Le Congo veut atteindre 1500 MW de production d’électricité d’ici 2030

Le doublement de la capacité de production vise à « améliorer l’accès à l’électricité pour les congolais et à soutenir la croissance industrielle ».

 

Le Congo Energy & Investment Forum s’est tenu du 24 au 26 mars à Brazzaville. A la clôture de l’évènement mercredi, le ministre congolais de l’Énergie et de l’Eau, Émile Ouoss a déclaré que le pays va initier un projet visant à doubler sa capacité de production d’électricité pour atteindre 1500 MW d’ici 2030.

Cette augmentation de la production vise à « améliorer l’accès à l’électricité pour les six millions de citoyens du pays et à soutenir la croissance industrielle ». C’est du moins ce que le ministre Émile Ouosso a annoncé.

L’un des axes clés de cette stratégie est la collaboration avec des partenaires internationaux, tels que la Banque mondiale et la Fondation Rockefeller, dans le cadre de l’initiative « Mission 300 ». Cette initiative avait été lancée en avril 2024, pour fournir un accès à l’électricité à 300 millions d’Africains d’ici 2030.

Le Congo entend également mettre l’accent sur son potentiel hydroélectrique, estimé à 27 000 MW, dont seulement 1% a été exploité. En plus de l’hydroélectricité, le Congo diversifie ses sources d’énergie avec des projets solaires et gaziers. Un projet de ferme solaire de 50 MW dans la région de Brazzaville est en cours avec AMEA Power.

Congo : 13 points lecture opérationnels grâce au partenariat IFC et Congo Terminal

Le 27 mars 2025, à l’occasion de la semaine du livre, l’Institut Français du Congo (IFC) annonce disposer désormais de 13 points lecture à Pointe-Noire grâce au partenariat conclu avec Congo Terminal.

 

Au cours des trois dernières années, ce partenariat a permis à 29 757 enfants d’avoir accès au livre en période scolaire et durant les vacances.

Le projet est né d’un constat : plusieurs enfants n’avaient pas accès aux livres en période scolaire y compris les livres aux programmes de l’éducation nationale. La situation devenant critique, l’institut français du Congo a mis en place les bibliobus. L’activité a très vite été dépassée par l’afflux d’enfants en quête de connaissance et d’évasion. Elle ne répondait plus à la problématique identifiée. Le projet a donc évolué de bibliobus à un réseau de points lecture fixes. Ceux-ci sont approvisionnés en livres deux fois par mois et repartis du centre-ville aux quartiers populaires.

“Grâce à Congo Terminal, ce projet vit et prend de l’ampleur. Nous sommes passés de 3 points lecture en 2016 à 13 aujourd’hui. Ces deux dernières années, en moyenne 1 000 enfants par mois ont accès au livre, même dans les quartiers les plus précaires” explique Elvis TCHICAYA, coordonnateur du réseau point lecture à l’Institut Français du Congo.

”Les points lecture permettent aux jeunes de renforcer leur instruction, leur élocution, leur confiance ensoi. C’est notre façon d’accompagner l’émancipation de la jeunesse” explique Patricia EKEY-MISSE, responsable régionale communication Congo/ RDC / Angola.

Les points lecture sont un espace d’occupation ludique de jeunes en période scolaire et estivale. Véritables lieux de partage de connaissance, de transmission dont certains installés au sein même d’établissement scolaires. Au travers de ces structures, les enfants participent à de nombreusesanimations : contes, projections, débats, prise de parole en public, etc.

À propos de Congo Terminal:

Congo Terminal, filiale d’AGL (Africa Global Logistics), est l’opérateur exclusif des activités de manutention de navires porte-conteneurs et rouliers escalant au port de Pointe Noire. L’entreprise est engagée dans un partenariat public-privé qui lui permet de répondre aux exigences de ses clients armateurs, importateurs ou exportateurs. Grâce à ses nombreux investissements, Congo Terminal participe à l’amélioration du pouvoir d’achat et contribue activement à la lutte contre la vie chère. Certifiée ISO 9001/2015, ISPS (sûreté) et Pedestrian Free Yard (HSE) et Green Terminal, l’entreprise dispose d’équipements et de technologies de pointe dont le système d’exploitation Navis 4. Congo Terminal a dépassé le seuil de 1.000.000 EVP manutentionnés par an depuis 2022 et emploie près de 900 collaborateurs congolais. L’entreprise mène des actions solidaires en faveur de la jeunesse, de la protection de l’environnement et de l’éducation.

www.congo-terminal.net

 

Congo-gestion des déchets : le CESE a un plan d’action

Recueillie en propositions et avis, ledit plan est destiné à éclairer et à consolider les recommandations du Conseil économique, social et environnemental (CESE) sur la gestion des déchets.

 

« Quelles stratégies durables à mettre en place par les pouvoirs publics pour une gestion efficace des déchets solides ». C’est le thème qui a servi de ligne directrice des assisses de la rencontre citoyenne du CESE qui s’est tenu du 20 au 21 mars à Brazzaville. Ont pris part aux travaux, participation des acteurs de la société civile, les membres du gouvernement, les représentants des Conseils, les experts environnementaux et les organisations non gouvernementales.

Il s’est agi au cours des travaux reconsidérer la situation actuelle de crise dans la gestion des déchets et d’imaginer des mécanismes innovants, efficaces, économiques et intégrés. Des propositions et des avis ont été recueillis puis transformé en plan d’action. Ce plan qui concerne Brazzaville et Pointe-Noire sera transmis aux plus hautes autorités de l’État : le chef de l’État, les présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale, ainsi qu’au Premier ministre.

Congo-laboratoire national : les agents réclament 20 mois d’arriérés de salaires

Ces travailleurs exigent le paiement urgent de leur gain afin de faire face à leurs obligations familiales.

 

Les agents du laboratoire national de la santé publique demandent le paiement de leur salaire. Ce sont 20 mois d’arriérés de salaires que ces travailleurs exigent. Ils ont dénoncé la situation mardi 25 mars 2025 dans l’enceinte de cette structure sanitaire à Brazzaville.

« Nous lançons un cri d’alarme au gouvernement pour la régularisation de notre situation. Nous souffrons énormément : il y a des travailleurs qui sont chassés par les logeurs parce qu’ils peinent à payer leurs loyers. Nous avons des enfants chassés des écoles, ainsi que des problèmes de prise en charge de notre mobilité au quotidien », a indiqué un agent de cette structure.

Outre le déficit de paiement des salaires, les agents du laboratoire national de santé publique revendiquent aussi une prise en charge par la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS). Notons que depuis 2015, les retraités du laboratoire national ne sont pas pris en charge par la CNSS, faute de versement des contributions sociales.

Congo : la SNPC entend optimiser le potentiel gazier du pays

L’entreprise vient de présenter les grandes lignes de son Plan Directeur du Gaz (PdG).

 

Dans le cadre du Congo Energy & Investment Forum, la Société Nationale des Pétroles du Congo (SNPC) a présenté les grandes lignes de son Plan Directeur du Gaz (PdG). La Société veut optimiser les ressources gazières pour soutenir l’économie nationale et attirer les investissements étrangers. Ledit plan cherche à revitaliser le secteur des hydrocarbures tout en réduisant la dépendance aux revenus pétroliers et en développant le réseau électrique du Congo.

« L’objectif principal du plan directeur pour le gaz est de développer une stratégie d’exploration à court et à long terme afin de contribuer au développement des ressources naturelles et à la diversification économique », a expliqué Bi-Dia-Ayo Ibata, chef de la division des relations avec les autorités de tutelle de la SNPC. Il a ajouté que « les cinq objectifs principaux sont la maximisation des ressources, la croissance et la diversification économiques, les avantages sociaux, les recettes publiques et l’attraction des investissements ».

Le pays veut utiliser le gaz pour l’électricité, en maintenant des prix bas pour soutenir une croissance durable. Le plan souligne l’importance d’une politique du gaz naturel pour guider le développement du secteur.

Congo : des présumés trafiquants faunique interpellés à Dolisie

Âgés de plus de 30 ans, ces présumés délinquants ont été appréhendés samedi 22 mars dernier, dans le département du Niari, en possession de deux peaux de panthère.

 

Deux individus interpellés pour trafic d’espèces protégées. Ces deux hommes de nationalité congolaise ont été pris en flagrant délit de détention, circulation et tentative de commercialisation des peaux de panthère.

Les deux présumés trafiquants ont reconnu les faits qui leur sont reprochés. Ils vont répondre de leurs actes devant la justice congolaise et risquent des peines allant de deux à cinq ans d’emprisonnement ferme ainsi qu’une amende pouvant atteindre cinq millions (5.000.000) F.CFA conformément à la loi.

Leur arrestation a été possible grâce à l’intervention des éléments de la Région de gendarmerie du Niari en poste à Dolisie, en collaboration avec les agents de la direction départementale de l’économie forestière, bénéficiant de l’appui technique du Projet d’appui à l’Application de la Loi sur la Faune sauvage (PALF).

Rappelons qu’en République du Congo, la panthère est parmi les espèces animales intégralement protégées, conformément à la loi 37-2008 du 28 novembre 2008 sur la faune et les aires protégées.

Congo : plus de 22 millions FCFA pour moderniser les hôpitaux

C’est le fruit d’un accord de partenariat signé entre le Congo et l’Italie et approuvé par le Sénat et l’Assemblée nationale.

 

L’accord porte sur la mise en place d’un vaste programme visant à renforcer le développement des services de santé intégrés en République du Congo. C’est un prêt concessionnel de 22, 960 milliards FCFA avec un taux d’intérêt de 0% remboursable sur 28 ans dont une période de grâce de 10 ans. Il est accompagné d’un don de 6,560 milliards FCFA.

Le partenariat conclu s’inscrit dans le cadre du plan Mattei, une nouvelle politique initiée par le gouvernement italien pour soutenir les pays africains. Ces fonds permettront de moderniser et d’équiper neuf structures de santé dans cinq départements du Congo.

A Brazzaville, il s’agit de l’hopital Blanche-Gomes, de l’hôpital de référence de Talangaï, dans le 6e arrondissement, de celui de Makélékélé, dans le 1er arrondissement ainsi que le Centre national de transfusion sanguine. A Pointe-Noire, le projet concerne l’hôpital Adolphe-Sicé et celui de Loandjili. Dans l’hinterland, ce sont les hôpitaux généraux de Dolisie dans le Niari, d’Owando et d’Oyo dans la Cuvette qui seront bénéficiaires.

Le projet de loi portant ratification de l’accord de partenariat entre le Congo et l’Italie a été adopté à l’unanimité dans les deux chambres du Parlement.

CEMAC : les nouvelles pièces de monnaie seront disponibles à partir du 5 avril

L’annonce a été faite lors de la première session du Comité de politique monétaire de la Banque des Etats de l’Afrique centrale qui a eu lieu le 24 mars 2025 à Malabo en Guinée Equatoriale.

 

Yvon Sana Bangui, gouverneur de la Beac a présidé la première session du comité de la politique monétaire (CPM) de la sous-région le 24 mars 2025. Au cours de cette rencontre, le gouverneur de la Beac a annoncé que la mise en circulation de nouvelles pièces de monnaie est prévue pour le 5 avril 2025. Des pièces de monnaies dont la nouveauté sera celle de 200 FCFA.

Ainsi, la nouvelle gamme présentera plusieurs modifications notables, à commencer par une augmentation de la taille des pièces afin de les rendre plus facilement acceptables par les commerçants et les usagers. Les coupures existantes de 1, 2, 5 et 10 FCFA, souvent boudées, seront maintenues, mais agrandies, tout comme celles de 25, 50, 100 et 500 FCFA. Une nouveauté majeure réside dans l’introduction d’une pièce de 200 FCFA, inspirée de l’ancienne pièce de 50 FCFA des années 1960.

Les nouvelles pièces de monnaie sont destinées à résoudre la pénurie qui affecte la sous-région et à améliorer la fluidité des échanges commerciaux. L’initiative s’inscrit dans le cadre des réformes monétaires visant à garantir un approvisionnement suffisant en petite monnaie et à renforcer l’intégration économique des pays membres de la Cémac. Le gouverneur de la BEAC, Yvon Sana Bangui, a souligné l’importance de cette initiative visant à répondre aux difficultés rencontrées par les populations et les commerçants dans leurs transactions quotidiennes. « La Banque centrale a pris en compte toutes les difficultés enregistrées au niveau sous-régional en ce qui concerne la pénurie de pièces de monnaie. Ces nouvelles pièces vont apporter non seulement la réponse, mais aussi fluidifier les échanges commerciaux », a-t-il déclaré lors de son passage au Gabon.

CPM

Au cours du comité de politique monétaire où le gouverneur a échangé par visioconférence avec les journalistes de la sous-région, il est ressorti que la situation économique de la zone CEMAC sera meilleure en 2025 qu’en 2024. Selon les prévisions de la BEAC, la croissance sera de 2,9% contre 2,6% l’année dernière. Un renforcement de la croissance en lien avec « la bonne tenue des activités non pétrolières », souligne Yvon Sana Bangui. Concernant l’inflation, elle sera en baisse selon les prévisions, passant de 4,1% en 2024 à 2,9% en 2025.

Congo Energy & Investment Forum – Onsite Interview AGL

Le terminal à conteneurs de Pointe-Noire a récemment obtenu un financement de 250 millions de dollars pour l’extension du quai Môle Est. Quelles sont les principales améliorations prévues, et comment vont-elles renforcer le secteur énergétique du pays ?

 

Le financement de 250 milliards de dollars conclu avec les banques locales grâce à un tour de table bancaire conduit par Crédit du Congo et Attijariwafa Bank en qualité d’arrangeurs permettra de construire un nouveau quai de 750 mètres linéaires avec une surface de 28 Ha et une profondeur de 17 mètres. Les travaux vont durer trois ans. La nouvelle plateforme portuaire sera opérationnelle en 2027 et sera un avantage significatif pour tous les acteurs économiques y compris ceux du secteur énergétique du pays

Cet investissement stratégique vise à renforcer la connectivité et les capacités opérationnelles du port de Pointe-Noire en développant les activités économiques dans la sous-région. Nous pourrons recevoir les plus gros porte-conteneurs du marché, ce qui réduira les délais d’import et d’export des marchandises.

Quelles autres initiatives ou investissements AGL privilégie-t-elle pour renforcer l’infrastructure logistique énergétique du Congo ?

Chaque année, Africa Global Logistics investit environ 600 millions d’euros pour le développement de nos infrastructures, équipements et systèmes informatiques.

Au Congo, nous travaillons avec l’ensemble des majors pétrolières et tous les acteurs impliqués dans le développement du secteur énergétique. Ce qui nous permet d’anticiper sur la croissance des besoins de nos partenaires en fonction de l’évolution de la production et des activités d’exploration.

Grâce à notre large réseau qui s’étend dans près de 47 pays en Afrique, sans compter Haïti, le Timor orientale et depuis peu l’Indonésie, nous proposons des solutions logistiques multimodales sur mesure avec un suivi en temps réel des marchandises aussi bien à l’import qu’à l’export. Nous disposons d’un grand parc d’engins de levage et de transport et déployons tous types d’équipements pour répondre aux attentes les plus complexes de nos clients.

Notre expertise s’accompagne d’importants investissements dans la formation de nos équipes et l’acquisition d’équipements de pointe répondant aux enjeux environnementaux. Ces engagements font l’objet de plusieurs certifications et autres marques de reconnaissances, délivrés par les acteurs du secteur énergétique. Nous avons par exemple reçu le prix de meilleure performance inspection conformité transporteurs en 2024 et le prix du meilleur contractant pour les opérations logistiques en 2023.

Quelles sont les principales étapes opérationnelles qu’AGL vise à atteindre au Congo en 2025 et à court et moyen terme ?

AGL se veut un levier au service des économies africaines, dans le cadre des transitions globales où le continent est engagé, qu’il s’agisse de la croissance démographique, de l’amélioration du niveau de vie, de la transition énergétique, du développement du commerce intra-africain ou de l’industrialisation.

Nous sommes engagés à maintenir notre place de 1er   opérateur de logistique intégré dans le pays en accompagnant les projets stratégiques du secteur énergétique à chaque étape : exploration, production, exportation, etc.

Nous allons continuer à faciliter la réalisation des projets énergétiques les plus complexes dans le pays, notamment ceux liés à la décarbonisation, en misant sur des solutions innovantes telles que le flexitank – un système qui transforme un conteneur standard en un grand réservoir flexible pour le transport de liquides– et en participant au développement d’une nouvelle expertise locale dans la logistique du secteur énergétique.

Quel message clé AGL apporte-t-elle au CEIF ?

L’Afrique se positionne de plus en plus comme un acteur clé sur la scène énergétique mondiale, grâce à ses vastes réserves de ressources naturelles et à son potentiel en énergies renouvelables. Avec ses 54 pays et une population de 1,3 milliard d’habitants, l’Afrique émerge comme un pilier central de l’énergie mondiale.

En intégrant les énergies renouvelables et en développant des infrastructures solides, l’Afrique est bien positionnée pour assurer une croissance durable et partagée, renforçant ainsi sa place sur la scène énergétique mondiale.

En tant qu’acteur majeur de la logistique, notre ambition chez AGL est de mettre en place les écosystèmes logistiques qui permettent la réalisation des projets énergétiques, dont on sait que le coût et la fiabilité logistique sont des éléments déterminants. Rien que dans le domaine des énergies renouvelables et du solaire, nous suivons actuellement plus de 200 projets sur le continent.

La transition énergétique est en effet au cœur de notre stratégie. Nous sommes absolument persuadés que le continent africain est en train de développer un rôle déterminant dans cette transition énergétique.

Un rôle qui est axé sur le développement des minerais de la transition, sur le potentiel des énergies renouvelables (solaire, éolienne, biomasse et hydraulique), mais qui passe également par les énergies fossiles, nécessaires à la réalisation de cette transition en douceur.

Notre positionnement s’inscrit dans la globalité de cette transition énergétique, dont le développement des ressources fossiles reste une composante importante.

Congo-ZAP : le chef de l’Etat instruit l’amélioration des conditions de travail

Le président de la République Denis Sassou N’Guesso est en visite de travail dans le département de la Bouenza.

 

Denis Sassou N’Guesso est arrivé lundi 24 mars, à Mouindi où il a eu une rencontre avec les jeunes de la Zone agricole protégée (ZAP), dans leurs plantations. Le chef de l’Etat a présidé au coup d’envoi la phase de plantation du manioc.

La ZAP qui a été lancé un peu plus d’un an, devra à terme s’étendre sur 1400 ha. Elle est consacrée à la culture du maïs, du manioc et d’autres produits maraîchers. A ce stade, un champ de maïs occupe 200 ha tandis que la phase de plantation du manioc vient d’être lancée.

« Je suis heureux de l’implication de nombreux jeunes dans les activités agricoles ici à Mouindi », s’est réjoui le président de la République. Il a instruit le Premier ministre, chef du gouvernement, Anatole Collinet Makosso, et le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, présents à cette cérémonie, d’améliorer les conditions de travail de la ZAP.

Connecter Mouindi au réseau électrique, installer des forages d’eau dans les meilleurs délais et opérationnaliser le Centre d’Aubeville dans la Bouenza pour assurer l’encadrement, la rééducation et la réinsertion des jeunes sont quelques recommandations du chef de l’Etat.