Port autonome de Pointe-Noire : financement réussi pour l’expansion de Congo Terminal

Le 10 mars 2025, Africa Global Logistics (AGL) annonce la signature par sa filiale Congo Terminal, d’un accord de financement de 150.880.000.000 Francs CFA (équivalent de 230.000.000 euros) pour l’extension du Terminal à Conteneur du Port Autonome de Pointe Noire (PAPN).

 

Cette réalisation a été rendue possible grâce à un tour de table bancaire conduit par Crédit du Congo et Attijariwafa Bank en qualité d’arrangeurs, et composé exclusivement de banques participantes congolaises : Crédit du Congo, EcoBank, Banque Commerciale Internationale, Banque Sino-Congolaise pour l’Afrique, BGFIBank Congo. D’autres marques d’intérêts de banques et d’institutions internationales ont été faites sur ce projet, reflétant l’intérêt global porté par ce dernier.

Ce financement permettra la construction d’un nouveau quai de 750 mètres linéaires en 2027, avec une surface de 28 Ha et une profondeur de 17 mètres. Les travaux d’une durée de trois ans représentent un coût total de 361 millions d’euros. Cet investissement stratégique vise à renforcer la capacité opérationnelle de l’unique débouché maritime du Congo et soutiendra le développement économique du pays et de la sous-région.

La présence des principaux acteurs bancaires du pays, témoigne à la fois des capacités des institutions financières congolaises et de leur confiance en la stabilité et le potentiel de Congo Terminal. Le Crédit du Congo, a joué un rôle central dans la structuration du financement et la coordination des efforts entre les banques partenaires, facilitant ainsi la mise en place de ce projet ambitieux.

Congo Terminal, joint-venture entre AGL, APM Terminals et SOCOTRANS, emploie plus de 900 salariés permanents et est reconnue société d’importance nationale par la Commission Bancaire de l’Afrique centrale (COBAC). Elle est depuis 2009, le concessionnaire exclusif pour la manutention de navires porte-conteneurs et rouliers au port autonome de Pointe-Noire. En août 2023, un avenant au contrat de concession pour l’extension du Terminal a été signé en contrepartie d’une augmentation de la durée de la concession jusqu’à fin 2050.

Cette expansion du PAPN témoigne de la volonté du gouvernement congolais de répondre à une demande croissante du marché local et régional et renouvelle la confiance accordée à Congo Terminal. Ce projet aura également un impact majeur sur l’essor économique du pays, le développement des activités locales et la création d’emplois.

« Le financement d’un projet du secteur privé d’une telle envergure est une première. Son aboutissement témoigne de l’engagement des banques locales à accompagner la croissance économique du pays bénéficiant ainsi à nos clients, à la communauté locale et à l’ensemble des acteurs économiques impliqués » déclare Hicham Fadili, Directeur Général de Crédit du Congo.

« Cette réalisation marque une étape majeure pour Congo Terminal et pour le développement des infrastructures du pays. Grâce à cette coopération avec l’ensemble des partenaires, le terminal sera capable d’accueillir les plus gros porte-conteneurs contribuant ainsi à la fluidité des échanges commerciaux et à la compétitivité de l’économie congolaise sur la scène internationale. » a déclaré Anthony Samzun, Directeur Général de Congo Terminal.

« Le projet Môle Est s’inscrit pleinement dans la vision des plus hautes autorités de l’État, notamment celle du Président Denis Sassou-Nguesso, qui aspire à faire du port de Pointe-Noire le hub de transbordement de référence pour toute la sous-région. Ce projet illustre un partenariat public-privé fructueux et témoigne de l’engagement de toutes les parties prenantes à promouvoir la croissance économique du pays », souligne Séraphin BHALAT, Directeur Général du Port Autonome de Pointe- Noire.

À propos de Congo Terminal :

Congo Terminal, filiale d’AGL (Africa Global Logistics), est l’opérateur exclusif des activités de manutention de navires porte-conteneurs et rouliers escalant au port de Pointe Noire. L’entreprise est engagée dans un partenariat public-privé qui lui permet de répondre aux exigences de ses clients armateurs, importateurs ou exportateurs. Grâce à ses nombreux investissements, Congo Terminal participe à l’amélioration du pouvoir d’achat et contribue activement à la lutte contre la vie chère. Certifiée ISO 9001/2015, ISPS (sûreté) et Pedestrian Free Yard (HSE) et Green Terminal, l’entreprise dispose d’équipements et de technologies de pointe dont le système d’exploitation Navis 4. Congo Terminal a dépassé le seuil de 1.000.000 EVP manutentionnés par an depuis 2022 et emploie près de 900 collaborateurs congolais. L’entreprise mène des actions solidaires en faveur de la jeunesse, de la protection de l’environnement et de l’éducation.

Congo Terminal organise le 1er Kaizen régional en réunissant les équipes de 7 terminaux

Du 24 au 28 février 2025, Congo Terminal a organisé le 1er Kaizen régional réunissant les équipes du terminal ainsi que des experts métiers et les équipes Excellence Opérationnelle d’autres entités du Groupe : Bénin, Cameroun, Ghana, Côte d’Ivoire, Guinée et Nigéria. Le but est d’améliorer la productivité des tracteurs portuaires et réduire les temps d’attentes des portiques et grues.

Ce projet s’inscrit ainsi dans les multiples actions de Congo Terminal visant à améliorer les productivités navires et portiques au service des lignes.

Pendant une semaine, trois équipes se sont mobilisées pour résoudre les trois problématiques principales : réduire le temps de trajet des tracteurs portuaires, réduire les temps d’attente des tracteurs portuaires au chargement, optimiser les temps de changement d’équipe.

“Ce premier Kaizen a été pour nous un succès. Nous en sortons enrichis par de nouvelles dispositions à mettre en œuvre pour optimiser nos opérations, ainsi que par une méthode efficace que nous pourrons appliquer régulièrement pour nous améliorer continuellement. Ces intelligences collectives nous ont permis de développer des bonnes pratiques qui pourront être mises en place dans tous les pays” explique Sandrine WAMY, Directrice d’exploitation Congo Terminal

“Le Régional Kaizen 2025 à Congo Terminal est une 1ère édition réussie. L’équipe a montré que nous pouvons collectivement trouver des solutions à impact immédiat sur un format court. Nous attendons tous la prochaine édition avec impatience » explique Gérald CONNEAU, Directeur Adjoint Excellence Opérationnelle.

Le Kaizen est un projet d’amélioration collectif regroupant des experts métiers et les équipes Excellence Opérationnelle autour de la problématique d’un terminal. Cette approche vise à apporter des solutions concrètes à la mise en œuvre rapide, à apprendre ensemble sur les méthodes de l’Excellence Opérationnelle et à dupliquer les bonnes pratiques testées dans d’autres terminaux.

L’Excellence Opérationnelle est désormais présente dans la plupart des terminaux AGL et se déploie dans les entités logistiques.

Congo Terminal accompagne la formation et l’émancipation des jeunes étudiants

Le 28 février 2025, Congo Terminal et plusieurs entreprises de la place ont participé à la 2ème édition du forum entreprises organisé par l’Institut Ucac-cam à Pointe-Noire.

 

Environ 200 étudiants ont pris part aux ateliers axés sur le réseautage, la confiance en soi, le développement des soft kills et les techniques de recherches d’emplois.

Une occasion pour Elena MOUKALA et Sandé NGALA de présenter les métiers de Congo Terminal et perspectives d’emploi qui découlent du projet Môle Est dont la mise en exploitation est prévue en 2027.

La participation de Congo Terminal à ce forum permet de montrer à nos étudiants les débouchés potentiels et de créer un lien étroit avec le monde professionnel. C’est un accompagnement que les jeunes ont besoin pour mieux s’équiper” explique Jean-claude TATI, Responsable Développement Institut Ucac-Icam.

Nous a pu échanger avec les étudiants et montrer les profils qui nous intéressent. Leur intérêt pour les métiers portuaires est un bel atout” explique Aristide NDJAWE, Directeur des Ressources humaines.

Congo Terminal est l’opérateur du terminal à conteneurs au port de Pointe-Noire. En 2023, l’entreprise a démarré les travaux de construction d’un nouveau quai de 750 mètres linéaires, avec une surface de 28 Ha et une profondeur de 17 pour un coût global de près de 400 millions d’euros. Cet investissement stratégique vise à renforcer la capacité opérationnelle de l’unique débouché maritime du Congo, de soutenir le développement économique du pays et de la sous-région et créer 900 emplois supplémentaires.

Congo : visite officielle du Premier ministre Cubain à Brazzaville

Manuel Marrero Cruz et son épouse séjourneront pendant 72 en terre congolaise dans le cadre d’une visite de travail.

 

Le Premier ministre de la République du Cuba, Manuel Marrero Cruz et son épouse sont au Congo pour une visite officielle de 72 heures (du 17 au 19 mars). L’information a été donnée dans un communiqué du département de la communication et des relations avec les médias de la présidence congolaise. Cette visite vise à renforcer les relations politiques, économiques, commerciales et de coopération entre les deux pays.

Le chef du gouvernement a été reçu à l’aéroport international Maya-Maya de Brazzaville par son homologue congolais, Anatole Collinet Makosso. Le programme officiel de la visite du chef du gouvernement cubain prévoit, entre autres, une audience avec le chef de l’Etat, Denis Sassou Nguesso et des entretiens en tête-à-tête avec le son homologue congolais, Anatole Collinet Makosso. Manuel Marrero Cruz aura, également des échanges avec les deux chambres du parlement, l’Assemblée nationale et le Sénat.

Selon le communiqué de presse du département de la communication, « Cette visite historique, la première du genre d’un haut dirigeant cubain, témoigne de la coopération étroite entre les deux pays, sera l’occasion de renforcer les liens diplomatiques, économiques et culturels entre Brazzaville la Havane ».

Manuel Marrero Cruz est accompagné du ministre cubain de la Santé publique, José Angel Portal, de la vice-ministre du Commerce extérieur et de l’Investissement, Déborah Rivas, du directeur général des Affaires bilatérales du ministère des Affaires étrangères, Carlos Miguel Pereira, et de l’ambassadrice de Cuba, Indira Nápoles.

Congo : la digitalisation de l’état civil une priorité du PATN

Le comité de pilotage du Projet d’accélération de la transformation numérique (PATN) a tenu sa quatrième session ordinaire vendredi 14 mars à Brazzaville.

 

Le budget annuel du PATN a été arrêté à la somme de 21 milliards de FCFA. Ledit budget a été adopté le 14 mars, à Brazzaville, à l’issue des travaux de la quatrième session ordinaire du comité de pilotage. Outre le budget annuel, le PATN a aussi adopté son plan d’action.

Parmi les activités prioritaires de l’institution, figurent les projets de connexion des universités Marien-Ngouabi et Denis-Sassou-N’Guesso de Kintélé, ainsi que la digitalisation de l’état civil et de l’identification. On note aussi la formation de 1200 jeunes dans le domaine numérique, la connexion de certains ministères et l’appui à l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information.

Présidée par le directeur de cabinet du ministre de l’Économie, du Plan et de l’Intégration régionale, Sylvain Lekaka, les travaux de cette réunion ont permis d’évaluer la mise en œuvre des activités du projet jusqu’au 31 décembre 2024.

Pour rappel, le PATN est un projet conjoint du gouvernement congolais et de la Banque mondiale. Financé à hauteur de 100 millions de dollars, soit environ 70 milliards de FCFA, pour une durée de cinq ans, il est dédié au secteur du numérique. Il a pour objectif vise à accroître l’accès de la population mal desservie à l’internet haut débit et à améliorer la capacité du gouvernement à fournir des services publics adaptés.

Congo : la CNTR adopte son budget 2025 qui connait une légère baisse

Les membres de la Commission nationale de transparence et de responsabilité dans la gestion des finances publiques (CNTR), se sont réunis du 4 au 13 mars à Brazzaville.

 

2 452 944 421 FCFA, c’est la somme qui a été arrêté comme budget exercice 2025 de la CNTR. Ledit budget a été adopté par les membres de la CNTR qui se sont réunis su 04 au 13 mars dans la capitale congolaise. Arrêté en recettes et en dépenses à la somme de 2 452 944 421 FCFA, contre 2 735 234 092 FCFA en 2024, le budget de la CNTR connaît une légère baisse.

Les membres de la CNTR outre le budget ont aussi adopté le programme annuel de travail budgétisé et les documents relatifs au plan stratégique 2025-2029 ainsi que le programme d’activités 2025 de l’institution. On note aussi l’adoption de neuf résolutions dont celles consistant à rendre exécutoire le budget exercice 2025 ; rendre obligatoire, lors des sessions, la présentation par le bureau des avant-projets de budgets prélude à l’examen par le groupe de travail. Il sera également question de de rendre exécutoire le programme annuel budgétisé 2025 ; le programme d’activités 2025. Et de fait obligation de procéder à la création du secrétariat général de la CNTR ; de mettre en œuvre le plan stratégique 2025-2029 et le plan d’actions triennal 2025-2027 ; de rédiger le rapport annuel d’activités 2024.

Cette rencontre a permis à Joseph Mana Fouafoua, président de la CNTR a appelé les agents de l’Etat à collaborer aux études et enquêtes lancées par la CNTR dans les administrations publiques ou paraétatiques.

Congo-Fitaas : la huitième édition se tiendra le 25 mars

Le Festival international du théâtre et autres arts de la scène (Fitaas) sera organisé dans les villes de Brazzaville, Dolisie et Pointe-Noire.

 

La huitième édition se tiendra du 25 au 30 mars à Brazzaville, Dolisie et Pointe-Noire. Le thème de cette édition est « Femme et Homme : égalité et équilibre ». L’évènement est organisé par le Centre de la République du Congo de l’Institut international du théâtre.

Le Fitaas a pour objectifs d’œuvrer pour l’émergence et la promotion des talents littéraires et statistiques ; de faire du Congo un point de mire du théâtre mondial ; et de créer une passerelle culturelle entre le Congo et d’autres pays de la planète.

A Brazzaville, c’est le Cercle culturel Sony-Labou-Tansi qui abritera le festival. L’espace culturel Yaro et le Musée cercle africain de Pointe-Noire serviront de cadre au Fitaas, et enfin à la Gare routière de Dolisie.

Spectacles de théâtre, danse, musique, conte, slam, stand up, conférence, table ronde, masterclass d’écriture dramatique, exposition, présentation et dédicace de livres, visite touristique et autres meubleront le festival.

Congo : le corps sans vie d’un jeune homme retrouvé dans le fleuve

C’est le personnel du restaurant bar Les Rapides qui ont découvert mardi 11 mars 2025 aux environs de 15h30, le corps flottant d’un jeune homme, dans le fleuve Congo.

 

Le corps sans vie d’un jeune homme, la vingtaine révolue, a été aperçu flottant dans le fleuve Congo, par le personnel et les clients du restaurant bar Les Rapides. L’alerte est parvenue au commissariat de police du Djoué, dans le premier arrondissement de Brazzaville, pour signaler la macabre découverte.

Selon Les Echos du Congo-Brazzaville, les informations personnelles du décédé reste encore inconnues et les causes de sa mort.

Congo-Présidentielle 2026 : Kindamba soutient la candidature Sassou N’Guesso

Au cours d’un meeting animé vendredi 14 mars dernier, par le député Isdore Mvouba, les habitants de ce district ont réaffirmer leur adhésion aux idéaux du président de la République.

 

Motion de soutien à la candidature du président Denis Sassou NGuesso à la prochaine élection présidentielle de 2026. Les habitants du district de Kindamba, dans le département du Pool, ont réaffirmer vendredi 14 mars à la place « Mbiemo », leur adhésion aux idéaux du chef de l’Etat. Ils ont lancé cet appel à l’occasion d’un meeting animé par le député Isdore Mvouba.

Jeunes, sages, femmes et les autorités locales ont déclaré que Denis Sassou N’Guesso est leur candidat naturel au prochain scrutin présidentiel. Après avoir écouté les appels des différentes couches sociales adressés au chef de l’Etat pour faire acte de candidature, le député de la circonscription électorale unique de Kindamba a demandé à cette population de prouvé leur engagement dans les urnes au moment du vote.

Pendant la visite du président de l’Assemblée nationale à Kindamba, il est prévu des rencontres citoyennes et le lancement de l’opération « Echographie gratuite ». Isdore Mvouba va procéder à la remise des certificats de fin de formation en coupe et couture, des enveloppes, des machines à coudre et des accessoires aux jeunes filles de ce district.

L’ingénieur français Egis en difficulté au Congo et en Afrique Centrale

Le groupe d’ingénierie français Egis fait face à une bataille judiciaire en République du Congo contre son partenaire historique Cores, selon Cameroun Actuel, qui cite Africa Intelligence.

Déjà impliqué dans plusieurs affaires de corruption en Afrique, Egis accumule les revers, notamment avec le projet Tollcam au Cameroun. Lancé il y a quelques années pour moderniser la collecte des péages routiers via un système numérique, le projet n’a jamais fonctionné comme prévu, entraînant d’importantes pertes pour les autorités camerounaises et de vives critiques sur la gestion du dossier.

Echec d’une stratégie controversée ?
Des sources proches du dossier estiment qu’Egis a sous-estimé la complexité du terrain, entraînant retards, surcoûts et blocages institutionnels. Des allégations de malversations financières circulent, bien qu’aucune preuve formelle n’ait été apportée à ce jour. La réputation du groupe en Afrique, déjà entachée par d’anciens scandales, en souffre davantage.

L’affaire Tollcam rappelle d’autres controverses impliquant Egis sur le continent. Au Gabon, le groupe avait été éclaboussé par des accusations de surfacturation et de contrats douteux, impliquant notamment Pascaline Bongo. Au Congo-Brazzaville, un contentieux commercial avec Cores est en cours devant la Chambre de commerce internationale de Paris, portant sur plusieurs millions d’euros.

Une méfiance croissante envers les multinationales
Ces scandales nourrissent un climat de défiance envers les multinationales opérant en Afrique. De Dakar à Abidjan, de plus en plus de voix dénoncent des pratiques jugées opaques : corruption, ententes illicites, recours à des intermédiaires influents… Les grandes firmes françaises, Egis en tête, ne sont pas épargnées.

Le dossier Tollcam soulève aussi des interrogations sur les conditions d’attribution des marchés et la gestion des grands projets publics. Le silence d’Egis sur ces affaires ne fait qu’attiser la curiosité des médias et des observateurs.

Par ailleurs, avec des enquêtes en cours et des litiges non résolus, l’avenir d’Egis en Afrique reste incertain. Alors que les gouvernements renforcent leur vigilance, le groupe parviendra-t-il à restaurer sa crédibilité ? L’issue des affaires en cours, notamment au Cameroun et au Congo-Brazzaville, sera déterminante.