Congo : la Russie va augmenter les bourses aux congolais

C’est une déclaration faite par l’ambassadeur de la Fédération de Russie au Congo, Gueorgui Tchepik à l’issue d’une audience avec la ministre de l’Enseignement supérieur Edith Delphine Emmanuel Adouki.

 

La Russie envisage d’augmenter le nombre de bourses offertes aux étudiants congolais chaque année. L’ambassadeur de la Fédération de Russie au Congo, Gueorgui Tchepik, l’a annoncé le 1er juin à Brazzaville.

Le diplomate russe s’est exprimé à l’issue d’une audience avec la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Edith Delphine Emmanuel Adouki.

« Depuis les trois dernières années, nous accordons 105 bourses aux étudiants congolais. Notre ambition avec Mme la ministre est d’augmenter ce nombre pour donner plus de bourses. Il y a beaucoup des Congolais qui voyagent chaque année pour aller étudier en Russie et nous tenons absolument à continuer et élargir ce genre de coopération qui est très important pour l’avenir de la République du Congo », a expliqué Gueorgui Tchepik.

Les bourses offertes gratuitement aux étudiants congolais s’inscrivent dans le cadre de la coopération bilatérale entre les deux pays.

Il faut aussi noter que 300 Congolais vont étudier chaque année en Russie à leurs frais.

Congo : les étudiants congolais de Cuba réclament 26 mois de bourse

La situation est devenue difficile pour plusieurs d’entre eux et ils demandent au gouvernement de remédier aux problèmes dont ils font face.

 

Depuis bientôt 26 mois, des étudiants congolais de Cuba n’ont pas perçu leurs bourses. Et malgré maintes tentatives de rallier les autorités congolaises à leur cause, le Ministère des Finances traîne les pieds.

Ils ont pu tenir deux ans durant, c’est grâce à l’aide de bonnes volontés et de parents qui ont bien voulu les dépanner, jusque-là.

Certains n’en peuvent plus, par manque de moyens et demandent à l’Etat de remédier, le plus rapidement possible, à leurs maux.

Les étudiants congolais du Togo en détresse

Depuis quatre années ces apprenants partis de la République du Congo pour étudier au Togo n’ont pas perçu leurs bourses.

On peut lire sur des pancartes « On souffre trop ! Quatre ans sans bourse » ; « Etudiants congolais à l’Eamau (Togo), on est oublié par nos autorités » ; « Nous réclamons le paiement de toutes les promotions ». Autant de messages qui montrent le ras-le-bol de ces étudiants congolais au Togo.

Ça fait 4 ans qu’ils n’ont plus perçu de bourses. Une situation qui n’est pas du tout facile pour ses congolais qui se retrouvent dans un pays étranger où ils sont allés se former. Selon eux, ils ont essayés plusieurs fois d’entrer de rallier les autorités congolaises à leur cause. Mais jusqu’ici aucune réaction, pour eux, le Ministère des Finances traîne les pieds. Impuissants face à cette situation difficile, ces étudiants désœuvrés estiment que «le Ministère congolais des Finances continue de faire la sourde oreille».

Qu’est ce qui peut en effet justifier le fait que jusqu’à ce jour, la quasi-totalité de ces étudiants n’aient pas reçu leur allocation de bourse depuis 4 ans ?

Il faut de même noter que depuis la chute du prix du baril de pétrole, le Congo est plongé dans une conjoncture économique et financière sans précédent. Le gouvernement a des difficultés à payer les salaires des fonctionnaires, les pensions des retraités et les bourses des étudiants.

Sit-in des étudiants congolais à l’ambassade du Congo au Maroc

Ces derniers protestent contre le non-paiement de leurs bourses depuis 33 mois.

Depuis quelques jours, des vidéos circulent sur les réseaux sociaux, où on peut voir plusieurs dizaines d’étudiants congolais devant leur ambassade à Rabat.  Il a fallu l’intervention des forces de l’ordre marocaines pour essayer d’évacuer les manifestants. Ces étudiants réclament les bourses qu’ils n’ont pas reçu depuis 33 mois.

C’est le 22 juillet dernier que ces étudiants congolais ont commencé à camper devant leur ambassade à Rabat pour réclamer les bourses d’études qui leur sont dues et qu’ils n’ont toujours pas reçues depuis 2016.

Ils sont arrivés au Maroc entre 2014 et 2017 après avoir été orientés par la Direction de l’orientation, des bourses et aides scolaires (DOBAS) de la République du Congo.

« Cela dit, comme nos frais de scolarité n’ont toujours pas été payés, l’université refuse actuellement de nous délivrer des conventions de stage, alors que nous devrions tous faire un stage en ce moment. Et sans stage, nous ne pourrons pas valider notre année, donc nous risquons de redoubler », affirme un étudiant.

Les étudiants qui devaient normalement recevoir 730 euros par semestre vivre dans les cités universitaires et se nourrissent au restaurant de l’université. En ce moment, Mais actuellement ces structures sont fermées en raison des vacances scolaires. Ces étudiants se retrouvent donc dans des conditions très précaires.

Congo : des étudiants congolais dorment devant leur ambassade à Rabat

Plusieurs dizaines d’étudiants congolais dormiraient devant l’Ambassade de leur pays à Rabat au Maroc, depuis lundi 22 juillet dernier.

Les étudiants congolais de Marrakech réclameraient un versement de leurs bourses à leur l’État, bourses qu’ils réclament depuis 2016. C’est n’est pas la première vague d’étudiants qui se plaint de ne pas percevoir leurs bourses. Il y a quelques mois, les étudiants congolais de Cuba avaient eux aussi manifesté pour la même raison. Une manifestation qui s’est terminée avec le rapatriement de plusieurs étudiants. Les autorités congolaises avaient évoqué la crise financière que traverse la République du Congo.

On rappelle que le FMI a annoncé, jeudi 11 juillet dernier, qu’il allait accorder 448,6 millions de dollars sur trois ans au Congo-Brazzaville pour relancer l’économie de ce pays d’Afrique centrale plombée par la chute des prix du pétrole, en souhaitant une meilleure « transparence » de ses comptes publics.

Selon le premier ministre congolais, Clément Mouamba, une bonne partie du premier décaissement (80%) devrait être allouée au financement des hôpitaux, des écoles, de l’accès à l’eau et l’électricité, y compris des programmes des filets sociaux « Lisungui ».

Les 138 étudiants congolais de Cuba de retour dans leur pays d’origine

Ils ont été rapatrié pour certains parce qu’ils ont violemment réclamé leurs bourses d’études et pour les autres à cause de leur mauvais résultats scolaires.

Ils étaient 138, ces étudiants qui sont arrivé mercredi 18 juin à Brazzaville. Ces apprenants étaient inscrits à l’université de Cuba où ils étudiaient la médecine. En fin mars dernier, ces jeunes congolais avaient manifesté à Havane, ils réclamaient 27 mois d’arriéré de bourses. Selon les autorités administratives cubaines, il a fallu l’intervention de la police pour disperser les manifestants.

Après ces manifestations, une délégation du gouvernement congolais s’est rendue à Cuba pour apaiser les tensions. A la suite de cette descente sur le terrain, le gouvernement congolais avait précisé qu’une partie de ces étudiants rentreraient au pays pour « avoir réclamé violemment leurs bourses d’études » et l’autre pour avoir enregistré de « mauvais résultats scolaires ».

Partis mardi de Cuba mardi et arrivés mercredi matin à Brazzaville, ils sont de retour au Congo, certains « avec leurs bébés ».

Selon une source diplomatique à La Havane, ils ont été escortés dans l’avion par cinq policiers et trois agents de sécurité, tous congolais. «Tous les étudiants sont bien arrivés avec leurs dossiers académiques et le ministre de l’Enseignement supérieur fera de son mieux pour leur réorientation», a précisé la même source.

On se souvient qu’en mai dernier, le ministre congolais des Affaires étrangères, Jean-Claude Gakosso, avait estimé que les étudiants protestataires « avaient franchi la ligne rouge » en ayant violemment réclamé le paiement de leurs arriérés de bourses devant l’ambassade du Congo à la Havane. «Les autorités cubaines ne souhaitent plus les voir sur leur territoire», avait-il ajouté.

Pour rappel, jusqu’en mars, les étudiants congolais à Cuba accumulaient 27 mois d’arriérés de bourses. Après les manifestations, 12 mois leur ont été versés selon Jean-Richard Itoua, ministre congolais de l’Enseignement supérieur.

Congo: 142 étudiants congolais expulsés de Cuba rentre au bercail

Ils leurs est reprochés d’avoir mené un violent mouvement de revendications de bourses pour les uns et sélectionnés pour cumulation de mauvais résultats pour les autres.

Mardi 07 mai, quatre membres du gouvernement ont rencontré les parents de ces étudiants, pour leurs rassurer des dispositions prises pour le retour de leurs enfants. Il est important de noter que ces étudiants représentent moins de 10% de tous les effectifs estimés à 2103 apprenants congolais à Cuba.

Le ministre de l’Intérieur Raymond Zéphirin Mboulou, assure que les conditions sécuritaires du retour de ces étudiants seront garanties et qu’ils seront remis à la disposition de leurs parents dès leur descente de l’avion.

Pour le ministre des affaires étrangères Jean-Claude Gakosso, revenir au pays sans leurs diplômes,  « C’est un déshonneur pour les familles ». Celui-ci garantie la réorientation de ces étudiants congolais expulsés de Cuba où ils étudiaient la médecine.

Jusqu’ici la liste de ces étudiants n’a pas encore été dévoilée. Le ministre de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean-Richard Itoua avance comme raison : « Pour l’instant nous ne souhaitons pas publier la liste parce que chaque jour nous continuons à discuter avec nos amis, nos partenaires de ce pays frère qu’est Cuba. Et, de temps en temps nous réussissons à avoir leur compréhension. Donc, il est possible que demain matin que nous réussissons peut-être à les convaincre de retirer de ces 142 deux, trois, quatre, cinq ou six noms ».

Du côté des parents, c’est des années de sacrifices en vain. Ils ont tout de même demandé pardon aux gouvernements congolais et cubain pour le comportement leurs enfants.

Rappelons que c’est au mois de mars dernier, que ces étudiants congolais ont manifesté pour réclamer 27 mois d’arriérés  de bourse à leur gouvernement.

Affaire des arriérés de bourses : des parents s’inquiètent de la situation de leurs enfants à Cuba

Ce sont plus de 2.000 étudiants congolais en médecine à Cuba qui réclament 27 mois d’arriérés de bourse. Jusqu’ici, les parents n’ont reçu aucune communication de la part du gouvernement.

A Brazzaville, les parents suivent la situation via les réseaux sociaux, et par téléphone. C’est la panique aux seins des familles congolaises qui ont des enfants qui étudient la médecine à Cuba. Ils ne savent pas à quel saint se vouer. C’est l’angoisse et l’incertitude totales.

« Avec tout ce qui se passe à Cuba, ni le gouvernement, ni la représentation diplomatique de notre pays au niveau de Cuba ne communiquent, ne nous disent ce qui se passe. Au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur, c’est le silence total. Quand l’enfant vous rapporte l’information à chaud, avec des pleurs,…comprenez l’émotion des parents qui sont ici à Brazzaville », s’indigne un parent.

Un autre parent déplore le « traumatisme » subit par ces étudiants : « 27 mois, laisser l’enfant d’autrui dans une ville inconnue où il n’y a aucun parent, aucune sœur, aucun frère…non, c’est cruel ! Les enfants sont traumatisés, ils n’étudient plus bien, on ne sait pas quelle sera leur performance scolaire ».

Ces étudiants sont arrivés à Cuba il y a trois ans. Et ça fait 27 mois qu’ils n’ont pas reçu leurs bourses. Une situation difficile pour les parents qui doivent eux-mêmes s’occuper des leurs enfants avec pour plusieurs d’entre eux des salaires de catéchistes.

« On est obligé de se serrer les coudes, malgré la vulnérabilité que nous avons aujourd’hui pour soutenir l’enfant de temps à autre », affirme un des parents.

« C’est ce que nous faisons tous les mois, avec les maigres salaires que nous avons aujourd’hui. On ne va pas demander au gouvernement cubain qui prend déjà la scolarité, l’hébergement et même la ration de nos enfants, de payer par exemple les serviettes hygiéniques », poursuit-il.

Cuba : les autorités congolaises à la rencontre de leurs étudiants

Composée des ministres des Affaires étrangères, de l’Enseignement supérieur et de hauts fonctionnaires, la délégation espère trouver un terrain d’entente avec ses étudiants.

Elle devait se rendre à Cuba ce week-end, la délégation du gouvernement congolais. L’objectif est de rencontrer les étudiants congolais en médecine, qui revendiquent depuis des mois des arriérés de bourses. Composée des ministres des Affaires étrangères, de l’Enseignement supérieur et de certains hauts fonctionnaires, la délégation entend trouver un compromis avec les étudiants.

Depuis quelques semaines, les étudiants congolais de Cuba organisent des manifestations, pour réclamer des mois d’arriérés de bourses. La situation avait dégénéré sur un campus de la Havane où les étudiants avaient bruyamment réclamé leurs bourses. Vingt-sept mois exactement, estiment-ils. Les revendications avaient été sévèrement réprimées par la police cubaine, faisant quatre blessés, car considérées comme violentes.

Au Congo, les autorités sont conscient de la situation et disent cherche des solutions pour y remédier. C’est ce qui explique d’ailleurs de déplacement des certains autorités congolaises pour Cuba.

Le gouvernement pointe évoque la conjoncture économique actuelle qui a entamé les caisses de l’Etat et hypothéqué les initiatives. La république du Congo est en négociations en ce moment avec le Fonds monétaire international (FMI). Elle espère faire face à sa crise économique.

Cuba : des étudiants congolais réclament des d’arriérés de bourse

Selon la presse de ce pays, des apprenants congolais ont organisé une « violente » manifestation pour réclamer 27 mois d’arriérés de bourse à leur gouvernement.

Vingt-sept mois exactement, c’est le nombre de mois de frais de bourse que les étudiants congolais en médecine demandent à leur gouvernement. Sur le campus de La Havane, ils ont organisé une manifestation que la presse cubaine a qualifiée de « violente ».

Depuis plusieurs semaines, ces apprenants se font entendre par tous les moyens. Sur un des campus universitaires de la capitale cubaine, lundi 8 avril, ils ont de nouveau haussé le ton. La  manifestation a été réprimée par la police. Selon le bilan de la police, quatre personnes ont été  blessés.

Un des étudiants qui a participé à la manifestation a raconté à un journal local que le gouvernement congolais avait proposé de verser six mois de bourses : offre refusée par les protestataires qui exigent la totalité de leurs arriérés.

Certains membres du gouvernement congolais sont annoncés à Cuba, pour trouver un terrain d’entente avec les étudiants.

Même en République du Congo, la situation n’est pas très différente. On se souvient qu’en 2018, les étudiants de l’université Marien Ngouabi de Brazzaville avaient revendiqué près de  douze mois d’arriérés de bourses.

Les étudiants congolais à l’étranger auraient plus de 20 mois d’arriérés de bourses

Les parents doivent se battent eux-mêmes pour prendre en charge leurs enfants, alors qu’on sait que le Congo en pleine crise financière.

Plus de vingt (20), c’est le nombre d’arriérés de bourses qu’ont les étudiants congolais qui vivent dans plusieurs pays étrangers.

Selon les informations recueillis par nos confrères de lesechos-congobrazza.com, voici quelques images du quotidien de ces étudiants congolais. A Cuba, certains étudiants en médecine tissent le mauvais coton. Ils n’arrivent plus à assurer les gardes dans les hôpitaux par manque de déplacement.

Leurs collègues établis en Algérie ne dorment plus du sommeil du juste. Depuis 2 ans, ils n’ont pas perçu leurs bourses. Et malgré maintes tentatives de rallier les autorités à leur cause, l’Etat congolais, à l’instar du Ministère des Finances traîne les pieds et continue de faire la sourde oreille.

Depuis plus de 14 mois, des étudiants congolais en Russie n’ont pas perçu également leurs bourses. S’ils ont pu tenir un an durant, c’est grâce à l’aide de bonnes volontés et des parents qui ont bien voulu les dépanner, jusque-là. Certains n’en peuvent plus, par manque de moyens et demandent à l’Etat de remédier, le plus rapidement possible, à leurs maux.

Naguère respecté, l’étudiant congolais a perdu de sa superbe, surtout à l’étranger. Si pour le payement de la bourse, les étudiants restés au pays se font souvent entendre à coups de grèves, les étudiants congolais à l’étranger sont quasiment livrés à eux-mêmes, sans bourse. Et la situation devient intenable.

En dépit des dénégations et des justifications des autorités régissant l’enseignement supérieur, la situation qui déjà empire, vire au désastre.

De nombreux étudiants qui tant bien que mal ont terminé leur cursus n’ont pas le droit aux soutenances, d’autres se voient confisqués leurs diplômes, du fait que l’État congolais ne s’est pas acquitté de ses dettes.

Le 05 mars 2019, lors de la plénière, le gouvernement a été interpellé par l’Assemblée nationale, au sujet de la bourse des étudiants congolais. Interrogé sur la situation, le ministre congolais de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean Richard Itoua, a indiqué que le gouvernement est conscient de ce désagrément causé par le manque de liquidités au niveau du Trésor public.

Le ministre a tout de même assuré les élus de la chambre basse du parlement que l’exécutif s’attelait à ce que la situation soit régularisée sans pourtant préciser l’échéance ou le nombre d’arriérés dus aux étudiants.

La langue espagnole : des étudiants congolais reçoivent leurs parchemins de fin de formation

La cérémonie a eu lieu au Centre culturel russe de Brazzaville sous les auspices de l’ambassadeur de la République bolivarienne du Venezuela en République du Congo, Norma Borges.

Initié le 19 novembre 2013, le programme totalise en cette année ses cinq ans. « Aujourd’hui est un jour spécial pour nous car, il nous comble de joie et de satisfaction, puisqu’il nous amène à la fin de la 8epromotion. Et un groupe passe d’un niveau à un autre, ils ont tous atteint les objectifs. Chers étudiants, vous savez, la Révolution Bolivarienne et sa politique étrangère nous ont fermement chargés d’approfondir les liens d’amitié et de coopération avec les pays frères avec lesquels nous entretenons actuellement de bonnes relations diplomatiques », a déclaré Norma Borges.

A cet effet, a poursuivi la diplomate vénézuélienne, l’ambassade a mis sur pied une série d’activités conçues pour répondre à toutes les lignes directrices et objectifs que le gouvernement bolivarien lui a recommandé dans sa politique internationale ; qui ont été initialement promus par le commandant Hugo Chavez et sont aujourd’hui consolidés avec la vision stratégique et réussie du président Nicolas Maduro Moros.

C’est donc avec cette ferme intention que l’atelier de formation interculturelle « Hugo Chavez Frias » a vu le jour. Il a débuté ses activités avec les premiers cours de la langue espagnole, afin de renforcer les liens d’amitié et de coopération avec la République sœur du Congo, a-t-elle ajouté.

Enfin, la diplomate vénézuélienne a réitéré qu’elle continuera sans relâche avec cette noble mission qui devrait favoriser les échanges d’expériences, d’idées et d’engagement. Et d’augurer qu’avec les plus grands efforts, ils pourront promouvoir la paix, l’harmonie et la coopération.

Prenant la parole au nom de tous, Gloria Ange Banzouzi Ndoundou a remercié l’ambassade du Venezuela pour l’amour qu’elle manifeste en permettant un apprentissage gratuit de la langue espagnole à plusieurs jeunes congolais. « Le Congo et le Venezuela sont deux pays amis qui ont beaucoup de choses en commun. Les deux nations forment une famille où chacune a besoin de l’autre. Nous avons le même sang qui coule dans nos veines. C’est pour cela que nous voulons que les autorités conservent cette relation jusqu’à l’amplifier. Apprendre la langue espagnole peut nous donner beaucoup d’avantages et nous fournir tant d’opportunités. Nous remercions madame l’ambassadeur du Venezuela pour nous avoir donné cette opportunité. Nous n’allons jamais oublier ses conseils », a promis l’étudiante.

Notons que sur environ soixante-treize apprenants de la 8e promotion, soixante ont fini leur apprentissage de la langue espagnole, treize, par contre ont été recalés.