Bac 2022 : Jean Luc Mouthou a testée la vigilance les candidats en publiant des faux sujets la veille de l’examen

Jean Luc Mouthou, ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation, a déclaré que son département ministériel a publié lundi 20 juin divers sujets sur les réseaux sociaux en vue de tester la vigilance des candidats au baccalauréat général session de juin 2022. 

 

94 477 candidats de toutes séries confondues, répartis dans 244 centres d’examen, affrontent depuis  mardi 21 juin, les épreuves écrites du baccalauréat général session de juin 2022.

A Brazzaville, le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Jean Luc Mouthou, a visité quelques centres dont le lycée Pierre Savorgnan de Brazza, pour s’enquérir de l’effectivité du déroulement de cet examen d’Etat.

Face aux différents candidats, le ministre a dévoilé la stratégie mise en place par son département ministériel en vue de faire diversion quelques heures avant le lancement des premières épreuves de cette session.

« A la veille du baccalauréat, ce n’est pas la peine de parcourir les réseaux sociaux. Nous avons vu des sujets, vous les avez vu quand même vous aussi, oui ou non ? C’était pour essayer de vous distraire. Heureusement que vous n’avez pas succombé à ces stratagèmes », s’est exprimé le ministre.

Jean Luc Mouthou a appelé les élèves à se mettre résolument au travail soulignant que toutes les dispositions nécessaires ont été prises pour anticiper toute tentative de fraude.

 

Congo-Bac de l’Enseignement général : début des épreuves ce mardi

Pour cette session de juillet 2021, 93.097 candidats seront répartis dans les 246 centres d’examen à travers tout le pays.

 

Les candidats au Baccalauréat (Bac) de l’Enseignement général affrontent les épreuves dès ce mardi 13 juillet 2021 sur toute l’étendue du territoire. Pour cette année, répartis dans 246 centres d’examen à travers tout le pays, 93.097 candidats affronteront les épreuves du Bac. Rappelons que cet examen donne accès à l’enseignement supérieur.

Les deux principales villes du pays, Brazzaville et Pointe-Noire, compte plus de centres et de candidats, selon la direction générale des examens.

Comme chaque année, les élèves composeront en français, langues étrangères (russe, chinois … ), philosophie, histoire géographie pour la série A, tandis les séries scientifiques seront face aux épreuves de mathématiques, physique-chimie, biologie…

Congo-examens officiels : les techniciens face aux épreuves

Les épreuves du baccalauréat technique et professionnel ont été lancées mardi 08 juin 2021, au congolais.

 

Les candidats au baccalauréat technique et professionnel affrontent les épreuves depuis ce mardi 08 juin 2021. Ils ont été  soumis aux épreuves de gymnastique, vitesse, triple-saut et à l’épreuve technique slalom.

Le ministre de l’Enseignement technique et professionnel, Ghislain Thierry Maguessa Ebomé, a effectué le 8 juin une descente d’imprégnation dans les différents centres d’examen de sortie des écoles techniques et professionnelles. Il s’est agi de constater sur le terrain le bon déroulement des examens d’Etat et de motiver et rassurer les candidats.

Les candidats au baccalauréat technique et professionnel ont été soumis aux épreuves de gymnastique, vitesse, triple-saut et à l’épreuve technique slalom.

Le ministre a attiré l’attention de chaque acteur sur le système de corruption en cette période d’examen. Selon lui, ce n’est pas un secret de polichinelle parce qu’il est vrai que le système éducatif, comme d’autres secteurs de la vie sociale, est gangrené par les faits de corruption bien qu’ils ne soient pas encore détectés.

Fraude au baccalauréat 2019 : des présumés coupables seraient au tribunal

Au Congo-Brazzaville, des enseignants et des cadres de l’administration scolaire ont été mis aux arrêts puis présentés au tribunal, annoncent des médias locaux.

Ils seraient accusés d‘être auteurs ou complices de fraudes lors des épreuves du baccalauréat général qui se sont déroulés du 18 au 21 juin dernier.  « Cette tendance à la transhumance, au mercenariat organisé par des responsables est à déplorer », déclarait le 21 juin dernier, Anatale Collinet Makosso, ministre congolais de l’enseignement primaire et secondaire, chargé de l’alphabétisation. C‘était au terme d’une ronde effectuée dans des centres examens.

« Certains candidats ont donné des fortes sommes pour obtenir des sujets traités. Arrivés en salle d’examen, avons constaté qu’aucun sujet n’était connu d’avance », raconte un candidat. Il va s’en dire que les montants de la transaction varient entre 25 000 et 150 000 francs CFA.

C’est la déception pour ces candidats qui auraient donnés de l’argent pour avoir des épreuves. « Il m’a dit de ne pas me tracasser, qu’il travaille à la direction des examens et concours et qu’il pouvait faire entrer mon dossier sans problème. Je lui ai remis 50 000 F CFA (76 euros). Quand j’ai demandé la liste, il m’a dit que je l’aurai le jour de l’examen. Finalement, je n’ai pas pu passer les épreuves du baccalauréat », regrette une candidate.

Ce n’est pas la première fois que ces cas de fraudes sont signalés au Congo, le phénomène est  fréquent. En 2015, on se souvient que les épreuves du bac général ont été annulées pour fraudes.

Examens d’Etat 2018 : les meilleurs élèves récompensés

Ils étaient environ quatre-vingt-trois élèves qui se sont distingués au baccalauréat, Brevet d’études du premier cycle (BEPC) et au Certificat d’études primaires élémentaires (CEPE).

C’est le 14 septembre que la troisième édition de l’émulation scolaire, organisée par le ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, s’est tenue. Cette cérémonie vise, entre autres, à récompenser les meilleurs élèves par cycle afin de créer un effet d’entraînement chez les autres. L’autre volet de cette activité devenue une tradition depuis trois ans consiste à identifier les élèves éprouvant quelques difficultés afin d’améliorer leur prise en charge et les amener à un niveau de compréhension qui freinerait leur décrochage scolaire.

Ainsi, parmi les récipiendaires, il y a le jeune Helder Précieux Mboungou du lycée interdépartemental de Ouesso, dans la Sangha, qui a obtenu une moyenne de 16,01 au baccalauréat, avec la mention Très bien. Il s’agit, en effet, d’une première au Congo, depuis l’indépendance. Au BEPC, c’est l’élève Chrishna Cardie Bassoukissa du lycée d’excellence de Mbounda, dans le Niari, qui a occupé la première place avec 17,72. Quant au CEPE, la meilleure performance a été réalisée par Amour Mikala Nzengui de l’école primaire d’Itsali B à Mfilou, Brazzaville, qui a engrangé 116 points sur 130, soit une moyenne de 8,92.

Outre les meilleurs des meilleurs, le gouvernement a aussi pensé aux vingt-deux autres élèves ayant obtenu des bonnes moyennes au CEPE et en alphabétisation ou rescolarisation dans chaque département. Au BEPC, des prix spéciaux comprenant des diplômes d’honneur, des ordinateurs portatifs, des dictionnaires et kits scolaires ont été décernés aux dix-huit meilleurs dont les plus jeunes brevetés de l’année (fille et garçon) ; les brevetés les plus âgés et au meilleur en post-alphabétisation. S’agissant du baccalauréat, quarante-deux élèves ayant obtenu la mention Bien ont reçu des prix d’encouragement.

La République reconnaissante a également décerné des prix spéciaux aux plus jeunes bacheliers (fille et garçon) et aux plus âgés. Dans le lot des récipiendaires, on note également la meilleure fille au baccalauréat et les meilleures des classes renforcées de Pointe-Noire.

Fournir encore plus d’efforts

Présidant la cérémonie, le ministre Anatole Collinet Makosso a indiqué qu’un système d’émulation performant et bien adapté peut être une très bonne mesure pour motiver et valoriser certains élèves ayant vécu trop d’échecs. « Ensemble, nous sommes en train de créer les conditions d’apprentissage qui soient conformes aux besoins de nos apprenants afin que les défis à relever par eux soient réalisables. La récompense qui s’en suit peut être perçue comme un moyen temporaire qui alimente la motivation intrinsèque de l’élève et son estime de lui-même plutôt que l’importance d’une gratification spécifiquement matérielle », a-t-il souligné.

En effet, selon le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, la réussite des enfants, mieux que les échecs, résonnera toujours plus fort au sein des cellules familiales. Elle créera toujours, a-t-il expliqué, autant d’électrochocs positifs qui susciteront autant d’espoir et de bonheur, extensible à souhait, au sein de l’ensemble de la communauté éducative. D’où la nécessité de travailler pour la réussite scolaire des enfants. « Je voudrais former le vœu de voir davantage d’élèves promus à l’occasion des cérémonies à venir. Ce sera là, la meilleure occasion de se convaincre de ce que notre système éducatif est réellement en pleine mutation et conforme à nos aspirations en matière de développement économique et social », a conclu Anatole Collinet Makosso.

Education : début des épreuves du Bac général session de juin 2018

Les candidats au baccalauréat ont débuté les premières épreuves ce 13 juin dans les différents centres d’examen sur l’étendue du territoire.

C’est jour d’examen ce mercredi 13 juin au Congo Brazzaville, 79 496 candidats , toutes séries affrontent les épreuves du Baccalauréat session 2018.  Selon le calendrier publié par le ministère, cette  première journée est consacrée aux mathématiques pour toutes les séries.

D’après les statistiques publiées par le ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation,  56 616  candidats officiels et 22 860 candidats libres sont répartis dans 181 centres d’examen.  Un nombre relativement en baisse par rapport à l’année dernière, où ils étaient 82 861.

En début de semaine, Anatole Collinet Makosso  avait mis en garde les futurs candidats à propos des actes de fraude et de tricherie. Leurs exhortant de se donner à fond, de se concentrer pour brillamment passé cet examen. Il en a fait de même aux membres du jury. Le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation a fait appel à leur conscience professionnelle afin d’éviter toutes tentatives de tripatouillage.

Bac 2018 : 3000 faux candidats congolais débusqués

L’information a été lâchée ce 11 juin par le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation au cours d’une rencontre avec les futurs candidats.

Apres avoir sensibilisé les membres du jury le 6 juin dernier, Collinet Makosso a donné les dernières consignes aux élèves qui affrontent le Bac 2018. « Restez concentré, déterminé et croyez surtout en vous » a conseillé le ministre de l’enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation aux futurs candidats.

Dans sa longue interlocution au ton à la fois paternelle et musclée, Makosso a mis en garde les élèves contre toutes tentatives de fraude ou de tricherie durant le déroulement de l’examen. «Si on vous donne à traiter ce que vous avez appris durant ces derniers jours, appliquez-vous et donnez le meilleur de vous. Mais si on vous donne ce que vous n’avez malheureusement pas révisé, ne trichez pas ! Ce n’est pas la fin du monde. Évitez de tomber dans le piège des suspensions prévues par la loi

On apprend enfin dans ses propos que 3000 faux candidats ont d’ores et t déjà été démasqués avant le début de l’examen. Preuve que la brigade de contrôle aux examens veille aux grains, il en va de la crédibilité du secteur éducatif congolais, a précisé le ministre.

Pour rappel, les épreuves écrites du baccalauréat général débutent ce mercredi 13 juin sur tout le territoire national Congolais.

 

Education : Le ministre Collinet Makosso met sévèrement en garde contre les fraudes au Bac 2018

Le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation a donné des consignes aux membres du jury ce mercredi 6 juin à Brazzaville.

Aucune fraude ne sera tolérée pendant l’examen du bac, c’est le mot d’ordre de Collinet Makosso devant les enseignants lors d’un colloque à Brazzaville. Il faut dire que les épreuves écrites du Baccalauréat général démarrent mercredi 13 juin, sur l’ensemble du territoire national.

Lors de ce colloque qui s’est tenu le 6 juin, le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation a donné des consignes fermes aux membres du jury de l’examen. Surtout que le gouvernement a fait des efforts au regard du contexte socio- économique pour que tout se déroule dans les bonnes conditions.

« Après de tels efforts, il nous faut éviter de revivre ce que nous avons vécu dans notre parcours, il y a quelques années. Vous êtes de hauts cadres de l’administration, de brillants universitaires, de hauts cadres de l’enseignement, de l’éducation nationale, des inspecteurs, professeurs de lycée, avec une riche expérience. Ce n’est pas à la faveur ou par une session du baccalauréat qu’on va cracher sur tout ce parcours », a-t-il prévenu.

Le ministre Makosso a aussi mis en garde contre les fuites d’épreuves ou les réseaux de tricherie pilotés par certains enseignants véreux. Il en est de même pour les faux élèves qui se comportent comme des mercenaires à chaque session d’examen. Il s’agit de permettre uniquement à ceux qui le méritent vraiment de décrocher leur examen, a-t-il exhorté.

 

Education : 14.111 candidats congolais affrontent les épreuves du Bac Technique

Ce mardi 5 juin 2018, 14.111 candidats débutent les épreuves écrites du Baccalauréat technique sur toute l’étendue du territoire national au Congo Brazzaville.

C’est jour d’examen national au Congo, les candidats au Baccalauréat technique affrontent les épreuves écrites ce 5 juin dans leurs différents centres. Selon le ministère ministre de l’Enseignement technique et professionnel 14.111 élèves sont candidats cette année.

Comme les éditions précédentes, le ministre de tutelle a rappelé quelques points essentiels du règlement intérieur de l’examen. Notamment, l’interdiction des calculatrices ou de tout appareil numérique dans la salle d’examen.  « Ne vous laissez pas tromper par des personnes véreuses qui se présenteraient à vous sous prétexte de faciliter votre admission à un examen ou à un concours. Je vous exhorte à compter sur vos propres efforts et non sur une quelconque aide qui viendrait d’une tierce personne. Le ministère sera sans pitié face aux fraudeurs, peu importe qu’ils soient candidats ou surveillants », prévenait Antoine Thomas Nicéphore Fylla Saint Eudes.

Le ministre a surtout appelé les enseignants qui seront les surveillants lors de l’examen à la conscience professionnelle. Rappelant qu’ils ont une lourde mission sur les épaules, former les futurs piliers qui construiront le Congo Brazzaville de demain.

 

Baccalauréat technique : Antoine Thomas Nicéphore Fylla Saint-Eudes visite quelques centres d’examen

Le ministre de l’Enseignement technique, professionnel, de la formation qualifiante et de l’emploi, a visité le 15 mai, certains centres d’examen de Brazzaville.

Plus de 4000 candidats passent les épreuves pratiques du baccalauréat technique en République du Congo. Le ministre de l’Enseignement technique, professionnel, de la formation qualifiante et de l’emploi, Antoine Thomas Nicéphore Fylla Saint-Eudes, a visité quelques centres d’examen. La descente sur le terrain du ministre, avait pour objectif de s’assurer du bon déroulement des épreuves pratiques. Les 4 982 candidats sont repartis dans vingt centres et Brazzaville compte 1720 candidats pour quatre centres.

L’examen se déroulera pendant trois jours, selon les séries industrielles, commerciale et agricole. Au lycée d’enseignement professionnel agricole Amilcar-Cabral, situé à 17 km de Brazzaville, le ministre a touché du doigt le déroulement des épreuves pratiques dans les domaines de la production végétale, la production santé animale, l’utilisation des machines agricoles ainsi que de la transformation agroalimentaire.

Le ministre Antoine Thomas Nicéphore Fylla Saint-Eudes, était accompagné du directeur des examens et concours techniques et professionnels, Joseph Moukila ; du président des jurys des examens, Gabriel Kissita.