Les meilleurs entraîneurs africains en passe d’obtenir la licence CAF Pro

La CAF fait un nouveau pas de géant vers l’essor du football africain, grâce à sa stratégie de formation des entraineurs.  23 des meilleurs entraîneurs africains participent actuellement à l’illustre Licence Pro de la CAF.

 

La Confédération Africaine de Football accueille actuellement 23 des meilleurs entraineurs du continent pour le module final du premier diplôme d’entraîneur « CAF Pro » à Rabat, au Maroc.
 La formation s’effectue en partenariat avec la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF).
C’est une première du genre pour le football africain. Pour l’obtention de la certification la plus élevée du système de formation des entraîneurs de la CAF, les esprits du football les plus respectés sur le continent africain se sont réunis en vue d’obtenir le badge d’entraîneur le plus élevé de la CAF ; ce qui équivaut à toute qualification d’entraîneur de haut niveau dans le monde.
Il s’agira de la première vaque de diplômés CAF Pro lorsque le dernier module de la formation se terminera officiellement le samedi 11 juin après un long voyage débuté en 2018.

Congo : des étudiants congolais dorment devant leur ambassade à Rabat

Plusieurs dizaines d’étudiants congolais dormiraient devant l’Ambassade de leur pays à Rabat au Maroc, depuis lundi 22 juillet dernier.

Les étudiants congolais de Marrakech réclameraient un versement de leurs bourses à leur l’État, bourses qu’ils réclament depuis 2016. C’est n’est pas la première vague d’étudiants qui se plaint de ne pas percevoir leurs bourses. Il y a quelques mois, les étudiants congolais de Cuba avaient eux aussi manifesté pour la même raison. Une manifestation qui s’est terminée avec le rapatriement de plusieurs étudiants. Les autorités congolaises avaient évoqué la crise financière que traverse la République du Congo.

On rappelle que le FMI a annoncé, jeudi 11 juillet dernier, qu’il allait accorder 448,6 millions de dollars sur trois ans au Congo-Brazzaville pour relancer l’économie de ce pays d’Afrique centrale plombée par la chute des prix du pétrole, en souhaitant une meilleure « transparence » de ses comptes publics.

Selon le premier ministre congolais, Clément Mouamba, une bonne partie du premier décaissement (80%) devrait être allouée au financement des hôpitaux, des écoles, de l’accès à l’eau et l’électricité, y compris des programmes des filets sociaux « Lisungui ».