait été faite par les agents de la direction départementale de l’Economie forestière, en collaboration avec ceux de la gendarmerie, avec le concours technique de ceux du Projet d’appui à l’application de la loi sur la faune sauvage.

Riapl 2021 : la 15ème édition se tiendra à Dolisie et Brazzaville

Les villes de Dolisie et Brazzaville abriteront le festival international des Rencontres itinérantes des arts de la parole et du langage (Riapl).

 

Placé sous le thème : « Culturel et environnement », la quinzième édition du festival international des (Riapl) se tiendra, le 14 juin, à Dolisie, dans le département du Niari, et du 16 au 17 juin à Brazzaville. Le festival a pour objectif majeur de permettre aux artistes d’être plus proches de la population et réciproquement à la population de se donner rendez- vous avec sa culture et celle des autres.

L’ouverture de l’édition spéciale aura lieu, le 14 juin, à Dolisie, au cours de laquelle, une soirée conte est prévue, c’est une nuit de partage avec les conteurs de Dolisie, de Brazzaville et la conteuse de la Côte d’Ivoire. Outre le conte, il y a aura  une déambulation  de la marionnette géante par le collectif  Balabal’art.                                                                                                                                                                                                                                                                                 A Brazzaville, l’évènement se tiendra pendant deux jours, le 16 et 17 juin à l’Institut français du Congo. Les contes « Ntsièto a de la fièvre » et « La poignée de poussière », respectivement mise en scène par le conteur congolais Julles Ferry Quevin Moussoki Mitchum, directeur artistique dudit festival et par la conteuse ivoirienne Rebecca Kompaore seront joués le 16 juin à 9 heures et à 15heures à l’IFC.

Julles Ferry Quevin Moussoki relatera l’histoire d’un jeune voyageur, Kasimodo, qui souhaite reconquérir le monde, celui que son grand père lui racontait. Partout où il passe le constat est désolant. Il rencontre des arbres qui se plaignent des hommes qui ne cessent de les détruire, les poissons qui lui disent s’étouffer dans les océans par tout ce que les humains y jettent, …

Tandis que Rebecca Kompaore parlera d’un homme vantard et riche qui a jeté l’argent par la fenêtre et qui se met tous les matins devant la porte de sa maison pour admirer tous ceux qui passent, parmi les passants, il y a un pauvre homme à qui il dit de passer chaque matin chez lui pour lui demander de l’argent nécessaire aux dépenses de sa famille…

Le spectacle « Sandra », mis en scène par Abdon Fortuné Koumbha, est une restitution en cours de création dont la moitié sera dévoilée au public,  le 17 juin à 15 heures à l’IFC.  Il s’agit, en effet, de Kameni, un malade mythique qui passe ses journées à écrire dans des cahiers, c’est son seul moyen d’expression. Quand il entend le docteur Denis Mukwenge recevant le Prix Nobel de la paix parler de Sandra, Kameni sort soudain de son silence. Lui qui est enragé reconnait Sandra et commence un dialogue étrange.

Rappelons que les Riapl sont un biennal qui se tient en juin, c’est un rendez-vous d’échanges et de partage.

Dolisie : le gouvernement interdit la vente de la viande de brousse

Le Préfet du Niari (Sud), Baron Frédéric Bouzock est descendu sur le terrain pour s’assurer de l’effectivité de la mesure sur le terrain.

Les vendeurs de gibiers dans le département du Niari ont eu trois jours pour vider le marché central. C’est l’ultimatum que leurs a donné le préfet du Niari, Baron Frédéric Bouzock. Il a effectué une descente au marché central de Dolisie, accompagné des autorités de la force publique et des agents de la direction départementale de l’économie forestière du Nairi, pour faire respecter la décision du gouvernement sur la période de fermeture de la chasse sportive auprès des vendeurs des gibiers.

En République du Congo, toute activité de chasse, capture, transport et commercialisation des produits de la chasse sont temporairement arrêtés sur l’ensemble du territoire national, pendant la période allant du 1er novembre 2020 au 30 avril 2021.

L’objectif de la fermeture temporaire résulte de la volonté du gouvernement congolais en tant que garant de la gestion de la biodiversité, de permettre aux espèces fauniques du pays de se reproduire en vue de diminuer les risques de disparition de certaines espèces animales.

Notons que le Congo et le reste de la sous-région Afrique centrale connaissent ces derniers temps la recrudescence du phénomène de braconnage des espèces protégées. Les auteurs de ces actes sont des bandes armées bien organisées et entretenues par des réseaux mafieux internationaux de trafic illicite des produits de la faune sauvage.

Dolisie : un mort dans un accident de la circulation

Le drame s’est produit tôt lundi 17 juin, entre le rond-point de la Justice et le lycée Victor Sathoud à Dolisie dans le Niari (sud).

Geroman Matoumona-Moussounda, 26 ans, est mort après avoir été percuté par un véhicule de marque Toyota Hilux immatriculé sous le N° 770 LD 6, conduit par BA-Aliou. Le conducteur de la Toyota en traversant le terre-plein a heurté la victime.

Les secours sont arrivés sur le lieu mais n’ont hélas rien pu faire pour le ranimer Geroman.

La police a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de l’accident.

Dolisie : un faux recruteur arrêté par la police

Le nommé Elenga-Mawa Xavier, 47 ans a été arrêté par la police parce qu’il se faisait passer pour un faux argent de l’Organisation mondiale de la santé.

Le 31 Mars 2019, les services de police de Dolisie ont interpellé le nommé Elenga-Mawa Xavier, pour usurpation de titre d’agent de l’OMS. Moyennant argent, l’homme effectuait depuis Dolisie, de faux recrutements pour l’Organisation Mondiale de la Santé à Brazzaville.

À l’état-civil, il est Elenga-Mawa Xavier, 47 ans. Dans l’exercice de son « métier », il se faisait appeler « Grand OMS », un sobriquet que ses victimes chuchotaient plus, qu’elles ne le prononçaient à haute voix, tant la discrétion était recommandée par cet homme qui assumait son rôle à la perfection au point que celui-ci avait fini par lui coller à la peau.

Prestance, démarche aux pas calculés, allure altière, voix fluette d’une personne cultivée qui fait l’économie des mots et que l’on aborde en toute retenue; une somptueuse carte de visite, pour ce qu’il représentait au sein de l’institution internationale.

Elenga-Mawa Xavier allias « Grand OMS » est en fait un escroc, de l’acabit de ceux qui sous des apparences de grand clerc, détroussent habilement des personnes en manque de repère professionnel, auprès desquelles ils passent pour être la solution.

Sa solution à lui, Elenga-Mawa, flanqué du titre de ‘’délégué du directeur régional de l’OMS’’ consistait au ‘’recrutement des ouvriers qui serviront à la cité de l’OMS à Brazzaville’’.

Dans le quartier Tsila où il opérait, l’embauche se faisait naturellement moyennant la somme de 100.000frs cfa par individu. Cet argent versé au comptant, en espèces soyeuses, donc des billets, vous propulsait à l’OMS et faisait de vous un ouvrier international. Quelle aubaine ?

Et dans Dolisie, les victimes fascinées et convaincues d’avoir décroché l’emploi de leur vie, assuraient elles-mêmes en toute naïveté la publicité qui a rallongé la liste des personnes escroquées.

Sauf que jamais, personne n’est parti rejoindre son poste à Brazzaville et les jours passant, Xavier Elenga-Mawa proférait des menaces à ceux qui commençaient à flairer le pot-aux-roses et promettaient de le dénoncer, assurant qu’il était ‘’couvert par des personnes haut placées’’. Une couverture dont s’est passée la police qui a procédé à son interpellation, depuis le 31mars.

Depuis lors, ses victimes qui se comptent par dizaines, se demandent si elles reverront la couleur de leur argent. Le montant des sommes escroquées se chiffrerait à plusieurs millions de Francs cfa. Certaines des personnes dupées n’ont pas osé se présenter à la police.

Congo: la route Londéla-Kayes enclavée

Impossible pour les habitants de cette localité d’écouler leur production agricole, de s’approvisionner en denrées de première nécessité à Dolisie ou d’évacuer un malade en urgence.

Cela fait « dix (10) ans » que les populations de Londéla-Kayes lancent des cris de détresse aux autorités congolaises dans l’espoir que l’état de leur route principale soit revu.

Pour ces populations, se rendre à Dolisie ou y acheminer leur production vivrière et en rapporter l’essentiel de ce qui sied à leurs besoins vitaux, relève d’un parcours de combattant.

La route, seul moyen de déplacement n’est en réalité qu’un tracé sans commodités de roulement. L’emprunter est d’une véritable odyssée, tant les péripéties relèvent des films d’aventures depuis, rangés aux oubliettes. Les risques d’accidents sont permanents et la saison des pluies rend les conditions de plus en plus difficiles. Pourtant, il faut partir. Il faut oser. La survie est à ce prix.

Inscrit dans un budget CEMAC depuis longtemps, la réhabilitation de la route Kimongo-Dolisie-Londéla-Kayes sera d’un grand soulagement pour ces populations.

Athlétisme : vingt-quatre entraîneurs en recyclage à Dolisie

Pendant douze jours, ces entraîneurs venus de Pointe-Noire, de Brazzaville, de Dolisie, du Pool, du Kouilou, de la Bouenza et de la Lekoumou vont  échanger leurs expériences.

Depuis le 15 mars dernier, la Fédération congolaise d’athlétisme organise depuis le 15 mars, au stade Sayal-Moukila de Dolisie, un stage de certification des entraîneurs niveau1.

Ils sont venus de Pointe-Noire, de Brazzaville, de Dolisie, du Pool, du Kouilou, de la Bouenza et de la Lekoumou pour prendre part à cette formation. Ce sera aussi l’occasion pour eux d’échanger leurs expériences avec deux experts de l’Association  internationale des  fédérations d’athlétisme ( IAAF).

Pendant douze jours, ces vingt-quatre participants seront encadrés par le Congolais, Armand Biniakounou, et le Camerounais, Robert Tchonang, tous deux experts de l’IAAF. Ils ont été invités par le président de la Fédération congolaise d’athlétisme.

Urgent : magistrat Arthur Ibala a été sauvagement agressé dans un Night-club à Dolisie

Arthur Ibala, magistrat du Tribunal de Grande Instance de Dolisie dans le Niari (sud) a été agressé sauvagement au Night-club « Ndolo » aux environs de 3 heures du matin par des hommes non identifiés.

La victime a été transportée consciente au centre hospitalier de Dolisie. Une source sur place informe que  ses jours ne sont pas en danger. Les agresseurs sont activement recherchés. Nos confrères des échos du Congo Brazzaville que la police judiciaire de Dolisie a été saisie de l’affaire.

Dolisie : le train minéralier de la société Sapro immobilisé depuis trois jours

Les travailleurs de la société minière Sapro et leur syndicat exigent le paiement intégral des arriérés de salaire.

Le train minéralier de la société Sapro en provenance de Mayoko dans le Niari (sud), est immobilisé à la gare de Dolisie depuis trois (03) jours par manque de carburant.

Selon une source digne de foi, la société Sapro est redevable également au Chemin de Fer Congo Océan (CFCO).

Une situation qui intervient au moment où les travailleurs de la société minière Sapro ont à nouveau organisé une série de grèves et de manifestations dans la ville de Mayoko, après plus de trois mois sans avoir touché leurs salaires.

Les travailleurs de la société minière Sapro et leur syndicat exigent le paiement intégral des arriérés de salaire. Actuellement, l’entreprise fait face à d’énormes difficultés en termes de mobilisation des ressources.

 

Congo : un trafiquant de drogue congolais abattu par les gendarmes gabonais

L’opération menée par les éléments de la gendarmerie gabonaise s’est déroulé samedi dernier à Nyanga dans le Niari (sud). Le trafiquant qui était spécialisé dans le trafic du chanvre indien a été abattu.

Les forces de l’ordre de la gendarmerie gabonaise sont entrés en territoire congolais au village Ngongo, près de Nyanga dans le Niari (sud) afin de mettre la main sur François Bounzana. Ce congolais de 30 ans habitant la ville de Mouila en République gabonaise était poursuivi pour trafic de drogue, il détenait une quantité très importante du chanvre indien.

Selon les gendarmes qui ont mené l’assaut, l’infortuné en dépit de plusieurs sommations a tenté de fuir et a réussi à traverser la frontière gabonaise pour se retrouver sur le territoire congolais. Une attitude qui a contraint les gendarmes a entré sur le territoire congolais et a abattre le jeune trafiquant.

La dépouille a été déposée à la morgue municipale de Dolisie pour besoin d’autopsie, l’enquête ouverte sur la supervision du parquet est en cours.

 

 

Congo : hausse du prix du pain à Dolisie, le préfet frappe du point sur la table

Le préfet du département du Niari a reçu dans son cabinet, le collectif des propriétaires des boulangeries pour voir plus claire dans cette situation qui révolte les populations.

Devant le collectif des boulangers de Dolisie, André Ovu s’est dit surpris par la hausse spontanée du prix du pain dans le département qu’il administre. «On n’a jamais vu à Dolisie que les gens aient besoin de mendier du pain, mais le prix est insoutenable ! » indique un collaborateur du Préfet.

Pour le patron du département, la pain ne peut pas seulement augmenter à Dolisie alors que d’autres régions du Congo n’ont pas ce problème. Il est désormais question de trouver les solutions pour soulager les populations qui subissent déjà la dureté de la crise économique.

Pour rappel, le prix du pain a augmenté depuis lundi à Dolisie. Une baguette de pain vendue régulièrement depuis plusieurs années à 65 FCFA revient désormais à 80 FCFA. Les revendeurs justifient cette hausse par l’augmentation du prix de la farine.

 

 

Société : ce que Denis Christel Sassou Nguesso a promis aux populations de Dolisie

Le président de la fondation perspective d’avenir était à Dolisie dans le cadre de la quatrième conférence participative de son projet « le Congo que nous voulons ».

La grande salle de conférence de Dolisie à pratiquement fait le plein d’œuf à l’occasion de la visite de l’initiative  » le Congo que nous voulons » de Perspectives d’avenir. Denis Christel Sassou Nguesso accompagné d’une forte délégation en a profité pour présenter aux populations de Dolisie sa vision du Congo de demain.

Durant environ 3 heures de débats, le fils du chef de l’Etat a tout d’abord présenté les actions de sa fondations en l’endroit des couches faibles. Il est notamment revenu sur la caravane du programme communautaire qui était récemment à Kinkala afin de soigner les malades.  » Ce programme a été mis sur pied pour aider les congolais qui n’ont pas les moyens de se rendre à l’hôpital. Il est gratuit et fera le tour du pays  »  a-t-il précisé.

Le député de Oyo a ensuite loué le fort potentiel des richesses du Congo en général et de Dolisie en particulier. Ainsi, il a annoncé aux populations que sa fondation commandera un audit agricole des terres du Congo afin de savoir la culture qu’il convient exactement de planter dans chaque région du Congo. Il a aussi promis de faire de Dolisie une ville touristique capable d’attirer les étrangers et créer les emplois dans le secteur. Pour Denis Christel, le Congo de demain se fera avec tous les congolais.

Toutefois, de nombreux observateurs de la scène politique voient en cette initiative une pré-campagne présidentielle qu’est savamment entrain d’orchestrer le fils de Denis Sassou Nguesso. Lui-même n’a jamais exclut cette éventualité. « Avant d’être fils du président, je suis un citoyen congolais », affirmait-il à Jeune Afrique il y a quatre ans.