Congo : vers un projet de réalisation d’une centrale à Pointe-Noire

Le sujet était au centre des échanges jeudi 04 janvier entre le ministre des Hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua, et le président directeur général du groupe chinois Yunnan Linkun Investment, Yuan Linkun.

 

Le groupe Yunnan entend financer la construction d’une nouvelle centrale à gaz dans la ville Océane. C’est ce qui a constitué le 04 janvier, les échanges entre le ministre des Hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua, et le président directeur général du groupe chinois Yunnan Linkun Investment, Yuan Linkun.

Les négociations sont en cours entre le gouvernement et le groupe chinois Yunnan Linkun, présent en République du Congo depuis 2017. Même si le projet date de plusieurs années, les modalités de financement et l’échéance n’ont pas été présentées. Ladite centrale aura une capacité de production d’environ 1000 MW dont une partie de l’électricité pourrait servir à alimenter la Zone économique spéciale de Pointe-Noire.

Notons que le nom du groupe Yunnan Linkun revient dans plusieurs projets dans le domaine de l’énergie et des infrastructures au Congo.

Le Congo et les Etats-Unis vont élargir leur coopération économique

C’est ce qui justifie l’échange mardi 22 novembre entre le ministre des Hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua, et l’ambassadeur Eugène S. Young.

 

La relance de la coopération entre les deux pays a été au cœur d’une rencontre, le 22 novembre à Brazzaville, entre le ministre des Hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua, et l’ambassadeur Eugène S. Young.

Au cours de cette rencontre officielle, le ministre Bruno Jean Richard Itoua et l’ambassadeur américain Eugène S. Young ont évoqué principalement les opportunités du secteur des hydrocarbures. Les deux hommes ont échangé leurs points de vue sur la manière d’augmenter les investissements dans le secteur pétrolier congolais, qui représente plus d’un tiers du produit intérieur brut, deux tiers des recettes budgétaires et près de 85% des exportations du pays.

La relance de la coopération économique entre les deux pays requiert des réformes en matière du climat des affaires.

Notons que les États-Unis d’Amérique sont présents dans le secteur pétrolier congolais, à travers la compagnie Chevron.

Congo : Bruno Jean Richard Itoua reçoit le prix Mohammad S. Barkindo

Le prix lui a été décerné pendant la célébration de la Semaine africaine de l’énergie qui s’est tenu du 18 au 21 octobre dernier au Cap en Afrique du Sud.

 

Le ministre des hydrocarbures congolais et président de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), a été honoré en Afrique du Sud. Bruno Jean Richard Itoua a reçu le prix Mohammad S. Barkindo. C’était à l’occasion de la semaine africaine de l’énergie. L’évènement s’est tenu du 18 au 21 octobre 2022, au Cap.
Notons que le prix Mohammad S. Barkindo Lifetime Achievement Award récompense les entreprises, les organisations, les projets et les personnes qui contribuent au succès du marché de l’énergie en Afrique.

Cette récompense vient mettre en exergue son dévouement et ses réalisations pour stimuler la croissance du marché de l’énergie au Congo, assurer la sécurité énergétique mondiale et l’expansion économique sur le continent africain grâce à un développement et une exploitation optimale des ressources pétrolières et gazières.

Nommé à la tête de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) en janvier dernier, Bruno Jean Richard Itoua milite en faveur d’une transition énergétique panafricaine et de l’unité entre les décideurs politiques africains, les entreprises énergétiques, les investisseurs et les acteurs du marché afin d’accélérer le développement et l’adoption de politiques et de solutions locales pour relever les défis locaux.

Rappelons que le ministre des Hydrocarbures a été Directeur général de la Société nationale des pétroles du Congo et Conseiller pour les Hydrocarbures, les mines, l’énergie et l’hydraulique auprès du Président de la République Denis Sassou Nguesso.

Congo : Bruno Itoua promet de résoudre la situation de la pénurie de carburant dans 15 jours

Bruno Jean Richard Itoua, ministre congolais des Hydrocarbures, a rassuré la population,  lundi 30 mai dernier, de la sortie de crise concernant la rareté des produits pétroliers observés au pays. Il a indiqué que,  des dispositions nécessaires y relatives ont été prises, a-t-il assuré.

 

Les compagnies de distribution des hydrocarbures telles que Total Energie, X-Oil et la société Africa oil & Gas Corporation (AOGC) ont eu une séance de travail avec le ministre des Hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua, ce début de semaine, à Brazzaville.

Le ministre a dans son intervention, revenu sur les pénuries récurrentes de carburant observée dans le pays notamment à Brazzaville et Pointe-Noire, où il est observé des « tensions fortes » sur le gazole, a-t-il indiqué.

Bruno Jean Richard Itoua s’est voulu rassurant indiquant que des mesures sont en train d’être prises en vue d’une issue favorable.

« Nous avons mis en place un comité de crise qui se réunit de façon régulière. Nous pensions qu’en 15 jours nous pouvions résorber la situation de crise, c’est-à-dire qu’il n’y a plus de files d’attente, que nous ayons de stocks pour tous les produits et que nous ayons quelques jours d’autonomie », a-t-il déclaré.

Le ministre a aussi relevé les causes de cette pénurie expliquant que cette situation n’est pas « propre au Congo ». Selon lui, le marché mondial de pétrole a été bouleversé par la crise ukrainienne.

Cependant, le ministre a garanti que notre pays dispose de stocks nécessaires d’essence et carburants des avions.

Brazzaville : le gouvernement signe un accord de partage de production pétrolière avec ENI Congo

Le gouvernement congolais et la société italienne ont signé le 12 mai dernier à Brazzaville, un accord de partage de production pétrolière. Cet  accord a été paraphé par le ministre congolais des Hydrocarbures Bruno Jean Richard Itoua et le directeur général d’Eni Congo Mirko Araldi.

 

La société Eni Congo a reçu son permis de partage de production pétrolière des mains du ministre des hydrocarbures, à l’issue de la signature d’un protocole d’accord jeudi 12 mai dernier.

La signature de ce contrat permettra à la société pétrolière d’élargir son champ d’exploitation au Congo, d’accélérer l’augmentation de la production pétrolière ainsi que d’implémenter son projet de production de gaz au Congo.

« Nous sommes en train de faire un développement sur la partie gaz, on veut valoriser notre ressource gaz pour le marché domestique et pour l’export, avec un procédé de liquéfaction pour l’exportation du gaz », a indiqué le directeur général d’Eni Congo Mirko Araldi.

Le protocole d’accord vise également la promotion de la transition énergétique durable en République du Congo.

 

Congo : bientôt le gaz butane sera mis à la disposition des ménages

C’est du moins ce qu’a annoncé le ministre des hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua, lors d’une visite au centre d’emplisseur de gaz de pétroles liquéfiés.

 

Le gouvernement congolais entend résoudre le problème des pénuries de gaz domestique répétées dans le pays. Lors de sa visite à Pointe-Noire du centre d’emplisseur de gaz de pétroles liquéfiés opéré par la SNPC Distribution, le ministre des hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua a fait une déclaration.

«Soucieux de contribuer à l’éradication des pénuries de gaz domestique répétées dans le pays et d’accompagner la vision du président de la République et du gouvernement, nous devons faire en sorte que le gaz butane arrive dans tous les ménages congolais qui le souhaitent à travers les douze départements du Congo. Ce projet consiste  premièrement à moderniser la vie de la population en améliorant les conditions d’utilisation des sources d’énergie ménagères y compris le pétrole lampant, deuxièmement lutter contre la déforestation causée par l’usage du charbon de bois et du bois de chauffe », a déclaré le ministre des Hydrocarbures.

Congo-hydrocarbures : la société Puma fait le point de ses activités à Bruno Jean Richard Itoua

C’était au cours d’une rencontre entre le directeur général de la société Puma pour l’Afrique, Fadi Mitri et le nouveau ministre des Hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua.

 

La société Puma présente a fait état de ses activités menées au ministre des Hydrocarbures. C’était au cours d’une audience que le ministre des hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua a accordé au directeur général de la société Puma pour l’Afrique, Fadi Mitri, le 31 août dernier à Brazzaville.

La société Puma est une filiale du groupe Trafigura qui exerce depuis 2002 dans la distribution et la vente des produits pétroliers, notamment le carburant et les lubrifiants. Elle dispose présentement de trente stations-service à travers le territoire national.

Avec la demande en énergie de l’Asie et le manque d’investissement dans le secteur pétrolier, le prix de l’or noir connaît actuellement un rebond. Pour tirer profit de la hausse du prix du brut sur le marché international, le gouvernement congolais envisage de stopper sa production, a indiqué le ministre des Hydrocarbures qui a saisi l’occasion pour informer cette société que le Congo présidera, en 2022, la conférence de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole.

Congo : les diplômes de plus de 200 médecins finalistes de Cuba remis au gouvernement

En attendant la remise officielle, les ministres de la Santé et de l’Enseignement supérieur ont réceptionné les parchemins de ces médecins congolais arrivés enfin de formation à Cuba.

L’ambassadrice du Congo à Cuba a remis au ministre de l’Enseignement supérieur 266 diplômes des médecins finalistes en fin de formation.  C’était ce 12 janvier 2021 en présence de la ministre de la Santé et de la Population, Jacqueline Lydia Mikolo.

Selon l’ambassadrice Rosalie Kama Niamayoua « la formation à Cuba est une formation complète. On ne forme pas qu’un médecin, on forme un médecin intégré. Et ce travail est fait pendant six années parce que dès la troisième année, les étudiants sont déjà dans les stages au niveau des hôpitaux ». « Ils sont compétents, les étudiants qui sont rentrés », se félicite-t-elle.

De son côté, le ministre de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean Richard Itoua a rassuré que non seulement une cérémonie solennelle de remise des diplômes sera organisée, mais également tous les médecins de retour seront intégrés à la fonction publique.  « Désormais c’est fait. Ces diplômes sont entre nos mains. Nous allons avec la ministre de la Santé voir dans quelles conditions nous pouvons les remettre de façon solennelle aux bénéficiaires. Les copies de ces diplômes seront remises au ministre de la Santé afin qu’il puisse les intégrer. Nous leur avons dit qu’ils seront intégrés tous à la fonction publique. Le dossier est en cours  de circulation ».

Il convie par ailleurs les récipiendaires à compléter leur dossier d’affection, car ils seront affectés dans les différentes formations sanitaires.

En rappel, en aout 2020, le gouvernement du Congo s’est dit prêt à accueillir ses étudiants en médecine qui viennent de passer 7 ans de formation à Cuba. Partis en 2013, la première vague de ces plus de 250 étudiants était attendue à Brazzaville.

Les étudiants congolais à l’étranger auraient plus de 20 mois d’arriérés de bourses

Les parents doivent se battent eux-mêmes pour prendre en charge leurs enfants, alors qu’on sait que le Congo en pleine crise financière.

Plus de vingt (20), c’est le nombre d’arriérés de bourses qu’ont les étudiants congolais qui vivent dans plusieurs pays étrangers.

Selon les informations recueillis par nos confrères de lesechos-congobrazza.com, voici quelques images du quotidien de ces étudiants congolais. A Cuba, certains étudiants en médecine tissent le mauvais coton. Ils n’arrivent plus à assurer les gardes dans les hôpitaux par manque de déplacement.

Leurs collègues établis en Algérie ne dorment plus du sommeil du juste. Depuis 2 ans, ils n’ont pas perçu leurs bourses. Et malgré maintes tentatives de rallier les autorités à leur cause, l’Etat congolais, à l’instar du Ministère des Finances traîne les pieds et continue de faire la sourde oreille.

Depuis plus de 14 mois, des étudiants congolais en Russie n’ont pas perçu également leurs bourses. S’ils ont pu tenir un an durant, c’est grâce à l’aide de bonnes volontés et des parents qui ont bien voulu les dépanner, jusque-là. Certains n’en peuvent plus, par manque de moyens et demandent à l’Etat de remédier, le plus rapidement possible, à leurs maux.

Naguère respecté, l’étudiant congolais a perdu de sa superbe, surtout à l’étranger. Si pour le payement de la bourse, les étudiants restés au pays se font souvent entendre à coups de grèves, les étudiants congolais à l’étranger sont quasiment livrés à eux-mêmes, sans bourse. Et la situation devient intenable.

En dépit des dénégations et des justifications des autorités régissant l’enseignement supérieur, la situation qui déjà empire, vire au désastre.

De nombreux étudiants qui tant bien que mal ont terminé leur cursus n’ont pas le droit aux soutenances, d’autres se voient confisqués leurs diplômes, du fait que l’État congolais ne s’est pas acquitté de ses dettes.

Le 05 mars 2019, lors de la plénière, le gouvernement a été interpellé par l’Assemblée nationale, au sujet de la bourse des étudiants congolais. Interrogé sur la situation, le ministre congolais de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean Richard Itoua, a indiqué que le gouvernement est conscient de ce désagrément causé par le manque de liquidités au niveau du Trésor public.

Le ministre a tout de même assuré les élus de la chambre basse du parlement que l’exécutif s’attelait à ce que la situation soit régularisée sans pourtant préciser l’échéance ou le nombre d’arriérés dus aux étudiants.

Le Congo et l’Unesco renforcent les liens

C’est ce qui explique la rencontre entre le représentant par intérim de cette organisation, Jean Pierre Ilboudo, et le ministre de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean Richard Itoua.

La rencontre entre ces deux personnalités a eu lieu le 15 janvier dernier à Brazzaville. Jean Pierre Ilboudo, le représentant par intérim de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation la science et la culture (UNESCO) au Congo, a indiqué mardi, à Bruno Jean Richard Itoua qu’il va poursuivre des actions entamées par son prédécesseur, Vincenzo Fazzino.

Jean Pierre Ilboudo a laissé entendre que c’est avec ardeur et enthousiasme qu’il mènera les projets initiés par son collègue, Vincenzo Fazzino, jusqu’à la nomination du nouveau chef de bureau de l’UNESCO au Congo.

C sont entre autres projets, la bioéthique et la recherche scientifique, la qualité de l’assurance au niveau de l’enseignement supérieur qui, a-t-il souligné, constituent une priorité pour cette organisation onusienne.

Cette rencontre était l’occasion pour ces deux personnalités d’évoquer les sujets liés à la coopération entre cette organisation onusienne et le Congo, tels que la culture, la recherche scientifique, des technologies de l’information et la communication, le numérique.

Mot d’ordre de grève maintenu pour les professeurs d’université

Ils revendiquent entre autre le payement de leur salaire et des heures supplémentaires effectuées.

C’est jour de grève à l’université Marien Ngouabi de Brazzaville, au Congo. Allées désertes, salles de cours vides, professeurs absents, Ici, à l’institut de gestion, le portail d’entrée est même fermé avec chaines et cadenas. La situation perdure depuis plusieurs semaines. Les syndicats enseignants sont déterminés à poursuivre le mouvement.  “Nous réclamons le paiement de six mois de salaires impayés, le paiement des heures supplémentaires, d’encadrement des thèses et mémoires des années 2015-2016-2017 et 2018. Enfin, nous exigeons un engagement clair du gouvernement de nous payer régulièrement comme on paie les autres fonctionnaires congolais”, a déclaré Gabriel Bissanga, président de l’Intersyndicale des enseignants du supérieur.

Le dialogue entre les grévistes et le gouvernement n’avance pas. Au point où les syndicats estiment que l’Etat a oublié leur mouvement. Mais ces derniers pensent  le contraire. Selon Bruno Jean-Richard Itoua, le ministre de l’Enseignement Supérieur, “d’autres pays africains ont réfléchi et ont résolu la question de l’autonomie financière de leurs universités pour ne pas dépendre totalement de l’Etat. Et nous, depuis dix ans, pour les mêmes raisons on a des grèves récurrentes. C’est ça le vrai débat. Donc il n’y a pas de grève oubliée”. Face à cette situation, les étudiants n’ont pas d’autre choix que de prendre leur mal en patience. Ce dialogue de sourd entre gouvernement et syndicats risque de prolonger le mouvement de grève…au grand dam des étudiants congolais.

La Chine va financer la construction d’un institut de l’aviation civile au Congo

Les documents relatifs au financement de la construction de l’Institut de l’aviation civile de l’université Denis Sassou Nguesso ont été signés par le diplomate chinois Xia Huang et le chef de la diplomatie congolaise, Jean-Claude Gakosso, le 16 décembre à Brazzaville

La Chine se mobilise une fois encore aux côtés du Congo. Samedi, 16 décembre, les deux pays ont signé un accord d’aide de l’Empire du milieu portant sur une enveloppe de 8,5 milliards de francs CFA.

Les deux parties étaient représentées respectivement par l’ambassadeur de Chine, Xia Huang, et le ministre des affaires étrangères, de la coopération et des Congolais de l’étranger, Jean-Claude Gakosso pour la signature. Selon ce dernier, ce don de la Chine est destiné à soutenir le projet de l’Institut de l’aviation civile de l’université Denis Sassou N’Guesso et d’autres projets qui seront déterminés par les deux gouvernements, chinois et congolais. I

Il a indiqué que pour ce faire, la Banque de développement de Chine et la Caisse congolaise d’amortissement ouvriront un compte d’assistance. Ainsi, dès que déterminés, les projets en question ne souffriront d’aucun problème de financement. Concernant l’enveloppe, Jean-Claude Gakosso a parlé d’un  »appui important » apporté à l’université de Kintélé.

Ce don et d’autres, qui pourront suivre, permettront à l’université Denis Sassou N’Guesso de « s’affirmer davantage comme un espace panafricain dédié à la science et à la technologie », a souligné Bruno Jean Richard Itoua, le ministre congolais de l’enseignement supérieur. « L’excellence de la coopération entre la Chine et le Congo se confirme chaque jour davantage », a-t-il conclu.

Du côté de la Chine, Xia Huang, l’ambassadeur chinois a réitéré l’engagement de son pays à renforcer la coopération sino-congolaise. Selon lui, les actions entreprises par son pays au Congo, « illustrent la disponibilité du gouvernement chinois de traduire en actes concrets tous les engagements qu’il a pris pour faire avancer les relations d’amitié et de coopération ». La Chine est plus que déterminée « à accompagner le Congo afin de relever les défis » qui s’y présentent, a ajouté le chef de la représentation chinoise au Congo.

Optimiste jusqu’au bout

Les responsables gouvernementaux à l’occasion de la signature de cet accord avec la Chine ne se sont pas empêchés de revenir sur la situation de crise que traverse le pays, avec optimisme. « Croyez-moi, nous allons résister à la tempête actuelle », a lancé le ministre des affaires étrangères. « Nous allons affronter les défis, et cela, qu’il s’agisse des discussions avec le Fonds monétaire international ou d’autres situations », insistera-t-il sous les yeux de ses homologues de l’enseignement supérieur et de l’aménagement du territoire et des grands travaux, Jean Jacques Bouya.