RDC-Mweso : près de 19 morts et 27 blessés à la suite des explosions de bombes

L’armée accuse les rebelles du M23 et leurs alliés de l’armée rwandaise d’être à l’origine des explosions de bombes qui ont fait plusieurs victimes à Mweso.

 

Plusieurs bombes explosent jeudi 25 janvier, sur la cite de Mweso, territoire de Masisi (Nord-Kivu). Le bilan de ces explosions fait état de 19 civils morts et 27 autres blessés. Le doigt accusateur est pointé vers les rebelles du M23 et leurs alliés de l’armée rwandaise. L’information a été révélée dans un communique du porte-porole de l’armée de la province du Nord-Kivu, le lieutenant-colonel Guillaume Njike Kaiko.

Pour cet officier militaire, les rebelles ont posé cet acte « terroriste » après avoir été délogés de la cité de Mweso :
« Les FARDC ont contenu la barbarie de l’ennemie jusqu’à le repousser en profondeur au-delà de la cite peuplée de Mweso afin d’éviter les dégâts collatéraux du côté de la population civile. Ayant constaté la perte de la cité de Mweso, les terroristes du M23, appuyés par l’armée rwandaise, ont largué de manière aveuglette des bombes au mortier 120, orientées vers la dite cité, causant la mort de 19 personnes et 27 civils parmi les civils innocents ».

En dehors des morts et des blessés, plusieurs maisons d’habitation dans la cité de Mweso ont été détruites par les explosions des bombes. Considérant cet acte terroriste comme une violation grave du droit humanitaire international, les FARDC appellent la communauté internationale à se saisir de cette bavure afin d’en tirer les conséquences qui s’imposent.

Sur son compte X, le président du M23, Bertrand Busimwa a rejeté la responsabilité des dégâts enregistrés à Mweso aux FARDC.
Les FARDC quant à eux se disent déterminées à repousser hors du territoire national, l’armée rwandaise et les terroristes du M23.

Congo-drame d’Ornano : Denis Sassou N’Guesso reçoit les familles des victimes

Le président de la République est allé mercredi 29 novembre réconforter les victimes du drame du stade d’Ornano.

 

Denis Sassou N’Guesso a reçu dans l’après-midi de mercredi 29 novembre, au Palais du peuple, les familles des victimes du drame du stade d’Ornano. C’était en présence des membres de la cellule de crise dirigée par le Premier ministre, chef du gouvernement, Anatole Collinet Makosso.

Il s’agit pour le chef de l’Etat de partager leur douleur et de les réconforter. Il leurs fait des promesses notamment la poursuivre le recrutement des jeunes à Brazzaville en attribuant une place à chaque famille et autres.

« Chers parents, j’ai voulu prendre contact directement avec vous pour vous témoigner à nouveau mon émotion, vous présenter mes condoléances et vous réconforter. Il s’est produit au stade d’Ornano la situation dramatique que nous connaissons avec la perte de nos enfants. Je voulais vous remercier parce que face à ce drame, vous avez adopté une attitude responsable ; votre attitude responsable que la nation entière salue et approuve » a signifié le président de la République.

Le bilan de ce drame fait état de 32 morts et plus de 100 blessées dans la nuit du 20 au 21 novembre, en marge des opérations de recrutement dans les forces armées congolaises.

Des enquêtes sont en cours pour établir des responsabilités sur les plans administratif et judiciaire. Pour le chef de l’Etat, au niveau où sont ces enquêtes « des mesures administratives devraient être prononcées en attendant les conclusions de l’enquête judiciaire ».

Congo : suspension des opérations de recrutement chez les FAC

Le commandement des Forces armées congolaises (FAC) a, dans un communiqué, annoncé la suspension des opérations de recrutement à Brazzaville jusqu’à nouvel ordre.

 

Plusieurs mesures ont été prise par le gouvernement après la bousculade du stade d’Ornano qui a causé des morts et des blessés. Parmi ces mesures, la suspension des opérations de recrutements chez les Forces armées congolaises.

L’information a été donnée dans un communiqué du commandement des FAC diffusé à la télévision nationale. Dans le même communiqué, le commandement des FAC présentant ses condoléances aux familles éplorées et sa compassion pour les blessés.

« Suite aux incidents malheureux ayant occasionné mort d’hommes et fait de nombreux blessés le lundi 20 novembre 2023, aux environs de 23 heures, à l’issue d’une bousculade devant le camp d’Ornano, site d’enregistrement des candidats au recrutement du contingent des Forces armées congolaises, 2023, les opérations de recrutement sont suspendues à Brazzaville jusqu’à nouvel ordre », peut-on lire dans ce communiqué

Selon la morgue municipale de Brazzaville 31 personnes dont 20 garçons et 11 filles ont perdu la vie dans cette bousculade qui s’est produite dans la nuit du 20 novembre 2023, au stade d’Ornano.

Congo-drame d’Ornano : compte rendu de réunion de la cellule de crise

La cellule de crise, mise en place sous l’autorité du Premier ministre, chef du gouvernement, suite au drame du stade d’Ornano, s’est de nouveau réunie à 13h00 et à 18h00.  Les victimes de ce drame ont été prises en charge au sein des formations sanitaires suivantes : le Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville ; l’Hôpital central des armées et l’hôpital de référence de Talangaï.

Le Premier ministre, chef du gouvernement, accompagné d’une importante délégation, s’est rendu dans ces différents établissements afin d’assister les victimes et échanger avec les personnels de santé présents sur place sur les besoins qui permettront de faire face à cette situation ; il ressort des éléments portés à la connaissance de la cellule de crise que le bilan des victimes est révisé et détaillé ainsi qu’il suit :

°1/- Nombre de décès : 31

29 corps identifiés

  • 2 en cours d’identification

2/- Nombre de blessés :

  • 145 blessés pris en charge, sortis des hôpitaux et traités en ambulatoire : soit 69 au CHU, 66 à l’hôpital central des armées et 10 à l’hôpital de Talangaï.
  • 15 blessés sont retenus en observation, soit : 11 au CHU, 1 à l’hôpital des armées et 3 à l’hôpital de Talangaï.
  • 4 blessés graves ont été dénombrés, tous hospitalisés au CHU, dont l’un est en réanimation

Le gouvernement rappelle que les opérations de recrutement au sein des Forces armées congolaises avaient été lancées le 14 novembre 2023 ; nos jeunes avaient massivement répondu à l’appel du devoir en voulant servir sous les drapeaux ; à cet égard, le gouvernement s’incline devant la mémoire des victimes de ce drame épouvantable et présente les condoléances de la nation aux parents éprouvés et éplorés.   Aussi, et sur la base des informations mises à sa disposition, le gouvernement rend publiques les décisions suivantes :

 

  • Un jour de deuil national avec mise en berne des drapeaux, fermeture des bars dancings, débits de boisson et autres lieux festifs est décrété ; il se déroulera le Mercredi 22 novembre 2023 ;
  • Le recrutement en faveur des Forces armées congolaises est suspendu jusqu’à nouvel ordre sur l’étendue de la ville de Brazzaville ; il se poursuivra normalement sur le reste du territoire national ;
  • Le gouvernement va assister les victimes du drame pour l’ensemble des frais médicaux qui seront exposés à cette occasion ainsi que pour les frais de veillée et d’inhumation ;
  • A cet effet, les familles concernées sont invitées à prendre attache avec les services du ministère des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire ;
  • Une enquête administrative mixte police-Forces armées congolaises a été ouverte ; elle devra déterminer les causes du drame et rendre ses conclusions dans les tous prochains jours ;
  • D’autre part, une enquête judiciaire a été ouverte ; elle a été confiée à M. le procureur de la République ; cette enquête doit mettre en œuvre les diligences nécessaires à la manifestation de la vérité dans la survenance et le déroulement de ce drame.

Le Gouvernement tiendra l’opinion informée des différentes conclusions qui découleront des éléments qui seront portés à sa connaissance, au fur et à mesure des investigations en cours.

 

 

Fait à Brazzaville, le 21 novembre 2023

Pour la cellule de crise,

Le ministre de la Communication et des Médias,

Porte-parole du gouvernement.

 

Congo-Drame d’Ornano : journée de deuil national ce mercredi 22 novembre

Le gouvernement a décrété pour ce 22 novembre une journée de deuil sur l’ensemble du territoire national en mémoire des victimes de la bousculade du stade d’Ornano.

 

Au moins 37 morts et 150 blessés ont été enregistrés dans la bousculade du stade d’Ornano dans la nuit du 20 novembre dernier. Le gouvernement a décrété pour ce 22 novembre une journée de deuil sur l’ensemble du territoire national en mémoire des victimes de la bousculade. Les victimes s’étaient rendues au stade d’Ornano pour postuler au recrutement lancé par les Forces armées congolaises.

La cellule de crise gouvernementale s’est rendue dans les hôpitaux et à la morgue municipale pour le constat. Une enquête administrative et une autre judiciaire sont ouvertes aux fins d’établir les responsabilités du drame.

L’Etat a décidé de prendre en charge les obsèques, les soins aux blessés et l’assistance aux familles endeuillées.

Congo : au moins 37 morts enregistrés après une bousculade au stade d’Ornano

Le bilan provisoire établi par les services d’urgence fait état de 37 morts et de nombreux blessés.

 

Une bousculade s’est produite dans autour de 23h lundi 20 novembre, au stade d’Ornano. L’information a été donnée dans un communiqué de la cellule de crise mise sur pieds à cet effet par le gouvernement. Le bilan pourrait donc s’alourdir parmi les victimes, hommes et femmes, dont l’âge varie entre 18 et 25 ans.

Tout serait parti de l’annonce de recrutement lancée par les Forces armées congolaises (FAC). Le recrutement était programmé pour ce 21 novembre au stade d’Ornano. Plusieurs prétendants à ce recrutement ont décidé de passer la nuit au lieu du recrutement pour espérer figurer parmi les premiers reçus tôt le matin de mardi.

L’espace d’entrée ne pouvant pas contenir la masse des candidats arrivée pour le recrutement, une bousculade s’est produite. Certains sont tombés et ont été piétinés par d’autres. Ce qui a causé la mort de plusieurs candidats et des blessés. Certains blessés sont pris en charge au Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville et à l’hôpital central des armées Pierre-Mobengo.

Séisme au Maroc : le message de compassion du Congo

Le ministre d’Etat, directeur de cabinet du président de la République, Florent Ntsiba, a transmis, le 11 septembre, au nom du chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, une lettre de condoléances au roi Mohammed VI, par l’entremise du chargé d’Affaires du Royaume du Maroc au Congo. Dans cette lettre on peut lire :

 

« C’est avec une grande consternation et une vive émotion que j’ai appris les énormes pertes en vies humaines et les importants dégâts matériels survenus, dans la nuit du 8 au 9 septembre 2023, suite à un violent séisme dans certaines villes et autres localités de votre pays »

 En cette circonstance très douloureuse, face à ce bilan tragique, encore provisoire et au souvenir de l’importance assistance sanitaire et humanitaire apportée à la République du Congo par le Royaume du Maroc lors des explosions de Mpila à Brazzaville, en mars 2012, je voudrais, au nom du peuple et du gouvernement congolais ainsi qu’au mien propre, vous adresser mes condoléances les plus attristées et exprimer mon entière solidarité à votre  Majesté, au peuple frère du Maroc et particulièrement aux populations victimes de cette catastrophe naturelle

 Par nos liens personnels et remarquables d’amitié, la proximité exemplaire existant entre les peuples congolais et marocains ainsi que la qualité admirable de la relation de coopération qui unit si heureusement nos deux pays, le peuple congolais profondément meurtri s’incline devant la mémoire des illustres disparus ».

Le Maroc a été victime d’un violent séisme qui a dévasté vendredi soir une grande partie du pays. Selon le dernier bilan officiel, près de 2 500 personnes ont péri. Le tremblement de terre a, par ailleurs, fait de nombreux blessés : 2 059 personnes ont été recensées, dont 1 404 sont dans un état très grave.

Maroc-séisme : plus de 2 450 morts enregistrés

Plus de deux jours après la catastrophe, le bilan fait état de 2 497 morts et 2 476 blessés, selon le ministère marocain de l’Intérieur.

 

Un séisme dévastateur s’est produit dans la nuit du 8 au 9 septembre 2023, au Maroc. Il a fait au moins 2 497 morts et 2 476 blessés. L’information a été donnée dans un bilan publié ce 11 septembre, par le ministère marocain de l’Intérieur.

Le Maroc a annoncé le 10 septembre 2023 avoir accepté l’aide de quatre pays, après le puissant séisme qui l’a frappé dans la nuit du 8 au 9 septembre : l’Espagne, la Grande-Bretagne, le Qatar et les Émirats arabes unis.

Sur place, les secouristes ont accéléré leurs recherches pour tenter de retrouver des survivants coincés sous les décombres de villages rasés par un puissant séisme qui a fait près de 2 500 morts au sud-ouest de la cité touristique de Marrakech.

Congo : un braqueur tire sur des personnes au quartier Mayité

Ce malfaiteur en opération en plein jour avec une arme, a semé la panique et fait des blessés lundi 12 septembre 2022.

 

Des coups de feu ont mis en émoi les habitants de Mfilou au quartier Mayité, le lundi 12 septembre vers 13 heures. Un braqueur a semé la panique et fait des blessés. L’homme a été interpellé par la police.

Selon « Le Troubadour de Brazzaville », le braqueur a pris pour cible un agent commercial d’une téléphonie mobile, le nommé Kala Herman. Celui-ci venait de terminer son recouvrement.

Alors que Kala Herman monte sur sa moto, surgit un homme qui sort de son sac un fusil calibre 12. Le bandit exige au jeune homme de lui remettre son sac. La victime résiste. C’est alors que l’homme tire sur lui à bout portant. L’agent de la téléphonie mobile s’est écroulé. Le braqueur s’empare du sac et prend la fuite.

Sur son chemin, le braqueur rencontre Nguimbi Janvier, qui compte son argent dans sa voiture RV4. Le braqueur arrache son sac qui contenait la somme de 300 000 FCFA sous la menace de

Alertée, la police est aussitôt arrivée sur les lieux. Après un échange de tirs, l’homme a été maîtrisé et interpellé. Outre son fusil calibre 12, il avait un couteau.

On déplore quatre blessés graves dont deux admis au CHU de Brazzaville et deux autres à l’Hôpital militaire.

RCA : 9 morts dans des affrontements entre groupes armés à Ouaka

De violents combats ont opposés les rebelles de l’UPC et des miliciens Anti-Balaka jeudi 24 février 2022 dans le village Mbiakreu.

 

Neuf (09) morts et sept (07) blessés, c’est le bilan des affrontements qui ont opposés un groupe des malfaiteurs armés identifiés comme des rebelles de l’UPC et des miliciens Anti-Balaka. Ils étaient tous munis de fusils artisanaux et les combats ont eu lieu dans le village Mbiakreu, dans la sous-préfecture d’Ippy, au centre de la République centrafricaine.

Tout serait partie de l’incursion des éléments rebelles de l’UPC, membres de la coalition des patriotes pour le changement (CPC) dans le village Mbiakreu. C’est du moins ce que révèlent les sources sur place. D’après les mêmes sources, les rebelles auraient tenté de braquer certains habitants de Mbiakreu, mais les miliciens Anti-Balaka auraient réagi en représailles   pour affronter les rebelles.

Le bilan provisoire fait état de cinq morts et sept blessés parmi les habitants armés et non armés ainsi que de quatre morts côté rebelles.

Mais  de leur côté, plusieurs sources humanitaires ont laissé entendre que sur place, le climat reste tendu. Elles s’inquiètent d’une nouvelle flambée de violence, alors que les deux groupes opposés se font toujours face dans le secteur.

Rappelons que dans ces localités d’Ippy, les violences font rage entre les miliciens Anti-Balaka soutenus par les soldats FACA et les mercenaires russes et les rebelles de l’UPC, membres de la coalition des patriotes pour le changement (CPC) depuis la fin de l’année dernière.

Congo : un baobab tombe et cause la mort d’une personne et des blessés

Un mort, des blessés et des sinistrés enregistrés après qu’un baobab soit tombé dans la nuit du 7 au 8 décembre dans le sixième arrondissement de Talangaï à Mpila.

 

Dans le sixième arrondissement de Talangaï, à Mpila, un baobab est tombé dans la nuit du 7 au 8 décembre 2021. Le bilan fait état de d’un mort, des blessés et des sinistrés. Les services du ministère des Affaires sociales et de l’Action humanitaire ont été à pied d’œuvre pour la prise en charge d’urgence.

Sur les lieux du sinistre, près du port de Yoro dans la matinée du 8 décembre, l’atmosphère est lourde. On peut entendre des pleurs des victimes ayant perdu leurs habitations ou ayant eu des parents blessés admis à l’hôpital. Le décès annoncé d’une des victimes a amplifié la consternation de la population inconsolable.

La délégation du ministère des Affaires sociales et de l’Action humanitaire, conduite par le directeur de cabinet, Eugène Ikounga, est arrivée sur place pour faire le constat et déterminer les solutions d’urgence. Comme solution d’urgence, on cite la prise en charge des blessés admis au Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville, ainsi qu’à l’hôpital militaire Pierre-Mobengo.

La nuit même du sinistre, les services de la sécurité civile (sapeurs-pompiers) sont intervenus pour sortir les victimes des décombres, transporter les blessés dans les hôpitaux. En fonction du constat fait sur le terrain, un plan élargi va définir les modalités de prise en charge des sinistrés.

Congo : mort d’un élève lors d’une opération de la police

Le drame s’est déroulé dans une école à Don Bosco, un quartier périphérique de Talangaï à Brazzaville. Un élève a trouvé la mort lors d’une opération de la police.

 

La police nationale au cours d’une de ses opérations a tué un élève et blessé deux autres par balles dans une école à Don Bosco. Elle aurait confondu ce jeune élève à un Kolouna (bandits).

«  Il y avait un policier qui est sorti et a commencé à tirer. Nous étions tous obligé de fuir. Il nous a rattrapé puis a encore tiré trois balles. C’est la troisième balle qui m’a touché au dos. J’étais obligé de continué à fuir et puis il a rattrapé un autre et il a tiré droit au cœur. Je saignais et c’est avec mon habit que j’ai pu fermer ma plait. », témoigne l’un des blessés.

Sa mère Michelle Claudette s’est rendu au commissariat. « Je voulais rencontrer le commissaire, il n’a pas voulu me recevoir. On m’a demandé d’amener l’enfant à l’hôpital. On m’a dit que même en France quand on poursuit les taureaux il y a les balles perdues. »

Pour la police, cet élève décédé était un bandit. Une information que les habitants du quartier rejettent.

L’ONG locale Centre d’action pour le développement (CAD) s’engage à porter le dossier devant la justice. « Nous qualifions cela des actes barbares en milieu scolaire. J’ai été au paque pour déposer une demande d’assistance juridique pour que le médecin légiste puisse faire l’autopsie. Il faut réunir toutes les preuves pour que justice soit rendue à cette famille. » s’indigne Monica Ngalula, responsable juridique du CAD.

Congo-Répression de 2015 : le Centre d’actions pour le développement réclame une action en justice

Quatre morts et une dizaine de blessés par balles dont trois agents de la force publique, c’est le bilan officiel des manifestations contre le référendum de 2015.

 

En République du Congo, quatre morts et une dizaine de blessés par balles dont trois agents de la force publique, c’est le bilan officiel des manifestations contre le référendum de 2015 qui a permis au président Denis Sassou-Nguesso de changer la Constitution et de briguer un troisième mandat. Un bilan sous-estimé, selon le Centre d’actions pour le développement (CAD) qui parle d’une trentaine de morts.

Le Centre d’actions pour le développement (CAD) réclame une Commission d’enquête indépendante sur ces événements, pour enclencher une action en justice et faire la lumière sur la répression des manifestations de 2015.

« La contradiction des chiffres fait à ce qu’il y ait une Commission d’enquête indépendante qui sera en mesure de faire la lumière sur ces évènements. La guerre des chiffres, nous n’allons pas la trancher aujourd’hui. C’est cette Commission d’enquête indépendante qui a pour vocation de trancher sur la guerre des chiffres », a déclaré, Trésor Nzila, directeur exécutif du Centre d’actions pour le développement.

« Quoi qu’il en soit, un gramme de preuves vaut mieux qu’une tonne de théories. Si le gouvernement parle de quatre morts et de dix blessés, il faut faire la justice pour les quatre morts et dix blessés. Mais nous savons que ce bilan est largement sous-estimé d’où la nécessité d’une commission d’enquête qui sera chargée de faire la lumière sur ces événements », a insisté Trésor Nzila.

« Il faut que cette commission d’enquête soit mise en place. Elle doit déjà commencer à travailler et produire ses résultats parce qu’elle permettra à ce que le mécanisme de la justice s’enclenche », a-t-il conclu.

Congo-Odziba : deux morts et des blessés dans un accident de la circulation

Un bus en provenance d’Owando dans le département de la Cuvette (nord) transportant plusieurs passagers a fait un tonneau à l’entrée du village Odziba.

Deux morts et plusieurs blessés graves. C’est le bilan d’un accident de la circulation qui s’est produit vendredi 13 novembre au village Odziba à 100km de Brazzaville. Un bus en provenance d’Owando qui transportait plusieurs passagers a fait un tonneau à l’entrée du village.

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’excès de vitesse serait la première cause de cet accident mortel.

Les accidents de la circulation sont légion dans la capitale congolaise, causés par l’alcool, les stupéfiants, un malaise ou les appels téléphoniques, un excès de vitesse.

Congo : un mort et plusieurs blessés dans un accident de route à Mossendjo

Le conducteur qui roulait à vive allure et en état d’ébriété a perdu le contrôle de sa voiture et percuté violemment une moto avant de finir sa course effrénée sur la remorque d’un grumier.

Un accident de la route s’est produit samedi, vers 18h 50 à Mossendjo dans le Niari (sud). Le véhicule de la société Sapro est en cause. Le conducteur qui roulait à vive allure et en état d’ébriété a perdu le contrôle de sa voiture et percuté violemment une moto de marque KTM avant de finir sa course effrénée sur la remorque d’un grumier de la société Azia en plein stationnement. Une fille, la vingtaine révolue, est morte sur le coup et plusieurs blessés graves, selon des témoins.

Les gendarmes arrivés sur les lieux du drame n’ont pu que constater le décès de la jeune fille. Les blessés ont été vite évacués à l’hôpital de la ville pour des soins.

Selon les mêmes témoins, l’hypothèse la plus probable, serait que le chauffeur de la société Sapro ait été sous l’emprise de l’alcool. La vitesse, ajoutée aux effets de l’alcool pourraient être à l’origine de l’accident.

Une enquête de gendarmerie est ouverte pour découvrir les circonstances exactes de l’accident et venir confirmer ou infirmer cette piste.

L’alcool et la vitesse, premières causes d’accidents mortels dans le département du Niari. Consommé en excès, alors que l’on prend le volant, l’alcool diminue les réflexes, réduit la résistance à la fatigue, et modifie le niveau de vigilance d’un conducteur. Un verre de trop, et les « troubles » liés à l’alcool se multiplient, nous poussant parfois à prendre des risques. Dépasser dans une zone dangereuse, rouler trop vite… autant de comportements qui peuvent conduire à l’accident.

En étant responsable, chacun peut contribuer à réduire encore le nombre des accidents de circulation dans le Niari. D’ailleurs, ne croyez pas que seul le conducteur est responsable ! Peu de gens le savent, mais en tant que passager, vous pouvez être déclaré comme complice d’un délit de conduite sous l’emprise de l’alcool !

Congo : deux nouveaux morts sur la route nationale

Cet accident de la circulation qui a fait deux morts et plusieurs blessés a eu lieu mardi 13 octobre 2020, sur la route nationale.

Deux morts et de nombreux blessés, c’est le bilan d’un accident de la route qui a eu sur la route nationale le 13 octobre 2020. C’est un accident du bus du transporteur Océan du Nord, agence de voyage qui enregistrait le 3éme accidents mortels en un mois. Aussitôt informés, les premiers secours ont été déployés sur le site.

Les circonstances de l’accident ne sont pas encore élucidées, et une enquête sera diligentée par les services compétents pour déterminer les causes exactes du drame. Les accidents de la route sont fréquents en République du Congo.

Congo : un mort dans accident de la circulation de la circulation

L’accident s’est passé lundi 28 septembre 2020, vers 08h à hauteur du marché de Kintélé.

Un mort et deux blessés graves, c’est le bilan d’un accident de la circulation qui s’est produit aux environs de 08h, près du marché de Kintélé. Un véhicule de marque Hilux de la société de distribution d’eau a été déstabilisé par un nid de poule sur la route et aurait perdu le contrôle. De cette perte de contrôle, le véhicule a percuté violemment deux motos.

Les blessés ont été transportés à l’hôpital et une enquête a été ouverte par la police pour déterminer la cause exacte de cet accident.

Notons que les cas d’accident sont de plus en plus récurrents dans la capitale congolaise, Brazzaville.

Tchad : deux morts et seize blessés dans un accident dans le Pool

Le pont Louolo s’est effondré,  la cause de cet effondrement serait le poids excessif des bagages transportés par un camion.

Deux et seize blessés, c’est le bilan d’un effondrement du pont Louolo qui a entraîné un camion qui roulait sur ce pont au moment de la catastrophe. Les causes seraient le poids excessif du camion, selon des sources policières. Les blessés ont été admis à l’hôpital de Mindouli, sans oublier des dégâts matériels importants.

« Le fait que ce véhicule rempli de marchandises ait emprunté ce pont (…) semble être, en l’état des investigations, la cause immédiate et apparente de l’accident. La faute revient au chauffeur qui a voulu franchir un pont de fortune fait en planches avec une charge très importante », a confié une source policière.

Le pont forestier, datant de l’époque coloniale, n’a pas supporté le poids du camion et de son chargement « à plus de 40 tonnes » : « c’était un camion de gabarit hors normes, le pont a craqué ».

Congo : 5 morts et 51 blessés dans un accident de bus à Dolisie

Un bus de la société de transport Océan du Nord, en provenance de Pointe-Noire pour Brazzaville, s’est renversé à hauteur de la ville de Dolisie (sud).

Cinq morts et cinquante et un blessés, c’est le bilan d’un accident de la circulation. Selon un policier, le drame est survenu dimanche dernier, un bus de la société transport Océan a fait une sortie de route qui lui a été fatale.

Sur cette même route, un autre bus de la même société avait causé il y a moins de deux semaines un accident qui avait fait un mort et quelques blessés légers.

« L’excès de vitesse serait (la cause) de cet accident dans cette partie de la route nationale une, où le relief est abrupt », a expliqué l’agent de l’ordre public.

Les blessés graves ont été transportés à  Brazzaville pour des soins intensifs tandis que les autres ont été conduits à l’hôpital de Dolisie. Une enquête est ouverte par la police,  pour déterminer les véritables raisons de cet accident.

Dolisie : un mort dans un accident de la circulation sur la nationale N°1

Un véhicule de marque Mitsubishi Canter immatriculé 171 G 11qui transportait des pèlerins de l’église évangélique du Congo aurait perdu le contrôle.

Un mort et quarante-cinq blessés c’est le bilan de cet accident de la circulation qui s’est produit mercredi 31 juillet à 13 heures.  Le véhicule était en provenance de Pointe-Noire et à destination du village Kidamba-Louadi dans le département de la Bouenza (sud) pour une retraite spirituelle.

Les quarante-cinq blessés ont été évacués à l’hôpital général de Dolisie pour des soins. Un mort, une sexagénaire, Gabrielle Biangana, domiciliée à Pointe-Noire, son corps a été déposé à la morgue municipale de Dolisie.

Plusieurs témoins pointent du doigt le mauvais état de la route. Les routes du département du Niari figureraient parmi les plus meurtrières du Congo et les accidents mortels y sont fréquents.

 

Pointe-Noire : un accident de la circulation fait 13 morts et plusieurs blessés

Selon les informations des agents du chemin de fer Congo-Océan (CFCO), deux trains sont entrés en collision dans la nuit de dimanche 30 juin à lundi 01er juillet, à Ngondji (ex-Patra).

Treize personnes perdent la vie dans un accident de la circulation à Ngondji (ex-Patra), à une dizaine de kilomètres de Pointe-Noire. Le drame s’est produit à Pointe-Noire, où deux trains sont entrés en collision. La majorité des personnes décédées étaient de passagers clandestins, selon les informations qui ont été données par les agents du CFCO.

Un agent du CFCO a révélé sous anonymat à l’AFP qu’ « Un train minéralier a connu une défaillance technique et a percuté un train de marchandises. Nous avons enregistré 13 morts et plusieurs blessés ».

Le bilan de cet accident a été confirmé par une source policière, qui a précisé que les victimes étaient principalement des passagers clandestins.

« On n’a pas bien dormi pendant une bonne partie de la nuit à cause du balai incessant des ambulances transportaient les morts et les blessés du lieu de l’accident vers Pointe-Noire », a témoigné Sylvain Kitoko, un habitant de Pointe-Noire.

Le chemin de fer Congo-Océan avait été construit à l’époque de la colonisation française. Mais,  Le trafic a été interrompu pendant deux ans entre 2016 et 2018, à cause des affrontements entre l’armée et les ex-combattants ninjas dans la région du Pool au sud de Brazzaville.

Rappelons que, la dernière catastrophe enregistrée sur le CFCO remonte en juin 2010 et avait fait officiellement 53 morts.

Ibaka Game : des blessés lors du rendez-vous

Sur vingt-sept spectateurs conduits au Centre hospitalier universitaire, dix-neuf ont eu de petites lésions.

Dans la soirée du 11 août 2018, au gymnase Maxime-Matsima à Makélékélé, l’ambiance est au rendez-vous mais de courte durée. Le public sportif congolais a répondu présent à ce rendez-vous donné par Serge Ibaka., la star congolaise de la NBA. Dans le cadre de l’édition 2018 du concept ‘’Ibaka Games’’, des rencontres de basketball y étaient prévues entre nationaux, internationaux et jeunes amateurs. Etaient aussi de mises, des spectacles de danse et de comédie. Tout avait pourtant bien commencé jusqu’au moment où le basketteur de la NBA, Serge Ibaka, fait son entrée au gymnase pour saluer le public venu nombreux. La pression de la foule a fait céder la barrière de protection des gradins, entraînant la chute d’une partie du public.

Selon le bilan dressé par le Comité exécutif de la ligue départementale de basketball de Brazzaville, le 12 août, sur vingt-sept spectateurs conduits au Centre hospitalier universitaire, dix-neuf ont eu de petites lésions (sans être hospitalisés) et les huit autres ont été plâtrés. Aucune perte en vie humaine n’a été enregistrés.

Pour des sources concordantes, l’ouvrage au niveau des barrières de protection présente des défaillances : les bouts de barres métallique n’ont pas été suffisamment enfoncés, il n’existe pas, à en croire les mêmes sources, des pattes pour mieux fixer le métal dans le mur de soutènement.  Elles ont, par ailleurs, souhaité que les autorités compétentes demandent des comptes à l’entrepreneur pour dissiper les inquiétudes émises par les sportifs.

Makélékélé: cinq blessés dans un accident de la circulation

L’accident serait causé par une défaillance de freins d’un autobus appartenant à une boulangerie qui a fini sa course en heurtant deux taxis revenant du côté de l’ancienne télévision congolaise.

Lundi 04 juin, trois véhicules entrent en collision, au niveau de l’avenue de l’auberge de Gascogne à Brazzaville. Cet accident serait dû à une défaillance de freins d’un autobus appartenant à une boulangerie qui a fini sa course en heurtant deux taxis revenant du côté de l’ancienne télévision congolaise. Le bilan fait état de cinq blessés et des dégâts matériels.

Les accidents de circulation sont légion sur cette avenue. Il y a à peine un mois, qu’un minibus de transport en commun avait fauché et tué sur le coup un motocycliste. Le mauvais état de la route est la cause principale des accidents fréquents, auxquels la population de ce quartier fait face.

Notons tout de même que la route de l’avenue de l’auberge de Gascogne, est dégradée et n’a ni dos d’âne ni ralentisseur, encore moins des garde-fous et panneaux de signalisation.

Talangaï : deux morts dans un accident de la circulation

C’est au niveau du Viaduc entre le pont et le gymnase de Nicole-Oba, que le drame s’est produit dans la matinée de ce samedi 26 mai, provoquant ainsi des morts et des blessés.

Il est environ 11 heures, lorsqu’un bus de marque Hiace en provenance du quartier dit « Petit-chose », dans le sixième arrondissement de Brazzaville, a fini sa course entre le pont du Viaduc et le gymnase Nicole-Oba. Le bilan fait état de deux morts et plusieurs blessés.

D’après les témoins trouvés sur le lieu de la tragédie, le bus venait à peine de descendre du pont du Viaduc quand il a eu une crevaison. Le véhicule a perdu le contrôle et roulait à vive allure. Le chauffeur n’arrivait plus à maîtriser le volant, et sa voiture est allé percuter le poteau électrique et le béton séparant les deux voies. Puis, le bus a fait tonneau, et a occasionné des morts et blessés.

Les victimes ont été transporté à l’hôpital de base de Talangaï et le Centre hospitalier universitaire de Brazzaville (CHU-B), pour y recevoir des soins. Le directeur général de l’hôpital de base de Talangaï, Raphaël Issoïbeka, a indiqué qu’il y a eu vingt accidentés, parmi lesquels deux morts, dont le chauffeur, et un client à bord, puis trois cas envoyés au CHU-B.