Congo : les avantages du projet Erasmus+ présentés aux étudiants et enseignants

L’objectif du projet est de renforcer l’accompagnement des candidats potentiels aux offres d’opportunités de ce programme.

 

La première session d’information sur le projet Erasmus+ s’est tenue le 6 mai à Brazzaville. Le projet vise à renforcer l’accompagnement des candidats potentiels aux offres d’opportunités de ce programme. Organisée par le ministère de l’Enseignement supérieur, en partenariat avec la délégation de l’Union européenne (UE) au Congo, l’activité a rassemblée plusieurs participants issus des universités publiques et privées, des institutions de recherches, des enseignants-chercheurs et étudiants

Il a été question d’informer les participants sur les priorités, les actions et les moyens de financements de ce programme ; de présenter les modalités de candidatures et les critères d’éligibilité; de renforcer les capacités des établissements d’enseignement et des organisations congolaises à monter des projets Erasmus+ tout en créant des espaces d’échanges entre les parties prenantes nationales afin de favoriser des partenariats à l’échelle internationale.

Concernant l’enseignement supérieur, Erasmus+ encourage fortement la mobilité physique et hybride des étudiants indépendamment de la filière et du cycle d’études. Il offre également des opportunités de développement professionnel à l’étranger au personnel enseignant et administratif, tout en facilitant la participation des professionnels du monde du travail aux formations.

COP 30 : une délégation de jeunes congolais en préparation pour le Brésil

Le sujet était l’un des points à l’ordre du jour d’une rencontre entre la ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault et la représentante du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) au Congo, Chantal Umutoni.

 

La diplomate onusienne qui faisait ses adieux à la ministre a dressé le bilan de la collaboration de l’institution qu’elle a représentée en République du Congo. Les deux personnalités ont examiné minutieusement les programmes réalisés par son institution ainsi que ceux en cours d’accomplissement. C’était l’occasion pour elles de revenir sur plusieurs années de la fructueuse collaboration centrée sur l’engagement des jeunes en faveur de la préservation de l’environnement.

Chantal Umutoni a insisté sur la participation active des jeunes à la préservation du bassin du Congo ainsi qu’ à la COP 30 qui aura lieu le 21 novembre prochain à Belém, au Brésil et la création des projets pour le développement durable.

Arlette Soudan-Nonault et Chantal Umutoni ont souligné l’importance de la place qu’occupe la jeunesse congolaise dans les enjeux environnementaux. Les deux personnalités ont convenu de l’élaboration et de la signature prochaine d’un plan de travail destiné à renforcer les projets dédiés à la jeunesse pour le développement durable

UBA Congo lance la campagne « Koma Mopao Na UBA » pour récompenser l’épargne et la digitalisation bancaire

Brazzaville, le 7 mai 2025 – La United Bank for Africa (UBA) Congo annonce le lancement officiel de sa campagne promotionnelle intitulée « Koma Mopao Na UBA », une initiative innovante destinée à encourager l’épargne et l’adoption des solutions digitales auprès de sa clientèle actuelle et future à travers tout le territoire national.

 

Du 1er mai au 31 juillet 2025, tous les particuliers résidant en République du Congo — qu’ils soient déjà clients de la banque ou non — sont invités à participer à cette campagne en remplissant des conditions simples et accessibles, notamment :

  • Effectuer un dépôt minimum de 50.000 FCFA sur un compte épargne ou un compte chèque inactif ;
  • Acheter une carte prépayée UBA ;
  • Souscrire aux services digitaux LEO ou Internet Banking.

Ces trois conditions doivent être réunies, avec un dépôt maintenu pendant au moins 15 jours. En alternative, les participants peuvent opter pour un dépôt à terme d’un montant minimum de 10 millions de FCFA.

Des récompenses attractives

Chaque mois, trois gagnants seront tirés au sort pour recevoir des lots de valeur :

  • Électroménager d’une valeur de 150.000 FCFA pour les dépôts entre 50.000 et 149.999 FCFA ;
  • Séjour hôtelier d’une valeur de 300.000 FCFA pour les dépôts supérieurs ou égaux à 150.000 FCFA ;
  • Bon d’achat de 450.000 FCFA pour un billet d’avion international, réservé aux souscriptions de dépôt à terme.

Les heureux gagnants seront directement contactés par UBA Congo et devront se présenter avec une pièce d’identité valide pour retirer leur lot. En cas d’indisponibilité, un autre participant sera sélectionné.

Une campagne responsable et transparente

En participant à « Koma Mopao Na UBA », les clients acceptent que leurs noms et images soient utilisés à des fins de communication liées à la campagne. UBA Congo se réserve par ailleurs le droit de modifier, suspendre ou annuler la promotion à tout moment, notamment en cas de force majeure.

À propos de UBA Congo :
UBA Congo est une filiale du groupe bancaire panafricain United Bank for Africa, présent dans 20 pays en Afrique. La banque s’engage à offrir des solutions innovantes et accessibles pour accompagner ses clients dans la gestion de leurs finances au quotidien.

Pour plus d’informations sur la campagne, rendez-vous dans nos agences ou sur nos canaux digitaux.

Congo-Épreuves pratiques : plus de 16 000 candidats composent

Le coup d’envoi des épreuves pratiques d’éducation physique a été donné mardi 6 mai sur toute l’étendue du territoire national.

 

Ce sont au total 16 065 candidats qui affrontent les épreuves pratiques d’éducation physique du baccalauréat technique et professionnel, session de juin 2025. On note une légère baisse de l’effectif par rapport à l’année dernière où 16 800 candidats avaient composé. Les villes de Brazzaville et Pointe-Noire enregistrent les plus grands nombre de candidats.

Pendant quatre jours, les candidats seront soumis à un enchaînement de quatre épreuves combinées à savoir la course de vitesse sur 80m, le contrôle de football ou le slalom, le triple saut avant de boucler avec la gymnastique

Selon adiac-congo.com, à Brazzaville, les épreuves ont été lancées par le directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement technique et professionnel, Mamadou Kanté, au centre 1 du stade annexe Alphonse -Massamba- Débat qui compte 357 candidats. Après le lancement des épreuves dans ce centre, Mamadou Kanté a effectué sa descente au centre 2 du stade annexe Alphonse-Massamba-Débat et dans les deux centres du lycée technique 1er mai.

Congo : Denis Sassou-N’Guesso à Moscou sur invitation de Vladimir Poutine

Le chef de l’Etat s’est rendu en Russie où il prendra part au 80e anniversaire de la victoire de l’Union soviétique sur l’Allemagne nazie.

 

Le président Danis Sassou N’Guesso a quitté Brazzaville mardi 06 mai en destination de Moscou en Russie. Sur invitation de son homologue Russi, Vladimir Poutine, le chef de l’Etat va assister aux festivités marquant le 80e anniversaire de la victoire de l’Union soviétique sur l’Allemagne nazie. « Pendant la guerre, Brazzaville fut proclamée capitale de la France libre, et les Africains se sont battus aux côtés des Alliés pour vaincre le nazisme. » a souligné le président Denis Sassou N’Guesso.

Le séjour du président à Moscou va également permettre au Congo de diversifier ses partenariats. Le pays de Denis Sassou N’Guesso voit dans Moscou un allié technologique et politique alternatif face aux anciennes puissances coloniales et aux institutions internationales traditionnelles. Les domaines de l’énergie, des mines, de la formation militaire, de la cybersécurité, ou encore des infrastructures stratégiques figurent parmi les axes potentiels de renforcement au Congo.

Congo : STK MAKINA va ouvrir une usine de fabrication de produits laitiers à Pointe-Noire

Une nouvelle qui arrive à l’issue de plusieurs réunions et concertations entre les équipes techniques congolaises et les représentants du groupe industriel.

 

Le ministre du Développement industriel et de la Promotion du secteur privé, Antoine Thomas Nicéphore Fylla Saint-Eudes a signé le 03 mai, à Brazzaville, un mémorandum d’entente avec le groupe industriel turc STK MAKINA. Cette signature annonce l’implantation d’une usine de fabrication de produits laitiers à Pointe-Noire. Un accord de collaboration qui arrive à l’issue de plusieurs réunions préparatoires entre les équipes techniques congolaises et les représentants STK MAKINA.

Le projet s’inscrit dans la dynamique du Plan national de développement 2022-2026, qui mise sur l’attraction des investissements directs étrangers (IDE) pour stimuler la transformation locale et réduire la dépendance aux importations.

Outre la transformation de lait en poudre importé, STK MAKINA prévoit de mettre en place une stratégie de collecte du lait issu du cheptel bovin congolais, répondant à la fois à la demande nationale et aux marchés sous-régionaux. Une démarche qui promet de dynamiser la filière laitière, de créer des emplois et de structurer une chaîne de valeur agricole durable.
une visite prochaine des installations de STK MAKINA par

Maintenant que le mémorandum a été signé entre les deux parties, les techniciens du ministère congolais vont effectuer dans les prochains jours une visite dans les installations de groupe turc. Le gouvernement congolais s’engage à fournir tout le soutien technique et institutionnel nécessaire pour lancer le projet dans un délai maximum de 18 mois.

Le Congo veut diversifier son économie en luttant contre le chômage

Un atelier organisé par le ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, en partenariat avec le Bureau international du travail (BIT) avait à l’ordre du jour, la création d’une cellule d’appui à l’insertion.

 

L’atelier de mise en place d’une cellule de lutte contre le chômage avait pour thème « L’insertion professionnelle des jeunes diplômés issus de l’enseignement technique et professionnel ». Organisé par le ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, en partenariat avec le BIT, », l’atelier s’inscrivait dans le cadre du projet de développement intégré des chaînes de valeurs agricoles (Prodivac).

Selon Pascal Robin Ongoka, directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, « Au cours de cette rencontre, les participants ont identifié les obstacles et opportunités pour une meilleure employabilité des jeunes diplômés issus des établissements et autres ».
Les experts ont développé un cahier des charges et une culture fonctionnelle de la cellule d’appui à l’insertion au sein des établissements sous tutelle du ministère de l’Enseignement technique et professionnel, a-t-il indiqué

Pour Dr Ali M. Boukar, spécialiste sous-régional des politiques de l’emploi du développement productif, l’idée est de continuer à formaliser les petites entreprises qui est une piste de solution pour remédier au chômage.

Pour rappel, le Prodivac est un projet dont l’objectif est d’améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle, de soutenir la croissance et de diversifier l’économie congolaise.

UBA Congo lance la première session de formation pour le renforcement des capacités des PME/PMI dans le cadre du programme « Each One Teach One »

UBA Congo a inauguré, le jeudi 24 avril 2025, la première session de formation dédiée au renforcement des capacités des Petites et Moyennes Entreprises et Industries (PME/PMI), dans le cadre de l’initiative « Each One Teach One », portée par la Fondation UBA.

 

Organisée en ligne via la plateforme Microsoft Teams, cette session a réuni 94 participants sur les 256 inscrits. Elle a été animée par M. Chancel Mbemba, Chef d’agence, qui a partagé son expertise à travers une présentation pédagogique d’environ 30 minutes. Le thème central de la session portait sur l’optimisation de l’organisation comptable, un levier essentiel pour permettre aux entrepreneurs de mieux structurer leur activité et d’accéder plus facilement aux solutions financières adaptées.

En plus des aspects techniques, cette initiative répond à un objectif stratégique majeur : renforcer la relation entre la banque et sa clientèle professionnelle, en favorisant un meilleur usage des services bancaires offerts par UBA.

La formation s’est poursuivie par une session interactive de questions-réponses, durant laquelle les participants ont pu exprimer leurs préoccupations concrètes et bénéficier de conseils personnalisés. Les retours ont été très positifs, saluant notamment la clarté de la présentation, la pertinence des contenus, ainsi que la disponibilité et la pédagogie du formateur.

« Each One Teach One » est une initiative du groupe UBA, déployée par sa fondation à l’échelle panafricaine. Ce programme vise à promouvoir le transfert de compétences entre les collaborateurs de la banque et les communautés locales, en particulier les jeunes, les entrepreneurs et les porteurs de projets. L’ambition est claire : favoriser l’autonomisation économique par le partage du savoir.

À travers cette initiative, UBA Congo réaffirme son engagement en faveur de l’éducation financière et de l’accompagnement du développement des PME, convaincue que l’essor du tissu économique local passe par un accès renforcé à l’information, à la formation et à l’expertise.

Pour plus d’informations :

ubacongobrazzaville.com

Service client : +242 05 801 2822 / cfcubacongo@ubagroup.com

Fifdopo : l’appel à candidature de la 4e édition est lancé

Les candidats ont jusqu’au 15 mai prochain pour se faire enregistrer afin de participer au Festival international de film documentaire de Porto-Novo (Fifdopo).

 

Ce sont vingt pays africains qui sont éligibles et seront accueillis à la résidence d’écriture panafricaine que va organiser le Fifdopo en prélude à l’évènement proprement dit. L’appel à candidature est lancé pour le Congo, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Bénin, le Togo, la Guinée-Conakry, le Sénégal, la Mauritanie, le Tchad, la Centrafrique, le Cameroun, le Gabon, la République démocratique du Congo, des Comores, l’île Maurice, Madagascar, Djibouti et le Rwanda.

La résidence d’écriture panafricaine est un programme de formation destiné aux auteurs de longs métrages documentaires en développement se déroulera pendant dix jours à Porto-Novo, au Bénin, en juillet, en prélude au festival. Ladite formation a pour but d’accompagner les cinéastes qui développent des projets de réalisation de films documentaires dès leur conception.

Elle permet également de les outiller notamment à la capacité de lecture du brouillon du dossier de film ou de l’intention du projet ; à la structuration d’un dossier de film documentaire ; au repérage ; à la réécriture ; à la finalisation d’une première version du dossier ; aux réflexions sur l’après résidence : orientation vers des productions, vers une nouvelle période de repérage.

Comment candidater ?

Pour candidater, les auteurs de films des pays éligibles doivent remplir et soumettre le formulaire de candidature en ligne. Le lien est disponible sur la page Facebook du Fifdopo. A l’issue du processus de sélection, six lauréats seront choisis et annoncés au grand public.
Les organisateurs du Fifdopo précisent qu’ils prendront en charge le séjour des auteurs sélectionnés, à savoir l’hébergement et la restauration pendant toute la durée du Festival.

Biodiversité : le Congo révise son plan d’action national

La ministre de l’environnement, du développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault a présidé du 29 au 30 avril, un atelier de consultation sur la biodiversité.

 

Pendant deux jours, la capitale congolaise a abrité un atelier de consultation sous la houlette de la ministre Arlette Soudan-Nonault. Il était question de réviser le Projet de stratégie et de plan d’action national de la biodiversité pour la période allant de 2025 à 2030, en cours d’actualisation, et les moyens de financement durable pour préserver la biodiversité, face aux défis du changement climatique.

Cet atelier s’inscrivait dans le processus de mise à jour de la politique nationale de biodiversité du Congo, afin d’aligner celle-ci sur les nouveaux engagements internationaux et de mobiliser l’ensemble des acteurs concernés. Ont pris part à cette réunion de travail, les représentants de l’Etat, du secteur privé, des organisations internationales et des banques.Il faut noter que la stratégie et le plan actualisés intègrent ainsi les cibles mondiales telles que la protection de 30% des espaces naturels d’ici à 2030, la restauration des écosystèmes dégradés et la réduction des pressions (déforestation, pollution, surexploitation des ressources…).

Pendant la rencontre, Arlette Soudan-Nonault a appelé les partenaires à soutenir concrètement la mise en œuvre de ces objectifs, mettant notamment l’accent sur le besoin de financements innovants et pérennes.

Les deux jours d’échanges, ont permis d’obtenir des résultats concrets. Notamment, le projet de stratégie et le plan d’action national de la biodiversité ont été officiellement présentés aux participants. Un accent particulier a été mis sur les mécanismes de financement durable de la biodiversité. Des options ont été exposées pour garantir des ressources à long terme telles que la création de fonds dédiés alimentés par des contributions publiques et privées;  la promotion de partenariats publics-privés pour la conservation; l’incitations fiscales en faveur des projets verts ou encore paiements pour services écosystémiques.