Under and Over 7 – des règles simples et des enjeux élevés

Qu’est-ce qui fait la popularité d’un jeu ? Des règles simples et claires, une excitation dès les premières secondes, la nostalgie des classiques et des cotes généreuses ? On peut trouver tout cela dans Under and Over 7, l’un des jeux préférés des utilisateurs de la section 1xGames. Il ne nécessite aucune préparation particulière, n’encombre pas l’interface et vous plonge instantanément dans l’ambiance du jeu.

L’essence même du jeu fait référence à l’une des plus anciennes formes de divertissement : les dés. Il existe de nombreuses variantes sur ce thème, mais c’est Under and Over 7 qui a conquis les cœurs des milliers de fans grâce à son accessibilité et à son attractivité. Pour commencer, rien de plus simple : rendez-vous dans la section 1xGames du site web ou de l’application 1xBet, sélectionnez la catégorie « Dés » et cliquez sur le jeu. Et voilà, vous êtes dans le jeu !

Comment jouer :

  1. Faites un choix : quel sera le montant que les dés vont donner ?
    – de 2 à 6 points
    – exactement 7 points
    – de 8 à 12 points
  2. Misez et cliquez sur « Placer un pari ».
  3. Lancez les dés et observez le résultat !

Si le total des points est compris dans la fourchette choisie, vous gagnez. Les probabilités sont impressionnantes : un pari sur « Moins de 7 » ou « Plus de 7 » est multiplié par 2,3, et si vous devinez que le résultat est exactement 7, vos gains seront multipliés par 5,8 !

Under and Over 7 est un jeu dans lequel l’intuition, l’instinct et la chance vont de pair. Chaque lancer est une nouvelle émotion et une nouvelle chance de triompher.

Le jeu est illimité quant au nombre de mises, les parties sont rapides, ce qui en fait un choix idéal pour les débutants comme pour les joueurs expérimentés. C’est l’un des jeux les plus populaires de la plateforme qui totalise des dizaines de milliers de paris chaque jour.

Envie d’essayer autre chose ? Trouvez facilement d’autres jeux passionnants dans la section 1xGames. Utilisez la recherche thématique ou cliquez simplement sur l’onglet « Meilleur » pour découvrir les jeux qui ont déjà captivé le public.

Under and Over 7, ce n’est pas que le jeu de dés : c’est de l’émotion, de l’excitation et des décisions rapides. Découvrez de quel côté la chance est avec vous aujourd’hui !

Under and Over – lancez les dés, prenez le prix !

Congo : les « bébés noirs » instaurent la terreur à Brazzaville

Les habitants des quartiers Trois Poteaux et Ibalicko, dans le 9e arrondissement de Brazzaville et Djiri, vivent sous la menace constante de ces jeunes délinquants armés qui imposent leur loi à la nuit tombée.

 

Depuis plus d’une semaine, les quartiers Trois Poteaux et Ibalicko, dans l’arrondissement de Djiri à Brazzaville, sont le théâtre de violences répétées orchestrées par les tristement célèbres « bébés noirs », aussi appelés kulunas. À la tombée du jour, ces bandes de jeunes, armés de machettes, sèment la peur parmi les riverains, bouleversant leur quotidien.

Face à cette insécurité grandissante, les habitants ont dû adapter leur rythme de vie : rentrer plus tôt, verrouiller les portes dès 19 heures, et éviter les déplacements nocturnes. Le poste de sécurité publique implanté dans la zone semble aujourd’hui dépassé par l’ampleur du phénomène.

« Le premier jour où les bébés noirs ont attaqué, ils ont tout raflé sur leur passage », confie un agent de la force publique affecté à la garde d’un chef militaire. Ce dernier, contraint de réagir en urgence, a dû prendre l’initiative de repousser les assaillants avant l’arrivée de la police.

Depuis cet incident, les agressions se multiplient. Un menuisier a récemment été violemment attaqué à coups de machette au terminus de Trois Poteaux. Dans certains cas, des policiers vivant dans les quartiers ont été contraints de se défendre eux-mêmes, tirant des coups de sommation en pleine nuit pour dissuader les délinquants.

Selon plusieurs témoignages, cette vague de violence aurait pour origine la vengeance d’un jeune kuluna, récemment libéré de la maison d’arrêt de Brazzaville après une détention prolongée sans jugement. Désireux de régler des comptes, il mobiliserait chaque soir ses complices pour mener des actions éclair avant de disparaître.

Devant cette recrudescence de l’insécurité, les appels se multiplient pour une intervention ferme et rapide des forces de l’ordre. Les habitants, fatigués de vivre dans la peur, espèrent un retour à la normale avant que la situation ne dégénère davantage.

Congo : l’UDSN reçoit une subvention de plus de 160 millions de FCFA

C’est un appui de la société Hemla E&P Congo qui vise à moderniser l’Université Denis Sassou Nguesso (UDSN).

 

L’UDSN a reçu un appui financier le 17 juillet 2025, à Kintélé, de plus de 160 millions de FCFA de la part de la société pétrolière Hemla E&P Congo. La don va combler le besoin pressant en matériel et va renforcer l’équipement de laboratoire de l’UDSN, notamment l’achat des appareils comme des microscopes numériques et d’autres équipements pour la Faculté des sciences appliquées. Aussi, à l’achat des machines à essaie et des accessoires pour le laboratoire de l’Institut supérieur des sciences géographiques, environnementales et aménagement. C’est du moins ce qu’a précisé le Pr Ange Antoine Abena, président de ladite université.

« Ce matériel va transformer totalement les enseignements », a-t-il affirmé.

Pour l’administrateur de la société Hemla E&P Congo, Abime Laurier, cette subvention à pour but de soutenir les efforts du gouvernement dans le domaine éducatif, l’éducation étant l’un des piliers des plus fondamentaux dans le processus de développement.

« Ce geste traduit notre volonté sincère d’accompagner les efforts du gouvernement, en particulier dans le renforcement du capital humain, socle de toute développement durable », a-t-il-indiqué.

A noter que l’initiative s’inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre de la politique de responsabilité sociétale de Hemla E&P Congo conformément aux dispositions en matière de contenu local dans le secteur des hydrocarbures, définies par le gouvernement. Un appel à d’autres entreprises du secteur pétrolier a été lancé afin de soutenir le gouvernement dans le secteur de l’enseignement supérieur.

 

Congo : la 12e édition du Fespam est ouvert

Le président de la République, Denis Sassou Nguesso a procédé samedi 19 juillet au Palais des Congrès de Brazzaville, à l’ouverture du Festival panafricain de musique (Fespam).

 

« Je déclare ouverte, la 12e édition du Festival panafricain de musique. Que la fête soit belle ». C’est par cette phrase du chef de l’Etat que s’est ouverte la 12e édition du Fespam au Palais des Congrès de Brazzaville.

Placé sous le thème « Musique et enjeux économiques en Afrique à l’ère du numérique », l’évènement se tient malgré les contraintes économiques que fait face la République du Congo. « Aujourd’hui, le Fespam revient à Brazzaville (…) Il revient avec ses voix, ses couleurs, ses scènes et ses idées ; mais il revient surtout avec cette capacité unique qu’a la culture de faire espérer un peuple, dans un contexte continental marqué par des défis économiques », a souligné la ministre congolaise de la Culture, Lydie Pongault.

Cette 12e édition du Fespam est organisée en « format réduit », avec la participation d’à peine 14 pays, a relevé son commissaire général, Hugues Ondaye.

De nombreux invités et de corps diplomatiques étaient présent à la cérémonie marquant l’ouverture de la 12e édition du Festival panafricain de musique.

Congo : Africa Global Logistics et Congo Terminal s’engagent pour l’emploi et la diversité des talents industriels au Forum des métiers

Africa Global Logistics Congo et sa filiale Congo Terminal ont activement participé mercredi 16 juillet 2025, à la 5ᵉ édition du Forum de l’Emploi des Métiers de l’Industrie et de l’Énergie, organisé par l’IECD au CFP Don Bosco de Pointe-Noire, en partenariat avec le CEFA MMI.

 

Le rendez-vous annuel, devenu incontournable pour les jeunes talents, a rassemblé de nombreuses entreprises locales autour d’un objectif commun : l’insertion professionnelle des jeunes et la valorisation des métiers industriels.

Mettant à l’honneur cette année la place des femmes dans les métiers techniques, nos deux entreprises ont répondu présentes en mettant en lumière la diversité de nos équipes et les compétences recherchées. « Valoriser les talents féminins dans des secteurs longtemps perçus comme masculins est une priorité stratégique pour nous », a déclaré M. Magloire Mboumba, Chef d’atelier grue & mécanique poids lourd chez Africa Global Logistics Congo.

Les visiteurs ont pu découvrir nos expertises logistiques et portuaires, échanger avec nos collaborateurs, et s’informer sur notre plateforme de recrutement A’Career.

Les temps forts de notre participation ont également inclus un atelier de simulation d’entretien d’embauche, animé par nos équipes RH, permettant aux étudiants d’expérimenter les bonnes pratiques du recrutement. « Accompagner les jeunes vers l’emploi, c’est aussi leur transmettre les clés d’un entretien réussi », a souligné Mme. Elena MOUKALA, HR Business Partner chez Congo Terminal. Une initiative saluée par les participants, qui repartent avec des outils concrets pour construire leur avenir professionnel.

Kinshasa célèbre la rumba : JB Mpiana en concert au boulevard du 30-Juin

La capitale congolaise vibrera samedi 19 juillet, au rythme de la rumba avec un événement musical de grande envergure : le retour sur scène de JB Mpiana, icône incontestée du genre.

 

Le mythique boulevard du 30-Juin servira de cadre au concert inédit de l’artiste JB Mpiana, pensé comme un hommage vivant à la culture congolaise et à son patrimoine musical. Plus qu’un simple spectacle, cette prestation s’annonce comme une célébration identitaire, une immersion dans l’âme congolaise à travers la voix et la musique d’un artiste qui a marqué des générations. JB Mpiana, figure emblématique et pionnier de la rumba moderne, souhaite faire de ce rendez-vous un moment de communion entre le peuple congolais et son héritage culturel.

Sur scène, « Papa chéri » revisitera les grandes étapes de sa carrière. Des tubes légendaires comme Feux de l’amour, TH, Internet ou encore Balle de match feront revivre les années glorieuses de Wenge Musica BCBG. À ces morceaux culte s’ajouteront des titres récents, témoins de l’évolution artistique de JB Mpiana, toujours fidèle à l’essence de la rumba tout en restant en phase avec son époque.

En marge du concert, le public profitera d’un programme riche et diversifié : animations culturelles, DJ sets, prestations d’artistes locaux, et un espace VIP réservé aux fans désireux de rencontrer de plus près la star. Des stands culinaires valoriseront également les saveurs de la gastronomie congolaise, offrant une expérience festive complète et immersive.

Au-delà de la musique, l’événement mettra aussi en avant des initiatives sociales et citoyennes soutenues par l’artiste et ses partenaires. Une manière pour JB Mpiana de rappeler que l’art peut être un levier d’engagement et de transformation sociale.

Reconnu pour son apport exceptionnel à la culture congolaise, JB Mpiana a récemment reçu plusieurs distinctions majeures. En 2023, le Festival Rumba Kin lui a décerné un Prix d’honneur pour l’ensemble de sa carrière. En 2024, il est sacré Artiste le plus influent de la décennie aux Congo Music Awards. Le ministère de la Culture lui a également remis une distinction spéciale pour son rôle dans la diplomatie culturelle et la valorisation de l’image du Congo à l’international.

Une légende vivante

Né en 1967 à Kinshasa, Jean-Bedel Mpiana Tshituka s’est illustré dès les années 80 comme cofondateur du groupe Wenge Musica, avant de créer sa propre formation, Wenge Musica BCBG, en 1997. Avec son style unique, son charisme et son sens de l’innovation, il a su imposer sa signature musicale tout en inspirant plusieurs générations d’artistes.

Congo : signature de l’accord sur l’initiative « Congo créatif 2030 »

L’accord a été signé mardi 15 juillet à Brazzaville, par le ministre de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Rigobert Maboundou, et la représentante du Pnud, Adama Dian-Barry.

 

Le gouvernement congolais et le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), ont signé le 15 juillet dernier, l’accord sur l’initiative « Congo créatif 2030 ». Le gouvernement était représenté par le ministre de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Rigobert Maboundou, et le Pnud par sa représentante, Adama Dian-Barry.

Le programme « Congo créatif 2030 » vise à accompagner la politique nationale de l’innovation de la recherche et de la technologie. Il est question de faire de l’innovation un levier stratégique de transformation économique, sociale et durable, valoriser les talents locaux, soutenir l’émergence de solutions adaptées aux réalités nationales, promouvoir une culture de l’innovation ouverte et accessible à tous.

Pour le ministre de Recherche scientifique, le programme « Congo créatif 2030 » est un cap qui donne un sens stratégique à la créativité foisonnante de la jeunesse congolaise, un souffle politique à la vitalité de la recherche et une ossature institutionnelle à la promesse de l’intelligence collective.

« C’est une réponse à l’impératif de modernisation du pays, un choix délibéré de bâtir l’économie congolaise sur le savoir, la technologie et la création », a-t-il déclaré.

La représentante du Pnud, pour sa part « Ce programme mise sur les talents, structure l’écosystème, territorialise les pôles d’excellence. Il transforme les idées en prototypes, les prototypes en entreprises et les entreprises en solutions pour notre société ».

Congo : « malgré les contraintes budgétaires » le FESPAM s’ouvre le 12 juillet

L’annonce a été faite jeudi 17 juillet par le ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, Thierry Lézin Moungalla.

 

La 12e édition du Festival Panafricain de Musique (FESPAM) s’ouvre samedi 12 juillet 2025, à Brazzaville. La tenue de ce festival a été heurté aux contraintes budgétaires que traverse le pays. Une annonce faite jeudi 17 juillet, par le ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, Thierry Lézin Moungalla.

« Malgré les contraintes budgétaires auxquelles notre pays est confronté, les pouvoirs publics ont tenu à maintenir cette grande manifestation culturelle et artistique dédiée à la jeunesse africaine et congolaise, dans un format adapté à la conjoncture », a déclaré le ministre dans le compte rendu du Conseil des ministres.

Cette 12e édition est placée sous le thème « Musique et enjeux économiques en Afrique à l’ère du numérique ». Le festival proposera un riche programme constitué d’une exposition consacrée aux instruments de musique africaine, un marché de la musique africaine, des prestations artistiques ainsi que la projection d’un film documentaire sur la rumba congolaise. C’est du moins ce qu’a précisé le ministre Thierry Lézin Moungalla.

Créé en 1996, le Fespam est organisé par le gouvernement congolais sous l’égide de l’Union africaine (UA). Il vise à assurer le rayonnement musical de l’Afrique et participer à l’intégration africaine par le brassage des peuples et de leurs cultures.

LEO, le premier chabot d’UBA à faciliter les paiements transfrontaliers en Afrique

Révolutionne les transferts de fonds grâce au service de paiement instantané PAPSS.

 

United Bank for Africa (UBA) Plc, banque mondiale africaine, a annoncé que son chabot d’intelligence artificielle, LEO, est désormais capable d’effectuer des transactions de paiement transfrontalières.

LEO devient ainsi le premier chabot d’Afrique à faciliter les paiements transfrontaliers grâce à l’IA, offrant ainsi aux clients un moyen simple et instantané de transférer des fonds sur tout le continent.

La plateforme s’appuie sur le Système panafricain de paiement et de règlement (PAPSS), développé en partenariat avec la Banque africaine d’import-export (Afrexim Bank), et permet aux particuliers, aux commerçants et aux entreprises de transférer de l’argent en monnaie locale entre les pays africains où la Banque centrale a approuvé les opérations PAPSS.

À l’occasion de cette étape importante, Oliver Alawuba, Directeur Général du Groupe UBA, a déclaré qu’en tant que banque mondiale africaine, UBA est animée par la nécessité de repousser constamment les limites et de proposer des services qui répondent aux besoins de l’Afrique d’aujourd’hui.

« L’introduction des paiements transfrontaliers sur LEO, en partenariat avec PAPSS, reflète notre engagement en faveur de l’innovation numérique, de l’intégration panafricaine et d’une banque centrée sur le client. Il ne s’agit pas seulement d’une modernisation bancaire ; c’est un véritable bond en avant vers l’avenir de la finance africaine », a-t-il déclaré.

Le paiement instantané UBA PAPSS via LEO offre des avantages inégalés, notamment des paiements instantanés en quelques secondes, une disponibilité via des canaux en libre-service, des frais de traitement des transactions réduits et l’absence de frais pour le bénéficiaire.

Shamsideen Fasola, Directrice du Groupe, Banque de détail et numérique, a expliqué que la sécurité et la confidentialité renforcées, ainsi que des options plus larges pour les transferts de fonds, sont d’autres avantages dont les clients bénéficieront grâce à ce service.

« Il s’agit d’une étape décisive dans le paysage des services financiers en Afrique. Grâce à l’intégration complète de LEO à l’infrastructure PAPSS, les clients d’UBA peuvent envoyer et recevoir de l’argent à travers l’Afrique dans leur monnaie locale en quelques secondes. Nous ne nous contentons pas de simplifier les transactions : nous favorisons le commerce intra-africain et éliminons les obstacles de longue date à l’inclusion financière », a déclaré Fasola.

Grâce à cette innovation, UBA permet aux titulaires de comptes, aux commerçants et aux entreprises d’effectuer des transactions rapides et efficaces sur les marchés africains, formalisant ainsi les flux commerciaux informels et soutenant les objectifs plus larges de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA).

Première banque à permettre les paiements transfrontaliers via son chabot sur le continent, UBA continue d’être leader en matière d’innovation, d’expérience client et de transformation bancaire numérique.

United Bank for Africa est l’un des plus grands employeurs du secteur financier sur le continent africain, avec 25 000 employés et plus de 45 millions de clients dans le monde. Présente dans vingt pays africains, au Royaume-Uni, aux États-Unis d’Amérique, en France et aux Émirats arabes unis, UBA fournit des services bancaires de détail, commerciaux et institutionnels, leader de l’inclusion financière et mettant en œuvre une technologie de pointe.

« Il s’agit d’une étape décisive dans le paysage des services financiers en Afrique. Grâce à l’intégration complète de LEO à l’infrastructure PAPSS, les clients d’UBA peuvent envoyer et recevoir de l’argent à travers l’Afrique dans leur monnaie locale en quelques secondes. Nous ne nous contentons pas de simplifier les transactions : nous favorisons le commerce intra-africain et éliminons les obstacles de longue date à l’inclusion financière », a déclaré Fasola.

Grâce à cette innovation, UBA permet aux titulaires de comptes, aux commerçants et aux entreprises d’effectuer des transactions rapides et efficaces sur les marchés africains, formalisant ainsi les flux commerciaux informels et soutenant les objectifs plus larges de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA).

Première banque à permettre les paiements transfrontaliers via son chatbot sur le continent, UBA continue d’être leader en matière d’innovation, d’expérience client et de transformation bancaire numérique.

United Bank for Africa est l’un des plus grands employeurs du secteur financier sur le continent africain, avec 25 000 employés et plus de 45 millions de clients dans le monde. Présente dans vingt pays africains, au Royaume-Uni, aux États-Unis d’Amérique, en France et aux Émirats arabes unis, UBA fournit des services bancaires de détail, commerciaux et institutionnels, leader de l’inclusion financière et mettant en œuvre une technologie de pointe.

Congo-Electricité : le Pasel bénéficie d’un financement d’environ 60 milliards de FCFA

Le ministre de l’Energie et de l’Hydraulique, Emile Ouosso a procédé au lancement le 15 juillet, à Brazzaville.

 

Le Projet d’amélioration des services de l’électricité (Pasel) lancé le 15 juillet dernier, est financé à environ 60 milliards de FCFA (100 millions de dollars américain) par la Banque mondiale. Il vise à renforcer les performances de la société Energie électrique du Congo (E2C) afin d’améliorer la desserte.

Le Pasel sera exécuté sur trois composantes essentielles. La première portera sur le renforcement du réseau de transport de l’électricité. Il s’agira de réhabiliter la ligne haute tension de 220 Kv entre Pointe et Brazzaville, à travers la fourniture et l’installation des statiques dans trois-poste de transport le long de la ligne.

Il sera aussi question de rénover et de moderniser des postes 220 Kv de Ngoyo, à Pointe-Noire, et de Mbouono, à Brazzaville, ainsi que de remplacer des isolateurs entre les postes de Ngoyo et de Mboundi. Le projet s’occupera aussi de la réhabilitation de 130 km sur trois tronçons de ligne haute tension de 220 Kv ; de la remise à neuf et la modernisation du système d’automatisation Scada, de manière à dépasser ses déficiences et limites actuelles.

Cette phase va aussi s’occuper de la modernisation des systèmes d’autonomisation des postes de transport du nord afin d’optimiser leur fonctionnement et leur contrôle.

La seconde composante du projet se focalisera sur l’amélioration de la performance opérationnelle du segment de distribution et de vente au détail d’électricité. Il s’agira d’assurer une réduction durable des pertes non techniques dans l’approvisionnement en énergie, par l’augmentation du nombre de branchements de service, et par l’appui à l’amélioration de la qualité de la desserte et des pertes sur le réseau de distribution.

Pour ce faire, un programme de protection des recettes sera mis en place pour surveiller systématiquement la consommation des 26 000 plus gros clients, qui représentent environ 60% des ventes et des revenus, à travers une infrastructure de comptage.

Cette composante s’occupera aussi de la fourniture et de l’installation de 120 000 compteurs intelligents chez les clients privés ou publics.

La troisième composante du Pasel, quant à elle, s’occupera de l’appui à la bonne mise en œuvre de la réforme du secteur, déjà en cours ; du renforcement de la capacité de planification ; de la réalisation des études de diagnostic dans le cadre de la sous-composante 3.2 pour le secteur de l’eau ainsi que de l’assistance technique et l’appui institutionnel au ministère de tutelle.