Congo-Université Denis Sassou Nguesso : 306 reçoivent leurs diplômes

Les premiers diplômes ont été remis à 306 étudiants de la première promotion de de l’université Denis Sassou N’Guesso.

 

La cérémonie de remise des diplômes à la première promotion de l’université Denis Sassou N’Guesso s’est tenue lundi 24 juillet 2023, à Kintélé. Ce sont au total 306 étudiants qui ont reçu leur diplôme de licence. La cérémonie s’est déroulée en présence du chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso.

 

Le chef d’Etat a remis les diplômes à des étudiants de la Faculté des sciences appliquées, de l’Institut supérieur des sciences géographiques, environnementales et de l’aménagement et de l’Institut supérieur de l’architecture, urbanisme, bâtiment et travaux publics.

 

Les statistiques affichées renseignent que la faculté des sciences appliquées a obtenu 161 admis sur 164 inscrits, soit 98,17% et l’institut supérieur des sciences géographiques, environnementales et de l’aménagement a enregistré 62 admis sur 77 inscrits, soit un taux de 80,51%. Quant à l’institut supérieur d’architecture, d’urbanisme, de bâtiments et des travaux publics, le taux de réussite est de 100%.

 

Rappelons que l’UDSN est la deuxième université publique de la République du Congo. Ayant vocation panafricaine, elle a été inaugurée le 5 février 2021.

Université Denis-Sassou-N’Guesso : plus de 11 milliards F le budget arrêté de 2024

Le comité de direction de l’Université Denis-Sassou-N’Guesso (UDSN) a arrêté, le 4 juillet à Kintélé.

 

Le budget 2023-2024 en recettes et en dépenses de l’Université Denis-Sassou-N’Guesso a été arrêté à la somme de 11 605 121 240 F CFA. Un montant qui a été validé le 4 juillet à Kintélé, par le Comité de direction de cet établissement.

Le montant, en augmentation de 10,69% par rapport à l’année dernière, comprend 4 144 970 040 FCFA pour les charges en personnel, 4 409 601 200 FCFA pour le pilotage et 3 050 550 000 FCFA pour la mise en œuvre du Plan stratégique de développement.

Les membres du comité ont également adopté le principe de l’ouverture de trois programmes de master au titre de l’année académique 2023-2024. Il s’agit des masters: valorisation des bio ressources et déchets à la faculté des sciences appliquées de géosciences; aménagement et gestion des écosystèmes pour l’Institut supérieur des sciences géographiques, environnementales et aménagement; construction et urbanisme durable pour l’Institut supérieur de l’architecture, de l’urbanisme, bâtiment et travaux publics (ISAUBTP).

Les comptes administratifs et de gestion exercice 2022, le plan de travail budgétisé annuel, le règlement intérieur de l’ISAUBTP, l’organigramme, le calendrier 2023-2024, ont aussi été arrêté par le Comité.

Concernant la proposition des postes à créer dans les établissements faits par le président de l’UDSN, le Pr Ange Antoine Abena, le comité a demandé d’approfondir la réflexion en vue d’un fonctionnement efficient dans les établissements.

En rapport avec l’évaluation des accords de coopération et de la première mise en œuvre du Plan stratégique de développement, les membres du comité en ont pris acte. A cet effet, ils ont encouragé l’équipe de l’UDSN à renforcer davantage cette coopération, en vue de rechercher des ressources de financement additionnelles.

Congo : le CARIA ouvert à Brazzaville

Le Premier ministre de la République du Congo, Anatole Collinet Makosso, a ouvert jeudi le tout premier Centre continental de recherche en intelligence artificielle (CARIA).

 

Le CARIA consacré à la recherche sur l’homme et à l’utilisation de la technologie pour le développement socio-économique.

Installé à l’Université Denis Sassou N’Guesso située à Kintélé dans la banlieue nord de Brazzaville, le centre œuvre également pour l’amélioration et l’exploitation du potentiel de la recherche artificielle et les effets transformateurs sur les finances, la santé, l’agriculture, les transports, l’environnement, les mines et les télécommunications.

Selon les autorités congolaises, au moins six projets de recherche sont prévus dans ce centre pour cette année académique 2022-2023. Il s’agit du réseau de neurones; la vision par ordinateur ; la machine-learning ; la réalité virtuelle et augmentée; le traitement du langage naturel; la robotique et l’automatisation industrielle ainsi que l’informatique génétique.

La vocation de ce centre, a indiqué le ministre congolais des Postes, de Télécommunication et de l’Économie numérique, Léon Juste Ibombo, est d’améliorer le paysage actuel de la recherche en intelligence artificielle au Congo et en Afrique.

« Les conditions d’accès au CARIA seront définies par voie réglementaire après cette phase de lancement. Cet établissement a pour objectif d’entreprendre des recherches de pointe sur l’intelligence artificielle en se concentrant sur une approche centrée sur l’homme afin de maximiser les avantages et de contrer les défis du développement », a précisé le ministre Ibombo.

Trois cycles de formation sont proposés au programme de cette année, à savoir la licence, le master et le doctorat.

Le centre offre également des formations certifiées en ligne pour les jeunes africains, a rassuré le gouvernement, précisant qu’un programme d’initiation à la robotique et intelligence artificielle à travers la classe verte destinée aux élèves des cycles primaire et secondaire y est prévu.

Congo-Université Denis-Sassou-N’Guesso : validation du plan stratégique de développement

Le comité de direction de cet établissement a tenu sa deuxième session ordinaire vendredi 29 octobre 2021 à Brazzaville.

 

Le comité de direction de l’université Denis Sassou Nguesso a entériné le budget exercice 2022 de cet institut à 5 600 000 000 FCFA. C’était vendredi 29 octobre au cours de sa deuxième session ordinaire. Un budget qui avait été adopté en conseil inaugural de cette institution d’enseignement supérieur.

Cette session a aussi permis au comité de direction d’approuvé le plan stratégique de développement, les programmes de formation de la faculté des sciences appliquées, notamment des licences de maths-informatique, de physique, de chimie et de biologie.

Par la même occasion, les membres du comité de direction de l’UDSN ont entériné le calendrier universitaire 2021-2022, le règlement intérieur, la charte des examens et la répartition des frais d’inscriptions pédagogiques.

Le rapport d’activités de démarrage, le programme d’activités 2021-2022, le recrutement de quatre-vingt-quinze enseignants ainsi que le cadre comptable et financier, précisément l’arrêté portant règlement financier, plan comptable, nomenclature budgétaire ont aussi été approuvés par les membres du comité de direction de l’UDSN.

Il faut noter que le plan stratégique de développement de cette université comprend six objectifs stratégiques déclinés en vingt et une actions et cent neuf activités. Les objectifs stratégiques s’appuient quant à eux sur le Plan national de développement 2018-2022.

Congo-Université Denis Sassou N’Guesso : plus de 5 milliards FCFA de budget 2022

Ce budget doit couvrira les Cent neuf activités qui sont prévues dans le plan stratégique 2022-2026 et vingt-et-une actions.

 

Le conseil inaugural de l’Université Denis-Sassou-N’Guesso (UDSNG), a adopté le 3 août à Brazzaville le budget exercice 2022, estimé à 5 600 000 000 FCFA. Cette institution d’enseignement supérieur est dirigé par le professeur Ange Antoine Abéna.

Cent neuf activités sont prévues dans le plan stratégique 2022-2026 et vingt-et-une actions ont été approuvées par les quinze membres non statutaires, les trois membres statutaires, deux représentants du personnel extérieur ainsi que les représentants d’associations d’étudiants, à l’issue de cette session inaugurale.

« Le plan stratégique adopté doit impacter le plan de développement national. Je compte sur vous pour transformer ces délibérations en activités réalisées », a indiqué Ange Antoine Abéna.

L’UDSNG, deuxième institution publique d’enseignement supérieur du Congo, comprend des établissements ci-après : institut des sciences géographiques, de l’environnement et de laboratoire ; l’institut d’architecture, bâtiment et urbanisme, ainsi que la faculté des sciences appliquées.

Pour réaliser les activités et les actions contenues dans le plan stratégique, l’université compte sur la subvention de l’Etat. « Cette subvention nous permettra d’atteindre nos objectifs et les autres viennent de la recherche des ressources complémentaires qui relèvent d’une diplomatie auprès des sociétés afin que nous soyons dans la limite de notre budget », a signifié le Pr Macaire Batchi, secrétaire général de l’UDSNG.

« Ce budget regroupe globalement toutes les activités. Nous avons examiné les possibilités de mettre en place notre système licence master doctorat (LMD), la gouvernance numérique pour booster notre institution qui est une université d’excellence. Dans le cadre de la coopération, nous nous adressons aux sociétés pour rechercher les stages pour nos étudiants, la formation continue de leurs agents et les échanges interuniversitaires », a-t-il poursuivi.

Le conseil de l’UDSN est un organe délibératif qui décide sur les questions importantes de cette alma mater et les transmet au comité de direction pour adoption. Il se réunit trois fois par année en session ordinaire sur convocation de son président. Toutefois, il peut être en session extraordinaire si les circonstances l’exigent ou sur demande écrite du tiers de ses membres.

Ce conseil est chargé de s’assurer de l’exécution des délibérations du comité de direction en matière de formation, de recherche, de coopération et de relations internationales. Il approuve les activités des établissements et donne aussi les avis sur les contrats de recherche proposés par les différents établissements de l’université.

Le conseil de l’UDSN assure la recherche dans le cadre de la formation doctorale et propose au comité de direction les orientations de la politique de recherche, de la documentation scientifique et technique ainsi que la répartition des crédits de recherche. Il suscite la réflexion sur les problématiques du développement, adopte les projets de nouvelles filières de formation, facilite l’insertion professionnelle et la réussite sociale des étudiants et garantit les libertés associatives des étudiants.

Université Denis Sassou N’Guesso : la structure est prête à environ 95%

C’est qu’on retient de la réunion entre le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba et le coordonnateur du comité de pilotage de l’Université Denis Sassou-N’Guesso (UDSN) de Kintelé, le Pr Théophile Obenga.

Les travaux de construction de l’ Université Denis Sassou N’Guesso sont achevés à 95%. C’est une information donnée par Théophile Obenga, le coordonnateur du comité de pilotage de l’Université Denis Sassou-N’Guesso (UDSN) de Kintelé. Il l’a affirmé quand il a été reçu en audience mardi 13 octobre 2020, par le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba.

La rentrée académique 2020-2021 au niveau de la deuxième université publique du Congo est envisagée pour le début de l’année prochaine. Coordonnateur du comité de pilotage mis en place pour préparer cette rentrée, le Pr Théophile Obenga a informé Isidore Mvouba du niveau d’exécution des travaux de construction de cette université, notamment les aspects administratifs et règlementaires.

« Je crois que nous sommes presque prêts à 95%. Donc, si on fait des efforts, les uns et les autres, nous allons donner cette belle structure à la jeunesse congolaise et africaine. Le président de la République a construit cette université pour offrir à la jeunesse un enseignement supérieur de très haute qualité », a-t-il expliqué à la presse.

S’agissant de la réception des premiers étudiants, Théophile Obenga a annoncé que cela pourrait avoir lieu tel que prévu d’autant plus que les textes élaborés n’attendent plus que d’être examinés et approuvés en conseil des ministres. Après, s’en suivra la nomination des responsables devant gérer cet établissement.

« Je crois que tout est possible, il suffit de travailler, de s’appliquer. Il faut le dévouement, la rigueur et au bout du compte vous avez le succès. Le peuple congolais a toujours montré des qualités héroïques dans le passé. Nous avons fait de belles choses dans ce pays, il n’y a pas de raison de ne pas réussir une université », a-t-il assuré, précisant que la structure a été largement équipée.

Les défis à venir étant énormes et complexes, Théophile Obenga, a souligné la nécessité de former des jeunes capables de les affronter. Notons que dans un communiqué rendu public le 12 octobre, le coordonnateur du comité de pilotage de cette université a dévoilé le calendrier de dépôt des dossiers pour les étudiants désireux de s’inscrire. Ce calendrier couvre la période allant du 15 au 21 octobre 2020.

L’Université Denis-Sassou-N’Guesso pas encore prêt à accueillir ses locataires

Le complexe universitaire en construction dans la commune de Kintelé, à quelques kilomètres de Brazzaville, n’est pas encore prêt pour accueillir ses premiers étudiants.

En octobre prochain, l’Université Denis-Sassou-N’Guesso (UDSN), n’ouvrira pas ses portes pour recevoir les étudiants. Le Premier ministre, Clément Mouamba, a visité le 6 septembre les travaux de construction de cet établissement, en compagnie du ministre de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean Richard Itoua, a pu évaluer le niveau d’exécution des travaux confiés à l’entreprise Unicon. « L’option que nous avons prise est de dire qu’il n’y aura pas de rentrée académique en octobre. Ce n’est pas possible. Mais nous nous battons pour en avoir une l’année prochaine mais tout le travail doit se faire d’ici à juin 2019 », a annoncé le chef du gouvernement.

En effet, selon le président directeur général d’Unicon, Serge Pereira, il faut environ soixante-dix milliards FCFA pour la finalisation des travaux dont le niveau d’exécution est actuellement estimé à 54% dans la phase partielle du projet. « Sur le campus, nous sommes à un tiers. Nous avons déjà construit des routes, des canalisations et un château d’eau au-dessus du campus, 90% des fondations sont faites, environ cinq bâtiments abritant des facultés complètement construites en termes de structure. Mais, quand vous êtes payés au compte-gouttes, c’est difficile. Il faut vraiment un planning, un calendrier où l’Etat s’engage à respecter », s’est plaint Serge Pereira, estimant que même les décaissements par petits montants seront les bienvenus.

Réitérant la volonté du gouvernent d’ouvrir partiellement cette université, le Premier ministre est conscient que sans paiement, rien ne pourra se faire. Il a, par ailleurs, annoncé la réactivation du comité de pilotage incluant des cadres de haut niveau. En effet, sa mission consistera, entre autres, à réfléchir sur toutes les modalités de démarrage même de façon modulaire. Clément Mouamba s’est félicité, enfin, du fait que l’entreprise a respecté les consignes données lors de sa première visite l’an dernier. « Je suis heureux de constater que les consignes ont été tenues. Avec peu de moyens, nous avons pu consolider les bâtiments qui étaient en danger car nous voyons tous une grande avenue, il y a des caniveaux, des espaces plantés, pour conforter les bâtiments existants. C’est déjà une bonne chose », a-t-il conclu.

Enseignement supérieur : la première école d’architecture du Congo bientôt opérationnelle

En construction à Kintélé, dans la banlieue nord de Brazzaville, la filière sera inscrite dans les programmes de l’université Denis-Sassou-N’Guesso.

Une structure agréée pour la formation des architectes sera bientôt implantée au Congo. Longtemps souhaitée par les professionnels du domaine, cette initiative du gouvernement vient mettre fin aux départs des étudiants congolais vers d’autres pays pour des formations en architecture.

Le président de l’Ordre des architectes du Congo (OAC), Antoine-Beli Bokolojoué, se réjouit de cette résolution : « C’est une très bonne chose que d’avoir une filière d’architecture et d’urbanisme dans notre pays. L’Ordre des architectes est disposé à accompagner le gouvernement et l’université dans l’élaboration des programmes de ces enseignements et dans l’homologation, par les instances internationales, de cette formation qui se fera bientôt au Congo ». Il précise en outre que parmi les architectes-urbanistes congolais, la majorité enseignent dans des grandes écoles internationales.

Nombreux sont ces congolais et étrangers qui pensaient que le Congo a toujours été doté d’une école d’architecture. Antoine-Beli Bokolojoué affirme que l’Ecole Normale Supérieure Polytechnique (ENSP) ne forme pas les architectes mais les ingénieurs en génie civil. Aussi selon lui, « il est temps que notre université puisse avoir la filière architecture de plein droit »

Pour le président de l’OAC, lorsque l’on sort d’une école d’architecture, on n’est pas forcément un professionnel. Pour réglementer la profession d’architecte au Congo, l’OAC exige une expérience de deux ans dans les cabinets ou les agences d’architecture pour avoir une licence d’exercice. La raison en est simple : « Quand on sort de l’école, on n’est pas architecte, mais diplômé en architecture. On porte le titre quand on est inscrit à l’Ordre, quand on a prêté serment» conclut le leader de l’OAC. Antoine-Beli Bokolojoué, comme la majorité des architectes congolais, dispose d’un cabinet pour accueillir en stage des jeunes en provenance de l’étranger.

La Chine va financer la construction d’un institut de l’aviation civile au Congo

Les documents relatifs au financement de la construction de l’Institut de l’aviation civile de l’université Denis Sassou Nguesso ont été signés par le diplomate chinois Xia Huang et le chef de la diplomatie congolaise, Jean-Claude Gakosso, le 16 décembre à Brazzaville

La Chine se mobilise une fois encore aux côtés du Congo. Samedi, 16 décembre, les deux pays ont signé un accord d’aide de l’Empire du milieu portant sur une enveloppe de 8,5 milliards de francs CFA.

Les deux parties étaient représentées respectivement par l’ambassadeur de Chine, Xia Huang, et le ministre des affaires étrangères, de la coopération et des Congolais de l’étranger, Jean-Claude Gakosso pour la signature. Selon ce dernier, ce don de la Chine est destiné à soutenir le projet de l’Institut de l’aviation civile de l’université Denis Sassou N’Guesso et d’autres projets qui seront déterminés par les deux gouvernements, chinois et congolais. I

Il a indiqué que pour ce faire, la Banque de développement de Chine et la Caisse congolaise d’amortissement ouvriront un compte d’assistance. Ainsi, dès que déterminés, les projets en question ne souffriront d’aucun problème de financement. Concernant l’enveloppe, Jean-Claude Gakosso a parlé d’un  »appui important » apporté à l’université de Kintélé.

Ce don et d’autres, qui pourront suivre, permettront à l’université Denis Sassou N’Guesso de « s’affirmer davantage comme un espace panafricain dédié à la science et à la technologie », a souligné Bruno Jean Richard Itoua, le ministre congolais de l’enseignement supérieur. « L’excellence de la coopération entre la Chine et le Congo se confirme chaque jour davantage », a-t-il conclu.

Du côté de la Chine, Xia Huang, l’ambassadeur chinois a réitéré l’engagement de son pays à renforcer la coopération sino-congolaise. Selon lui, les actions entreprises par son pays au Congo, « illustrent la disponibilité du gouvernement chinois de traduire en actes concrets tous les engagements qu’il a pris pour faire avancer les relations d’amitié et de coopération ». La Chine est plus que déterminée « à accompagner le Congo afin de relever les défis » qui s’y présentent, a ajouté le chef de la représentation chinoise au Congo.

Optimiste jusqu’au bout

Les responsables gouvernementaux à l’occasion de la signature de cet accord avec la Chine ne se sont pas empêchés de revenir sur la situation de crise que traverse le pays, avec optimisme. « Croyez-moi, nous allons résister à la tempête actuelle », a lancé le ministre des affaires étrangères. « Nous allons affronter les défis, et cela, qu’il s’agisse des discussions avec le Fonds monétaire international ou d’autres situations », insistera-t-il sous les yeux de ses homologues de l’enseignement supérieur et de l’aménagement du territoire et des grands travaux, Jean Jacques Bouya.