Congo-Arabie Saoudite : vers un renforcement des liens économiques

Le ministre de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé, Christel Denis Sassou Nguesso a eu un échange avec le Vice-ministre saoudien chargé des Affaires économiques internationales au ministère de l’Économie et de la Planification, Albara Alaskandarani.

 

En marge du World Economic Forum qui s’est tenu, du 28 au 29 avril, à Ryad en Arabie Saoudite, Christel Denis Sassou Nguesso a échangé avec Albara Alaskandarani. Le ministre congolais de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé a manifesté la volonté de son pays de diversifier ses partenariats économiques et de renforcer sa coopération avec les pays du Moyen-Orient.

A cet effet, les deux personnalités ont exploré les diverses pistes pour renforcer les liens économiques. C’était aussi l’occasion pour eux d’identifier les secteurs porteurs et les opportunités d’investissement mutuellement avantageuses.

Présent au World Economic Forum, le Congo à travers le ministre Denis Christel Sassou Nguesso a souligné son engagement à créer un environnement favorable aux affaires et à attirer les investissements étrangers.

Congo : un échange en vue de l’implantation d’une agence JICA à Brazzaville

Le sujet était au centre d’un échange par visioconférence le 27 novembre dernier entre le ministre de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé, Denis Christel Sassou Nguesso et le vice-président exécutif sénior de l’Agence japonaise de développement (JICA),Yamada Junichi.

 

La République du Congo et le Japon réfléchissent sur la possibilité d’une implantation d’une agence JICA dans la capitale congolaise, Brazzaville. L’accord technique Congo-Japon, en vue, a aussi été au centre des échanges le 27 novembre entre Denis Christel Sassou Nguesso, ministre de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé et Yamada Junichi, vice-président exécutif sénior de l’Agence JICA.

Dans un extrait tiré d’une publication de vox.cg, Denis Christel Sassou Nguesso indique que « entretien se situe dans la droite ligne de ce que nous avons eu lors de notre dernier séjour au Japon ; pour renforcer la coopération entre nos deux pays, par une implantation, ici à Brazzaville, d’une antenne de la JICA. Cette agence a un bureau à Kinshasa, en République démocratique du Congo ; les experts viennent souvent mais nous pensons que cela n’est pas récurent pour que des projets d’une grande ampleur puisse se développer ».

« Nous avons également profité de cet entretien pour savoir où en était l’accord technique de coopération qui doit être signé entre le gouvernement de la République du Congo et le gouvernement japonais. Lors de nos précédents échanges, il nous a été dit que la partie japonaise faisait tout pour signer cet accord. Et nous avons insisté pour que cet accord soit finalisé avant la fin de l’année, même si nous devons le signer en visioconférence comme nous l’avons déjà fait avec d’autres pays. Et si nous voulons que suite à la signature de cet accord, un certain nombre de projets puisse être pris en considération par le gouvernement japonais, il va falloir que cet accord qui constitue un socle important de notre coopération puisse être signé assez rapidement », a précisé Denis Christel Sassou Nguesso.

Congo-Biens mal acquis : de éléments nouveaux contre Denis Christel Sassou N’Guesso

C’est ce que révèle un article sur l’enquête judiciaire contre le fils du président congolais, l’hebdomadaire Le Canard enchaîné.

 

Le canard enchaîné a affirmé dans sa publication que les juges d’instruction ont mis la main sur de nouvelles pièces compromettantes contre Denis Christel Sassou-Nguesso. Le fils du président de la République du Congo est accusé d’avoir détourné des millions d’euros d’argent public dans l’affaire dite des « biens mal acquis ».

Denis Christel Sassou-Nguesso aurait été bien « imprudent », selon le journal satyrique Le Canard enchaîné qui a obtenu des ordonnances des juges d’instructions révélant que le fils du président congolais serait lié à des sociétés écrans.

En 2020 et 2022, les juges ont saisi deux hôtels particuliers à Paris et Neuilly, des logements de luxe détenus par des sociétés congolaises. Selon l’article, l’hôtel particulier de Neuilly qui comprend sept chambres, cinq salles de bain, un salon de coiffure et un de massage, aurait par exemple coûté 10 millions d’euros.

Or, d’après l’instruction, ces entités sont des sociétés écrans et le véritable propriétaire de ces biens est Denis Christel Sassou-Nguesso. Le journal fait le lien grâce à des documents signés de sa main au nom de ces sociétés. Il aurait ainsi paraphé une dizaine d’ordres de virements équivalent à 800 000 euros de travaux de décoration du logement cossu rue Fresnel, à Paris. Même chose pour 12 millions d’euros en chantiers immobiliers ou encore pour l’assurance d’un jet privé.

Les enquêteurs auraient aussi établi que derrière une identité et une fausse adresse mail, Denis Christel Sassou-Nguesso transmettait ses ordres aux notaires et aux architectes. L’un d’eux lui répondait avec des « Bonjour Monsieur Denis ».

Son avocat estimé que « le procès fait aux dirigeants africains est choquant ». Selon Me Jean-Jacques Neuer, « la France représentée par sa justice s’érige en moraliste, comme si elle disait que ces pays n’étaient ni souverains, ni capables de se juger eux-mêmes ».

Congo : l’hôtel attribué à Denis Christel Sassou-Nguesso saisi en France

Situé à Neuilly-sur-Seine et attribué, l’immeuble, a été saisi dans une enquête sur des soupçons de « biens mal acquis » en France.

 

« Un hôtel particulier acquis par M. Denis Christel Sassou-Nguesso a été saisi dans ce dossier au mois de juin », a confirmé le PNF après une information de Mediapart. « Denis Christel Sassou-Nguesso n’est pas mis en examen à ce jour », a précisé le parquet national financier (PNF).

L’immeuble, acheté en 2009 pour 5,2 millions d’euros et rénové pour 5,4 millions d’euros, est « sans conteste » habité par Denis Christel Sassou-Nguesso et sa famille, selon une ordonnance pénale datée du 20 juin, citée par Mediapart. L’un des détenteurs de la société civile immobilière (SCI) propriétaire de l’immeuble est le chef du protocole et « l’un des paravents » du ministre congolais, a découvert l’Office central de répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), chargé des investigations, détaille Mediapart.

« Un dossier politique »

« Je suis scandalisé que la France, avec son passé de grande puissance esclavagiste et coloniale, vienne aujourd’hui chercher des responsabilités aux dirigeants africains », a réagi auprès de l’AFP Jean-Jacques Neuer, l’avocat de M. Sassou-Nguesso. « Beaucoup de biens très mal acquis sont entre les mains de la France et appartiennent aux Africains », a-t-il ajouté. L’enquête sur les « biens mal acquis », que Me Neuer n’a pas voulu commenter, est « un dossier politique et non judiciaire », selon lui.

A la suite d’une plainte d’ONG en 2007, des juges anticorruptions parisiens se penchent sur des soupçons de détournements de fonds publics ayant permis notamment à la famille Sassou-Nguesso et à la famille Bongo, qui dirige le Gabon, d’acquérir un patrimoine considérable en France. Le nom de Denis Christel, dit « Kiki le pétrolier », est cité à plusieurs reprises dans ce dossier, notamment pour son « train de vie hors norme », selon un document du PNF en 2019.

« Le montant des avoirs saisis, certes, n’est que la face très modeste d’un océan de détournements, mais Denis Christel Sassou-Nguesso en est un acteur de premier plan, considère William Bourdon, avocat de Transparency International. Face aux preuves accumulées, ses démentis sont pathétiques et insultants pour les juges et la France. » Au moins cinq membres de la famille Sassou-Nguesso sont poursuivis depuis 2017 dans ce dossier.

Coopération : Denis Sassou Nguesso s’est entretenu avec Mahamat Idriss Déby sur la transition au Tchad

Le président du Conseil de la Transition au Tchad  Mahamat Idriss Déby, a rencontré le président congolais Denis Sassou Nguesso en sa qualité de président de la Communauté économique des Etats Afrique Centrale (CEEAC) le samedi dernier à Oyo.

 

De son retour d’une visite en République Démocratique du Congo, dans le cadre  du sommet de la CEEAC, Le nouvel homme fort du Tchad  a reçu un accueil chaleureux à Brazzaville, et un appel à la participation de tous les acteurs politiques et sociaux au dialogue inclusif« Denis Sassou Nguesso a réitéré son appel à tous les acteurs politiques et sociaux tchadiens, de participer au dialogue national inclusif », indique le communiqué sanctionnant la rencontre entre les deux hommes d’états.

Le président  Denis Sassou Nguesso a réitéré à son interlocuteur le soutien de la CEEAC à la transition au Tchad. Il a exprimé ses félicitations au président Mahamat Idriss Déby Itno pour les avancées déjà obtenues par les autorités de la transition en vue de l’organisation prochaine d’un dialogue inclusif et pacifique », a déclaré Denis Christel Sassou Nguesso, ministre congolais de la Coopération internationale et fils de l’actuel président du Congo.

Rappelons tout de même qu’en juin dernier, Brazzaville avait abrité un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement d’Afrique centrale sur la situation sécuritaire au Tchad, suite au décès en avril de président Idriss Déby après 30 ans au pouvoir.

ARISE IIP signe un protocole d’entente avec la République du Congo pour le développement de deux zones industrielles à Pointe-Noire et à Ouésso

Le projet est un partenariat public-privé entre ARISE IIP et la République du Congo, chacun détenant respectivement 70 % et 30 %.

 

Arise Inegrated Industrial Platforms (ARISE IIP), un développeur et opérateur d’écosystèmes industriels de classe mondiale en Afrique, en partenariat avec le ministère de la Coopération internationale et la Promotion des Partenariats publics-privés de la République du Congo sont fiers d’annoncer la signature d’un protocole d’entente pour le développement de deux zones industrielles à Pointe-Noire et Ouésso. Cet accord contribuera à l’industrialisation des secteurs stratégiques de la République du Congo.

Selon cet accord, ARISE IIP investira 150 millions d’euros dans le développement de la zone industrielle de Pointe-Noire et d’un port minéralier. Le projet est un partenariat public-privé entre ARISE IIP et la République du Congo, chacun détenant respectivement 70 % et 30 %. La plateforme industrielle aura pour but de promouvoir et d’attirer les investissements multisectoriels et commerciaux dans le pays, et de développer les industries de transformation du bois et des produits agroalimentaires de première, deuxième ou troisième transformation. La zone et le port minéralier occuperont une superficie de 2700 hectares, et concentreront leurs activités sur la transformation du bois, des produits agricoles et autres processus de transformation. Le protocole d’entente comprend également le développement de la zone industrielle d’Ouésso, également sous forme de partenariat public-privé entre ARISE IIP (70 %) et la République du Congo (30 %).

Les délais opérationnels des deux projets seront définis en fonction des résultats de l’étude de faisabilité en cours et qui devrait être finalisée d’ici trois mois. Les deux zones devraient stimuler le marché de l’emploi, avec la création d’environ 5,000 postes d’ici à 2025, doper les exportations et contribuer aux priorités de développement du gouvernement, définies dans le plan national de développement (2022-2026).

Denis Christel Sassou Nguesso, Ministre de la Coopération internationale et de la Promotion du Partenariat public-privé, a déclaré : « Cet accord est un exemple de plus qui démontre l’attractivité de l’économie congolaise et la matérialisation de nos efforts pour accroitre sa compétitivité. ARISE IIP, notre partenaire de confiance dans ce projet, a démontré ses capacités à réaliser dans les délais impartis des projets de grande envergure à travers l’Afrique, tout en mettant l’accent sur la transformation locale des matières premières. Nous sommes confiants dans leur capacité à construire deux zones économiques compétitives et durables qui apporteront de la valeur à nos ressources naturelles. »

Gagan Gupta, fondateur et PDG d’ARISE IIP a également commenté : « Nous sommes très honorés d’être en mesure de soutenir les autorités congolaises dans le développement de ces infrastructures industrielles, et contribuer ainsi au Plan national de développement de la République du Congo. En mettant à profit notre expérience dans la gestion des zones industrielles, nous voulons faire du Congo un des leaders régionaux dans la transformation des matières premières telles que le bois et les ressources agricoles, parmi d’autres processus de transformation industrielle. Nous sommes pleinement engagés à bâtir une industrie durable au Congo, en étroite collaboration avec le gouvernement. »

Ces dernières années, ARISE IIP a beaucoup développé ses activités en Afrique, avec actuellement 12 zones industrielles intégrées accélérant, ainsi, l’industrialisation du continent. Pour référence, au Gabon, ARISE IIP gère la GSEZ (Zone économique spéciale du Gabon) et ses activités de transformation de bois, à l’origine de 16 000 créations d’emploi, qui a attiré 12 000 investisseurs et a permis au Gabon de passer de simple exportateur de grumes au 2e producteur et exportateur mondial de placages et le premier en Afrique.

À propos de ARISE IIP

ARISE Integrated Industrial Platforms (ARISE IIP) est un développeur et un opérateur panafricain de parcs industriels de classe mondiale, engagé dans la transformation économique du continent. Nous identifions des opportunités dans les chaînes de valeur commerciales et industrielles à travers l’Afrique, nous concevons, finançons, construisons et opérons les infrastructures nécessaires, en jouant un rôle de catalyseur tout en soutenant les pays dans leur transition vers une économie industrielle. Nous sommes animés par la poursuite d’une croissance verte. Notre ambition est de libérer le potentiel industriel du continent tout en neutralisant nos émissions de carbone et notre impact sur le climat. ARISE IIP est actuellement présent dans neuf pays africains, y compris au Bénin (GDIZ), au Togo (PIA) et au Gabon (GSEZ). La GSEZ a été classée meilleure zone économique spéciale du monde dans le secteur du bois (classement 2020 du FDI).

 

TICAD : les investisseurs japonais appelés à investir au Congo

C’est une invite du ministre de la Coopération internationale Denis Christel Sassou Nguesso le 26 mars dernier au cours d’une réunion.

 

La Tunisie va abriter, la huitième édition de la Conférence internationale de Tokyo pour le développement de l’Afrique (TICAD), les 27 et 28 août prochains. Prélude à cette rencontre, les ministres des pays membres de cette organisation ont participé à une réunion préparatoire de cet événement ce samedi 26 mars par visioconférence.

Dans son discours prononcé à cette occasion, le ministre de la Coopération internationale, Denis Christel Sassou Nguesso a appelé les investisseurs japonais à soutenir la vision du développement de notre pays pour les 5 prochaines années.

Cette vision, dit-il, s’articule autour de 6 axes prioritaires contenus dans notre Programme national de développement (Pnd) 2022 – 2026, à savoir : le développement de l’agriculture au sens large, le développement de l’industrie, le développement de nos quatre zones économiques spéciales, le développement du tourisme, le développement de l’économie numérique et le développement de la promotion immobilière.

« C’est en priorité autour de ces 6 axes que nous souhaitons voir les entreprises de votre pays venir investir dans notre pays, et de préférence sous la forme du partenariat public-privé, car notre gouvernement en a fait un mode principal de financement de projets », a déclaré Denis Christel Sassou Nguesso.

Dans son propos, le ministre a également vanté la politique d’aménagement du territoire  du gouvernement congolais, qui selon lui, garantit l’éclosion des potentiels investisseurs en terre congolaise.

« Au-delà des potentialités naturelles indéniables, il faut noter que notre pays a fait d’importants progrès en termes d’infrastructures de base avec des aéroports dans chaque département et des routes, les grands axes pour faciliter son intégration économique » , a-t-il dit.

Denis Christel Sassou Nguesso a par ailleurs relevé la nécessité d’implantation au Congo d’un bureau de l’Agence japonaise de coopération internationale.

Congo : vers de nouveaux projets de partenariat avec l’Union européenne

L’Union européenne (UE) entend intensifier et améliorer la coopération avec le Congo en vue de renforcer davantage leur partenariat.

 

Le nouvel ambassadeur de l’UE en République du Congo, Giacomo Durazzo, a eu un échange avec le ministre de la Coopération internationale et de la Promotion du partenariat public-privé, Denis Christel Sassou N’Guesso. Il s’est agi le 25 novembre au cours de cette réunion entre les deux personnalités de faire une évaluation de la coopération entre le Congo et l’UE.

A cet effet, a procédé à la présentation de l’état des lieux de l’exercice de programmation du nouveau partenariat entre l’UE et le Congo, des secteurs de priorités ainsi que l’identification d’un certain nombre de projets et programmes à lancer dans les prochains mois.

« C’était une prise de contact très intense et intéressante pour faire un peu le bilan rapide de la coopération entre l’Union européenne et le Congo et pour projeter le futur. La coopération avec le Congo est déjà très bonne et peut encore s’intensifier, s’améliorer », a déclaré l’ambassadeur de l’UE, Giacomo Durazzo

Il faut relever que les relations entre l’UE et la République du Congo reposent sur la stratégie de développement. Celles-ci visent à soutenir l’intégration régionale (notamment par la réparation des infrastructures de transport et la diversification de l’économie) et la bonne gouvernance.

Le nouvel ambassadeur de l’UE en République du Congo a fait part de la volonté de son institution d’intensifier et améliorer la coopération avec le Congo en vue de renforcer davantage leur partenariat.

Congo-Zone industrielle de Maloukou : 200 millions de dollars pour la relance des activités

La société rwandaise Crystal Ventures prévoit d’investir pour la relance, l’innovation ainsi que la montée en gamme des activités sur la zone industrielle de Maloukou.

 

Le ministre de la Coopération internationale et de la Promotion du partenariat public-privé, Denis Christel Sassou N’Guesso s’est rendu sur la zone industrielle de Maloukou. Il était accompagné un groupe d’investisseurs de la société rwandaise Crystal Ventures. La visite conduite par le ministre Denis Christel Sassou N’Guesso s’est faite vendredi 01 octobre 2021.

La descente sur le terrain du ministre et des investisseurs avait pour objectif de toucher du doigt les possibilités d’affaires qu’offre ce site. En effet, la société rwandaise Crystal Ventures prévoit d’investir deux cents millions de dollars pour la relance, l’innovation ainsi que la montée en gamme des activités sur la zone industrielle de Maloukou. Il faut noter que ce site avait été laissé à abandon.

« Une fois l’accord signé, nous allons investir dans une première phase environ cent millions de dollars pour sécuriser le site, le réhabiliter et finaliser divers travaux dont l’électricité, l’eau, etc. », a déclaré le président exécutif de Crystal Ventures, Jack Kayonga.

L’entreprise mettra également à disposition un financement de plus de cent millions de dollars pour la création d’un port sec, la construction de la ville et d’un centre de formation. C’est ce qu’a affirmé Jack Kayonga.

 

 

Congo-Corée du Sud : vers un nouveau partenariat

Le vice-ministre sud-coréen des Affaires étrangères, Ham Sang Wook, a fait part, le 7 juillet à Brazzaville, de la volonté de son pays de collaborer avec le Congo dans les domaines liés aux ressources naturelles.

 

Le ministre de la Coopération internationale et de la Promotion du partenariat public-privé, Denis Christel Sassou Nguesso a eu un échange avec le vice-ministre sud-coréen des Affaires étrangères, Ham Sang Wook. La rencontre a eu lieu mercredi 7 juillet 2021 à Brazzaville. A l’issue de cet échange, Ham Sang Wook a exprimé la volonté de son pays à collaborer avec le Congo dans les domaines liés aux ressources naturelles.

Notons que l’énergie, l’eau et les ressources forestières font partie des secteurs auxquels la Corée du Sud entend approfondir la coopération avec le Congo.  Fort de leurs expériences, en matière de technologie, les compagnies coréennes aimeraient prêter main forte au Congo.

« Nous nous sommes rendu compte qu’il y a beaucoup de domaines dans lesquels nous pouvons développer notre coopération bilatérale ; si nous arrivons à collaborer dans ces domaines, nous mettrons assurément en place une bonne synergie pour les deux pays », a déclaré le vice-ministre sud-coréen des Affaires étrangères, chargé des affaires multilatérales et mondiales, Ham Sang Wook.

Les discussions plus approfondies concernant ce nouveau partenariat entre les deux pays s’ouvriront certainement très bientôt.

Congo : Denis Christel Sassou Nguesso intègre le nouveau gouvernement

Le fils du Chef de l’Etat est le Ministre de la Coopération Internationale et de la promotion du partenariat public privé, un portefeuille fraîchement créé.

 

La République du Congo a son nouveau gouvernement. La nouvelle équipe compte 36 membres, dont quatre ministres d’Etat et huit femmes. Onze personnalités ont fait leur entrée dans cette équipe gouvernementale notamment Denis Christel Sassou Nguesso.

A 46 ans, le fils du Chef de l’Etat prend le portefeuille fraîchement créé de la Coopération internationale et de la Promotion du partenariat public-privé. Ancien député, Denis Christel Sassou-Nguesso a été cadre dirigeant à la société nationale pétrolière congolaise, la SNPC. Il est soupçonné de détournements massifs de l’argent du pétrole, de nouveau récemment dénoncés par l’ONG Global Witness. Des enquêtes sont en cours en France pour biens mal acquis et une plainte a été déposée, aux Etats-Unis, au sujet d’un appartement de luxe à Miami.

Denis Christel Sassou Nguesso est un homme politique et homme d’affaires congolais né le 14 janvier 1975 à Brazzaville. Il est le fils de Denis Sassou-Nguesso, président de la République du Congo.

Directeur général adjoint de l’aval pétrolier de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) depuis janvier 2011, il est également député PCT de la circonscription d’Oyo depuis le 5 septembre 2012.

Il a étudié à l’École militaire préparatoire Général-Leclerc de Brazzaville, puis est parti étudier en France où il obtient un diplôme de clerc de notaire et une maîtrise en droit privé3.

Il rejoint en 2001 la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), dans le bureau londonien de la compagnie. Il rentre ensuite au Congo où il occupe le poste d’administrateur de la Cotrade (filiale de la SNPC, s’occupant de la commercialisation) de 2005 à 2009. En janvier 2011, il devient directeur général adjoint de l’aval pétrolier de la SNPC, ainsi que PDG de « SNPC Distribution » et administrateur général de la Congolaise de raffinage (Coraf).

Son activité dans le monde du pétrole lui vaut le surnom de « Kiki le pétrolier »

Parallèlement à son activité dans le secteur pétrolier, Denis Christel Sassou Nguesso entame une carrière politique. En 2007, il crée le Pôle des jeunes républicains, puis rejoint en 2011 le bureau politique du Parti congolais du travail (PCT).

Le 15 juillet 2012, il est élu député de la circonscription d’Oyo (Cuvette) dès le premier tour des élections législatives, et entre en fonction le 5 septembre, succédant ainsi à François Ibovi.

En mai 2021, Denis Christel Sassou-Nguesso. Entre dans le nouveau gouvernement de Anatole Collinet Makosso d’un poste nouvellement créé, celui de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé.

 

 

Congo : Onze personnalités font leur entrée dans le nouveau gouvernement

Denis Christel Sassou-Nguesso, le fils du chef de l’Etat, il hérite d’un portefeuille fraîchement créé pour cette occasion.

 

Le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso a formé son équipe gouvernementale. Un gouvernement qui est arrivé trois jours après sa nomination. On remarque l’entrée de onze personnalités dans cette équipe notamment celle Denis Christel Sassou-Nguesso. Fils du chef de l’Etat. Celui-ci, celui-ci est le ministre de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé, un portefeuille créé pour l’occasion. Ancien député, Denis Christel Sassou-Nguesso a été cadre dirigeant à la société nationale pétrolière congolaise, la SNPC.

Une autre entrée remarquable c’est bien celle d’Honoré Sayi, député et président du groupe parlementaire d’opposition de l’UPADS à l’Assemblée nationale. Enseignant en philosophie, il présidait le groupe parlementaire de l’UPADS, le premier parti d’opposition au Congo. Il est nommé ministre de l’Energie et de l’Hydraulique.

Rigobert Roger Andély hérite du ministère des Finances et du Budget.  Ce cadre de banque  avait déjà occupé ces fonctions, entre 2002 et 2005.

Notons que sept personnalités ont été remerciées ; au nombre desquelles Henri Djombo qui a été ministre sans discontinuer depuis 1997.

Biens mal acquis présumés: Christel Sassou-Nguesso visé par une procédure aux États-Unis

Deux procureurs fédéraux de Floride ont engagé une procédure au nom du département américain de la Justice en vue de saisir une luxueuse propriété en Floride estimée à 3 millions de dollars qui serait acquise par Denis-Christel.

Un nouveau volet judiciaire s’est ouvert dans le dossier dit des « biens mal acquis » présumés de la famille présidentielle de la république du Congo, aux Etats-Unis cette fois. Deux procureurs fédéraux de Floride ont engagé le mois dernier une procédure au nom du département américain de la Justice en vue de saisir une luxueuse propriété en Floride estimée à 3 millions de dollars, et dont ils affirment qu’elle aurait été acquise par Denis-Christel Sassou-Nguesso, le fils du président congolais, avec de l’argent public détourné, entre 2011 et 2014, à l’époque où il était numéro 2 de la SNPC.

C’est une « illustration rare du cycle complet de la kleptocratie » autrement dit de la façon dont « le membre d’une famille présidentielle aurait volé, blanchi et dépensé des fonds publics à des fins personnelles », écrit Global Witness dans un communiqué. L’ONG anti-corruption s’est procuré la requête des procureurs américains. Ce document, également consulté par RFI, détaille étape par étape la façon dont Denis-Christel Sassou-Nguesso aurait agi pour acquérir la propriété de Miami visée par cette procédure dite de « confiscation civile », mais aussi d’autres biens.

Première étape selon les procureurs américains : détourner l’argent du compte de la SNPC vers ceux de l’une de ses sociétés écrans. Pour cela, « en tant que cadre dirigeant (…) et fils du président », il aurait « suffi » selon eux à Denis-Christel Sassou-Nguesso « d’ordonner » au PDG de la BGFI, qui héberge les comptes de la SNPC, « de transférer cet argent vers les comptes de ses propres » sociétés écrans. « Cela s’est produit plusieurs fois », peut-on lire dans leur demande de saisie de la propriété du 900 boulevard Biscayne à Miami. Les procureurs retranscrivent des e-mails auxquels ils disent avoir eu accès à l’appui de cette accusation.

Deuxième étape : envoyer cet argent « volé » aux Etats-Unis, sur les comptes d’un prête-nom, un certain « Associé A » décrit dans le document de la justice américaine comme le « fils d’une ancien haut-fonctionnaire gabonais » dont l’identité n’est pas dévoilée. Pour justifier ces transferts et dissimuler l’origine des fonds, il aurait fourni de factures. L’associé aurait ensuite versé une partie de l’argent à un avocat en Floride, et le reste lui-même en vue d’acquérir une propriété en vente à l’époque à 2,8 millions de dollars. « Pour ne pas apparaître » comme le véritable propriétaire du bien, écrivent les procureurs, le fils du chef de l’Etat congolais aurait enfin fait rédiger dans un premier temps l’acte de vente au nom de son associé, avant à la dernière minute de s’y substituer sous l’alias de « Denis Christelle », une fausse identité, qu’il aurait également utilisée pour ouvrir des comptes bancaires aux Etats-Unis et au nom de laquelle il possèderait un « second passeport congolais », selon ce document de la justice américaine.

Seule la propriété de Miami est visée par le procédure de confiscation. Au stade actuel de leur enquête, les procureurs américains notent toutefois qu’un procédé identique aurait également servi à acquérir une autre résidence à Coral Gables, près de Miami pour 2,4 millions de dollars au nom de sa première femme, Danielle Ognanosso, ainsi que d’autres biens en France.

Plus largement, ils disent avoir trouvé la trace qu’entre 2007 et 2017, Denis Christel aurait dépensé plus de 29 millions de dollars en articles de luxe et pour « financer le train de vie somptueux de sa famille et de lui-même » « Cette somme correspond à environ 10 pour cent du budget congolais de la santé en 2020 », souligne l’ONG anti-corruption Global Witness.

Ces dépenses sont « largement supérieures » écrivent les procureurs à ce que Denis-Christel Sassou-Nguesso prétendait alors gagner. Ils disent avoir la preuve par exemple que le fils du chef de l’Etat congolais aurait dépensé une somme de plus de 550 000 dollars pour une nouvelle cuisine dans une résidence en France en 2012, et autant l’année suivante dans un hôtel de Los Angeles.

Toujours d’après les procureurs, le fils du chef de l’Etat congolais aujourd’hui député aurait également accepté plus de 1,5 million de dollars de « pots de vin » en provenance de sociétés pétrolières, en échange de l’attributions de contrats pétroliers.

Il faut préciser qu’il s’agit d’une procédure civile à ce stade de « confiscation ». Si les mis en cause n’arrivent pas prouver que la propriété n’a pas été acquise illégalement, elle sera saisie au profit du Trésor américain. Le département de Justice pourra ensuite décide ou non de poursuivre sur le plan pénal cette fois les auteurs du détournement présumé. Ni Denis-Christel Sassou-Nguesso ni ses avocats français n’ont répondu aux sollicitations de RFI à ce propos. Pas plus que le porte-parole du gouvernement congolais ou que la présidence congolaise.

Pour Natasha White, chercheuse sur l’Afrique Centrale à Global Witness, cette enquête des procureurs américains offre une parfaite et « rare » illustration du « cycle complet » de ce qu’elle appelle la « kleptocratie » congolaise.

« J’aurais pensé que cette procédure aurait pu donner des informations sur de nouveaux mécanismes de corruption mais en fait non. Il aurait utilisé les mêmes techniques, les mêmes types de facilitateurs que plusieurs kleptocrates et businessman corrompus ont utilisé au cours de la dernière décennie, c’est à dire : des hommes de paille, des sociétés écrans, des avocats et de banquiers. Donc c’est toujours les mêmes pratiques et des choses qui sont assez simples à notre avis à résoudre. Du coup, nous formulons toujours les mêmes recommandations : que les avocats, les banquiers et les agents immobiliers doivent connaître leurs clients, notamment les bénéficiaires effectifs de leur société et aussi la source de leur financement et qu’ils doivent être tenus d’effectue des contrôles anti blanchiment d’argent. Et s’ils ne le font pas, ils doivent être sanctionnés ».

« Les États ne doivent plus servir de refuge et de terrain de jeu aux kleptocrates du monde entier. Le système financier international devrait bloquer, et non pas faciliter le mouvement de fonds détournés. Les banquiers, avocats et agents immobiliers doivent cesser de s’enrichir sur le dos de citoyens d’autres pays, privés d’un accès aux services élémentaires de santé et d’éducation », réagit également l’ONG anti-corruption.

Interrogée par Global Witness, la SNPC a de son côté assuré vouloir « examiner attentivement » les allégations de détournement, et que concernant l’attribution des perms pétroliers relevait du gouvernement et du Parlement. BGFIGroup n’a pas répondu à la demande de commentaires de l’ONG.

« Selon les rapports de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) et le cadastre pétrolier du MAETGT, le Congo a délivré ou renouvelé 26 permis de recherche et de production pétrolière entre 2014 et 2016. Les bénéficiaires de ces permis étaient, entre autres, les majors pétrolières Eni et Total », rappelle enfin Global Witness. Contactée par RFI, la multinationale pétrolière française n’a pas réagi pour le moment.

Ces nouvelles allégations surviennent alors que le Congo-Brazzaville, surendetté malgré l’abondance de ses ressources pétrolières, a vu fin 2019 le FMI suspendre les versements prévus dans le cadre d’un programme d’aide conclu en juillet 2019 après d’âpres négociations. L’institution financière internationale reproche aux autorités congolaises de ne pas avoir honoré leur promesse de négocier une décote de 30% sur la dette contractée par le pays auprès de plusieurs négociants en pétrole comme elle s’y était engagée.

Congo : Denis Christel Sassou Nguesso mis en examen

Le fils du président congolais a été mis en examen pour blanchiment en décembre, dans ce dossier portant sur le vaste patrimoine de la famille Nguesso dans l’Hexagone.

C’est une nouvelle étape dans l’enquête des « biens mal acquis ». Un fils du président du Congo a été mis en examen en décembre dans ce dossier portant sur le vaste patrimoine en France de la famille Nguesso, a-t-on appris ce vendredi de source proche du dossier, confirmant une information de Challenges.

Denis Christel Sassou Nguesso, 45 ans, a été mis en examen pour blanchiment par le juge d’instruction Dominique Blanc, chargé de la principale enquête dite des « biens mal acquis » qui porte sur des soupçons d’acquisition frauduleuse de patrimoine de familles dirigeantes africaines, selon cette source.

Député d’Oyo (nord), fief de son père Denis Sassou Nguesso qui cumule 36 ans à la tête du Congo, Denis Christel a été jusqu’en 2016 la deuxième personnalité de la puissante Société nationale des pétroles du Congo (SNPC). Dans un rapport rendu public en août dernier, l’ONG britannique Global Witness l’a accusé d’avoir détourné à son profit plus de 50 millions de dollars des fonds publics en 2014.

De nombreuses mises en examen depuis 2017

Denis Christel Sassou Nguesso est le premier membre de la famille à être poursuivi dans ce volet de l’affaire depuis une première série de mises en examen en 2017, notamment pour des faits de recel et blanchiment de détournement de fonds publics. À l’époque, une fille du président et son mari, — Julienne Sassou Guesso et Guy Johnson — avaient été mis en examen en juin 2017, suivis quelques semaines après par deux neveux du président, Wilfrid et Edgar N’Guesso, ainsi que la mère de ce dernier, Catherine Ignanga.

Le changement de juge d’instruction, à la fin de l’été 2017, avait ralenti le rythme des investigations avant un regain d’activité l’an dernier, marqué par de nombreuses auditions chez les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) à Nanterre, selon d’autres sources proches du dossier. Dans cette enquête, le notaire Jean-Michel Normand et une dirigeante de l’agence immobilière AICI, Elisabeth Gandon, ont aussi été mis en examen en décembre dernier, avait dévoilé à l’époque le quotidien Le Monde.

« Escroquerie au jugement »

En février 2016, le président Sassou Nguesso avait contre-attaqué, portant plainte pour « escroquerie au jugement », notamment contre l’ONG Transparency international. « Tant que cette plainte n’aura pas été totalement examinée, il ne sera pas répondu sur le fond de ce dossier potentiellement illégal », a réagi Me Jean-Marie Viala, avocat de la famille Nguesso.

Plusieurs biens immobiliers, dont deux appartements à Paris au nom d’Antoinette Sassou Nguesso, l’épouse du président congolais, ont été confisqués par la justice française. Ouverte en 2009 à Paris après une plainte de trois associations, l’enquête porte également sur le patrimoine de la famille Bongo, à la tête du Gabon. Le volet portant sur la Guinée équatoriale s’est, lui, conclu par le récent procès en appel de Teodoro Obiang Nguema, vice-président du pays, qui attend lundi la décision de la cour d’appel de Paris.

Congo : des ONG demandent la levée de l’immunité de deux enfants de Sassou N’Guesso

Denis Christel Sassou-Nguesso et Claudia Sassou-Nguesso, deux enfants du chef de l’Etat congolais et députés sont accusés détournement de fonds publics.

Ils sont une dizaine, ces organisations de la société civile qui exigent que l’immunité parlementaire de Denis Christel Sassou-Nguesso et Claudia Sassou-Nguesso, soit levée. Ils se sont exprimés au cours d’un point de presse samedi 17 août 2019. Pilotées par l’Observatoire congolais des droits de l’homme (OCDH), ces ONG demandent aussi l’ouverture d’une enquête parlementaire et judiciaire contre ces deux députés.

Le 6 août dernier, l’ONG OCDH avait publié un rapport dans lequel, elle accuse le fils cadet du président congolais, Denis Christel Sassou-Nguesso, 44 ans, d’avoir détourné en 2014, à son profit, plus de 50 millions de dollars de fonds publics.

Dans une enquête de Global Witness publiée en avril, Claudia Sassou-Nguesso, est pointée du doigt. La grande sœur de Denis Christel Sassou-Nguesso, 47 ans, est accusée d’avoir reçu près de 20 millions de dollars de fonds publics. Argent qu’elle aurait détourné pour s’offrir un appartement de luxe dans le Trump Hotel & Tower à New York.

Congo : Denis Christel Sassou Nguesso accusé d’avoir détourné 30 milliards de francs CFA

L’ONG britannique Global Witness a fait un rapport dans lequel elle accuse le fils du président de la république du Congo d’avoir détourné les fonds publics en 2014.

Trente milliards de franc CFA, c’est la somme déjeté à son propre profydes caisses publiques Denis Christel Sassou Nguesso. C’est ce qui ressort du rapport de l’ONG britannique Global Witness, publié ce mardi 06 août 2019.  «Au total, en 2014, les entreprises détenues par Denis Christel Sassou-Nguesso ont reçu près de 50,5 millions de dollars qui auraient été détournés des comptes du Trésor congolais».

Il faut le dire, l’ONG britannique est spécialisée dans la lutte contre le pillage des ressources naturelles. «Selon des documents étudiés par Global Witness, le véritable propriétaire du réseau chypriote d’entreprises qui a reçu les 50 millions de dollars du Trésor congolais était Denis Christel Sassou-Nguesso», affirme le rapport.

Selon de le document publié, ces fonds détournés par Denis Christel, auraient servi à mettre en place «une structure d’entreprise complexe et opaque dans plusieurs pays. Six pays européens différents, les Îles Vierges Britanniques et l’État américain du Delaware ont été impliqués dans ce qui s’avère être une manœuvre de blanchiment d’argent»

«Ces faits ont été découverts. Ils cachent ces choses très bien», a réagi Mariana Abreu de Global Witness pour expliquer le temps pris pour la publication de ce rapport presque cinq années après.

Agé de 44 ans, Denis Christel Sassou Nguesso est un député d’Oyo (nord)-fief de son père Denis Sassou Nguesso qui cumule 35 ans à la tête du Congo-il a été jusqu’en 2016 la deuxième personnalité de la puissante Société nationale des pétroles du Congo (SNPC).

Bon à savoir, Global Witness avait déjà ménée une enquête qu’elle a publiée en avril dernier. L’ONG accusait un autre enfant du président Sassou N’Guesso.  Claudia Sassou Nguesso, puisqu’il s’agit d’elle, 46 ans, députée et également responsable du Département de la communication à la présidence du Congo, aurait reçu près de 20 millions de dollars (12 milliards de FCFA) de fonds publics apparemment détournés et utilisés pour l’achat d’un appartement de luxe dans le Trump Hotel & Tower à New York.

Dans cette autre enquête, u homme d’affaires portugais José Veiga «se trouve au cœur de l’apparente stratégie de blanchiment d’argent des Sassou-Nguesso», c’est du moins ce que révèle écrit l’ONG. «Ce célèbre homme d’affaires portugais est connu pour être un homme de main de la famille présidentielle congolaise pour ce qui concerne les entreprises», affirme-t-elle.

Oyo : Denis Christel Sassou N’Guesso rencontre ses mandants

C’est sa première descente au bord de l’Alima en tant que député siégeant, celui-ci n’avait jamais siégé pour des raisons d’incompatibilité avec ses précédentes fonctions.

Le député de la circonscription d’Oyo 1, dans le département de la Cuvette (nord), Denis Christel Sassou N’Guesso a rencontré sa base, lundi dernier, pour lui rendre compte des travaux de la cinquième session ordinaire de l’Assemblée nationale.

Denis Christel Sassou N’Guesso, membre de la commission Affaires étrangères et des Congolais de l’étranger à l’Assemblée nationale, a édifié ses électeurs sur les affaires examinées et adoptées par la chambre basse du parlement, entre autres, les projets de loi portant création du port autonome d’Oyo et la zone économique spéciale d’Oyo-Ollombo.

Les préoccupations des mandants ont porté sur la rareté de l’eau potable, l’école, l’emploi, les coupures de l’électricité et le coût élevé des factures, l’insécurité.

Réagissant aux doléances de sa base, le député d’Oyo 1 a rassuré de la reprise des travaux de remplacement des pano-solaires défectueux, pour mieux éclairer les quartiers reculés. Ce sera le cas pour d’autres questions sociales comme l’équipement des centres de santé communautaires, la réfection des forages et des écoles.

Il a également rassuré ses mandants que les questions relevant du gouvernement seront transmises à l’Assemblée nationale qui, à son tour, les acheminera à l’équipe gouvernementale afin que des solutions soient trouvées.

Coopération : Dénis Christel Sassou N’Guesso reçu par le chef de l’État congolais Félix Tshisekedi

Le président de la Fondation Perspectives d’Avenir, Denis Christel Sassou N’Guesso, a été reçu en audience par Félix Tshisekedi, président de la République démocratique du Congo.

Même si rien n’a filtré des entretiens entre les deux hommes, la Presse croit savoir que le partage d’expérience lié aux actions que mène Denis Christel Sassou N’Guesso, à travers sa Fondation, en matière de santé, d’éducation et de formation qualifiante a été au cœur des entretiens.

Le député d’Oyo (nord) a également profité  de l’occasion de présenter au nouveau président de la RDC ses vœux de réussite dans ses nouvelles fonctions.

Pour Denis Christel Sassou N’Guesso, il n’a pas fallu aller bien loin, pour comprendre que l’impact des actions qu’il mène à travers la Fondation Perspectives d’Avenir qui, sans se substituer à l’État, s’est engagée à garantir à ses concitoyens un accès aux droits fondamentaux que sont le droit à la santé, à l’éducation et à la formation qualifiante est allé au-delà des frontières nationales.

Brazzaville : Denis Christel Sassou Nguesso promet cette année d’œuvrer pour l’intérêt et le bien-être de tous les congolais18

Le président de la Fondation Perspectives d’Avenir, Denis Christel Sassou Nguesso a promis cette année, d’œuvrer pour l’intérêt et le bien-être du plus grand nombre de ses compatriotes.

Denis Christel Sassou Nguesso a en 2018  initié le Programme de Santé Communautaire sans oublier la rénovation des établissements scolaires en passant par la publication de son ouvrage « Ce que je crois » ou encore la mise en place du Think Tank « Horizons ».

Il faut aussi inscrire au compte de l’année dernière, la tenue des conférences débats sur l’initiative « Le Congo que nous voulons », réelle plateforme d’échanges avec toutes les couches sociales du pays, dans un esprit ouvert et fraternel, pour essayer de réfléchir ensemble et apporter  de solutions pour le bien-être de tous les congolais.

Depuis la mort de l’État providence au pays, les jeunes s’enfoncent de plus en plus dans la misère, la prostitution, la délinquance, la drogue, la criminalité sans oublier le chômage. Tous ces maux rendent les jeunes désespérés avec un avenir incertain.

Il est important pour nous de rappeler que la République du Congo est un pays producteur de pétrole, une ressource qui contribue à plus de 80% aux recettes de l’État. Mais près de 50% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, et l’accès à l’eau et à l’électricité est encore difficile.

Denis Christel Sassou Nguesso : « Non, je ne suis pas candidat à la présidentielle 2021 ! »

Depuis la parution de son livre «Ce que je crois», en mai dernier, les rumeurs sur l’ambition présidentielle de Denis Christel Sassou Nguesso ont pris de l’épaisseur. Ses paroles rares et très scrutées n’en prennent que plus d’importance. Celui qui se dit citoyen congolais avant d’être le fils du Président a choisi La Tribune Afrique pour répondre en exclusivité et sans équivoque aux questions qui entourent son engagement politique, mais aussi pour livrer sa vision pour l’émergence du Congo. Entretien à bâtons rompus.

Comment voyez-vous votre avenir politique au Congo et quelle place occupe votre fondation dans votre dispositif de carrière ? Sachant que beaucoup y voient une plateforme au service de vos ambitions présidentielles….

Mon avenir politique je ne sais pas de quoi il sera fait. J’ai créé cette fondation en 2013 et j’ai été élu député en 2012. Est-ce que j’ai utilisé cette plateforme pour servir jusqu’à présent mes ambitions politiques ? Non et ces dates le prouvent.

Je n’ai pas créé cette fondation dans le but de faire carrière, mais plutôt parce que mon empathie naturelle m’a toujours amené à me tourner vers les autres. Alors disons-le clairement, je n’ai jamais imaginé mon avenir politique à partir de cette structure. Cela étant, vous me donnez l’occasion de rappeler ce que sont nos actions et notre bilan : des vaccinations à grandes échelles, des campagnes communautaires de santé, des formations qualifiantes ou des bourses d’études pour des jeunes parmi les moins favorisés.

Concernant les ambitions présidentielles dont vous parlez, je mets au défi quiconque de se présenter devant moi et affirmer que je lui en ai déjà fait part. Cette rumeur est faite pour susciter des oppositions inutiles au sein de ma famille politique, ce qui n’apporte rien au débat démocratique.

Vous avez affirmé en Janvier 2014 qu’avant d’être le fils du Président Sassou Nguesso, vous vous définissez d’abord comme un citoyen Congolais, est ce que cela signifie que vous êtes capable de distance critique vis-à-vis du bilan de votre père ?

Je pense même l’avoir affirmé bien avant 2014, qu’en effet je suis avant tout un citoyen ayant les mêmes droits et devoirs que tout Congolais.

La question ne se pose pas en termes de critiques ou pas de son bilan, mais il faut simplement être conscient que tout ce que nous avons fait n’est pas parfait et le rôle de sa majorité à laquelle j’appartiens est justement de l’aider à corriger ce qui a été mal fait et d’apporter des solutions pour contribuer à régler les problèmes auxquels les congolais sont confrontés, car ne l’oublions pas, c’est cela le travail d’un homme politique et rien d’autre.

L’on dit que c’est sous la pression du FMI que vous avez été contraint à quitter votre poste au sein de la SNPC, votre nom ayant été abondamment cité comme étant un ayant-droit économique caché de nombreux contrats pétroliers au Congo Brazzaville. Qu’avez-vous à répondre à cela ?

Je voudrai rappeler que le Congo est un pays souverain. Quand nos responsables négocient avec le FMI, je puis vous assurer que les enjeux et les questions ne sont pas au niveau des personnes. Quel était l’objet de cette négociation si ce n’est d’assurer une reprise de la croissance économique fondée sur un équilibre budgétaire pérenne et de restructurer notre dette pour la rendre soutenable ?

Il n’y a donc eu aucune pression pour ma nomination en 2011 et parallélisme de formes faisant, il n’y en a pas eu non plus pour que je m’oriente vers une autre opportunité professionnelle.

Au de-là, Je tiens à rappeler qu’il n’y a jamais eu de malversations dans cette entreprise en ce qui concerne les contrats, ceux qui affirment le contraire n’ont qu’à en apporter la preuve.

Depuis plusieurs mois, et notamment la publication de votre livre aux allures de programme électoral «Ce que je crois», le tout-Brazzaville bruisse de votre probable candidature à la présidentielle de 2021. En parallèle, beaucoup de vos partisans font planer cette hypothèse et entretiennent le mystère sur vos intentions. Pouvez-vous nous dire si vous serez candidat en 2021 ?

En premier lieu je pense que le Congo ne peut se passer du Président Denis Sassou Nguesso comme candidat en 2021, pour des raisons qui sont nombreuses et c’est la raison pour laquelle je souhaite qu’il soit candidat en 2021 et je travaille d’ailleurs avec d’autres depuis quelques mois pour l’aider à être réélu en 2021.

Pour répondre donc de façon précise : non, je ne suis pas candidat à l’élection présidentielle en 2021 !

Par ailleurs, mon ouvrage «Ce que je crois» n’est en rien un programme, mais plutôt l’opportunité pour moi de partager avec mes concitoyens ce que j’ai réalisé avec ma fondation à l’endroit des personnes issues des milieux les plus défavorisés en matière d’éducation et de santé.

Pour mémoire, certains cadres de mon parti dans un passé récent ont écrit des ouvrages que personne n’a qualifiés étrangement de «programme électoral» !

Je pense simplement qu’il existe au sein de la majorité présidentielle et au PCT, certains acteurs politiques qui nourrissent des ambitions présidentielles et veulent se cacher derrière de fausses polémiques. Croyez-moi vous les verrez sortir du bois dans pas longtemps et je serais disposé, si vous le souhaitez, à refaire ce débat.

Les différentes tentatives de diversification du tissu économique congolais pour le sortir du piège des matières premières n’ont visiblement pas donné leurs fruits, et le pays semble aujourd’hui pris en étau. Qu’est ce qui n’a pas marché selon vous ?

Il y a des facteurs exogènes qui expliquent cette difficulté à diversifier l’économie et ne plus être tributaire de la ressource pétrolière. On ne balaie pas d’un trait de plume une histoire, celle d’une économie qui a reposé depuis des décennies sur cette activité. Je pense humblement que nous ne sommes pas allés assez loin dans ce que nous avons entrepris pour développer une économie alternative afin de sortir du tout pétrole.

Des voies de diversification sont possibles. Je les évoque dans mon livre et j’insiste sur la condition première qui est de disposer d’une jeunesse formée. A cet égard, je vous renvoie aux actions de ma Fondation. En attendant, le gouvernement s’est engagé pour le développement de certaines filières, jusqu’à des activités de transformation, comme pour l’agriculture, la forêt, l’élevage.

Nous devrions profiter de la beauté de certains de nos sites classés au patrimoine mondial de l’UNESCO afin de développer le tourisme et faire de notre pays une destination touristique incontournable dans la sous-région avec tout ce que cela peut apporter comme bienfaits et notamment en matière de créations d’emplois pour les jeunes ou d’apport en devises étrangères.

A Maloukou (au nord de Brazzaville), une zone industrielle avec 16 usines devrait entrer en activité dans un avenir proche, sans oublier le projet de développer trois autres «zones économiques spéciales» à Pointe-Noire, à Oyo-Ollombo et à Ouesso. Les perspectives, vous le voyez bien, sont là, on peut donc rester valablement optimiste, concernant cette question de la diversification économique.

Quelles seraient les pistes pour permettre au pays de retrouver une croissance plus soutenue, plus inclusive, permettant de réduire le chômage des jeunes et d’aspirer à l’émergence

Dans le cadre de ma Fondation, nous venons de créer un Think tank, HorizonS, pour réfléchir à ces questions et rechercher les meilleures voies pour nous conduire vers l’émergence. Cela étant vous évoquez des sujets complexes. La croissance est un indicateur, l’important est de voir comment redistribuer le plus équitablement les fruits de cette croissance.

Pour ma part, je pense qu’il faudrait en urgence que nous diversifions notre économie d’une part en développant des secteurs, à fort potentiel pour le pays, qui créent de la richesse et qui emploient une main-d’œuvre importante : Agriculture, le secteur du bois, développer les métiers de service, l’économie numérique, Tourisme,…

Il faut investir massivement dans le développement du capital humain à travers l’éducation, la formation professionnelle. Nous devons favoriser l’entrepreneuriat et aider les jeunes à créer leurs entreprises pour éviter qu’ils n’ambitionnent que d’entrer dans la fonction publique, de devenir ministre ou de passer leur temps à créer des associations à caractère politique ou simplement des partis politiques. C’est l’entreprise qui crée de la richesse nationale et des emplois pour les jeunes.

« Mon avenir politique je ne sais pas de quoi il sera fait »

C’est une déclaration de Denis Christel Sassou Nguesso, suite à de nombreuses rumeurs sur ses ambitions présidentielles.

Après la publication de son ouvrage intitulé « Ce que je crois » en mai dernier, les rumeurs sur l’ambition présidentielle de Denis Christel Sassou Nguesso sont de plus en plus ascendantes. Dans une interview qu’il a accordé à nos confrères de La Tribune Afrique, le fils du président actuel de la République du Congo, a affirmé qu’il ne présentera pas à la présidentielle de 2021. Il répondait à la question de savoir s’il sera candidat à la prochaine magistrature suprême. « Non, je ne suis pas candidat à l’élection présidentielle en 2021 ! Par ailleurs, mon ouvrage « Ce que je crois » n’est en rien un programme, mais plutôt l’opportunité pour moi de partager avec mes concitoyens ce que j’ai réalisé avec ma fondation à l’endroit des personnes issues des milieux les plus défavorisés en matière d’éducation et de santé. Pour mémoire, certains cadres de mon parti dans un passé récent ont écrit des ouvrages que personne n’a qualifiés étrangement de « programme électoral » ! Je pense simplement qu’il existe au sein de la majorité présidentielle et au PCT, certains acteurs politiques qui nourrissent des ambitions présidentielles et veulent se cacher derrière de fausses polémiques. Croyez-moi vous les verrez sortir du bois dans pas longtemps et je serais disposé, si vous le souhaitez, à refaire ce débat. », a-t-il répondu.

Fondateur de la fondation Perspectives d’Avenir, une plateforme où beaucoup y voient une machine au service de ses ambitions présidentielle.

« Je n’ai pas créé cette fondation dans le but de faire carrière, mais plutôt parce que mon empathie naturelle m’a toujours amené à me tourner vers les autres. Alors disons-le clairement, je n’ai jamais imaginé mon avenir politique à partir de cette structure. Cela étant, vous me donnez l’occasion de rappeler ce que sont nos actions et notre bilan : des vaccinations à grandes échelles, des campagnes communautaires de santé, des formations qualifiantes ou des bourses d’études pour des jeunes parmi les moins favorisés.

Concernant les ambitions présidentielles dont vous parlez, je mets au défi quiconque de se présenter devant moi et affirmer que je lui en ai déjà fait part. Cette rumeur est faite pour susciter des oppositions inutiles au sein de ma famille politique, ce qui n’apporte rien au débat démocratique. », a-t-il affirmé.

Pour Denis Christel Sassou Nguesso, le Congo a encore besoin de son père comme président de la république. « Je pense que le Congo ne peut se passer du Président Denis Sassou Nguesso comme candidat en 2021, pour des raisons qui sont nombreuses et c’est la raison pour laquelle je souhaite qu’il soit candidat en 2021 et je travaille d’ailleurs avec d’autres depuis quelques mois pour l’aider à être réélu en 2021. », déclare-t-il.

La Fondation Perspectives d’Avenir encourage les jeunes à se lancer dans l’agriculture

La Fondation dirigée par le député Denis Christel Sassou Nguesso a profité de la journée mondiale des entrepreneurs pour sensibiliser les jeunes à se lancer dans l’agriculture.

La Fondation Perspectives d’Avenir a organisé ce lundi 21 août à Brazzaville une conférence-débat portée sur le rôle et la place des entrepreneurs dans la production agricole. Selon les responsables de la Fondation Perspectives d’Avenir, l’agriculture qui constitue l’une des principales sources de revenus en Afrique est pourtant sous-exploitée.

Un prétexte suffisant pour la fondation d’orienter les jeunes entrepreneurs vers ce secteur et préparer ceux qui hésitent à se lancer dans le domaine à mieux s’y prendre. Plusieurs conférenciers suffisamment expérimentés ont à cet effet communiqué sur plusieurs thématiques afin de mieux édifier les porteurs de projets. Rose Marie Ovaga Oba, chargée de mission auprès du directeur exécutif de la FPA a surtout souligné l’importance de sensibiliser les jeunes au développement de la culture entrepreneuriale dans le secteur agricole.

Société : ce que Denis Christel Sassou Nguesso a promis aux populations de Dolisie

Le président de la fondation perspective d’avenir était à Dolisie dans le cadre de la quatrième conférence participative de son projet « le Congo que nous voulons ».

La grande salle de conférence de Dolisie à pratiquement fait le plein d’œuf à l’occasion de la visite de l’initiative  » le Congo que nous voulons » de Perspectives d’avenir. Denis Christel Sassou Nguesso accompagné d’une forte délégation en a profité pour présenter aux populations de Dolisie sa vision du Congo de demain.

Durant environ 3 heures de débats, le fils du chef de l’Etat a tout d’abord présenté les actions de sa fondations en l’endroit des couches faibles. Il est notamment revenu sur la caravane du programme communautaire qui était récemment à Kinkala afin de soigner les malades.  » Ce programme a été mis sur pied pour aider les congolais qui n’ont pas les moyens de se rendre à l’hôpital. Il est gratuit et fera le tour du pays  »  a-t-il précisé.

Le député de Oyo a ensuite loué le fort potentiel des richesses du Congo en général et de Dolisie en particulier. Ainsi, il a annoncé aux populations que sa fondation commandera un audit agricole des terres du Congo afin de savoir la culture qu’il convient exactement de planter dans chaque région du Congo. Il a aussi promis de faire de Dolisie une ville touristique capable d’attirer les étrangers et créer les emplois dans le secteur. Pour Denis Christel, le Congo de demain se fera avec tous les congolais.

Toutefois, de nombreux observateurs de la scène politique voient en cette initiative une pré-campagne présidentielle qu’est savamment entrain d’orchestrer le fils de Denis Sassou Nguesso. Lui-même n’a jamais exclut cette éventualité. « Avant d’être fils du président, je suis un citoyen congolais », affirmait-il à Jeune Afrique il y a quatre ans.

 

La Fondation Perspectives d’Avenir lance le « Think Tank Horizons »

L’ONG dirigé par Denis Christel Sassou Nguesso a officiellement lancé les activités de son « Think Tank Horizons » ce 6 juillet à Brazzaville.

Bruno Jean Richard, le ministre de l’Enseignement supérieur a présidé ce vendredi 6 juillet la cérémonie de lancement du « Think Tank Horizonsé. Une nouvelle initiative de la fondations perspectives d’avenir que préside Denis Christel Sassou Nguesso. « Capital humain et construction de l’émergence au Congo : état des lieux, défis et perspectives à la lumière des expériences d’ailleurs » était le thème de cette première session.

Une thématique qui épouse la vision du plan de développement des 5 prochaines années adopté par le gouvernement. Le Think Tank ou cercle de réflexion Horizons de la Fondation perspectives d’avenir (FPA) se veut une plate-forme et un lieu de rencontre, d’échanges et de production d’idées.

La leçon inaugurale du Think Tank a été faite par le  conseiller spécial du chef de l’État en charge des questions d’éducation, de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, Louis Bakabadio. Le cercle de réflexion est ouvert à tous les congolais et même aux étrangers désireux de réfléchir sur les politiques de développement économique, social du Congo Brazzaville.

Programme de santé communautaire : Les populations de Kinkala soignées gratuitement

Des centaines de malades venus des coins et recoins de Kinkala ont bénéficié gratuitement des soins proposés par le programme de santé communautaire initié par Denis Christel Sassou Nguesso.

C’est fait, le programme de santé communautaire de la fondation perspectives d’avenir s’est déployé avec succès à Kinkala. Les populations du pool(Sud) ont reçu gratuitement les soins de toute nature des médecins spécialistes dépêchés pour la cause par le programme.

Il était surtout question de prendre soin des personnes démunies et vulnérables. Les maladies telles que la chirurgie générale, la cardiologie, la chirurgie pédiatrique, l’ORL, l’ophtalmologie, la stomatologie, avec la chirurgie bucco-maxillo-faciale ont été prises en charge.

Il en est de même pour les malade traînant les cas de pédiatrie, de diabétologie, d’hématologie, de parasitologie, de bactériologie, l’immunologie ainsi que l’imagerie à résonance magnétique, comme examen d’appoint, ou encore l’échographie et la radiologie.

«Ce programme de prise en charge médicale ne résulte pas d’une politique de charme à l’endroit des populations. Nous l’avons déployé parce que nous avons identifié des problèmes et nous essayons d’y apporter une solution directe et pratique », a déclaré l’honorable Denis Christel Sassou Nguesso, initiateur du programme.

Précisons que le programme fonctionne en rotation, il a déjà été exécuté dans d’autres régions du Congo Brazzaville.

Société : Denis Christel Sassou Nguesso fait citoyen d’honneur de Nkayi

L’annonce a été faite par l’administrateur maire Jean-Claude Bameguina au terme du conseil municipal de la ville.

Après avoir donné son nom à l’avenue de la gare dans le premier arrondissement, Denis Christel Sassou Nguesso a été fait citoyen d’honneur de la ville. La décision a été adoptée par l’ensemble des conseillers municipaux de la ville de Nkayi siégeant ce jeudi 21 juin.

 » Cette nomination fait suite à l’engagement de Denis Christel Sassou à œuvrer pour le bien être de notre communauté. Ces actions en faveur de l’éducation, la santé, ont largement aidé nos concitoyens à avancer. Cette nomination est une reconnaissance pour le travail qu’il accomplit au quotidien. J’espère que d’autres villes suivront l’exemple » a indiqué un conseiller municipal de Nkayi.

Président de la Fondation perspectives d’avenir (FPA), le député (PCT) de la circonscription d’Oyo, a engagé via sa fondation un vaste programme d’aide social. Dans la logique de sa vision  » le Congo que nous voulons », il a par exemple distribué plus de 10 000 Kits scolaires dans la cuvette. projet s’inscrivant dans le cadre de l’appui à la promotion et au développement de l’éducation des enfants et des jeunes en vue de leur participation à l’émergence et au développement socio-économique du Congo.

 

Une avenue au Congo porte désormais le nom de Denis Christel Sassou Nguesso

L’avenue Denis Christel Sassou Nguesso est désormais le nom de l’avenue de la gare dans le premier arrondissement Mouana Nto à Nkayi dans la Bouenza (sud). Une nomination faites par l’administrateur maire Jean-Claude Bameguina.

L’annonce a été faite sur télé Congo, l’avenue de la gare dans le premier arrondissement s’appellera désormais avenue Denis Christel Sassou Nguesso. Une décision de l’administrateur maire Jean Claude Bameguina qui a justifié cette distinction par l’engagement humanitaire de celui qui dirige la Fondation perspectives d’avenir (FPA).

Il faut dire que dans le cadre des actions humanitaires de sa fondation, le député (PCT) de la circonscription d’Oyo (nord) depuis le 5 septembre 2012 a implémenté plusieurs programmes d’aide. Notamment sur le plan sanitaire et de l’éducation afin de donner un coup de pouce aux couches défavorisées.

Mais beaucoup voient en cette nouvelle nomination une incursion de plus dans l’espace public afin de se projeter vers le fauteuil présidentiel. Une question qui ne cesse de revenir depuis que le fils du président  a lancé le 2 juin une vaste campagne pour présenter dans plusieurs régions du Congo son livre « Ce que je crois ».

« Je suis un congolais au même titre que les autres. Cela veut dire que j’ai les mêmes devoirs et obligations mais surtout avec les mêmes droits. Donc, s’il y a des hommes politiques qui nourrissent l’ambition un jour d’être candidats, rien ne me l’interdit parce qu’il n’est pas écrit, sauf si j’ai mal lu la Constitution du Congo, que lorsqu’on est fils d’un chef d’État, on ne peut pas faire acte de candidature » avait-t-il coupé court.

 

Les populations de Gamboma reçoivent Perspectives d’avenir : «le Congo que nous voulons»

Une délégation conduite par le député Ibam Gambili s’est rendue à Gamboma pour exposer la vision prôné par Perspectives d’avenir :  »le Congo que nous voulons ».

Les amis de Denis Christel Sassou Nguesso se sont rendus  à Gamboma afin de présenter la vision « Le Congo que nous voulons ». Lancé le 2 mai à Brazzaville par le fils du président du Congo Brazzaville avec la présentation de son opuscule intitulé  »Ce que je crois », l’initiative poursuit son bout de chemin.

Ce 19 juin, la coordination conduite par le député Ibam Gambili a exposé sa vision sur l’avenir et le devenir d’un Congo expurgé des oripeaux qui parfois détournent la perception réelle des aspirations du peuple. La coordination mise surtout sur la jeunesse comme atout majeur, sur ses compétences et son potentiel capable de porter le Congo vers les sommets.

Lors de cet entretien avec de nombreux jeunes de Gomboma, les échanges se sont voulus francs, direct, sans calcul politique a indiqué le député Ibam Gambili. A l’en croire, l’objectif majeur a été atteint.

 

 

 

 

 

Christel Sassou Nguesso présente sa vision pour le Congo ce 19 mai à Pointe-Noire

Après Brazzaville, c’est au tour de la ville de Pointe Noire d’accueillir Denis Christel Sassou Nguesso. Le président de la Fondation perspectives d’avenir (FPA) dévoilera ce samedi dans la ville océane sa vision pour le Congo.

Denis Christel Sassou Nguesso organise ce 19 mai à Pointe Noire, une conférence participative sur « Le Congo que nous voulons : regards sur Pointe-Noire.» Une façon pour lui de donner aux populations de Pointe Noire sa vision pour le Congo.

Au menu des thèmes qui seront abordés par les panélistes : «Politique de la ville et ses enjeux », «Education, diversification économique, entrepreneuriat et emploi des jeunes ». Comme panélistes, on annonce les personnalités telles que Julien Mikala, Adélaïde Moungani, Louis Bakabadio, Sylvestre Didier Mavouenzela, Francis Carderelle et Denis Christel Sassou Nguesso.

«Ce que je crois », la vision de Christel Sassou Nguesso consigné dans un livre est est subdivisé en six parties. Il s’agit notamment de Ce que je crois, du droit à l’éducation et à la formation, du droit à la santé, du droit au mieux vivre : un défi de développement agricole, de la citoyenneté et de la solidarité, des perspectives d’avenir, un dessein partagé.

Plusieurs congolais voient en ce projet de Christel Sassou un positionnement en vue de briguer la magistrature suprême du Congo. Une hypothèse que le président de la Fondation perspectives d’avenir (FPA) n’a pas confirmée.Toutefois, il a rappelé avoir tout de même le droit comme tout Congolais remplissant les conditions de se présenter un jour à la présidentielle de son pays.

Kinkala reçoit le programme de santé communautaire

L’annonce a été faite par Denis Christel Sassou N’guesso au cours d’une conférence participative tenue à Brazzaville ce mercredi 2 mai.

Denis Christel Sassou Nguesso vient de l’annoncer, le programme de santé communautaire pose en juin ses valises à Kinkala. Les populations du Pool vont bénéficier d’une couverture médicale et sanitaire, à travers ce programme   gratuit destiné à un peu plus de 10 000 personnes.

Le programme initié par le député d’Oyo prendra ses quartiers à l’hôpital de base de Kinkala. Pour accéder aux soins, la seule condition est d’être malade et de se présenter à l’hôpital.

Le programme prend en charge les pathologies suivantes : la chirurgie pédiatrique, la chirurgie générale, la chirurgie de l’adulte, la chirurgie ORL, la chirurgie ophtalmologique, la chirurgie bucco-maxillo-faciale.

Précisons qu’il fonctionne en rotation, il a déjà été exécuté dans d’autres régions du Congo Brazzaville.