Congo : Denis Sassou N’Guesso au mini-sommet de la CIRGL

Le chef de l’Etat congolais est arrivé à Luanda, capitale angolaise mardi 20 avril pour prendre part au mini-sommet de la CIRGL.

 

Denis Sassou N’Guesso séjourne en Angola où il prendra part à un mini-sommet de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL). La réunion a été convoquée par le chef d’État angolais, João Lourenço, en sa qualité de président en exercice de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL). Il va s’agir de parler de la situation politique et sécuritaire en République centrafricaine.

Le mini-sommet réunira à Luanda les présidents de la République centrafricaine, Faustin Touaderá, du Rwanda, Paul Kagame, du Congo, Dennis Sassou N’Guesso, et le président du Conseil souverain de transition de la République du Soudan, Abdul Fatah al-Burhan. Des délégations de haut niveau représentant le Tchad, le Cameroun et la République démocratique du Congo y participeront également.

Rappelons que le 28 janvier dernier, il s’est tenu à Luanda un premier mini-sommet qui portait toujours sur la situation politique et sécuritaire en République centrafricaine. Au cours de celle-ci, les chefs d’État et de gouvernement du CIRGL avaient demandé aux groupes rebelles en RCA d’observer un cessez-le-feu unilatéral et immédiat. Une demande qui visiblement pas fait un grand écho puisqu’ils se retrouvent cette semaine pour le même sujet.

Congo : Denis Sassou N’Guesso au sommet de la CIRGL

Le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso a quitté Brazzaville, jeudi 28 janvier 2021 pour Luanda, en Angola.

Dans la capitale angolaise, le Chef de l’Etat prend part ce vendredi au sommet de la Conférence internationale des Grands Lacs (CIRGL). Le dit sommet est consacré à la situation sécuritaire dans la sous-région, notamment en République centrafricaine (RCA).

À l’initiative du Chef d’État angolais, João Lourenço, en sa qualité de président en exercice de la Conférence internationale des Grands Lacs (CIRGL), l’événement réunit la RCA, le Congo-Brazzaville, le Rwanda, le Tchad et le Soudan, y compris l’Angola, en tant que pays hôte.

Rappelons que la CIRGL a pour mission de résoudre les problèmes de paix et de sécurité, après les conflits politiques qui ont dévasté la région en 1994.

CIRGL : des solutions pour lutter contre l’insécurité

C’est à Brazzaville que se sont réunis les dirigeants des Etats de la région des Grands lac, pour chercher des solutions pour faire face à l’insécurité et à Ebola.

Ebola et la sécurité dans la région des Grands Lacs, ces deux points ont été au centre de la réunion des ministres de la CIRGL (Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs) à Brazzaville, mardi 15 octobre. Objectif, mettre fin à l’insécurité et à Ebola, ces deux maux qui empêchent le développement des pays.

Cette réunion s’est achevée sur une note d’espoir, a déclaré Jean-Claude Gakosso. Le ministre des Affaires étrangères du Congo, Jean-Claude Gakosso qui accueillait ses collègues de la sous-région, a mis l’accent sur la paix imposer en RDC par le président Félix Tshisekedi.

« Il a été en Ouganda, au Rwanda, donc il y a un nouvel état d’esprit dans la sous-région qu’il faut consolider. Félix Tshisekedi a ainsi fait preuve de sa volonté de dialoguer avec tous les voisins de l’Est, puisque c’est de là que viennent la plupart des problèmes en RDC », explique Jean-Claude Gakosso.

Pour  Guillaume Manjolo, le ministre d’Etat à la Coopération de la République Démocratique du Congo, l’implication des pays dont sont originaires les groupes armés étrangers en RDC. « On a tenté de responsabiliser les pays d’où sont originaires ces troupes étrangères et, pour ce qui concerne celles de la RDC, il y a un travail fait au niveau des forces armées », selon Guillaume Manjolo.

Denis Sassou Nguesso, un artisan de paix dans la sous-région

L’ambassadeur de Chine au Congo, Ma Fulin a salué les efforts du président congolais, dans son effort à assurer la paix et la quiétude dans sous-région, notamment lors du processus électoral en RDC.

Ma Fulin a s’exprimé le mercredi à l’issue d’une rencontre avec le numéro un congolais au Palais du peuple à Brazzaville.

A trois jours de la présidentielle en République démocratique du Congo (RDC) et après une campagne marquée par des violences, le numéro un congolais qui ne cache pas son inquiétude face au risque d’une crise post-électorale, et des répercussions qu’elle pourrait avoir dans la sous-région, a invité plusieurs chefs d’Etat de la SADC [Conférence de coordination pour le développement de l’Afrique australe] et de la CIRGL [Conférence internationale sur la région des Grands Lacs] le mercredi 26 décembre dernier à Brazzaville pour un sommet exceptionnel sur la RDC.

Les chefs d’Etat et de gouvernement ont notamment exprimé leur préoccupation suite aux violences pendant la campagne électorale et réaffirmé leur disponibilité à accompagner la RDC dans cette période jugée sensible.

Denis Sassou Nguesso a adressé un message d’« apaisement » à tous les acteurs du processus électoral en RDC avant de réaffirmer l’importance de la paix, de la sécurité et de la stabilité, conditions essentielles au développement.

Elections en RDC : Denis Sassou Nguesso propose un nouveau décompte des voix

Dans une déclaration publiée ce dimanche 13 janvier 2019, le président en exercice de la CIRGL, a demandé à la République démocratique du Congo.

Suite à la proclamation des résultats provisoires de la présidentielle en République démocratique du Congo, la conférence internationale sur la région des grands lacs (CIRGL), s’est prononcée. Le président congolais, Denis Sassou Nguesso, président en exercice de la CIRGL, a suggéré lors d’une assise ce dimanche 13 janvier 2019, dans une déclaration, aux structures compétentes d’envisager le décompte des voix. L’objectif serait de garantir la transparence des résultats de l’élection présidentielle contestée en RDCongo.

Denis Sassou Nguesso n’a pas caché son inquiétude face au risque d’une crise post-électorale, et des répercussions que ces résultats contestés pourraient avoir dans la sous-région. Il a également demandé aux structures compétentes de fournir l’assurance nécessaire aux gagnants et aux perdants.

Cette déclaration arrive quelques jours après la sortie du porte-parole du gouvernement congolais. Thierry Moungalla avait affirmé que, le président Denis Sassou Nguesso relève que la CIRGL prend note de la proclamation de la victoire de Félix Tshisekedi et invite les parties à observer les procédures et voies de recours légales.

Forum des parlements de la Cirgl : la bonne gouvernance au centre des débats

C’est l’un des sujets à l’ordre du jour des assisses de la neuvième session ordinaire du forum des pays de la conférence internationale sur la région des grands lacs (FP-Cirgl).

La sécurité et le statut des anciens chefs d’Etat, la bonne gouvernance et bien d’autres sujets meublent les assisses de la neuvième session ordinaire de l’Assemblée des parlements de la sous-région qui s’est ouverte le 5 décembre 2018.

Ces assises se tiennent sur le thème  » Dix ans du FP-Cirgl: réalisations, défis et perspectives ». Elles réunissent les présidents des Sénats et des Assemblées nationales, les sénateurs et les députés venus de l’Angola, du Burundi, de la République centrafricaine, de la République démocratique du Congo (RDC), du Kenya, de l’Ouganda, du Rwanda, du Soudan, de la Tanzanie, de la Zambie et du Congo, pays hôte.

Il sera question au cours de ces assisses pour les parlementaires de la Cirgl, de faire des propositions de solutions et apporter des palliatifs à un certain nombre de problèmes inhérents à la quiétude et la bonne marche au sein de cet espace communautaire. Ainsi, les débats sont orientés vers la problématique sécuritaire et humanitaire de cette zone sous- régionale, en vue de garantir aux Etats membres une quiétude générale.

Il est également question de trouver une possibilité d’attribuer à tous les anciens chefs d’Etat de la zone communautaire un statut particulier, ayant constaté que ces personnalités souvent délaissées sont, dans la plupart des cas, à l’origine des conflits armés.

« En structurant leur action autour des problématiques essentielles de paix et de sécurité, de bonne gouvernance, du développement économique, de l’humanitaire et du social, du genre et enfants et des personnes vulnérables, nos parlements jouent un rôle crucial dans la résolution des conflits dans nos Etats. Votre session va aussi examiner la question du statut des anciens chefs d’Etat », a indiqué le président du Sénat congolais, Pierre Ngolo, le jour de l’ouverture des travaux.

 

Forum des parlements de la Cirgl : ouverture de l’assemblée plénière à Brazzaville

Du 4 au 6 décembre, il sera question pour des parlements des pays membre de tabler sur la question sécuritaire et humanitaire dans certains pays de cet espace communautaire, en proie aux conflits armés.

Les assises se tiennent sur le thème « Dix ans du FP-Cirgl: réalisations, défis et perspectives ». Les participants sont venus de l’Angola, du Burundi, de la République centrafricaine, de la République démocratique du Congo (RDC), du Kenya, de l’Ouganda, du Rwanda, du Soudan, de la Tanzanie, de la Zambie et du Congo, pays hôte.  Il sera question au cours de ces assisses de débattre sur le maintien de paix et de sécurité au sein des Etats-membres de la Cirgl.

Mais surtout examiner et apprécier l’évolution des conflits armés qui sévissent depuis quelques années en République centrafricaine, en RDC et au Soudan, afin d’en tirer les conséquences et éventuellement prendre des dispositions nécessaires.

Rappelons que le FP-Cirgl vise neuf objectifs principaux. Notamment servir de cadre de dialogue, d’échange d’expériences et de règlement des conflits au sein des parlements des pays membres de cette organisation ; renforcer les capacités des membres ainsi que des fonctionnaires qui y évoluent.

Congo: la 9 ème assemblée plénière du CIRGL se tiendra à Brazzaville

L’annonce a été faite, le 15 octobre, par le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba, à l’ouverture de la quatrième session ordinaire dite budgétaire.

Du 04 au 06 décembre à Brazzaville, les parlements des douze Etats membres de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), se réuniront à Brazzaville au Congo.

Isidore Mvouba a, demandé aux parlementaires congolais à tout mettre en œuvre pour la réussite de cette rencontre de portée historique. « Notre parlement devra briller de mille feux à cette occasion par son savoir-faire et son apport à la consolidation de la paix dans notre sous-région », a-t-il déclaré.

Pour rappel, la capitale congolaise, Brazzaville, avait abrité, en juillet dernier, la dix-huitième session ordinaire du comité exécutif qui a examiné la question sécuritaire et humanitaire dans quelques pays de cet espace communautaire.

 

Congo : Sassou N’Guesso reçoit Saïd Djinnit et Zachary Muburi-Muita

Les trois hommes ont parlé de l’’évolution du processus électoral en RDC et de la situation sécuritaire en RCA.

Le 20 juillet dernier à Brazzaville, Denis Sassou N’Guesso, président en exercice de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), a eu un entretien avec l’envoyé spécial des Nations unies, Saïd Djinnit, et le secrétaire exécutif de la CIRGL, Zachary Muburi-Muita.

L’évolution du processus électoral en République démocratique du Congo (RDC) et de la situation sécuritaire en République centrafricaine (RCA). Ce sont les deux sujets au centre de la discussion de Denis Sassou N’Guesso et Saïd Djinnit.

« Nous avons échangé sur la situation en RCA qui demeure toujours inquiétante », a déclaré Saïd Djinnit, à l’issue de l’audience.

Concernant la RDC, il a expliqué : « Nous avons évoqué la question du rapatriement des forces M23 et FDLR, tout en émettant le souhait de voir le pays suivre la feuille de route des accords de la Saint-Sylvestre. Nous continuons à encourager les dirigeants à aller vers les élections prévues pour le 23 décembre 2018 ».

L’envoyé spécial de l’ONU pour la région des Grands lacs a, en outre, affiché son optimisme sur la tenue des élections en RDC au regard du dernier discours du président Joseph Kabila sur l’état de la nation.

Le secrétaire exécutif de la CIRGL a, pour sa part, souligné l’amélioration de la situation sécuritaire dans la région.

« Là où il y a des troubles, les parties belligérantes affichent, désormais, la volonté et l’engagement de trouver des solutions aux problèmes qui se posent. Mais il y a encore un souci lié à l’insécurité toujours visible en RCA », a-t-il dit.

 

Région des Grands Lacs : les pays membres discutent des questions diplomatiques

La Conférence internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), s’est ouvert jeudi 19 juillet à Brazzaville.

La capitale congolaise, Brazzaville accueille depuis jeudi 19 juillet 2018, la conférence internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL). Les sujets examinés pendant cette rencontre sont entre autres le point de la réunion tenue à Kinshasa, en juin dernier, l’évaluation de la mise en œuvre des recommandations des ministres et du sommet des chefs d’Etat de la CIRGL et la restructuration du secrétariat de l’organisation.

« Cette rencontre est marquée par les préoccupations d’ordre politique, sécuritaire et humanitaire. Un contexte marqué aussi par des difficultés d’ordre financier que connaissent bon nombre de pays membres. Ces difficultés qui ont un rejaillissement sur la bonne administration de notre organisation », a indiqué le ministre congolais des Affaires étrangères, Jean-Claude Gakosso.

Jean-Claude Gakosso félicité le mécanisme de suivi de l’accord cadre d’Addis-Abeba sur la République démocratique du Congo et sur la Région des Grands lacs.

Pour l’ambassadeur itinérant, Raphaël Malongo, a, quant à lui, plaidé pour la paix entre les deux Soudan. Il reconnait tout de même, les avancées de paix en République centrafricaine (RCA) et en République démocratique du Congo, malgré la persistance de quelques foyers de tensions.

« Nous sommes tous attentionnés car le président Joseph Kabila va s’adresser au parlement. Mais nous souhaitons que rien ne vienne entraver ce processus engagé. Au Soudan du Sud, nous espérons que le tout se consolidera pour qu’on arrive à un climat de paix. En RCA, nous espérons que les choses vont avancer », a indiqué Raphaël Malongo.

Les coordonnateurs nationaux de la CIRGL comptent veiller aux conclusions des travaux de la réunion du comité de gouvernance du Fonds spécial pour la reconstruction et le développement, la libre circulation des détenteurs de passeports diplomatiques sur les territoires des Etats membres de la CIGRL et les relations entre le secrétariat et le bureau de l’envoyé spécial du secrétaire général de l’Organisation des Nations unies dans la Région des Grands Lacs.

CIRGL : Jean-Claude Gakosso appelle le personnel au travail

Le ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Congolais de l’étranger s’est exprimé au cours de son séjour du 11 au 13 juillet, à Bujumbura, au Burundi.

Du 11 au 13 juillet, le ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Congolais de l’étranger a séjourné, à Bujumbura, au Burundi. Jean-Claude Gakosso a exhorté le personnel de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), a plus de travail.

« Je suis venu vous apporter le réconfort des chefs d’Etat de notre organisation à commencer par le président Denis Sassou N’Guesso, président en exercice de notre organisation », a déclaré Jean-Claude Gakosso.

Le chef de la diplomatie congolaise entend, avec le secrétaire exécutif de la CIRGL, initier une tournée auprès des chefs de l’organisation sous- régionale pour les encourager à lui apporter leur soutien financier. « Je pense que la CIRGL a touché le fond, elle ne peut que remonter. Il n’y a pas de raison de sombrer dans le pessimisme », a dit Jean Claude Gakosso.

Envoyé spécial du chef de l’Etat congolais, le ministre des Affaires étrangères et des Congolais de l’étranger a eu des entretiens avec le président Pierre Nkurunziza ainsi qu’avec son homologue burundais, Ezéchiel Nibigira. Il a souligné les potentialités de la région, avant d’inviter le personnel de la CIRGL à l’optimisme.

« Nous sommes l’une des régions les plus riches du continent, je dirai même du monde. Et ce sont les richesses du sous-sol qui permettent le développement », a-t-il signifié.

Mais, a poursuivi Jean Claude Gakosso, « il y a une richesse qui manque à la sous-région.  Cette richesse c’est la paix. La paix n’a pas de prix, elle n’a pas d’alternance. La paix est la condition sine qua non pour aller au développement ».

Profitant de son séjour dans la capitale burundaise, le ministre congolais en charge des Affaires étrangères a visité le siège de la CIRGL.

Le 21 juillet prochain, Brazzaville, abritera le 21 juillet une réunion ministérielle de la CIRGL.

 

Tripartite Kabila-Sassou-Lourenco à Kinshasa

Le professeur Mwahila Tshiyembe estime que les chefs d’Etat visiteurs, qui sont membres de la CIRGL, viennent donner un coup de pouce au processus électoral en RDC marqué par quelques inquiétudes.

Les présidents de la RDC, Joseph Kabila, du Congo, Denis Sassou Ngouesso, et d’Angola, Joao Lourenco vont se retrouver mercredi 14 février à Kinshasa. Cette réunion tripartite est confirmée notamment par le porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende.

En l’absence de communication officielle sur l’ordre du jour de la réunion, le professeur Mwahila Tshiyembe estime que les chefs d’Etat visiteurs, qui sont membres de la CIRGL, viennent donner un coup de pouce au processus électoral en RDC marqué par quelques inquiétudes.

Il est tout à fait normal que les deux pays, l’Angola et du Congo-Brazzaville qui ont piloté la CIRGL, viennent se pencher sur climat interne de la RDC « qui est en train de se corser, pour écouter probablement le président Joseph Kabila», affirme Mwahila Tshiyembe, le directeur de l’Institut panafricain de géopolitique de Nancy en France.

Il évoque notamment le calendrier électoral publié par la CENI, qui est appuyé par la communauté internationale mais critiqué par une frange de l’opposition congolaise. A cela s’ajoutent, selon lui, les divergences sur la mise en œuvre l’accord politique du 31 décembre 2016.

Mwahila Tshiyembe indique enfin que la rencontre entre les trois chefs d’Etats voisins pourrait aussi s’intéresser aux relations entre la RDC et la MONUSCO.