Congo : Yvon Adélard Bonda suspendu de ses fonctions de DG des Pompes funèbres municipales

Le directeur général des Pompes funèbres municipales est suspecté de détournement de fonds publics.

 

Dans une note de service signé lundi 5 mai 2025, Brazzaville, par le président du conseil départemental et municipal, Dieudonné Bantsimba,Yvon Adélard Bonda a été suspendu de la direction générale des pompes funèbres de Brazzaville. Il est soupçonné de détournement de fonds publics à des fins personnelles.

« Monsieur Bonda Yvon Adélard, Directeur des Pompes funèbres Municipales (DPFM), est suspendu de ses fonctions, jusqu’à nouvel ordre pour fautes, ce, afin de permettre à la procédure judiciaire de suivre son cours », peut-on lire sur la note.

Selon le site lesechos-congobrazza.com, ce licenciement entre en droite ligne avec le message du chef de l’Etat à la Nation le 29 décembre 2018, où il déclarait que « Face aux antivaleurs, il n’y aura ni bouclier de protection pour les uns, ni rampe de sanctions pour les autres. Il n’y aura ni menus fretins, ni gros poissons, tout passera dans la nasse de la justice ».

La même source rappelle cette consigne du président dela République Denis Sassou-N’Guesso à la Haute Cour de Justice qui venait d’être installée dans ses attributions d’être urgemment dotée de textes de fonctionnement, afin de s’atteler à sa mission de poursuites de hauts fonctionnaires en délicatesse avec la loi.

Pendant que la procédure judiciaire est en cours, Yvon Adélard Bonda est remplacé à ce poste de directeur général des Pompes funèbres municipales par Jacorcel Obabaka.

Et si on repensait ensemble les transferts d’argent vers l’Afrique ?

Chaque année, la diaspora africaine envoie des dizaines de milliards de dollars vers le continent (près de 100 milliards en 2023).

 

Des milliards qui représentent des montants plus importants que l’aide publique au développement et plus importants que les investissements directs étrangers.

Ces transferts d’argent sont bien plus que de simples transactions : ils sont le reflet d’un lien fort, d’une solidarité constante, d’une volonté d’agir, même à distance.

Ils racontent les sacrifices de celles et ceux qui, installés ailleurs, continuent de porter l’Afrique dans leur cœur, dans leurs responsabilités et dans leur portefeuille.

Mais quel est l’impact réel de cet argent ?

C’est une des nombreuses questions que beaucoup parmi nous ressentons au fond de nous-même.

  • Au vu des montants importants de transferts d’argent vers l’Afrique, à quel point sommes-nous satisfaits de leur utilisation ?
  • Ces transferts peuvent-ils être servir pour réellement développer le continent ? Si oui, comment pouvons-nous faire pour y parvenir ?

Et si on y réfléchissait ensemble ?

Nous lançons une grande étude sur les transferts d’argent vers l’Afrique par la diaspora dans une démarche de réflexion collective pour explorer ces questions cruciales.

Parce que nous sommes convaincus que les meilleures idées viennent de ceux qui vivent la réalité des situations et parce que nous croyons fermement que des réponses et solutions existent déjà dans nos esprits, nous avons mis en place ce questionnaire ouvert à tous les membres de la diaspora.

A travers ce questionnaire, nous souhaitons engager un dialogue fécond avec toute la diaspora africaine qu’elle soit basée en Afrique, Aux Amériques, En Asie, Dans la Caraïbe, en Europe, En Océanie ou ailleurs.

Nous le pensons comme un outil pour comprendre les réalités, identifier les blocages et les leviers, capter les idées.

Ce questionnaire n’est pas une fin mais Il est un début : le début d’une réflexion structurée, le début vision partagée, le début d’une communauté d’action et pourquoi pas le début de nouveaux modèles de solidarité.

Pourquoi répondre ?

  • Parce que chaque voix de la diaspora africaine compte dans ce débat essentiel
  • Pour partager nos expériences, nos visions et nos idées sur les transferts d’argent vers l’Afrique
  • Pour participer à la co-construction de réponses concrètes et adaptées à nos réalités

Prenons le temps de la réflexion.

Répondons au questionnaire en cliquant sur le lien suivant : https://tally.so/r/mOkJ98

Partageons le questionnaire autour de nous, à toute la diaspora.

Chaque contribution est indispensable pour atteindre l’objectif de 2 000 réponses minimum.

Merci infiniment

Steve Pentang pour The Seeds

PS :

Une version en anglais du questionnaire est disponible sur le lien suivant : https://tally.so/r/mVDWQM

Qui sommes-nous ?

Nous sommes The Seeds (www.the-seeds.net), une initiative africaine visant à contribuer à la libération du potentiel de l’Afrique à travers notamment l’accompagnement de l’entreprenariat.

Source : https://www.un.org/osaa/news/digital-remittances-africa

Conflit en RDC : entretien entre Denis Sassou N’Guesso et Massad Boulos

Le président de la République du Congo et le conseiller spécial du président américain ont eu un échange le 03 mai, sur la situation qui prévaut actuellement à l’Est de la RDC.

 

L’échange entre Denis Sassou N’Guesso échange et Massad Boulos s’est tenu en marge de la cérémonie d’investiture du nouveau président gabonais, Brice Clotaire Oligui Nguema. Les deux personnalités ont parlé de la situation actuelle à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), et de l’implication des Etats-Unis d’Amérique dans le règlement de ce conflit.

« Nous avons parlé surtout de la paix en ce qui concerne la RDC et le Rwanda. Comme vous le savez, une déclaration de principe a été signée, il y a une semaine, à Washington, par les ministres des Affaires étrangères des deux pays. Ce n’est qu’un début, mais très important, qui ouvre la porte pour un accord de paix qui sera durable. Il est temps de trouver une solution à ce conflit. On espère atteindre cet objectif très bientôt », a expliqué le conseiller spécial Massad Boulos au sortir de l’audience.

A l’Est de la RDC, les éléments du groupe rebelle M23 ont lancé une offensive dans les villages de cette partie du pays obligeant les populations à fuir leur village pour trouver refuge ailleurs.

Congo : la presse sollicite une aide financière de la part du gouvernement

A l’occasion de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse, l’Organisation non gouvernementale « Journalisme et Éthique Congo » (JEC) a fait un état des lieux des médias en République du Congo.

 

Lors de sa sortie le 2 mai, à Brazzaville, l’Organisation JEC a réitéré son engagement à œuvrer pour la défense des droits des professionnels des médias au Congo. La responsable administrative de cette organisation professionnelle, Rosie Pioth, a évoquant quelques préoccupations concernant la défense des droits des journalistes au pays et a également demandé au gouvernement des « fonds d’appui aux organes de presse », afin de leur permettre de disposer des moyens financiers nécessaires et de s’investir dans leurs différentes tâches quotidiennes en toute liberté.

« La presse est un secteur vital qui nécessite des moyens adéquats et conséquents pour son exercice. C’est vrai, sans argent, il n’y a pas d’entreprise de presse. Dans un pays où le marché de la publicité est très étroit et orienté, bien évidemment, les médias tant publics que privés ne peuvent survivre. La Redevance audiovisuelle (RAV), qui a fait l’objet de tant de discours officiels et de réclamations des médias, n’a jamais été reversée depuis 22 ans », a souligné Rosie Pioth au micro d’adiac-congo.com, à l’occasion de la journée internationale de la liberté de la presse.

La journée internationale de la liberté de presse cette année avait pour thème « Informer dans un monde complexe – l’impact de l’intelligence artificielle sur la liberté de la presse et des médias ». S’appuyant sur ce thème, le bureau exécutif de Journalisme Éthique Congo a exhorté les professionnels des médias à ne pas faire fi des règles d’éthique et de déontologie du métier face à l’expansion de l’intelligence artificielle.

Fête du travail : Firmin Ayessa revient sur les avancés dans les domaines du travail et de la sécurité sociale

A l’occasion de la célébration de la fête du travail, le ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Sécurité sociale, Firmin Ayessa a fait une déclaration.

 

La République du Congo de concert avec la communauté internationale a célébré jeudi 01 mai, la journée internationale du travail. A la veille de cette célébration, le ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Sécurité sociale, Firmin Ayessa a fait une déclaration dans laquelle il est revenu sur les avancées enregistrées dans les domaines du travail et de la sécurité sociale au Congo.

Firmin Ayessa note comme avancées la signature en 2023 avec l’Organisation internationale du travail (OIT) du Programme de promotion du travail décent (PPTD 2023-2026) dont la mise en œuvre connaîtra un bond à la fois quantitatif et qualitatif ces dernières années . Le ministre d’Etat a aussi cité la loi n° 48-2024 du 30 décembre 2024, portant sur l’harmonisation de l’âge d’admission à la retraite entre les agents civils de l’Etat et les travailleurs relevant du code du travail, ainsi que le décret n° 2024-2762 du 20 novembre 2024 fixant le montant du salaire minimum interprofessionnel garanti qui est passé de 50 400 à 70 400 FCFA. Ceci avec un impact très positif que les parties dans l’entreprise et établissements s’emploient aujourd’hui à capitaliser.

Autre avancée, « Au plan de la sécurité sociale, je m’en voudrais de ne pas évoquer l’opérationnalisation de la Caisse d’assurance maladie universelle qui entre résolument dans sa phase pratique. De même que la signature, il y a quelques jours seulement, d’une convention entre la Caisse nationale de sécurité sociale et la Caisse de retraite des fonctionnaires, destinée à faciliter la prise en charge des retraités ayant cotisé dans les deux caisses pendant leur vie professionnelle », a cité Firmin Ayessa.

L’édition de cette année 2025 avait pour thème « Œuvrer pour la paix et la stabilité afin de favoriser l’industrialisation, le commerce et le travail décent pour la justice sociale ». Le ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Sécurité sociale a rappelé que le thème de cette édition résonne, à l’évidence, avec les politiques nationales en cours en République du Congo.

Congo : deux ans d’emprisonnement ferme pour des marchands de peau de panthère

Le Tribunal d’instance d’Owando a condamné mardi 29 avril, deux commerçants de peau de panthère et un sac d’écailles de pangolin.

 

Dany Ngassaki et Lévy Elombo écopent de deux ans d’emprisonnement ferme et d’une amende de deux cent cinquante mille (250 000) FCFA. Ils sont accusés détention, circulation et tentative de commercialisation d’une peau de panthère et un sac d’écailles de pangolin. Ils verseront également à l’Etat congolais une somme d’un million FCFA pour dommages et intérêts.

Âgés de plus de quarante ans, les deux hommes avaient été interpellés, le 24 février dernier, à Owando dans le département de la Cuvette, par les services habilités pour plusieurs délits et cas de flagrance notamment détention, circulation et tentative de commercialisation d’une peau de panthère et un sac d’écailles de pangolin géant, trophées d’espèces animales intégralement protégées par la loi en République du Congo.

Dany Ngassaki et Lévy Elombo avaient été arrêtés alors qu’ils revenaient de la ville de Makoua avec ces produits de faune dont l’objectif était de les vendre à Owando. Ils ont comparu les 7 mars, 20 mars et 17 avril 2025 au Tribunal de grande instance d’Owando. Au cours des audiences, ils reconnu les faits qui leur étaient reprochés, à savoir l’abattage d’une panthère et d’un pangolin géant, la détention, circulation et tentative de commercialisation des trophées de ces deux espèces animales intégralement protégées, notamment la peau de la panthère et les écailles du pangolin géant.

Congo : tête à tête entre Denis Sassou N’Guesso et Umaru Sissoco Embalo

C’est dans la capitale politique du Congo que les présidents de la République du Congo et de la Guinée Bissau ont eu un échange mercredi 30 avril 2025.

 

Les échanges entre Denis Sassou N’Guesso et Umaru Sissoco Embalo ont porté sur la mise en œuvre des accords de coopération signés entre leur pays, lors de la dernière visite du président congolais à en Guinée Bissau.

Les deux chefs d’Etat ont échangé sur les questions de sécurité qui touchent la sous-région. Ils ont profité de l’occasion pour se féliciter l’adoption par les Nations unies de la résolution sur l’afforestation proposée par le président Denis Sassou N’Guesso à la 27e conférence annuelle de cette organisation sur le climat (COP 27) tenue en 2022 à Sharm El-Sheik, en Egypte.

Rappelons que, la Guinée Bissau et le Congo entretiennent d’excellentes relations d’amitié et de coopération. Cette coopération est régie par l’accord-cadre signé en janvier 2022, à Bissau, qui permet aux deux pays de raffermir leurs liens, et a pour vocation de favoriser les accords sectoriels dans plusieurs domaines.

Pointe-Noire : Journée mondiale de la santé et sécurité au travail : TBC dépasse le seuil de 2000 jours sans accident avec arrêt de travail

Le 30 avril 2025, à l’occasion de la journée mondiale de la santé et sécurité au travail, les Terminaux du Bassin du Congo (TBC) ont annoncé avoir dépassé le seuil de 2000 jours sans accident avec arrêt.

 

L’entreprise a aussi sensibilisé les collaborateurs sur le thème : « n’attends pas l’accident, interviens avant ». 38 personnes ont participé à cette sensibilisation, personnel permanent et sous-traitant compris.

Une occasion pour Ernych KIBA NGASSAY, Superviseur HSE, d’aborder un maximum de cas pratiques liés aux métiers administratifs et opérationnels. Ceux-ci démontrent la nécessité d’inspecter quotidiennement les outils de travail, être proactif et remonter toute situation dangereuse autour de soi. En un mot, s’impliquer davantage pour un environnement de travail sûr et sain.

“Grâce à l’appropriation des règles HSE au sein de nos équipes, nous avons dépassé le seuil de 2 000 jours sans accident avec arrêt de travail. Ce qui fait de notre site un havre de sécurité et sûreté pour nos équipes. Nous continuons à sensibiliser nos collaborateurs à ne pas baisser la garde” précise Dzema AYESSA-NDINGA, Directeur Général Adjoint TBC.

Engagés dans une politique de modernisation du Port de Brazzaville, les Terminaux du Bassin du Congo (TBC) y assurent les opérations de manutention et d’acconage. L’entreprise met l’humain au centre de ses activités et veille au bien-être des collaborateurs tout en les responsabilisant sur les aspects santé et sécurité au travail. Grâce à la mise en œuvre de la politique du groupe, les collaborateurs sont plus impliqués, plus inclusifs et plus engagés.

Conseils utiles pour le jeu responsable : qu’est-ce qu’une bankroll et comment la gérer ?

Dans les paris, le concept de « bankroll » désigne un certain montant alloué spécifiquement aux paris. Ce n’est pas un salaire ni des économies, c’est de l’argent dédié spécialement au divertissement. Il s’agit d’un budget de jeu séparé qui vous permet de jouer confortablement et avec plaisir, sans vous sentir stressé.

 

Des limites financières aussi claires aident à éviter les décisions impulsives et à améliorer la qualité du jeu. Une bankroll permet de contrôler vos ressources : c’est un outil pour une approche consciente qui fait du jeu une partie de la vie, et non l’inverse.

Comment déterminer votre bankroll idéale ?

La règle principale : n’utilisez que l’argent qui n’est pas impliqué dans des dépenses importantes. Les paris sont un divertissement et non une source garantie de profit.

Établissez un budget mensuel

Soustrayez les dépenses obligatoires (loyer, nourriture, transport)

Divisez le reste : 10 à 15 % – c’est votre « zone de confort » pour le jeu

Conseil : suivez vos dépenses dans un tableau de calcul ou une application pour vous aider à mieux comprendre vos habitudes.

Des formules qui fonctionnent

Formule de bankroll :

Bankroll = 10 % de revenu libre

Par exemple : à partir d’un solde restant de 5 000, vous allouez 500 – c’est un montant sûr pour parier.

Formule de pari :

Mise = 1 à 5 % de la bankroll

Avec une bankroll de 500, il est judicieux de miser 5 à 25. Cela vous permet de jouer plus longtemps et avec plus de confiance.

Comment adapter votre bankroll à votre style de jeu ?

  •  Flat est une stratégie stable dans laquelle chaque pari est du même montant (par exemple, 3 % de la bankroll).
  •  Martingale est une stratégie à haut risque. Cela nécessite une compréhension approfondie et une approche prudente.
  • Paris à long terme – réservez une partie de votre bankroll, car le remboursement n’est pas immédiat.

Comment contrôler sa bankroll au quotidien ?

  • Créez un portefeuille séparé pour le jeu
  • Fixez tous les paris – manuellement ou dans des applications spéciales
  • Gardez vos propres statistiques et analysez les résultats chaque semaine
  • Utilisez les outils d’autocontrôle disponibles sur les plateformes modernes, notamment les limites de dépenses et la consultation de l’historique des paris.

1xBet propose de nombreuses fonctionnalités et outils pratiques pour l’auto-surveillance et l’analyse, et la marque mène actuellement un projet éducatif sur le betting responsable, 1xBalance, qui aide les joueurs à mieux comprendre leurs habitudes de jeu et à maintenir un équilibre sain entre le jeu et la vie.

Initiatives éducatives : 1xBet soutient le jeu responsable

Le jeu intelligent est un style que les joueurs du monde entier recherchent. 1xBet, en tant que marque socialement responsable, met en œuvre le projet #1xBalance pour aider les joueurs à mieux se comprendre et à jouer avec contrôle.

  • Un test interactif aidera à évaluer le niveau de maîtrise de soi
  • Des supports pédagogiques vous apprennent à gérer votre budget et à éviter les erreurs
  • La campagne SMM délivre des messages à travers des conseils, des histoires et des expériences d’autres joueurs
  • Les formats visuels (infographies, vidéos, affiches) rendent le sujet accessible et compréhensible

Parier de manière responsable n’est pas une restriction, mais une liberté. La liberté de jouer en toute confiance, en connaissant vos limites.

La bankroll est une compétence qui procure du plaisir

La bankroll n’est pas seulement une question de chiffres, c’est aussi une question de discipline mentale. Plus tôt vous le formerez, plus votre jeu sera confortable et positif.

Rejoignez le projet #1xBalance, suivez tout sur les réseaux sociaux de la marque et jouez de manière responsable avec 1xBet !

 

Congo : adoption d’une résolution pour augmenter la superficie végétale mondiale

Les Nations unies ont adopté, le 16 avril, une résolution sur la décennie mondiale de boisement et de reboisement.

 

C’est à la suite d’une proposition de la République du Congo que les Nations unies ont adopté une résolution sur la décennie mondiale de boisement et de reboisement. En vue de renforcer la couverture végétale mondiale et lutter efficacement contre les changements climatiques, l’initiative vise à augmenter, entre 2027 et 2036, la superficie végétale mondiale de 4%. Le gouvernement Congolais a confirmé l’information jeudi 24 avril 2025.

La stratégie pour atteindre cet objectif est en cours d’élaboration. « Il est temps de prendre déjà l’alternative de créer des forêts artificielles, afin que nous puissions décliner cette tendance qui va vers la déforestation et la dégradation des écosystèmes», a déclaré Rosalie Matondo est la ministre congolaise de l’Économie forestière.

L’afforestation consiste à planter des arbres dans des zones non forestières. L’initiative prévoit par exemple de boiser les zones de savane dans le monde.