Congo : le président du Sénat français en séjour à Brazzaville

Gérard Larcher est en visite de travail dans la capitale congolaise où il séjournera jusqu’au 29 mars 2024.

 

Selon congomediatime.com le président du Sénat français est arrivé en République du Congo, mercredi 27 mars 2024. Il aurait été reçu à l’aéroport international Maya-Maya, par son homologue congolais Pierre Ngolo.

En présence du président du Sénat français Gérard Larcher et sa délégation, une séance plénière spéciale au Sénat se tiendra, au cours laquelle les échanges vont porter sur l’expérience française en matière de décentralisation. En préparation à cette plénière spéciale, les sénateurs se sont réunis, le 25 mars à Brazzaville.

« Lors de cette séance spéciale, la possibilité sera donnée au président du Sénat français de nous édifier sur l’expérience française de la décentralisation, comment il gère la décentralisation, quelles sont les avancées et l’effort que fait le Sénat français dans ce domaine. Et nous allons voir comment exploiter ces expériences et les adapter au Congo afin que notre décentralisation connaisse l’engouement », a expliqué Pierre Ngolo.

Pour rappel, le président du Sénat, congolais avait été reçu, le 13 décembre 2023, au Palais du Luxembourg par Gérard Lercher dans le cadre du renforcement de la coopération entre les deux institutions.

Le Congo et l’Opep veulent raffermir leurs liens de coopération

Le sujet était au centre des échanges entre le secrétaire général de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), Haitham Al-Ghais et le président du Sénat, Pierre Ngolo.

 

L’échange du jeudi 18 janvier entre Pierre Ngolo et Haitham Al-Ghais portait sur la nécessité de raffermir les liens de coopération entre la République du Congo et l’Opep. Les deux personnalités ont passé en revue les questions relatives à l’état du marché mondial du pétrole, la transition énergétique, aux changements climatiques et à l’importance de continuer à investir dans le secteur pétrolier.

Pour Haitham Al-Ghais, « Il est important de souligner que le Congo demeure engagé pour l’Opep, le président du Sénat l’a encore rappelé. L’Opep également est engagée pour le Congo. Cet engagement ne va pas simplement dans le sens de préserver la stabilité des prix du marché mais également nous voulons avancer, continuer cette coopération entre les pays de l’Opep mais aussi entre les pays non-membres de l’Opep dans le cadre de l’Opep ».

Depuis son adhésion à l’Opep en 2018, le Congo travaille à la promotion de la production pétrolière de manière durable et respectueuse de l’environnement.

France : entretien entre Gérard Larcher et Pierre Ngolo à Paris

La rencontre entre le président du Sénat français et son homologue de la République du Congo, a eu lieu à mi-journée du mercredi 13 décembre 2023.

 

Pierre Ngolo, en visite officielle en France dans le cadre de la diplomatie et la coopération des institutions parlementaires des deux pays. Le président congolais du Sénat s’est entretenu avec son homologue français mercredi 13 décembre.

Durant près d’une heure d’entretien entre les deux personnalités a aboutit à la signature d’un protocole de coopération parlementaire qui contribuera à enrichir les liens entre les deux assemblées dans les prochaines années, sur le volet de la décentralisation et des relations de l’État avec les collectivités locales, la partie congolaise en ayant formulé de réelles attentes.

En marge de cette rencontre, le président du Sénat du Congo et sa délégation, accompagnés de Guillaume Chevrollier, président du groupe d’amitié France-Afrique centrale, Stéphane Demilly, président délégué pour le Congo au sein de ce groupe et de l’ambassadeur Rodolphe Adada ont assisté, l’après-midi, à la séance publique.

Congo : les sénateurs appelés à renforcer le contrôle de l’action gouvernementale

C’est l’une des recommandations du nouveau président du Sénat, Pierre Ngolo, ouvrant la session inaugurale marquant le lancement de la quatrième législature le 13 septembre 2023.

 

« Dans notre pays, la démocratie est désormais un acquis. C’est une réalité vivante qui suit quoi qu’on en dise son bonhomme de chemin. Les sénatoriales qui viennent de se dérouler à l’instar de diverses élections antérieures témoignent bien de la vitalité de notre démocratie », a déclaré le président du Sénat, avant d’ajouter : « Ce qui reste à faire et qui est à faire à tout prix, c’est l’amélioration progressive du système électoral, processus dans lequel l’implication de tous est requise. Ensemble, gestionnaires d’institutions, opérateurs politiques, acteurs de la société civile, citoyens œuvrant tous à rendre plus performant notre dispositif électoral ».

Pierre Ngolo a ensuite appelé les sénateurs à renforcer le contrôle de l’action gouvernementale tout en rappelant que la rétrospective de la mandature précédente a mis en évidence les succès engrangés.

Fortifier les avancées du passé afin que le Sénat pèse de plus en plus lourd sur l’arène nationale relève aussi de la responsabilité de la chambre haute, a-t-il souligné.

« Notre responsabilité totalement engagée nous impose de nous mettre véritablement à la tâche. Par l’action et par l’exemple, réunissons les conditions de l’élévation de participation de l’institution Sénat à l’effort national visant à faire du Congo un Etat de droit, souverain, unitaire et indivisible, décentralisé, laïc et démocratique que proclame l’article premier de la Constitution », a poursuivi le président de la chambre haute.

Il a, en outre, rappelé que dans la nouvelle marche de la quatrième législature, il faut compter sur la jeunesse qui demeure incontournable pourvu qu’elle se définisse un idéal pour lequel elle se bat.

Enfin le président du Sénat n’a pas oublié d’évoquer la question de la paix et de la concorde nationale, des collectivités territoriales auxquelles il faut au cours de cette quatrième législature débutant accorder une attention soutenue pour le bien-être des citoyens.

Congo : Pierre Ngolo entame un nouveau mandat à la tête du Sénat

Le président sortant, Pierre Ngolo, a été réélu mercredi 13 septembre 2023, pour un nouveau mandat de six ans à la tête de la quatrième législature.

 

La session inaugurale de la quatrième législature s’ouvert mercredi 13 septembre 2023. La nouvelle configuration du bureau de la chambre haute du Parlement a été dévoilée. Pierre Ngolo, a été réélu pour un nouveau mandat de six ans et quatre nouveaux visages ont fait leur entrée.

Sur les sept membres du bureau, trois anciens ont été reconduits, notamment Pierre Ngolo à la présidence, Gabriel Ondongo à la deuxième vice-présidence et Julien Epola au premier secrétariat du Sénat. Quatre nouveaux ont fait leur entrée. Il s’agit, entre autres, de Ralcoh Donatien Mouanda Kitsinga du Parti congolais du travail (PCT) qui remplace à la première vice-présidence Michel Mahinga du même parti. Elisabeth Mapaha de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads) a été élue deuxième secrétaire du bureau du Sénat en remplacement de son collègue du parti, Joseph Yédikissa Dhadié, battu aux élections du 20 août dernier.

Élue à Brazzaville sous le label d’indépendant, Andréa Carole Sassou N’Guesso intègre le bureau du Sénat en qualité de première questeure. Elle prend la place d’Edouard Roger Okoula du PCT.  Le dernier entrant est Pierre Justin Makosso du Rassemblement pour la démocratie et le progrès social qui succède à Jeanne Emilie Ngoto (PCT).

Congo-arriérés de pensions : les retraités de la CRF demandent l’intervention du Sénat

Ils ont rencontré jeudi 05 octobre 2022à Brazzaville, le président du Sénat Pierre Ngolo pour exposer leur problème d’arriérés de pensions.

 

Les membres de l’Union pour la défense des retraités de la Caisse de retraite des fonctionnaires (UDIR/CRF) et la Coordination nationale des associations des retraités affiliés à la CRF, ont eu une rencontre avec le président du Sénat, Pierre Ngolo. C’était à Brazzaville jeudi 5 octobre 2022. Ils ont sollicité l’intervention de cette institution pour le paiement de 39 mois d’arriérés de pensions.

Ayant obtenu la totalité de leurs pensions de retraite dans le budget de l’Etat exercice 2022, les retraités de la Caisse de retraite des fonctionnaires (CRF) sollicite du gouvernement une prise en compte effective des pensions dans le budget de l’état exercice 2023.

« La loi de finances 2023 étant en préparation, nous sommes revenus plaider, une fois de plus, au président de la chambre haute du Parlement, Pierre Ngolo, pour que le gouvernement fasse la même chose dans la loi de finances 2023 », a indiqué le président de UDIR/CRF, Eugène Bakoula,

Ces derniers réclament également le paiement de trente-neuf (39) mois d’arriérés de pensions ainsi que l’harmonisation de la valeur du point d’indice dont le gouvernement avait pris l’engagement de relever à tous les agents de l’Etat.

Congo-Pénurie de carburant : « tout est fait pour qu’on sorte de cette situation » (Pierre Ngolo)

Le très honorable Pierre Ngolo  speaker de la chambra haute du parlement congolais,  invité le gouvernement à aller jusqu’au bout de ses efforts pour résoudre la situation liées aux pénuries récurrentes de carburant sur toute l’étendue du territoire national.

 

Il sied de noter que, la plénière du 08 juin 2022 à l’hémicycle du Sénat a été consacrée aux questions d’actualité particulièrement à celle des pénuries récurrentes de carburant constatées au niveau national.

Préoccupés par cette situation à laquelle sont confrontés les congolais qu’ils représentent à l’hémicycle, les élus du peuple ont tenu à interroger le gouvernement sur ce qu’il en est actuellement de ces pénuries.

« Il nous revient de rassurer les compatriotes que ce qui se passe est passager et qu’au niveau du gouvernement tout est fait pour qu’on sorte de cette situation », a déclaré le président du Sénat Pierre Ngolo.

De son côté le Chef de l’Exécutif congolais Anatole Collinet Makosso a donné quelques éléments de réponses aux préoccupations de ces derniers.

« À ce jour la situation supercarburant s’est stabilisée avec une autonomie moyenne de 14 jours de consommation sur l’ensemble du territoire national. Le problème nous l’avons en termes de gasoil qui demeure encore insuffisant à Brazzaville et Pointe-Noire » a-t-il déclaré.

Pierre Ngolo président du Sénat a pris bonne note des informations fournies par le chef du gouvernement tout espérant que nous sortirons bientôt de cette situation.

 

 

Congo : 30 mois sans salaire, les agents de la Sopéco demandent l’intervention du Sénat

L’intersyndicale de la Sopéco a eu un échange cette semaine avec le bureau du sénat, en présence de son président Pierre Ngolo.

 

Pas de salaire perçu depuis l’année 2018, c’est la réalité des employés de la compagnie publique Sopéco. L’annonce a été faite ce vendredi 11 mars par le collectif des travailleurs de ladite société.

Face à cette situation, l’intersyndicale de la Sopéco a eu un échange avec le bureau du sénat, en présence de son président Pierre Ngolo.

La délégation conduite par Gestas Ngami, secrétaire général de cet organe est venue plaider pour l’intervention de la chambre haute du parlement en sa qualité de modérateur de la nation afin de trouver une issue favorable à la crise sociale que traversent les travailleurs.

« Ce qui se passe à la Sopéco est criard. Ce sont des pères et des mères de famille qui peinent à joindre les deux bouts du mois. Ce qui explique tout le tintamarre que vous constatez tous les jours, une façon d’exprimer notre mécontentement », a déploré Gestas Ngami.

Pour sa part, Pierre Ngolo a tenté de jouer la carte de l’apaisement face à cette situation difficile que traversent nos compatriotes.

« La vraie solution à cette situation, certes difficile, c’est le dialogue. Nous allons faire le plaidoyer. Votre situation est comprise et le Sénat va se battre pour cela », a-t-il dit.

Outre les arriérés de salaires, le collectif de la Sopéco a aussi fait part au bureau du Sénat, de nombreuses difficultés auxquelles l’ensemble du personnel de cette structure est confronté.

Il a épinglé notamment, la baisse de la subvention de l’entreprise, les mauvaises conditions de travail, le surendettement des employés et l’absence de dialogue avec la direction générale.

Congo : Pierre Ngolo demande aux sénateurs plus de vigueur dans leur mission

C’était mardi 01 février 2022 à Brazzaville, à l’ouverture de la quatorzième session ordinaire administrative du sénat.

 

La quatorzième session ordinaire administrative du Sénat s’est ouverte  le 1er février à Brazzaville. A l’ouverture, le président de cette institution, Pierre Ngolo, a demandé aux sénateurs de raffermir et d’affiner le contrôle dans l’accomplissement de leur mission.

« Mettons davantage de doigté et de vigueur dans l’accomplissement de notre mission constitutionnelle de modérateur et de conseil de la nation », a déclaré Pierre Ngolo.

Pour lui, le temps des réformes est souvent un moment exigeant et diversement apprécié en ce qu’elles bousculent les habitudes et les intérêts. Il les convie à bien exploiter l’espoir né des fructueuses offensives diplomatiques du gouvernement pour des délibérations responsables, avant de saluer l’accord avec le Fonds monétaire international, lequel vise à maintenir la stabilité macroéconomique.

Le président de la chambre haute n’a pas manqué d’aborder la situation qui prévaut à la frontière Russie –Ukraine qui peut, selon lui,  placer l’humanité devant des risques de reconstitution des deux blocs prêts à imposer aux citoyens de la planète le spectre de la violence. « Le Sénat souhaite que le règlement de tout litige se fasse en privilégiant la paix », a-t-il indiqué.

Quant à la situation prévalant en Afrique, la non-intériorisation par les élites des règles du pluralisme politique et le recours à l’interruption de l’ordre constitutionnel apparaissent comme la meilleure réponse aux insuffisances de gestion constatées.

Rappelons que cette session va durer soixante-dix jours. Il sera question d’examiner à son ordre du jour sept affaires. Au nombre de celles-ci, le projet de loi autorisant la ratification du traité portant création de l’Agence africaine de médicament, celui portant code pénitentiaire en République du Congo et autres.

Congo : le projet de loi de finances exercice 2022 rejeté

Les pensionnés de la caisse de retraite des fonctionnaires (CRF) réaffirment leur désapprobation du budget de l’Etat, exercice 2022.

 

Le projet de loi du budget de l’Etat, exercice 2022 est présentement en examen au Parlement. Celui-ci s’élève à 49, 853 milliards FCFA. Un projet de loi que les retraités de la  CRF ont critiqué. Ils ont réaffirmé leur désapprobation le 29 novembre à Brazzaville dans le bureau du Sénat.

Ces retraités accumulant actuellement trente-huit mois d’arriérés de pensions depuis 2016. Ils menaçaient d’organiser des sit-in devant le Palais des congrès à partir de ce 30 novembre et ont décidé de suspendre leur mouvement en attendant l’aboutissement des négociations.

Notons que malgré leurs multiples plaintes, les représentants des retraités ont accepté la main tendue du président du Sénat, Pierre Ngolo, qui les a rassurés de travailler avec la commission Economie et Finances de cette chambre haute du Parlement.

« Il faut retenir vos adhérents, qu’ils prennent leur mal en patience. Ce n’est qu’un projet, s’il y a possibilité de l’améliorer, nous le ferons. Nous avons déjà rencontré le gouvernement plusieurs fois, mais nous ne baissons pas les bras, nous allons continuer à jouer notre rôle d’encadreur. La commission Economie et Finances va vous recevoir ; le gouvernement mettra en place une commission pour regarder votre situation », a déclaré en substance Pierre Ngolo.

Ces retraités sont regroupés en trois organisations à savoir dont de la Coordination nationale des fédérations des associations des retraités (CNAFARA/CRF) et la Fédération des associations des retraités (FAR/CRF).

Congo : bientôt les passeports et les CNI seront disponibles

C’est du moins ce qu’avait annoncé le Premier ministre chef du gouvernement, Anatole Collinet Makosso, mardi devant le parlement.

 

Les demandeurs des passeports et cartes nationales d’identité (CNI) rencontrent depuis quelque temps d’énormes difficultés dans l’obtention des passeports et des cartes nationales d’identités. Bientôt ces documents précieux seront disponibles. Une déclaration faite par le Premier ministre congolais, Anatole Collinet Makosso. C’était au cours d’une séance de travail avec le président du Sénat, Pierre Ngolo.

Le chef du gouvernement, qui conduisait une délégation devant les bureaux des deux chambres du Parlement, relevé le problème lié au respect des engagements pris vis-à-vis du fournisseur. Il s’agit notamment d’une société de droit privé allemand à qui le pays devait beaucoup d’argent.

Pour tenir à ses engagements, le gouvernement congolais a versé une somme de deux milliards de FCFA à son partenaire. Ladite société s’est remise au travail.

Congo : la police ignore les autorisations de circulation des sénateurs

En cette période de confinement en République du Congo, le président du sénat a signé des autorisations de circulation aux membres de la chambre haute. Des documents que la police n’a pas souvent pris en compte.

A Congo, les sénateurs se sont indignés après avoir vus leurs autorisations de circulation saisie voire déchiré par des agents de la police. Un document qui leurs avait été signé par le président du Sénat, Pierre Ngolo.

Réunis en plénière le 27 avril à Brazzaville, pour approuver deux projets de loi à l’ordre du jour de leur session, Pierre Ngolo, a parlé d’un manque de considération du Sénat par les éléments de la police.

« La force publique est républicaine comment alors peut-elle se permettre de déchirer une note du président de l’Assemblée nationale ou du président du Sénat ? », s’est interrogé le président du Sénat, Pierre Ngolo.

Cette même plainte est souvent formulée du côté du personnel de santé, des journalistes, et autres.

Diplomation : Pierre Ngolo fait escale au Rwanda

Le président du sénat a marqué un arrêt à Kigali après avoir assisté aux travaux du forum du parlement panafricain sur la lutte contre le commerce des armes légères et de petits calibres en Afrique du Sud.

Avant son retour à Brazzaville, le président du Sénat a été reçu par son homologue rwandais Bernard Makuza, le 04 octobre 2019. Les deux personnalités ont fait un tour d’horizon sur les sujets d’actualité africaine et internationale, sans oublier la coopération parlementaire bilatérale entre le Congo et le Rwanda. C’était aussi l’occasion pour eux d’évoquer les relations d’amitié et de coopération qui existent entre les deux pays.

Ils ont évoqué le soutien aux efforts inlassables que déploient les deux présidents, Denis Sassou N’Guesso et Paul Kagame, relatifs aux questions de paix, de sécurité et de développement dans la sous-région des Grands Lacs et dans le cadre de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale, dont les deux pays sont membres.

France : tête à tête entre Pierre Ngolo et Gérard Larcher

 Les deux présidents des Sénats de France et du Congo, se sont entretenus pour renforcer les relations qui existent entre leurs deux pays.

Pierre Ngolo et Gérard Larcher ont échangé jeudi 13 juin, au Palais du Luxembourg à Paris. Il s’est agi pour les deux hommes de parler de la coopération de la France et du Congo. L’objectif étant de renforcer les relations entre le Congo et la France ainsi que la coopération entre les Chambres parlementaires qu’ils dirigent.

Cette rencontre a eu lieu en marge des entretiens des présidents de Sénats d’Europe et des présidents de Sénats africains. Cet entretien s’inscrit dans la poursuite des étapes de la discussion destinée à signer un accord-cadre tel que les deux parties institutionnelles s’étaient engagées, le 27 septembre de l’année dernière, à Paris. Un engagement mutuel pris à l’époque en présence des sénateurs français Christian Cambon, président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des forces armées, et Christophe-André Frassa, du groupe d’amitié avec le Congo Brazzaville, de Bertrand Cochery, ambassadeur de France au Congo, et de son homologue du Congo en France, Rodolphe Adada.

Parmi ces préoccupations du Congo, on note la demande du Congo pour que la France s’engage dans les négociations auprès du Fonds monétaire international présidé par Christine Lagarde pour aboutir à la signature d’un accord qui soit à la fois acceptable et qui permette de tracer un avenir supportable pour les citoyens et la gouvernance.

L’économie n’a pas été le seul point abordé par les deux présidents. Ils ont également parlé des sujets parlementaires. Les négociations entamées l’année dernière sont en phase d’aboutir par un protocole d’accord, avec une probable signature à Brazzaville, à en croire l’invitation faite par Pierre Ngolo à Gérard Larcher.

« Invitation acceptée car nous n’oublions pas que Brazzaville a accueilli, à une certaine époque, l’honneur de la France à un moment difficile…Et que, les amis sont comme les étoiles, c’est pendant la nuit qu’on peut les compter. Nous avons pu compter sur le Congo à ce moment-là. Cela ne s’oublie pas », a déclaré le président du Sénat français.

Crise économique : le président du Sénat invite au renforcement de l’action gouvernementale

Dans son discours d’ouverture des travaux de la sixième session ordinaire administrative de la chambre haute du parlement, le 3 juin à Brazzaville, Pierre Ngolo a rappelé  la nécessité du contrôle de l’action de l’exécutif qui revêt une dimension particulière dans la conduite des affaires publiques.

Pierre Ngolo a  souligné que les institutions et les organes de la République commis au contrôle et à l’observation de la discipline doivent se hisser à leur niveau de responsabilité afin de donner aux impératifs de transparence, de bonne gouvernance, de lutte contre les déviances diverses leur vrai sens.

« La voie de sortie de crise et de relance de l’économie est celle de la prise de conscience à tous les niveaux, surtout au niveau du parlement qui, par ses délibérations et par l’exercice de sa mission de contrôle, doit devenir un acteur clé de la nouvelle dynamique » a-t-il déclaré. Il a ajouté que cette sixième session s’ouvre quatorze jours après la clôture de la session extraordinaire qui était consacrée à  la ratification de l’accord de rééchelonnement de la dette du Congo envers la Chine.

« Avec la ratification de cet accord qui constitue une étape déterminante dans le processus de négociation avec les partenaires financiers et le fait pour notre économie de retrouver ses marques après deux ans de récession, on peut envisager, pour notre pays, des perspectives meilleures », a-t-il rencheri.

Rappelant  le contexte dans lequel cette session se tient, le président du Sénat a indiqué qu’il est inscrit à son ordre du jour des affaires à caractère  diplomatique confirmant la place du Congo dans l’arène parlementaire internationale.

Au nombre de celles-ci,  a-t-il souligné, la participation du Sénat congolais à Paris à la vingtième réunion de l’Association des Sénats d’Europe, du 13 au 15 juin; la présence du Congo au Forum international sur le développement du parlementarisme et à la Conférence parlementaire Russie-Afrique qui se tiendront du 1er au 3 juillet à Moscou, en Russie, et  l’organisation à Brazzaville, les 11 et 12 juillet, d’un sommet panafricain de haut niveau sur la sécurisation des investissements et des ressources pour la santé et le VIH/sida. Pierre Ngolo a convié les sénateurs à la rigueur et à la créativité pour que ces rencontres soient porteuses.

 

Sénat : l’accord de rééchelonnement de la dette du Congo au centre des discussions

La chambre haute s’est réjouie, le 14 mai à Brazzaville, de l’accord de rééchelonnement de la dette du Congo envers la Chine, conclu le 29 avril dernier, à Pékin.

La troisième session extraordinaire du sénat s’est ouverte à Brazzaville. Les travaux sont consacrés à l’adoption du projet de loi de l’accord conclu entre le Congo et la Chine. Le président du Sénat, Pierre Ngolo, a déclaré à l’ouverture de la session, que le rééchelonnement représente une étape décisive vers le rétablissement de la viabilité de la dette du pays et augure des perspectives intéressantes quant à la suite des négociations avec les partenaires financiers, notamment le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.

« Nous devons souligner, comme l’ont déjà fait les organismes internationaux, le renforcement spectaculaire de la position budgétaire de notre pays, avec un solde budgétaire global, passé d’un déficit de 7,4% du produit intérieur brut en 2017 à un excédent de 6,8% en 2018 », a-t-il ajouté.

Ces résultats très encourageants, a-t-il renchéri, sont à mettre d’abord au crédit de la volonté et de la détermination du chef de l’Etat qui a toujours cru en l’avenir du Congo et qui entreprend tout pour que le pays recouvre son rayonnement. Ils sont aussi le fruit de gros efforts consentis par les travailleurs et l’ensemble du peuple congolais dont l’esprit de sacrifice est incontestable, a admis le président du Sénat.

Le projet de loi en cours d’examen a été affecté à la commission Economie et finances. Pierre Ngolo a profité de l’occasion pour rappeler à l’institution le deuil qui la frappe avec la disparition, le 27 avril dernier, du sénateur Séba Sébastien, élu de la Cuvette ouest, qui était, par ailleurs, président de la Fédération du Parti congolais du travail.

 » Nous garderons de lui le souvenir d’un cadre discret, doux, qui avait toujours le sens de la mesure dans son geste tout comme dans son propos, un parlementaire soucieux de sa tâche et prompt à la réplique percutante », a-t-il signifié.

La majorité présidentielle se mobilise pour 2021

Le président par intérim de la majorité présidentielle, Pierre Ngolo a annoncé le 27 février à Brazzaville que les militants et sympathisants devraient prendre des engagements nouveaux pour une avancée significative à l’échéance 2021.

« La rentrée politique 2019 est couplée au lancement des universités de la majorité présidentielle, cadre d’analyse lucide et sérieuse sur notre gestion de la cité en vue des projections efficaces inscrites dans l’optique d’une action porteuse qu’appelle de tous ses vœux notre chef, Denis Sassou N’Guesso», a déclaré Pierre Ngolo, au cours de la rentrée politique de son groupement politique.

Pierre Ngolo qui en a appelé à un éveil des consciences, a exhorté les participants à mûrir une réflexion d’ensemble dans le but d’aboutir à des résultats fiables tels attendus par la masse commune des populations. Il a insisté sur la capacité d’imagination de chacun pour qu’il s’investisse sur l’identification des moyens de dynamisation de l’action qui sera menée pour sortir rapidement de la crise économique et financière qui pénalise le Congo.

Membre du Front patriotique, Bibalou-Bibalou a clarifié que trois commissions d’ordre politique économique et social seront mis sur pied pour travailler sur les différentes thématiques à examiner.

L’échéance 2021 est un rendez-vous de la démocratie qui portera confirmation au travers des avancées significatives vers la route du pluralisme politique.

Roger Nkodo Dang en visite au Congo

Le président du Parlement panafricain, a été reçu par le président congolais du Sénat, Pierre Ngolo, lundi 07 janvier 2019 à Brazzaville.

Cette visite avait pour objectif d’exprimer sa gratitude au parlement congolais. Qui selon lui, a joué un rôle déterminant pour qu’il soit, il y a six mois, réélu à la tête du parlement panafricain. Roger Nkodo Dang avait été reçu par le président congolais du Sénat, Pierre Ngolo, Roger Nkodo Dang.

« En tant que membre à part entière du parlement congolais, à chaque début d’année et à chaque début de législature, je viens rencontrer les présidents des chambres parlementaires, pour que nous échangions sur l’année législative que nous allons engager », a-t-il laissé entendre.

« Le président du Sénat, Pierre Ngolo et celui de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba, ont été les acteurs principaux de ma réélection. C’est pour cela que je suis venu remercier le Chef de l’Etat congolais pour son apport indéfectible », a poursuivi Roger Kodo Ndong.

La Chine offre du matériel bureautique et informatique aux deux chambres du parlement congolais

Le président du Sénat congolais, Pierre Ngolo a réceptionné, le 8 novembre à Brazzaville, un lot de matériel bureautique et informatique des mains de l’ambassadeur de Chine au Congo, Ma Fulin.

Le don octroyé par le Comité national de la Conférence consultative politique du peuple chinois vise à renforcer les capacités opérationnelles de l’administration des deux chambres du parlement congolais.

C’est une nouvelle fois une marque importante de la coopération entre la Chine et le Congo.

Le protocole d’accord relatif à la réception de ce don a été paraphé par Pierre Obambi pour l’Assemblée nationale et Julien Epola pour le Sénat.

Congo : Pierre Ngolo rencontre les responsables du PCT de France

En marge de sa visite de travail en France, le président du sénat congolais a rencontré les dirigeants de la Fédération PCT-France et la commission ad’hoc PCT-Europe.

Pierre Ngolo, le président du sénat congolais a rencontré ce début de semaine à Paris les membres du Parti congolais du travail (PCT) de France. Il était notamment question d’apporter les solutions aux problèmes que rencontre le fonctionnement du parti au pouvoir en Europe.

Aux camarades du parti, Pierre Ngolo a insisté sur trois points : l’Engagement des militants facteur essentiel de leur disponibilité à répondre à l’appel du parti. La mobilisation, élément déterminent de la vie et de la bonne marche du Parti, dans une parfaite symbiose sommet-base pour l’exécution des mots-d’ordres et du programme des structures du parti.

Surtout, le président du sénat a recommandé à ses camarades le soutien indéfectible au Président du comité central du PCT, le président Denis Sassou N’Guesso. Pour lui, cela passe par une mobilisation total de l’appareil du parti en Europe.

Pour rappel, Pierre Ngolo a rencontré pendant sa visite de travail en France son homologue Gérard Larcher.

Coopération : Pierre Ngolo reçu par le président du sénat Français

En visite de travail en France, le président du sénat congolais a été reçu par Bertrand Cochery  ce 27 septembre. Au menu des échanges, les questions de coopération.

Gérard Larcher, le président du sénat français a reçu en audience dans son cabinet ce jeudi 27 septembre Pierre Ngolo son homologue congolais. Une visite qui s’inscrit dans la droite ligne du renforcement de la coopération entre les institutions parlementaires des deux pays et les présidents des hautes Assemblées.

Les deux hommes d’Etats ont abordé plusieurs thématiques, notamment celles ayant trait aux secteurs sur lesquels le Congo sollicite l’expertise et l’appui de la France. En pleine négociation avec le fonds monétaire international, la chambre haute Congolaise a aussi besoin de l’expertise et de l’expérience de la chambre haute Française.

Rappelons que cette visite a été initiée en août dernier par l’ambassadeur de France au Congo, Bertrand Cochery.

Le nouvel ambassadeur de Chine promet de porter plus haut l’étendard de l’amitié sino-congolaise

Nouvellement affecté au Congo, Ma Fulin a été reçu en audience, le 20 avril à Brazzaville, par le président du Sénat, Pierre Ngolo.

La première rencontre de l’ambassadeur de Chine au Congo avec le président du Sénat s’inscrivait dans le cadre d’une visite de courtoisie. Faisant le point de la coopération entre les deux Etats, déjà fructueuse, Ma Fulin a promis de porter encore plus haut le flambeau de cette collaboration, au bénéfice des deux peuples.

« Je dois vous promettre que notre coopération doit absolument aller de l’avant. Nous n’avons aucune raison de ralentir ou d’arrêter ces relations de coopération qui vont dans l’intérêt des deux pays. Nous continuerons à travailler avec le Congo sur la manière, le mode et le rythme de cette coopération afin qu’elle chemine à un rythme plus durable et raisonnable, dans la mesure des possibilités », a indiqué Ma Fulin.

Au cours de leur entretien, les deux personnalités ont évoqué aussi la nécessité de renforcer et de développer la coopération entre le parlement congolais et celui de la Chine. Selon Ma Fulin, cette collaboration devrait être confortée et élargie dans tous les domaines.

Parlant du développement économique du Congo, le diplomate chinois est resté confiant. A cet effet, il a estimé que le Congo, à travers la coopération avec la Chine, a déjà posé les jalons nécessaires, capables d’entraîner et soutenir un essor économique tous azimuts.

« Au temps où l’économie marchait bien, le Congo a eu beaucoup d’argent. Le gouvernement a bien fait de construire beaucoup d’infrastructures qui contribuent au développement économique du pays », a apprécié Ma Fulin.

Répondant à la question sur la dette congolaise, pour laquelle le pays est en négociation avec le Fonds monétaire international, l’ambassadeur chinois a fait savoir qu’aucun problème n’est insurmontable.

 

Denis Sassou N’Guesso a échangé avec Pierre Ngolo et Isidore Mvouba

La situation économique du pays, l’apport du parlement dans la lutte contre les antivaleurs… Autant de sujets sur lesquels le chef de l’État a interpellé les présidents des deux chambres du parlement.

Le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, a échangé avec le président du Sénat, Pierre Ngolo et celui de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba, le 6 mars à Brazzaville. Les entretiens ont porté, sur la vie politique nationale.

La situation économique du pays, l’apport du parlement dans la lutte contre les antivaleurs, la stigmatisation dont est victime le chef de l’opposition de la part de certains acteurs de la classe politique, autant de sujets sur lesquels le chef de l’État a interpellé les présidents des deux chambres du parlement sur le rôle qui revient à leurs institutions.

« Le chef de l’État devrait de temps à autre se retrouver avec les gestionnaires des différentes institutions, histoire de faire le point de la marche du pays, d’apprécier ce qui a été fait et de voir dans quel sens on doit engager la République » a confié Pierre Ngolo qui a propos de la lutte contre les antivaleurs, a rapporté que le président a « dit avoir entendu les populations, leurs plaintes, leurs dénonciations et en avoir pris bonne note, pour faire que les choses ne soient plus jamais comme avant »

À propos du rejet de Pascal Tsaty Mabiala comme chef de file de l’opposition par sa famille politique, le président du Sénat a déclaré : « Le chef de file de l’opposition est un organe institué par la Constitution. Pour occuper ce poste, la loi définit les conditions. Il faut que le parti dont on est issu soit représenté au parlement.  L’UPADS dont Pascal Tsaty Mabiala est le premier secrétaire est le seul parti de l’opposition efficacement représenté au parlement. Peut-on contester la loi ? La désignation de Pascal Tsaty Mabiala n’est pas une volonté d’un pouvoir. Ce n’est pas un acte arbitraire », a-t-il conclu.

De son coté, le président de l’Assemblée nationale a comme dans une mise au point suite aux dernières déclarations du collectif de l’opposition congolaise, présidé par Mathias Dzon, rappelé :  « Nous sommes aujourd’hui assiégés par les mensonges des réseaux sociaux et il n’y a aucune réplique, que ça soit au niveau de notre parti, que ça soit au niveau des partis alliés, il y a un silence de mort comme si on se reprochait de quelque chose alors que nous n’avons pas à rougir de notre bilan. On a fait beaucoup de chose dans ce pays ».

Comme pour faire reprendre espoir aux indécis, le président de l’Assemblée nationale a annoncé la reprise des discussions avec le FMI dans la perspective de conclure un programme de relance économique. « Dans les jours qui viennent, nous sommes sûrs de conclure avec le FMI et d’avoir quelques moyens pour redresser la situation », a-t-il déclaré.

Congo/Afrique du Sud: les parlements des deux pays entendent renforcer leurs liens de coopération

C’est l’essentiel à retenir de l’entretien qu’il y a eu entre l’ambassadeur de la République Sud-Africaine au Congo et  le président du Sénat congolais.

L’ambassadeur de la République Sud-Africaine au Congo, M. Richard Baloyi, a réitéré le 02 février à Brazzaville, la volonté de son pays de pouvoir travailler en étroite collaboration avec le Congo.  

Il a traduit cette volonté à l’issue de l’entretien qu’il a eu avec le président du Sénat congolais, M. Pierre Ngolo, au cours duquel M. Baloyi a indiqué qu’«il est venu renouveler en tant qu’ambassade, la volonté de pouvoir travailler avec le Sénat et de renforcer en ce début d’année 2018, les relations qui existent entre les deux pays».

Cette rencontre a permis à l’ambassadeur de l’Afrique du Sud de pouvoir réaffirmer le rôle du législateur et encourager le contact entre les deux Parlements, à savoir ceux du Congo et de l’Afrique du sud. Elle a également permis de faire de telle sorte que le Sénat congolais puisse travailler avec le conseil provincial de l’Afrique du sud, a-t-il ajouté.

La République d’Afrique du Sud étant avancé sur le secteur aérien, va regarder au niveau du Parlement quelles sont les règles qui ont été adoptées pour pouvoir partager l’expérience afin de promouvoir  la diplomatie économique entre les deux pays. «Là où l’Afrique du sud est fort,  le Congo doit tirer profit et là où le Congo est fort l’Afrique du Sud doit aussi en bénéficier», a-t-il fait comprendre.