Simulation d’un accident au terminal : Congo Terminal sensibilise les chauffeurs sur la sécurité routière

Le 23 novembre 2022, en différé de la journée africaine de la sécurité routière, Congo Terminal a simulé un accident de circulation au parc à conteneurs puis sensibilisé plus de 300 chauffeurs lors d’un Toolbox meeting spécial.

La simulation de l’accident a permis de mettre en évidence les comportements à éviter au volant (téléphone, refus de priorité, excès de vitesse, non observation des panneaux de signalisation ou du marquage au sol, etc.). Les équipes HSE ont rappelé les consignes liées au Pedestrian Free Yard notamment l’accès au terminal à conteneurs, la gestion des opérations, les équipements, la santé, la sécurité, la sûreté portuaire et la gestion des cas d’urgence.

« La richesse de l’analyse des collaborateurs à la suite de la simulation de l’accident et leur participation active lors des sessions de sensibilisations témoignent d’une ferme volonté à renforcer la culture sécurité aussi bien au sein terminal qu’ailleurs » explique Guy-Michel PASSI, Responsable HSE/sûreté.

Depuis 2017, Congo Terminal est certifié Pedestrian Free Yard. Un label du groupe Bolloré destiné à renforcer la sécurité des collaborateurs évoluant dans les terminaux portuaires. L’entreprise a également obtenu la même année le certificat de conformité au code ISPS, visant à renforcer la sûreté portuaire. Elle dispose également d’un système de vidéo-surveillance 24h/24 et 7j/7 et organise régulièrement des réunions de sensibilisation et des formations continues afin de consolider l’engagement des collaborateurs au respect des règles de conduite.

À propos de Congo Terminal

Congo Terminal, concession de Bolloré Ports, est l’opérateur du terminal à conteneurs de Pointe Noire. L’entreprise est engagée dans un partenariat public-privé qui lui permet de répondre aux exigences de ses clients armateurs, importateurs ou exportateurs. Grâce à ses nombreux investissements, Congo
Terminal participe à l’amélioration du pouvoir d’achat et contribue activement à la lutte contre la vie chère. Certifiée ISO 9001/2015, ISPS (sûreté) et Pedestrian Free Yard (HSE), l’entreprise dispose d’équipements et de technologies de pointe dont le système d’exploitation Navis 4 et bénéficie de la forte expérience portuaire du réseau Bolloré Ports. Congo Terminal emploie près de 900 collaborateurs congolais et mène des actions solidaires en faveur de la jeunesse, de la protection de l’environnement et de l’éducation.

Le Congo opte pour « zéro accident d’aviation civile d’ici 2030 »

C’est ce qu’on retient de la réunion d’information du Bureau d’Enquête et des accidents d’aviation (BEA) avec les acteurs nationaux du secteur.

 

Le Bureau d’Enquête et des Accidents d’Aviation (BEA)-Congo a organisé ce mardi 29 mars à Brazzaville une réunion d’informations avec les acteurs nationaux du secteur de l’aviation dans le but d’assurer la promotion de la sécurité face aux risques liés aux accidents aériens.

Cette réunion a eu pour objectif de sensibiliser les acteurs du sous-secteur de l’aviation civile sur les normes existantes, sur l’organisation du Bureau d’Enquête et des Accidents d’Aviation (BEA)-Congo et sur l’importance du système de compte rendu d’événements de sécurité à mettre en œuvre lors des enquêtes sur les accidents d’aviation civile.

Le taux de conformité du Congo dans le domaine des enquêtes sur les accidents d’aviation civile qui est de 29%, demeure encore faible par rapport à la moyenne mondiale qui est de 56%.

« Le taux est faible pour plusieurs facteurs, nous avons par exemple noté le système de compte rendu d’événements de sécurité qui fait intervenir plusieurs acteurs. Pour conduire une enquête il faudrait premièrement être informé de l’occurrence d’un événement de sécurité », a expliqué directeur des Enquêtes et accidents d’aviation, Jean-Verseau Mombouli.

Selon lui, la priorité du gouvernement congolais est de remplir les obligations internationales, notamment de maintenir zéro accident d’ici 2030 et d’améliorer le taux de mise en œuvre des normes internationales en matière d’aviation civile.

Le Bureau d’Enquête et des Accidents d’Aviation intervient sur toutes les enquêtes liées aux accidents et incidents de l’aviation civile, conformément au Code de l’aviation civile et aux normes de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI).

Depuis une année, des actions sont en train d’être menées pour renforcer le cadre règlementaire en matière d’accidents et incidents de l’aviation civile, pour renforcer les capacités du personnel et l’organisation du BEA.

Congo : un militaire meurt à la suite d’un accident de la circulation à Mikalou

Un camion transportant des sacs de foufou a heurté devant le marché Maty au pont de Mikalou, un bus de la société Averda, causant la mort d’un militaire.

Lundi 27 avril, devant le marché Maty, précisément sur le pont de Mikalou, un camion transportant des sacs de foufou a heurté un bus de la société Averda. Cet accident a causé le mort d’un militaire qui était à bord d’une moto.

Le véhicule poids lourd, de type Ben, en provenance de la partie nord du pays, était surchargé. A environ 100m du marché Maty où il venait décharger la cargaison, les freins ont lâché, aussitôt le chauffeur a perdu le contrôle de l’engin.

Dans sa descente, le camion a heurté violemment un bus (Coaster) de transport du personnel de la société Averda qui faisait la manœuvre à l’entrée du marché Maty. Aucun mort n’a été signalé parmi le personnel d’Averda, hormis des blessés qui ont été conduits à l’hôpital. Un militaire à bord d’une moto, a trouvé la mort. Ce dernier a été percuté par le bus sous le choc du camion.

Cet accident s’est produit un jour où la population s’approvisionne en produits vivriers au marché Maty conformément aux mesures de confinement à domicile édictées par le gouvernement dans le cadre de la lutte contre le Covid-19. Des personnes venues au marché domanial, des riverains et des passants ont envahi les lieux, créant un embouteillage sur la voie.

Tchad : deux morts et seize blessés dans un accident dans le Pool

Le pont Louolo s’est effondré,  la cause de cet effondrement serait le poids excessif des bagages transportés par un camion.

Deux et seize blessés, c’est le bilan d’un effondrement du pont Louolo qui a entraîné un camion qui roulait sur ce pont au moment de la catastrophe. Les causes seraient le poids excessif du camion, selon des sources policières. Les blessés ont été admis à l’hôpital de Mindouli, sans oublier des dégâts matériels importants.

« Le fait que ce véhicule rempli de marchandises ait emprunté ce pont (…) semble être, en l’état des investigations, la cause immédiate et apparente de l’accident. La faute revient au chauffeur qui a voulu franchir un pont de fortune fait en planches avec une charge très importante », a confié une source policière.

Le pont forestier, datant de l’époque coloniale, n’a pas supporté le poids du camion et de son chargement « à plus de 40 tonnes » : « c’était un camion de gabarit hors normes, le pont a craqué ».

Tsembo : les accidents de chasse inquiètent

Un chasseur a été touché par la balle d’un autre chasseur dans la nuit de samedi à dimanche dernier dans le village Tsembo.

Dans la nuit de samedi à dimanche dernier, Satus Iviga Massoussa, 20 ans, chasseur de nationalité congolaise, a été touché au niveau de la poitrine par la balle d’un autre chasseur, Nesta Ndombissa qui avait ouvert le feu au moment où, selon son récit, l’animal passait, au village Tsembo à 40 km du district de Banda.

La victime a été évacuée à l’hôpital général de Dolisie. L’auteur présumé du tir a été placé en garde à vue. Il n’explique pas comment la balle a pu atteindre son camarade qui se trouvait à une soixantaine de mètres et évoque un possible ricochet sur un rocher.

Des enquêtes auprès de la police ont été ouvertes pour comprendre comment cet accident de chasse a pu arriver.

Il s’agit du second accident de chasse dans la contrée.

Le 3 octobre dernier, un chasseur de 46 ans, qui avait été pris pour une antilope, était également tombé sous les balles de son coéquipier.

Selon un bilan établi par les services des Eaux et Forêts du Niari, le nombre d’accidents de chasse relevés s’était établi à 43, dont 18 mortels, au cours de la saison 2016-2017 (entre le 1er juin 2016 et le 31 mai 2017).

Mayoko : un accident de moto fait un mort au village Léhala

La violence et l’impact du choc a laissé un des conducteurs sur le carreau.

La scène s’est déroulée ce mardi 2 octobre à Mayoko au sud dans le Niari, deux motos sont entrées en collision. Le premier pilote, un jeune ressortissant de Moungoundou Nord, est décédé sur place. Le second  quand à lui été grièvement blessé et transporté à l’hôpital.

Arrivées sur les lieux pour s’enquérir de la situation, les forces de l’ordre ont ouvert une enquête afin d’établir les responsabilités. Rappelons que d’après les statistiques officielles, les 3/4 d’accidents dans le département du Niari sont causés par les cyclomoteurs appelés «motos Djakarta ».

Les habitants déplorent le manque d’immatriculation et de réglementations des motos Djakarta. Ils appellent d’ailleurs les autorités compétentes à y remédier pour plus de sécurité.