Délestages : les conséquences se font ressentir

Jusqu’au 05 décembre prochain, les populations de Brazzaville et de Pointe-Noire vivent au rythme des coupures d’électricité et les conséquences sont déjà visibles.

Les salons de coiffure, maison de couture, pressings, chaudronnerie et autres, fonctionnent avec beaucoup de peine. Le ralentissement de ces activités est la conséquence des délestages intempestives dont font face les populations. Selon Énergie électrique Congo, la période de coupure d’électricité s’étendra pendant 45 jours, et les populations ne sont pas encore au bout de leurs peines.

Selon une source digne de foi, il faudra plus d’un mois avant la fin éventuelle de ce dysfonctionnement énergétique.

La situation embarrasse plus d’un. Les plus nantis utilisent des groupes électrogènes. Mais combien peuvent se permettre ce luxe ? Il est aussi important de soulever que même ceux qui ont des moyens suffisants, sont confronté à la pénurie de carburant.

Congo : la vente des terrains situés sous les lignes haute tension interdite

La décision a été adoptée par le Conseil départemental et municipal de Pointe Noire.

Le Conseil départemental et municipal de Pointe Noire vient de frapper du poing sur la table dans le secteur de la vente des terrains. Le communiqué est formel, il désormais strictement interdit d’occuper ou de vendre les terrains situés dans l’emprise du couloir à haute tension, transportant l’énergie électrique de l’usine à gaz de Côte-matève à la centrale de Mongo Kamba.

Il faut dire que ces terrains avaient fait l’objet d’une expropriation par la commission d’enquête parcellaire de l’année 2008. « Par conséquent, tous ces terrains pour lesquels leurs propriétaires avaient touché une indemnité sont devenus la propriété de l’État. Il est ainsi donc demandé à tous les occupants actuels de libérer sans délai lesdits terrains, sous peine de sanction », précise le communiqué. Selon les autorités locales, cette mesure vise à protéger les populations.

 

Mort d’un homme dans un commissariat : l’enquête piétine à Pointe Noire

Après un mois et demi d’enquête sur la mort du congolais Goma Carel Bianchiny dans un commissariat de Pointe Noire, la police tarde toujours à élucider les circonstances exactes de sa mort. La famille dénonce l’impunité des coupables.

Les proches de Goma Carel Bianchiny ne savent plus à quels seins se vouer depuis qu’il a brutalement été tué au de Tchiali, à Pointe-Noire. Il faut dire que rien n’avance, la police n’a toujours pas conclu son enquête pourtant le jeune homme est mort depuis le 15 août dernier, bientôt deux mois.

Pourtant les proches ont déposé une plainte pour meurtre et abus de pouvoir, mais depuis plus d’un mois, la procédure est au point mort. Toutefois, une information judiciaire a été ouverte pour violation de domicile, arrestation arbitraire et coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort, rappelle Maître Guy Maixent Missamou, l’avocat de la famille.

L’avocat qui est en charge de la défense des intérêts de la famille souligne surtout que personne n’a jusqu’à là été inculpé et les suspects, précise-t-il, sont toujours dans la nature.

Brazzaville : plusieurs artistes africains sur scène du festival Ony music

La première édition de la manifestation aura lieu le 29 septembre, sur l’esplanade du Palais des congrès.

Samedi 29 septembre, la ville de Brazzaville va abriter le festival Ony music. Un évènement qui connaîtra la participation de plusieurs artistes venus de différents pays d’Afrique.

Il s’agira, entre autres, pour le Cameroun, de Blanche Bailly et Shura ; Shan’L La Tieza, du Gabon ; Iba Montana et Gamezi Palace, du Mali ; Yoro Swag de la République démocratique du Congo (RDC) ; et des artistes locaux, à l’instar de Trésor Mvoula ; Youyou Mobangué ; Marvy M’vila ; David Chakalewa ; DJ Boogie Black ; Biz Ice ; Dj Migo One et Mixton de Pointe-Noire. Ce sera aussi une occasion pour les jeunes talents de se démarquer, en première partie des prestations.

Pour cette première édition du festival Ony music, l’argent encaissé pendant ce concert servira à l’achat des fournitures scolaires qui seront remises aux orphelins.

« Nous invitons vivement et chaleureusement tous les Congolais à venir massivement partager cette belle fête africaine. Les tickets sont vendus au prix standard de 5 000 FCFA mais pour les VIP, ça donne droit à certaines commodités que nous avons mises en place », a expliqué le chargé de projet chez Ony-production sur le festival Onymusic, Jules Tchimbakala alias Tim’S.

Cet évènement organisé en marge de la rentrée scolaire, après Brazzaville, se déportera à Pointe-Noirele 06 octobre prochain.  Ce sera aussi l’occasion pour ces artistes de communier avec la population de cette partie du Congo.

Jules Tchimbakala a, précisé qu’Ony production, qui vient d’arriver dans le paysage culturel congolais, ambitionne de faire une place dans le milieu culturel congolais.

Pour la réussite de ce festival, Ony music travaille actuellement avec le Réseau des intervenants sur le phénomène des enfants en rupture, une organisation non gouvernementale qui oeuvre avec différents organismes qui soutiennent les enfants, les orphelinats et les centres d’accueils des enfants en situation de rupture. Cette ONG s’occupe de mettre Ony music en relation avec toutes ces structures afin de les permettre de couvrir le plus grand nombre d’orphelins, de façon que certains d’entre eux ne puissent pas manquer de fournitures à la veille de la rentrée.

Par ailleurs, pour les fêtes de fin d’année, Ony music compte faire une grosse production avec une star internationale américaine.

Congo : Aerco a formulé la demande de certification des aéroports

C’était au cours d’une réunion entre Aerco et l’Agence nationale de l’aviation civile lundi 24 septembre, à Brazzaville.

Le processus de certification internationale des aéroports du Congo est lancé. Les structures aéroportuaires concernées en premier lieu sont Brazzaville et Pointe-Noire, ouvertes à la circulation aérienne internationale.

Le directeur général d’Aerco, Jean Michel Ratron, a mis à la disposition de l’Agence nationale de l’aviation civile (Anac) la demande de certification. Il l’a fait après une réunion entre les deux parties visant notamment à évaluer les contours liés à la procédure, les responsabilités des unes et des autres, le niveau atteint dans cette démarche y compris.

Les éléments constitutifs cette demande formelle déposée par Aerco sont entre autres, le formulaire du certificat d’aérodrome, le manuel d’aérodrome contenant les dix-sept procédures obligatoires, le plan d’urgence, le programme de sûreté de l’aéroport, les fiches d’obstacles.

« Il y a des critères qui sont fixés par l’Organisation internationale de l’aviation civile qui porte à la fois sur les installations, les procédures de la gestion, de la sécurité et de la sûreté de manière à ce que les passagers qui utilisent les plates-formes aéroportuaires puissent voyager sans problème au plan national et international », a indiqué le directeur général d’Aerco.

Jean Michel Ratron a précisé que « Les compagnies aériennes internationales ne viendraient pas à Brazzaville ou à Pointe-Noire si elles n’étaient pas certaines de la sûreté et de la sécurité de ces aéroports. La certification ne vient que pour couronner cette sûreté ou cette sécurité ».

Le directeur général de l’Anac, Serge Florent Dzota, pour sa part, a dit : « Nous allons veiller à la réussite de ce processus de certification. Un grand travail vient d’être fait sur les supports entre les deux parties. Le reste du travail est lié aux inspections, audits, la formation, etc. », a-t-il dit.

Le festival « Reggae Kongo dia Ntotila » ouvre ses portes le 14 septembre à Pointe Noire

La conférence de presse de lancement du festival s’est tenue ce 12 septembre en compagnie des partenaires et artistes.

Jah Thiano, l’initiateur du projet « Reggae Kongo dia Ntotila » a donné une conférence de presse ce mercredi 12 septembre à Pointe Noire. Pour cette sixième édition, le thème retenu par le comité d’organisation est assez simpliste et profond : « Paix ». « Il n’y a point  de développement sans paix car c’est elle qui est la première ressource nécessaire pour la bonne marche de la communauté », a expliqué Jah Thiano.

« Nous louons les efforts  qui se font dans le pays en faveur de la paix mais notre souhait est que cette paix ne s’arrête pas aux simples mots, qu’elle soit concrétisée dans les actes. C’est ce que véhicule la musique reggae qui est rythme des non violents, un rythme qui fait l’apologie de la paix », a-t-il ajouté.

Selon le chronogramme de l’événement, les artiste Ousmane Keita (Gambie), Ndara, Christian Ouyssika et King Servo  (Congo), Jah Nyamsi Sélassié (Cameroun) et Faya Man (Côte d’Ivoire) presteront pendant 5 jours. Ils partageront via leurs chansons et rythmes les valeurs d’humanité, de solidarité et d’unité. Notons qu’en qu’en marge du festival, il sera organisé, dans l’enceinte de « Télé Congo » Pointe-Noire, outre les prestations musicales, un défilé de mode sans oublier l’exposition d’œuvres d’art qui a lieu aussi sur la terrasse du Pinocchio.

Congo : crash d’avion près de Pointe-Noire

L’avion avec à son bord deux passagers s’est écrasé dimanche près de Pointe-Noire, dans le sud du Congo. Une perte en vie humaine…

Les populations de Pointe-Noirs ont vécu une fin de weekend agité ce dimanche 2 septembre. Un planeur ultra-léger motorisé, plus couramment appelé ULM, s’est écrasé. L’avion avec à son bord, un banquier français et un chef d’entreprise a fait un mort et un blessé grave.

L’accident, dont on ignore encore les causes, s’est produit aux environs de 16h30 près de la bourgade de Matombi, vers la Pointe indienne en amont de Pointe-Noire, a indiqué la firme Congo Terminal, filiale du groupe français Bolloré. L’appareil a chuté alors que les deux passagers effectuaient un vol de plaisance.

 

Selon les premières informations glanées sur le terrain, le passager blessé est le directeur de Congo-Terminal,  filiale du groupe  »Bolloré Transport & Logistics ». Il a eu la vie sauve grâce à un paysan qui l’a très rapidement extrait des cendres. Rappelons que l’appareil accidenté est la propriété de l’aéro-club de Pointe-Noire. Il sert régulièrement aux vols de plaisance dans la localité.

Congo : épidémie de fièvre jaune déclarée à Pointe-Noire et dans le Kouilou

L’annonce officielle a été faite ce 30 août via un communiqué à la presse. Les mesures ont été prises par le ministère en charge de la santé pour combattre l’épidémie.

Depuis le 24 août, une épidémie de fièvre jaune menace Pointe Noire et ses environs, l’alerte a été donnée par le ministère de la santé. Selon le communiqué publié qui n’a pas donné des précisions sur les statistiques en l’état actuel, l’épidémie se propage à grande échelle. L’inquiétude est d’autant plus grande, car Pointe Noire est une ville commerciale, les populations sont en perpétuelle migration.

Comme principale mesure pour limiter la contagion, le ministère de la santé en partenariat avec d’autres organismes a prévu d’organiser une campagne nationale de vaccination dans les centres fixes et postes supplémentaires de vaccination. La campagne qui est gratuite vise les enfants âgés de 9 mois et plus.  La mesure ne concerne pas les enfants de moins de 9 mois et les femmes enceintes.

En outre, le ministère encourage la destruction des gîtes larvaires et des moustiques adultes dans les maisons et les lieux publics. Rappelons que la fièvre jaune est une maladie transmise par la piqûre d’un moustique. Elle a essentiellement pour signes, une fièvre élevée et des yeux jaunes. Le patient développe aussi un ictère qui se caractérise par des urines d’un jaune foncé.

Brazzaville et Pointe-Noire accueillent un salon éducatif

L’activité dénommée  » Expo Edu Africa 2018″ sera organisée en début de semaine prochaine dans les deux capitales par l’ONG Fumaf, en partenariat avec une université américaine.

Le salon ‘’Expo Edu Africa’’ vise à promouvoir une éducation de qualité, en octroyant aux étudiants congolais des bourses d’études supérieures dans quelques universités européennes et américaines. Il est prévu dans la ville océane, le 6 août, et dans la ville capitale, le 8 du même mois. Au cours de celui-ci, les animateurs échangeront de manière interactive avec les jeunes. Ils profiteront de l’occasion pour leur présenter les opportunités d’études supérieures qui s’offrent à eux, avec la possibilité d’obtenir des bourses d’études aux frais académiques réduits.

Dans son communiqué de presse du 2 août, Femaf précise que les bourses d’études mises en jeu sont de trois catégories. Le premier type est celui dont l’étudiant ne paie que 50¨% de frais académiques, le reste étant supporté par l’ONG et ses partenaires.

Il est prévu aussi des bourses réduites à 75%, pour lesquelles les étudiants bénéficiaires ne paieront que 25% de la totalité des frais académiques, ainsi que celles dont l’étudiant ne paie rien.

À l’occasion de ce salon, Femaf va organiser un test de compétence en langue anglaise à Pointe-Noire et à Brazzaville. Une partie d’étudiants admis à cette évaluation bénéficiera d’une bourse d’études à l’université américaine Girne, basée en Turquie et dotée de cent cinquante spécialités. Hormis les étudiants, l’ONG Femaf tend aussi la perche aux touristes et hommes d’affaires désireux de visiter ces pays.

Femaf est une organisation non-gouvernementale qui œuvre dans la promotion d’une éducation de qualité, animée par les ressortissants des deux Congo.  En République démocratique du Congo, la même activité a déjà eu lieu dans les villes de Mbuji-Mayi, Lubumbashi, Katanga.

Au Congo Brazzaville, la structure est dirigée par Roch Nganga. Le Salon Expo Edu Africa 2018 devrait aussi se tenir très prochainement à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Le salon éducatif vise à promouvoir une éducation de qualité, en octroyant aux étudiants congolais des bourses d’études supérieures dans quelques universités européennes et américaines.

Culture : la caravane du livre se balade à Pointe-Noire

Le Bibliobus qui dessert tous les quartiers de la ville  n’ayant pas de bibliothèques s’est arrêté, le 19 juillet, au siège du groupe K-Musica, à Pointe Noire.

C’est l’Institut français du Congo (IFC) qui a initié le concept, le bibliobus, une sorte de bibliothèque mobile se ballade dans les quartiers de Pointe Noire. Il faut dire que les bibliothèques sont rares dans les établissements publics et souvent même inexistantes dans les quartiers. L’équipe de la médiathèque de l’IFC a décidé de s’arrêter ce 19 juillet à Nkouikou pour permettre aux jeunes d’avoir le livre à portée de main.

Au cours de cette activité, ces jeunes ont bénéficié d’un petit cadeau de coloriage (feutres, crayons de couleur) pour illustrer leurs créations. « Ce bibliobus sillonne les rues de différents quartiers de la ville afin de permettre aux jeunes d’avoir accès aux livres et de se cultiver. Le but pour nous est d’aller plus loin de l’IFC, notamment pendant la période de vacances scolaires où la plupart des enfants sont sans activités, de découvrir le plus de quartiers et d’apporter un petit moment d’amusement, de joie et de rêve aux enfants. Je remercie le groupe K-Musica, notamment son président Yves Saint Lazard, qui nous a prêté son espace», a expliqué Léa De Haese chargée de mission livre à l’IFC.

Notons que l’ événement a été aussi marqué par un atelier d’éveil artistique en percussion qui a permis à ces jeunes de concilier lecture et tam-tam. A en croire Yves Saint Lazard, président du groupe K-Musica, cette activité permet aux jeunes de se cultiver davantage pour devenir les cadres de demain. La caravane conduite par le l’IFC se baladera pendant 24 jours à Pointe Noire.

Les cuiseurs « Congo mboté » à la portée des ménages

Fabriqué par des artisans nationaux, le cuiseur moderne à charbon et à bois permet d’économiser plus de 40% de charbon et 50% de bois.

La cérémonie du lancement officiel de l’extension du projet, filière cuiseurs économes dans la ville de Pointe-Noire, a eu lieu le 17 juillet au centre de formation Don Bosco, dans le troisième arrondissement Tié-Tié, en présence de Todd P. Haskell, ambassadeur des États Unis au Congo. La science a démontré que l’exposition quotidienne aux fumées est responsable de plusieurs maladies. Le cuiseur Congo Mboté, dont le but est de lutter contre la déforestation, réduit, grâce à sa technologie, les fumées toxiques dégagées lors de la cuisson et les risques de santé des maladies liées aux fumées (maladies pulmonaires et des yeux).

Ces cuiseurs permettent également d’éviter les pertes de chaleur. Ils optimisent le rendement calorifique pour la cuisson et réduisent des émissions de gaz à effet de serre. L’extension de ce projet dans la ville de Pointe-Noire et la mise en vente de ces cuiseurs étaient attendues par les Ponténégrins. Dans son mot de circonstance, Julien Petit Jean, responsable du programme filière cuiseurs économes, a donné l’importance de ce projet, initié il y a quelques années dans la ville Brazzaville par l’ONG française Initiative développement.

En effet, après plus de cinq mille ventes dans la capitale politique, grâce à l’appui financier de l’ambassade des États-Unis et de bien d’autres partenaires, cette ONG a décidé de lancer l’extension de son projet dans la ville de Pointe-Noire. « Nous avons développé toute une gamme de cuiseurs économes communément appelés « Lituka Congo Mbonté », un produit moderne fabriqué par les Congolais qui permet aujourd’hui aux femmes d’économiser plus de 50% de bois et 40% de charbon par rapport aux foyers traditionnels. Et grâce à la collaboration avec Actions de solidarité internationale et le centre de formation Don Bosco, nous formons, nous accompagnons et nous responsabilisons toute une génération en lui donnant le goût d’entreprendre et de renforcer son autonomie. Cette approche consiste à appuyer la mise en place d’une filière économique locale », a-t-il dit.

L’ambassadeur des États-Unis a salué le caractère innovant de ce projet, tant sur le plan technique que sur la méthodologie de sa mise en œuvre sur le terrain. Pour lui, il s’agit là d’un projet intéressant qui crée des opportunités économiques dans le pays et réduit également l’impact de pollution tout en contribuant à l’amélioration de la qualité de vie de la population. Pour sa part, l’administrateur-maire de Tié-Tié, Ambroise Bayakissa, s’est dit heureux de prendre part à cette rencontre de responsabilité et de solidarité. Responsabilité vis-à-vis de la nature et de l’environnement car depuis quelques années, a-t-il déclaré, le monde entier se mobilise pour décrier une industrialisation qui ne tient pas compte d’une obéissance à la nature.

Aujourd’hui, grâce à ce projet, les Congolaises vont réaliser une véritable économie de combustible et de moyens financiers. Ce projet va également abroger la pénibilité de leur travail au quotidien et laissera ainsi respirer les forêts victimes de l’abattage sauvage de bois sans le remplacer. « Cette économie de bois a des répercutions écologiques et économiques et un gain de temps et d’effort.  Ce projet va donc contribuer à garantir l’avenir de notre écosystème forestier dont la valeur en nombre d’espèces, de plantes, d’oiseaux, de mammifères est exceptionnel », a déclaré l’administrateur-maire de Tié-Tié.

Enrôlement des jeunes à Pointe-Noire : le gouvernement et la BM satisfaits de l’évolution

Nicephore Antoine Thomas Fylla Saint-Eudes et Korotoumou Ouattara l’ont exprimé leur satisfaction lors de leur visite dans les différents centres de collecte des candidatures.

Le ministre de l’Enseignement technique et professionnel, de la Formation qualifiante et de l’Emploi, Nicephore Antoine Thomas Fylla Saint-Eudes et la Banque mondiale par sa représentante résidente pour la République du Congo, Korotoumou Ouattara, ont effectué une visite dans les différents centres de collecte des candidatures pour les formations.

Ces formations gratuites sont une initiative du Projet de développement des compétences pour l’employabilité (PDCE).

« A ce jour, nous avons reçu au niveau de Pointe-Noire, 4 915 jeunes et de Brazzaville 9 400, ce qui nous donne un total avoisinant les 13 000 jeunes. Pour nous, c’est un indicateur important de la demande de la formation au niveau de la jeunesse. Nous sommes d’autant plus heureux que les deux responsables soient là afin d’ouvrir les autres possibilités ou solutions de formation qu’attendent les jeunes », a déclaré l’un des initiateurs du projet, Auxence Léonard Okombi.

Après deux semaines d’enrôlement, Korotoumou Ouattara a indiqué : « Nous savons que la formation est une priorité du gouvernement du Congo. La Banque mondiale a appuyé le gouvernement dans son plan de développement dans lequel il est question de mettre l’accent sur le développement du capital humain et donc l’éducation et l’apprentissage des jeunes, surtout pour réduire le chômage au niveau des jeunes, des femmes et des couches défavorisées ».

« En dehors de ce projet, nous allons développer aussi le projet de compétitivité qui aide les jeunes à développer des entreprises, le projet agricole qui va prendre aussi en compte la formation des jeunes, surtout que le gouvernement veut mettre l’accent sur la diversification de l’économie en priorisant le domaine agricole. Toutes les activités iront de pair pour qu’on puisse avoir l’impact au niveau de nos appuis et du gouvernement », a ajouté le fonctionnaire de la Banque mondiale.

Les inscriptions à Pointe-Noire pour les formations qu’offre le PDCE prend fin le 22 juillet.

Zone économique spéciale: la signature de la convention prévue en septembre

Annonce faite mardi 17 juillet à Brazzaville, par le ministre des zones économiques spéciales, Gilbert Mokoki.

Le ministre des zones économiques spéciale, Gilbert Mokoki a eu un échange avec l’ambassadeur de Chine au Congo, Ma Fulin. C’était le 17 juillet à Brazzaville, où les deux hommes ont évoqué la signature de la convention des zones économiques spéciales.  Un document qui sera paraphé en marge du Forum sur la coopération sino-africaine qui aura lieu dans deux mois à Beijing.

« Le chronogramme sera respecté et nous espérons démarrer les travaux en janvier 2019. La convention de développement de la zone économique spéciale de Pointe-Noire sera signée en septembre », a-t-il déclaré.

« La commission nous rendra compte de la fin des travaux et du résultat de l’enquête pour que nous établissions, au niveau du gouvernement, un calendrier des expropriations afin que soit disponible en septembre ou au plus tard en octobre le premier périmètre de 812 hectares », a ajouté le ministre Mokoki.

Après les expropriations, la société qui sera chargée de développer le projet entamera les travaux d’aménagement et de construction des infrastructures de base, afin de permettre l’implantation de la zone économique spéciale de Pointe-Noire.

La zone économique spéciale de Pointe-Noire est la première à mettre en place sur les quatre que le gouvernement entend implanter dans le pays, notamment à Brazzaville, Oyo-Ollombo et Ouesso.

Pointe-Noire : vers la mise en place d’une structure d’analyses chimiques

C’est le projet d’un accord de partenariat signé le 5 juillet, à Brazzaville, entre le directeur général de l’Institut national de recherche en sciences exactes et naturelles, et le représentant la société Green service Sarl.

La ville de Pointe-Noire, se verra bientôt doté d’un laboratoire d’analyses chimiques. Le projet a ressemblé à Brazzaville le 5 juillet dernier, le directeur général de l’Institut national de recherche en sciences exactes et naturelles (Irsen), Clobite Bouka Biona, et le représentant de la société Green service Sarl, Della Corte Marcello. Il était question au cours de la rencontre de signer un accord de partenariat pour la mise en place du futur laboratoire.

L’implémentation de la structure vise, entre autres, de déterminer les polluants d’origine hydrocarburée présents dans les rejets de l’exploitation pétrolière, et c’est la société Green service Sarl qu se chargera des équipements.

« C’est un laboratoire qui va permettre de mieux maîtriser la pollution industrielle au niveau du Congo. Nous souhaitons le mettre en marche d’ici au mois de septembre. Le temps d’emmener les équipements et les dédouaner et les mettre à la disposition de l’Irsen de Pointe-Noire qui prendra en charge ces équipements et démarrer les activités. Je pense que, entre achat, expédition et dédouanement, au mois de septembre, c’est faisable », a indiqué Della Corte Marcello.

La société Green service est installée à Pointe-Noire depuis 2013, et opère avec l’appui de la société IC& Parteners de la République de Saint Marin. Celle-ci apporte son appui à la recherche scientifique dans tous les pays où elle est installée.

« Nous travaillons depuis trois ans au niveau de la raffinerie Coraf. Avec l’appui de l’Irsen, nous traitons toutes les boues huileuses de la raffinerie. Vu les résultats que nous avons obtenus, nous sommes en train de créer un centre à Tchamba-Nzassi pour le traitement des déchets industriels. C’est un investissement de six cents millions FCFA que nous sommes en train de réaliser, nous espérons que ce centre sera opérationnel à partir du 1er janvier 2019 », a conclu Della Corte Marcello.

Pour le directeur général de l’Irsen, ce partenariat portant sur l’équipement d’un laboratoire d’analyses chimiques et biologiques va permettre de booster tout ce qui est problème d’analyses au niveau de la Cité scientifique de Pointe-Noire.

« Je pense que c’est une très bonne chose de voir des entreprises, quelles que soient leurs tailles, se mettre à appuyer le système de la recherche. En effet, dans ce système de la recherche, nous avons besoin de tels laboratoires qui se mettent en place pour nous aider à la formation des étudiants pour compléter leur cursus. C’est une formation à la recherche, nous y participons dans ces conditions-là », s’est réjoui Clobite Bouka Biona.

Téléphonie mobile : le directeur général de l’Arpce explique la nouvelle tarification

Lors d’une conférence de presse tenue à Pointe-Noire, Yves Castanou, le directeur général de l’Agence de régulation des postes et des communications électroniques a échangé avec les acteurs du secteurs.

Mardi 03 juillet dernier, le directeur général de l’Arpce a échangé, avec l’ensemble des utilisateurs du numérique et les responsables des associations des consommateurs de la ville océane, sur la nouvelle tarification Voix et Data. C’était au cours d’une conférence de presse à Pointe-Noire. Il était question au cours de cette rencontre, de communiquer et de sensibiliser les acteurs de ce secteur d’activité, sur ce qu’il a appelé « encadrement tarifaire ».

Pour le directeur, l’encadrement tarifaire dont il est question, n’est pas en réalité une hausse mais seulement un encadrement. Celui-ci consiste à expliquer aux consommateurs les dangers et les challenges que court le secteur du numérique.

« Le Congo n’est pas du tout en retard par rapport aux autres. Nous avions des réalités, des contraintes, des challenges et de bons résultats. Nous avions vu ensemble qu’en deux ans seulement, les tarifs ont baissé de 75% entre 2016 et 2018. Aujourd’hui, le Congo n’a pas assez d’infrastructures mais beaucoup de réflexions sont en train d’être faites par le gouvernement de la République. L’Arpce se devrait de procéder à un encadrement tarifaire en vue de stabiliser le revenu du secteur et assurer son bon fonctionnement », a-t-il indiqué.

S’exprimant sur la fameuse augmentation de la demande tarifaire,

Yves Castanou a tenu à préciser que l’offre toxique de 1 GB qui fait polémique, est un et une promotion des opérateurs et doit être arrêtée au risque de causer des conséquences extrêmement néfastes pour le secteur. « Les opérateurs vont continuer à faire toutes sortes de promotions, chaque opérateur a une cinquantaine d’offres. L’Arpce a juste retiré quelques offres qui sont toxiques, il ne s’agit pas d’une quelconque augmentation », a conclu Yves Castanou.

 

Pointe-Noire : plaidoyer sur la protection de l’enfant

C’était à l’occasion de la commémoration de la journée de l’enfant africain célébrée le 16 juin au Centre culturel Jean- Baptiste-Tati-Loutard.

Le Réseau des intervenants sur le phénomène des enfants en rupture ( Reiper), a fait un plaidoyer concernant les textes d’application de la loi n°4-2010 du 14 Juin 2010 portant protection de l’enfant en République du Congo. C’était à Pointe-Noire, à l’occasion de la commémoration de la journée de l’enfant africain qui s’est célébrée le 16 juin dernier.

Cette célébration à Pointe-Noire a été une initiative conjointe du Reiper et des directions départementales des Affaires sociales ; de l’Action humanitaire ; des Sports ; de la Jeunesse et de l’éducation civique.  Il s’est agi d’attirer l’opinion nationale à œuvrer en faveur du respect des droits de l’enfant en accélérant la signature des textes d’application.

A cet effet, Raphael Ellul, directeur du Samusocial et point focal du Reiper à Pointe-Noire, a présenté la situation des droits de l’enfant au Congo. Selon lui, deux raisons expliquent l’urgence de signer ces textes, notamment l’examen de la situation du pays en matière des droits de l’homme (droits de l’enfant y compris), le 14 novembre 2018 à Genève (Suisse) appelé examen périodique universel (EPU). Cet instrument des Nations unies examine la situation des droits de l’homme des nations membres tous les quatre ans et demi. Ledit examen est suivi des recommandations que le pays audité doit mettre en pratique en vue d’améliorer la situation des droits de l’homme. Les recommandations faites au Congo en 2014 et 2009, en matière des droits de l’enfant, sont pour la plupart restées lettres mortes.

De ce point de vue, signer les textes d’application en vue de donner un caractère plus contraignant à la loi n°4-2010 du 14 juin 2010 portant protection de l’enfant en République du Congo serait pour le Reiper, les autorités et la communauté internationale, un véritable pas vers la mise en place d’un Etat engagé à respecter les droits de l’enfant, a-t-il martelé. « C’est, d’ailleurs, l’occasion de montrer au niveau mondial que le Congo n’est pas en marge des textes sur la protection des droits des enfants », a-t-il encouragé.

Le deuxième fait est celui lié au phénomène des jeunes délinquants dits « bébés noirs », qui sévissent à Brazzaville et Pointe-Noire en organisant des vols en bandes armées. L’Etat est appelé à prendre « soin des enfants laissés pour compte, et agir fermement face à ces jeunes », a-t-il renchéri.

Pour corroborer les propos de Raphael Ellul, Jessica Mamoni Goma, substitut du procureur de la République, procureur près du tribunal pour enfants et représentante du président du tribunal, a souligné que la mise en place des textes d’application permettra au tribunal de faire des jugements rapides. « Notre premier objectif, c’est de protéger les droits de l’enfant et la loi Potignon nous aide beaucoup dans la protection desdits droits, l’application de cette loi permet aux magistrats d’aller à la condamnation d’actes parfois compliqués… » , a-t-elle dit, avant d’exhorter les enfants à dénoncer les violences dont ils sont victimes pour  permettre au tribunal de les aider.

Prenant la parole, à son tour, la directrice départementale des Affaires sociales, Marie Thérèse Loemba, a remercié le préfet pour son engagement et sa détermination à la réalisation de cette journée et toutes les parties prenantes de leur soutien indéfectible à l’égard des enfants.

De leur côté, les enfants, par l’entremise de leur représentante, ont aussi lancé leur SOS. « Les enfants que je représente vous remercient du soutien que vous nous témoignez par votre présence. Je vous prie de vous engager davantage dans la promotion et le respect de nos droits. Nous vous invitons de passer aux discours pratiques pour qu’aucun enfant ne soit laissé pour compte. Vous avez toujours dit l’enfant, c’est l’avenir. Aidez-nous en accélérant les signatures des textes d’application de nos droits », a-t-elle dit avant de remettre la requête au préfet qui a pris acte de la transmettre aux autorités compétentes.

Il sied de noter que les enfants, encadreurs et autorités ont pris part un peu plus tôt à une marche de solidarité dont le point départ a été la préfecture de Pointe-Noire et le point de chute le Centre culturel Jean-Baptiste-TatièLoutard.

Parmi les partenaires ayant contribué à la réussite de cet événement, on peut citer la société Chevron. La remise officielle et symbolique du chèque de soutien a été faite séance tenante par le directeur de cette société au point focal du Reiper.

Le projet Adapaev à la rescousse de la vulnérabilité des enfants

Lancé le 15 juin dernier à Brazzaville, c’est une initiative du Réseau des intervenants sur le phénomène des enfants en rupture (Reiper).

Le projet « Appui au développement des actions de prévention et d’assistance aux enfants vulnérables (Adapaev) », a été lancé à Brazzaville le 15 juin 2018. C’est un co-financement de l’Union européenne (UE) et la fondation Apprentis d’Auteuil à hauteur de 348 462 euros.

Adapaev a plusieurs objectifs notamment, permettre aux familles vulnérables de faire face à la pauvreté et subvenir aux besoins de leurs enfants ; participer à l’émancipation économique des familles les plus vulnérables et plus particulièrement des femmes qui élèvent seules leurs enfants. Le projet qui a déjà été mis en œuvre à Brazzaville et à Pointe noire est une initiative du Réseau des intervenants sur le phénomène des enfants en rupture (Reiper). Plus de quarante-cinq familles vulnérables et leurs enfants sont concernés par ce projet.

Parmi les personnalités présentes à cet événement, y était compté le chef de coopération à la délégation de l’UE, Tom Ashwanden. Il a tenu à rappeler ce jour, que le lancement du projet Adapaev coïncide avec la célébration de la Journée de l’enfant africain, qui met cette année un accent sur le droit à la participation des adolescents afin qu’ils soient vus et entendus.

Il a fait un état des lieux de la situation socioéconomique critique dont est victime le Congo actuellement.  Pour lui, la chute du prix du baril a accentué et mis en lumière les lacunes du gouvernement dans la gestion des finances publiques. « Cela a diminué considérablement les recettes de l’Etat et a amoindri ses capacités d’assurer la lourde responsabilité qui est la sienne : veiller sur les plus vulnérables. Déjà vulnérables en temps normal, les enfants en rupture vivent aujourd’hui cette crise encore plus fragilisée », a constaté Tom Ashwanden

Tom Ashwanden a tenu tout aussi à préciser que l’UE a choisi d’appuyer ce programme parce qu’elle prône l’universalité des droits de l’homme et des femmes.

Notons que la cérémonie de lancement a été présidé par le directeur de cabinet de la ministre des Affaires sociales, de l’action humanitaire et de la solidarité, Christian Aboké-Ndza. Qui lui a indiqué que la famille était la première cellule de protection de l’enfant, il est de son ressort de veille au développement et au bien-être de celui-ci. Il continue en soulignant que chaque parent a l’obligation d’assurer l’éducation, la scolarisation, la nutrition et la santé de ses enfants. Il a salué le projet Adapaev qui apporte un soutien aux familles par la formation professionnelle et les activités génératrices de revenus, afin qu’elles puissent prendre soins de leurs enfants et de mieux répondre à leurs besoins.

« Nous restons donc persuadés que ce projet intègre bien les objectifs de la politique nationale d’action sociale. Il contribuera au maintien de la cohésion familiale, à la valorisation du rôle éducatif de la famille et au respect de la responsabilité parentale afin d’assurer l’épanouissement de tous les membres de la famille, en particulier les enfants », espère Christian Aboké-Ndza.

Culture : la quatrième édition du Festival international « Pointe-Noire en scène » s’ouvre dans 2 jours

Du 14 au 17 juin, la capitale économique du Congo Brazzaville accueillera ce festival international qui entame sa quatrième édition.

Pour la quatrième fois, la ville de Pointe Noire sera en émulsion, le festival international « Pointe-Noire en scène » ouvre ses portes ce 14 juin.  Au menu, quatre jours de fête, marqués par le slam, les rencontres professionnelles, les scènes ouvertes, les concerts d’artistes locaux et internationaux. Plusieurs espaces culturels ont été réquisitionnés pour la circonstance. Notamment,  l’Institut français du Congo (IFC), l’espace Le Continental, l’espace du Trentenaire, La Structure et le Comptoir.

Durant cette édition, en plus des concerts de musiques, slam, il sera aussi question de mettre en lumière le rôle de la musique dans la société. Pour le lancement effectif de l’événement, le groupe Africa percussion ouvrira le bal à l’espace Le Continental, situé à Mpaka, dans le sixième arrondissement. Cette journée  se poursuivra  à l’IFC avec la grande nuit du slam, de 19 h à 21 h.

La suite du programme prévoit pour le 15 juin trois activités majeures. Il y aura tout d’abord les rencontres professionnelles avec Fredy Massamba, Grodash, Evend voice, Mixton et Lionel K 2Bayonne, de 10h à 14 h, à l’espace La structure, situé  à Siafoumou, dans le cinquième arrondissement. Ensuite à l’IFC, de 19 h à 21 h, la reprise de « A Song For You », en hommage à la soul américaine. L’objectif premier du festival est de mettre en lumière les talents du pays, en général, et de Pointe-Noire, en particulier.

 

Drame : un enseignant Congolais meurt en pleins ébats sexuels dans un hôtel

Son cœur n’a pas pu supporter la cadence de ses dernières chevauchées sexuelles. L’enseignant a rendu l’âme ce vendredi 8 juin dans un hôtel à Pointe-Noire.

Monsieur M. j, un enseignant congolais vient de rendre l’âme suite à un arrêt cardiaque brutale dans un hôtel à Pointe Noire. En effet, l’enseignant s’est brusquement éteint alors qu’il était en pleine randonnée sexuelle avec son amante qu’il tenait visiblement à satisfaire.

A en croire les sources dignes de foi, l’éducateur et la compagne fréquentaient la même congrégation religieuse. Alors que se déroulait une activité importante à l’église, ils ont décidé de se soustraire pour assouvir leur appétit sexuel. Malheureusement pour l’enseignant retraité avancé en âge, c’était la dernière virée de sa vie.

Selon ces mêmes sources, l’enseignant aurait avalé un aphrodisiaque afin d’augmenter ses performances sexuelles, mais son cœur n’a pas pu suivre le rythme. Arrivé au bout de sa course, il s’est effondré sur son amante, la dénommée C.S qui a directement alerté le gérant de l’hôtel.

Malgré son évacuation dans le centre de santé le plus proche, le mal était déjà fait. La police a ouvert une enquête…

Le mauvais état des routes à Pointe Noire inquiète les populations

Circuler sur certains axes à Pointe Noire est devenu tant pour les automobilistes que pour les piétons un parcours de combattant. Une situation qui inquiète chaque jour…

La dégradation des routes à Pointe Noire la capitale économique du Congo prend chaque jour un peu plus d’ampleur, rendant la vie dure aux habitants. A en croire un expert exerçant dans le secteur des ponts et chaussées, cela est principalement dû à l’état de vétusté de ces routes, du manque de canalisation et d’entretien. Il appelle d’ailleurs à l’intervention rapide de l’Etat afin de limiter la facture de la réfection.

La situation est devenu un véritable boulet pour les populations qui ont de plus en plus du mal à circuler pour vaquer à leurs occupations. Les automobilistes qui subissent le plus sont confrontés au quotidien aux difficultés de la conduite. Ils ne cessent de demander aux autorités compétentes de résoudre ce problème qui les empêche de travailler efficacement.

Certains n’hésitent pas à pointer du doigt comme conséquences les accidents ainsi que les embouteillages que cela cause à Pointe Noire.  Sur l’avenue Marien-Ngouabi, par exemple, une grande partie du goudron s’est décapée sur une longueur de plus de vingt mètres, entre l’arrêt de bus 501 et la station-service X-oil, causant souvent un grand embouteillage.

Pourtant, on se souvient qu’en 2014, face à cette même situation, le président Denis Sassou Nguesso avait débloqué un budget de 20 milliards de Francs CFA pour le Ministère de l’Aménagement du territoire chargé des Grands travaux afin de solutionner le problème. Visiblement, rien ne semble décoller…

Des professionnels de la santé publique réunis à Pointe-Noire

Ces professionnels ont participé du 30 au 31 mai à Pointe Noire aux premières journées des sciences infirmières.

Pointe Noire, la capitale économique du Congo a accueilli ce 30 mai  les premières journées des sciences infirmières, ouvertes par Florent Balandamio. L’objectif du directeur de cabinet de la ministre de la Santé et de la Population était de permettre à l’ensemble des praticiens de réfléchir sur l’amélioration de leurs performances.

Pendant deux jours, les infirmiers et infirmière du Congo Brazzaville ont discuté de leur vision actuelle et future, en vue d’un meilleur avenir de la profession.  Les échanges ont permis de définir des pistes de solutions et d’actions, sur la base des communications faites à cette occasion.

Les sujets tels que le droit des malades, l’accueil en milieu hospitalier, le rôle de l’infirmier, l’organisation de la prise en charge, la création d’un cabinet des soins infirmiers, le rôle des associations des infirmiers dans la promotion de la profession infirmière ont été abordés par les panélistes.

Florent Balandamio a encouragé les infirmiers, tout en leur indiquant que la santé publique demeure une priorité pour le gouvernement Congolais.

 

Congo : cent quatre-vingt-deux nouveaux enfants de rue identifiés en 2017

Les chiffres ont été publiés par le service d’aide mobile d’urgence (Samu) social Pointe-Noire dans son rapport d’activité 2017.

Le service d’aide mobile d’urgence sociale Pointe Noire vient de publier son rapport annuelle d’activité pour le compte de l’année 2017. Cent quatre-vingt-deux nouveaux enfants ont été identifiés dans la rue, contre deux cent trente-six  en 2016, soit 86% de garçons et 16% de filles. Une régression positive des nouveaux cas d’enfants dans la rue avec une tendance élevée chez les garçons.

« Cette prédominance s’explique par le mode de vie en rue qui diffère en fonction du genre. Les garçons dorment en rue et sont généralement disponibles pour rencontrer les équipes en soirée lors des maraudes de nuit, tandis que les filles se font loger ou s’organisent pour se loger. Elles exercent très souvent les activités de prostitution la nuit qui parfois les empêchent de se rapprocher des équipes mobiles d’aide. Elles sont moins visibles pendant les maraudes et souvent reculées dans des hôtels, des bars ou petites parcelles » précise le rapport.

En terme de proportion, les enfants de à 0 à 11 ans représentent 24,18% de cette population en 2017. « Ces enfants sont le plus souvent considérés  comme des enfants ‘‘sorciers’’ ou sont rejetés par un des parents lorsque les foyers sont recomposés et la majorité des cas est orientée au Samu social par le biais des commissariats de police.» mentionne le document.

Le rapport relève également l’affermissement des liens entre le Samu et ses partenaires sociaux dont la force publique  qui est devenue un partenaire opérationnel incontournable dans la lutte contre l’exclusion sociale des enfants et jeunes de la rue à Pointe-Noire.

 

 

Congo : Nouveau cas d’abandon et de meurtre de nouveau-né à Pointe Noire

Le corps sans vie d’un nouveau né a été découvert à l’aube à Pointe Noire, par les populations du quartier Louandjili.

Les habitants de Louandjili, un quartier de la capitale économique du Congo Brazzaville viennent de vivre une scène macabre qui continue de choquer. Le corps inerte d’un nouveau-né abandonné par sa génitrice a été découvert dans une canalisation du quartier par un passant. Alertées du drame, les populations ont accouru et ont fait montre d’amertume face à ce nouveau cas d’infanticide.

 » C’est vraiment regrettable, c’est pitoyable, je ne sais même pas quoi ajouté. Le corps de l’enfant était emballé comme un colis. Çà fait mal de vivre ce genre de scène.  » Témoigne un habitant du quartier visiblement bouleversé par le côté ignoble de l’acte posé par la maman du nouveau-né qui reste toujours introuvable.

Stéphane Ngatali, un citoyen de Pointe Noire lance un appel :  » C’est des actes de vandalisme, c’est vraiment un crime ! Les enfants c’est un don de Dieu, et moi je pense que une grossesse c’est une bénédiction c’est aussi une bénédiction. Jeter les enfants dans le caniveau comme ça c’est très regrettable et ces acteurs coupables de ce genre d’acte doivent être punis devant la loi et même devant Dieu. J’attire l’attention à toutes les femmes et à tous les hommes qui se permettent d’engrosser les femmes, puis de les abandonner. Les autorités doivent redoubler de vigilance. »

Les cas d’infanticides sont devenus légion dans la ville océane. En dehors des autorités qui devraient trouver des solutions pour limiter le phénomène, les parents doivent aussi prendre leurs responsabilités afin de mieux veiller sur leurs jeunes filles très souvent abusées par les hommes.

Congo : Un pasteur surpris entrain de transformer ses matières fécales en argent

L’événement fait toujours grand bruit au quartier Tiali (arrondissement 5 Mongo Mpoukou), à Pointe-Noire. Un pasteur originaire de la RDC aurait été surpris entrain de transformer ses matières fécales en billets de banque ! Une histoire surréaliste…

Les faits se seraient déroulés dans la nuit du 27 au 28 mai à Pointe Noire, le pasteur Kitengué, originaire de RDC aurait été surpris en plein mysticisme. C’est en tout cas ce que rapporte adiac-congo.com qui a mis l’histoire incroyable au grand jour.

D’aprés les témoignages recueillis sur place,  le pasteur qui officie dans une église de réveil située à Rex (arrondissement 1 Emery-Patrice-Lumumba) a garé sa voiture au niveau du pont puis s’est livré à un rituel mystique. «Après avoir fait caca, il l’a transformé en des liasses d’argent après un rituel et des incantations. Il y avait des millions. Mais le pasteur ne s’est pas rendu compte qu’un des jeunes du lavage était aux aguets. Le gars l’a surpris en pleine action. Le pasteur n’a pu le corrompre et, pris de colère, il a donné un coup au jeune et ils se sont mis à se battre » raconte un jeune du quartier.

C’est donc la lutte entre les deux hommes qui a alerté les populations du quartier qui ont immédiatement envahi les lieux afin de mieux comprendre. Nul n’avait été l’intervention de la police, le « bon » pasteur aurait peut-être perdu la vie. La police l’a enlevé des mains de la population avant de le conduire vers une destination inconnue.

 

Coupe du Congo de football : les premiers qualifiés attendent les noms de leurs adversaires

A une journée de la fin des préliminaires de la compétition, ce 30 mai, à Pointe-Noire, les premiers qualifiés attendent leurs prochains adversaires au tour suivant.

Brazzaville a sélectionné ses deux derniers qualifiés le lundi.  Yaba sport a pris le dessus sur Red stars (2-0), puis le RCB a battu Racine club Olympique (3-1). Ces deux formations rejoignent ainsi Le FC Emmanuel, l’AS Ntsiemba, l’AS Penarol, Mbila sport, BNG, le CMBF, le FC Racine, TP Mystère. A Pointe-Noire, le FC Nathalys a validé sa qualification, en battant le TP Mokanda aux tirs au but (14-13) après un score de parité de (0-0) au temps règlementaire.

Il représentera Pointe-Noire avec d’autres clubs comme le FC Tchimagni, Elf Total et Inter de Pointe-Noire. Les autres qualifiés seront connus ce mercredi. A Dolisie, les Jeunes Fauves disputeront la prochaine étape avec Inter de Dolisie. Dans la Bouenza, le FC Corneil et le FC Mboukoudou disputeront le prochain tour. Carpillon de Sibiti est le seul représentant de la Lékoumou. Dans le Pool, C.O Harlem et AS Elbo passent l’étape des préliminaires.

Les Plateaux compteront aussi deux représentants au prochain tour. Il s’agit de l’Etoile et de Cara, tous deux de Djambala. Dans la Cuvette ouest, Ayandza sport a pris le dessus sur AS Oka. Dans la Sangha, Saint-Michel de Ouesso et FC Biala ont pris le meilleur sur leurs adversaires, puis dans la Likouala, Etoile d’Impfondo sera de la partie.

Pointe-Noire accueille le Carrousel de la mode

Cet important événement de mode s’est tenu à Pointe Noire en présence des créateurs de plusieurs pays dont ceux de la République démocratique du Congo, l’Angola et la Côte d’Ivoire.

La diversité culturelle à la mode, c’est le thème de la cinquième édition du Carrousel, cet événement qui vise à promouvoir les créateurs de mode congolais. En dehors des stylistes et créateurs du pays de Sassou Nguesso, plusieurs autres créateurs africains de renom participent à ce rendez-vous qui est devenue capital dans l’industrie de la mode.

Parmi les invités de marque, on note la présence d’Adriana Talansi, qui a représenté son pays dans de nombreux événements de mode partout dans le monde. Dernière participation, la Fashion Week africaine à Londres en 2017. Ses créations à l’instar d’ ‘‘Identity’‘ l’une de ses collections phares, représente l’identité de la culture africaine.

Pendant la soirée, une centaine de robes de plage, de soirée de diverses modèles se sont sucédées sur le tapis, les unes après les autres. Les robes pour mariées ont particulièrement attiré l’attention. Le point culminant de la soirée a été le passage des créations de Reda Fawaz pour le plus grand bonheur du public. Il faut dire que Fawaz est connu pour ses vêtements haute couture qui lui ont valu des célébrités vestimentaires comme Serge Beynaud, artiste réputé de la Côte d’Ivoire.

«Pointe-Noire va devenir de plus en plus la capitale de la mode africaine, et ça, c’est mon objectif. Et l’objectif aussi est d’avoir plus de soutien pour les jeunes couturiers et les mannequins afin de leur donner des opportunités de sortie sur d’autres pays.» A affirmé Adriana KABRE Organisatrice du Carrousel de la mode.

Hommage des handballeurs à Madeleine Mitsotso

L’ancienne gloire des Diables rouges handball a été conduite à sa dernière demeure le 19 mai 2018.

Madeleine Mitsotso a été conduite à sa dernière demeure le 19 mai, après le dernier hommage rendu par la Fédération congolaise de la discipline, les Ligues et ses anciennes coéquipières de l’équipe nationale ainsi que les journalistes sportifs, au Complexe sportif de Pointe-Noire. L’ancienne gloire des Diables rouges handbal est décédée le 8 mai.

C’est dans la douleur que l’ancienne gardienne de but des Diables rouges a été accompagnée dans sa dernière demeure, au cimetière de Ngoyo. L’oraison funèbre a été prononcée par le 3e vice-président de la Fédération congolaise de handball, Daniel Moutouakoula, qui a souligné que l’illustre disparue a été une héroïne du handball congolais pour avoir permis à l’image du Congo de rayonner au niveau continental et international.

En effet, Madeleine Mitsotso a fait ses premiers pas au handball en 1969, dans l’équipe de Pigeon Vert au CEG central Saint-Pierre, actuel Kouamé-Kruma, comme gardienne de but, où elle y a évolué jusqu’en 1975. « Au moment où tous les handballeurs autour de la fédération te rendent un dernier hommage, je  m’en voudrais ici, si je ne rappelle pas que c’est dans cette ville de Pointe-Noire, à travers la Ligue de handball, que tous les anciens selectionnaires t’on découverte et t’ont sélectionnée à l’équipe nationale. Tu as été très courageuse sur tous les fronts face à ton destin. Tu l’as été aussi face à la mort, ce, jusqu’à tes derniers moments alors que la maladie te rangeait.  Dans tous les cas, la vie et la mort cohabitent en nous mais c’est ce mouvement de retour vers la terre qui a eu raison de toi, il y a quelques jours », a-t-il évoqué.

Parlant de sa carrière héroïne, l’orateur a indiqué qu’après son admission au BET, Pointe-Noire n’ayant pas un lycée technique à l’époque, elle était contrainte d’aller poursuivre ses études au Lycée 1er-Mai, à Brazzaville. Passionnée du handball, elle fait exprimer son talent dans l’Etoile du Congo avec laquelle, elle gagne la Coupe d’Afrique des clubs champions en 1984 et en 1985. Madeleine Mitsotso a contribué, pendant plusieurs années, au rayonnement du Congo à travers le handball. En 1972 déjà, elle est championne d’Afrique centrale avec les Diables rouges. En 1976, elle est vice-championne de la même compétition avant de participer, en 1977, au championnat du monde, en Roumanie. En 1979, elle gagne la première édition de la Coupe  d’Afrique, Challenge Marien-Ngouabi, et l’année suivante, en 1980, elle qualifie le Congo aux Jeux Olympiques de Moscou avant d’y participer. En 1981, elle remporte la deuxième édition de la Coupe Marien-Ngouabi et en 1982, la troisième édition sans partage. Après ce brillant parcours dans Etoile du Congo et au sein de la sélection nationale, elle revient à Pointe-Noire, notamment dans l’équipe de l’AS Cheminots où elle met fin à sa carrière.

« Un tel parcours, avec ton aimable sourire qui t’accompagnait partout, t’a donné une valeur et un sens dans ta vie. Cela restera un bel exemple d’un engagement pour autrui, pour le handball et pour le pays.Tu as été le centre, sans décevoir, sans trahir. Tu restes un modèle pour les handballeurs. Ta mémoire vivra toujours dans nos esprits comme celles  de tous ceux qui nous ont précédés au monde de l’au-delà. Tu as été une héroïne dans tes liens et tes sentiments. Que la terre te soit légère », a conclu Daniel Moutouakoula.

Notons que le handball étant un sport collectif, Madeleine Mitsotso a écrit cette belle histoire en compagnie des joueuses de sa génération qui ont, pour la plupart, marqué leur présence à ces obsèques. Il s’agit, entre autres, de Germaine Ndjimbi Tostao, Solange Koulinka, Angélique Abena, Pascaline Bobeka, Yvone Makouala, Thérèse Kota, Julienne Malaki, Micheline Okemba, Clarisse Ntiété, Gisèle Gassi, Linda Noumazalaye, Hortense Avounou, Alphonsine Pounda et Eugénie Félicité Atipo. A ces anciennes gloires, il faut ajouter celles qui ont pris la relève.

Festival Kimoko : la onzième édition se tiendra du 29 mai au 03 juin

Le centre culturel Jean-Baptiste-Tati-Loutard de Pointe-Noire servira de cadre à la 11ème édition du festival Kimoko. Qui a pour thème: « Du théâtre au Congo pour quel public ? ».

Le festival Kimoko s’ouvre le 29 mai au centre culturel Jean-Baptiste-Tati-Loutard à Pointe-Noire. Le thème choisi pour cette édition est : « Du théâtre au Congo pour quel public ? ». Selon les organisateurs, il est question d’attirer l’attention du public sur l’importance du théâtre dans la vie des hommes.

Alphonse Nkala, le directeur du festival, pense que le théâtre est un art civilisateur qu’il faut penser mettre au centre de l’activité de l’humain. Ce thème, selon lui, devrait aussi permettre de mener une réflexion sur le type de théâtre à proposer aux Congolais qui s’intéressent à cet art. « Nous allons réfléchir sur le type de théâtre qu’il faut faire au Congo, un théâtre qui devrait être bien reçu par les Congolais. Peut-être que celui qui leur est proposé n’est pas celui qu’ils attendent. Il faut donc mener une réflexion sur la question », a-t-il expliqué.

Le festival Kimoko est un ensemble d’activités telles que le conte, le ballet théâtre, la musique, la danse contemporaine. À cela, il faut ajouter l’atelier de marionnettes, une activité destinée aux enfants que le festival organise pour la troisième fois à la demande du public.

De nombreux artistes du Congo et étrangers prendront part à la onzième édition de Kimoko. Notamment Green théâtre avec Guillaume Ekoubé du Cameroun, Fely Kimbirima de France, Olivier Ngoudé du Cameroun qui animera l’atelier des marionnettes ainsi que des nationaux venant de Brazzaville, Stan Matingou et les femmes de la Troupe nationale de théâtre du Congo et locaux Le théâtre des coulisses qui est la compagnie égérie de Kimoko, la Compagnie Issima théâtre, Africa Graffiti, Afro Tam-Tam et Racines. En tête d’affiche de l’évènement cette année, l’humoriste gabonais Omar Defundu, alias Monsieur le présiden.

« Une fois de plus, nous avons fait de bons choix. Le public ne sera pas déçu. Malgré les difficultés, nous ferons de sorte que la fête soit belle », a assuré Alphonse Nkala. Kimoto aurait perdu plusieurs de ses sponsors à cause de crise économique qui touche le Congo en ce moment.

Le festival Kimoko posera la clé sous le paillasson le 03 juin et les spectacles offerts seront gratuits.

Libération de 17 membres du mouvement citoyen le Ras-le-bol

Ils ont été libérés ce lundi 15 mai à pointe Noire après de nombreux appels de la société civile et de l’observatoire congolais des droits de l’homme.

L’information a été confirmée par l’observatoire congolais des droits de l’homme, 17 membres du mouvement Ras-le-bol ont été libéré ce 14 mai au Congo. Cependant, 5 autres membres sont toujours en détention, L’OCDH précise d’ailleurs qu’ils seront présentés devant le procureur de la République à Pointe-Noire.

Il faut dire que de nombreux appels de la société civile et de L’OCDH appelaient sans délai à la libération de ces jeunes qui selon eux n’ont fait que jouir de leurs « droit à l’expression » garantie par la constitution. Le gouvernement congolais a finalement lâché.

Pour rappel, vingt-deux membres avaient été arrêté le 7 mai dernier alors qu’ils déposaient au parquet de Pointe-Noire une requête dans laquelle ils demandaient l’arrêt du procès de Jean Marie Michel Mokoko et la libération immédiate des autres détenus politiques. Ils auront finalement passé une semaine de détention dans les locaux de la DGST à Pointe-Noire.

Coupe de la Confédération : V.Club défend son avance d’un but ce mardi à Pointe Noire face à la Mancha

Le Soudanais Mutaz Abdelbasit Abdelbasit Khairalla dirigera le match retour CS La Mancha-AS V. Club, mardi 17 avril 2018 à 15h30’ au stade de Pointe, au Congo Brazzaville, en match retour des barrages de la 15ème Coupe de la Confédération.

Il sera assisté de ses compatriotes Elmoiz Ali Mohamed Ahmed (assistant 1) et Ahmed Nagei Subahi (assistant 2). Les Dauphins Noirs avaient eu difficile à venir à bout des Pont énégrins qui s’étaient inclinés sur une réalisation de la tête de Fabrice Ngoma en conclusion d’un coup franc de Yves Diba Ilunga.

Clôture dimanche du processus d’accréditation des médias au tirage au sort

La Confédération africaine de football (CAF) a clôturé le processus d’accréditation des médias souhaitant couvrir le tirage au sort de la phase de groupes de la 15ème Coupe de la Confédération dimanche 15 avril.

Le processus était ouvert depuis le mardi 10 avril. Le tirage au sort est prévu le samedi21 avril à 14h heure locale, (12h TU) au siège de la CAF au Caire, en Egypte. Les médias intéressés par la couverture du tirage ont procédé à une demande d’accréditation, exclusivement en ligne, via l’Espace

média de la CAF (CAF Media Channel), accessible sur le site internet de la CAF, www.cafonline.com.

L’inscription à l’Espace média était un préalable permettant de donner accès à la plateforme de demande d’accréditation, selon le site de la CAF. Une demande ne vaut pas accréditation. Toutes les demandes sont sujettes à confirmation.

Ceux dont les demandes auront été acceptées seront notifiés et recevront des informations complémentaires, précise la CAF qui ajoute que tous ceux qui sollicitent une accréditation et qui ont besoin d’un visa pour l’Egypte se chargeront eux-mêmes des démarches consulaires pour l’obtention de leur visa.