Congo : les bébés recevront le vaccin contre l’hépatite à la naissance

C’est une déclaration faite jeudi 25 janvier, à Brazzaville par le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki.

 

Le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki a présidé la réunion du Comité de coordination inter-agences de la vaccination, le 25 janvier à Brazzaville. Il était question au cours de cette réunion d’examiner, entre autres, la possibilité « d’introduire le vaccin contre l’hépatite B à la naissance et la deuxième dose du vaccin anti-poliomyélite injectable », a déclaré le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki.

Il s’est aussi agi pour le Programme élargi de vaccination (PEV) et le Plan d’amélioration de la gestion du vaccin, de présenter leur rapport annuel. Pour Gilbert Mokoki, l’action du PEV est en harmonie avec la stratégie mondiale contenue dans le programme pour la vaccination à l’horizon 2030 avec pour credo : « Un monde où chaque individu, où qu’il se trouve, quel que soit son âge, bénéficie de vaccin pour sa santé ».

Congo : la population appelée à se faire dépister contre les hépatites

L’appel a été lancé vendredi 28 juillet à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de lutte contre les hépatites virales.

 

En République du Congo, le taux de prévalence de la population congolaise sur les hépatites n’existe pas encore. Toutefois une enquête parcellaire dans les départements avait montré le taux de 8, à 12 et 15%.

A l’occasion de la célébration de la journée mondiale de lutte contre les hépatites virales, des journées scientifiques ont été organisées dans la capitale Brazzaville. L’objectif était de sensibiliser la population à la maladie et de renforcer des mesures pour améliorer l’accès aux services de dépistage et de traitement. Ladite célébration avait pour thème « Une vie, un foie ».

Notons que la journée mondiale est en rapport à la date de naissance du Dr Baruch Blumberg qui a découvert le virus et mis en place le vaccin qui lutte contre le cancer.

Congo : les forces armées prennent le vaccin contre la fièvre jaune

La campagne de vaccination contre la fièvre jaune au profit des membres des Forces armées congolaises (FAC) a été officiellement lancée le 17 mars, à Brazzaville.

 

La campagne de vaccination gratuite contre la fièvre jaune a été lancée par le commandant de la zone de défense n°9, le général Pierre Gaétan Ickey, en présence du directeur central de service de santé du ministère de la Défense, le médecin colonel Alexis Mourou Moyoka, ainsi que du directeur départemental de la Santé de Brazzaville, le médecin-colonel Jean Claude Mobousse.

Durant la cérémonie, les militaires ont été invités à se faire vacciner pour contrer la fièvre jaune qui constitue un danger pour la population. La hiérarchie militaire a prêché par l’exemple afin de faire comprendre aux officiers, sous-officiers et hommes de rang l’importance de la vaccination contre la fièvre jaune. L’opération qui cible les militaires ainsi que leurs familles se déroulera dans les différentes casernes et centres de santé du 17 au 19 mars.

Juste avant de prendre sa dose unique de ce vaccin, le général Pierre Gaétan Ickey a rappelé aux militaires la nécessité de se faire vacciner pour leur permettre de poursuivre leur mission avec beaucoup de succès tout en préservant la santé de leurs proches.

Pour sa part, le directeur central de service de santé a expliqué, de manière détaillée, l’origine, le rôle et l’apport du vaccin contre la fièvre jaune dans le corps humain. Alexis Mourou Moyoka a profité de l’occasion pour démentir l’idée selon laquelle le vaccin constitue un danger. « La fièvre jaune n’a pas de traitement, le seul moyen de l’éviter c’est la vaccination. Ce vaccin est très efficace et nous protège pour toute la vie contre cette maladie. Il ne présente aucun danger comme on vous le dit souvent, je vous incite à vous faire vacciner puisqu’il n’ y aura pas de risque sur votre santé », a-t-il conseillé.

Il a signalé que cette opération s’inscrit dans le cadre du suivi de la campagne générale de vaccination qui s’est déroulée en août dernier.

Congo-Coronavirus : le gouvernement intensifie la sensibilisation

Des campagnes de sensibilisation sont prévues dans les marchés domaniaux et d’autres lieux publics de Brazzaville, la capitale congolaise.

 

Convaincre les congolais indécis et les anti-vaccins à aller se faire administrer une dose afin de se prémunir contre le coronavirus. C’est l’objectif que s’est lancé le ministère de la santé en partenariat avec en charge de la femme et la mairie de Brazzaville. A cet effet, des campagnes de sensibilisation sont mises sur pieds dans les marchés domaniaux et d’autres lieux publics.

« Nous sommes heureux de recevoir 55.000 doses supplémentaires qui vont nous permettre d’avancer dans le programme de vaccination. Nous pouvons rassurer la population que les vaccins sont disponibles. L’autre effort c’est d’amener la population à se faire vacciner. Nous sommes en train de mobiliser les vaccinateurs de manière à ce qu’ils emmènent le vaccin vers la population », a indiqué le directeur du programme élargi de vaccination, le Dr Alexis Mouro Moyoka.

Rappelons que le 6 octobre dernier, le ministère de la Santé et de la Population a réceptionné 55.000 doses de vaccin Johnson & Johnson dans le cadre de la facilité AVAT de l’Union africaine (UA).

Congo : Brazzaville reçoit 55000 doses de vaccin Johnson and Johnson

Le 6 septembre, le pays a reçu 55 000 doses supplémentaires du vaccin américain, après une première tranche réceptionnée il y a quelques semaines.

 

Le second lot de 55 000 doses de vaccin Johnson and Johnson a été réceptionné par le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki, en présence des représentants de la Banque mondiale et de l’Unicef. Ce lot  a été acquis avec l’appui des partenaires, dans le cadre de l’initiative Fonds africain pour l’acquisition de vaccins (Avat), mise en place par l’Union africaine.

« Ce vaccin est acquis dans le cadre de l’initiative de l’Union africaine dénommée Avat, un dispositif mis en place par cette institution, étant entendu que pour l’heure, acquérir les doses du vaccin contre la Covid-19 sur le marché international est un vrai problème. S’il est réservé, il revient au pays de l’acheter et le Congo le fait par tranches », a souligné le directeur du Programme élargi de vaccination, le Dr Alexis Mourou Moyoka.

Pour le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki, le nouveau lot de vaccin Johnson and Johnson réceptionné vient renforcer le stock déjà acquis par le gouvernement, afin de prévenir d’éventuelles ruptures.

« Nous sommes heureux de recevoir ce jour 55 000 doses supplémentaires du vaccin Johnson and Johnson. Elles vont nous permettre de vacciner 55 000 personnes et de faire avancer le programme de vaccination. Nous rassurons la population que les vaccins sont désormais disponibles », a-t-il signifié.

Gilbert Mokoki a affirmé que le ministère a mis en place une nouvelle stratégie de vaccination qui consiste à emmener le vaccin vers la population afin de susciter son adhésion massive. En dehors de Johnson and Johnson, le Congo fait usage de trois autres vaccins contre le coronavirus, à savoir Sinopharm, Spoutnik V et Pfizer. L’objectif du gouvernement est de vacciner 60% de la population congolaise d’ici à la fin de l’année 2022 afin de garantir l’immunité collective.

Congo-coronavirus : un peu plus de 280.000 doses de vaccins administrées

Ce chiffre a été donné à Brazzaville samedi 28 août 2021, par le ministre en charge de la santé et de la population, Ignace Tendelet.

 

La République du Congo a déjà administré un total de 286.959 doses de vaccins contre le coronavirus. Cette déclaré a été samedi par le ministre congolais de la Santé et de la Population Ignace Tendelet.

Selon le ministre, ce chiffre montre « combien le chemin à parcourir est encore long pour espérer atteindre l’immunité collective ».

Lors du lancement d’une campagne de sensibilisation à la lutte contre la COVID-19 à Brazzaville, Ignace Tendelet a souligné que parmi les freins à l’atteinte de l’immunité collective figure la réticence de la population à se faire vacciner.

Notons que, cette campagne de sensibilisation concerne les capitales des six pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), à savoir le Cameroun, le Gabon, le Tchad, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine (RCA) et la République du Congo.

Pour rappel, à ce jour, le Congo totalise 13.533 cas confirmés de COVID-19, dont 183 décès depuis l’enregistrement du premier cas positif le 14 mars 2020.

Congo-coronavirus : les congolais accourent de plus en plus vers les centres de vaccination

L’affluence des Congolais et sujets étrangers vers les centres de vaccination contre la covid-19 grandit de plus en plus dans les différents centres retenus pour la circonstance.

 

A l’hôpital Blanche-Gomes, un des centres retenus pour la vaccination à Brazzaville, les files d’attente sont longues, les demandeurs de vaccin étant nombreux. S’enregistrer, attendre l’appel, échanger avec le psychologue, se faire prendre la tension artérielle avant de prendre le vaccin.  , a expliqué un citoyen ayant requis l’anonymat.

Le coordonnateur du site de vaccination à Blanche-Gomes, Jiguel Nganongo, a signifié que le volume du travail augmente chaque jour. « Depuis que nous avons commencé les gens viennent de plus en plus. Le travail de communication que nous faisons consiste à leur faire prendre conscience de l’importance de la vaccination qui est le moyen le plus sûr pour se protéger contre la Covid-19 », a-t-il indiqué.

Dans l’ensemble, les sites de vaccination ne sont pas fréquentés au même rythme. Les centres d’accès facile reçoivent plus de demandeurs de vaccin. Les agents de la force publique se sont fait vacciner à la clinique médicale de la Garde républicaine à M’pila, à l’hôpital central des armées Pierre-Mobengo, à la direction générale de la sécurité civile (Sapeurs-pompiers).

Pour les agents de santé y compris ceux évoluant dans les officines, quatre sites sont retenus, notamment : le Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville ; le Centre de santé intégré Marien-Ngouabi à Talangaї ; l’hôpital de base de Makélékélé ; l’hôpital spécialisé Mère-enfant Blanche-Gomes. Les autres départements seront retenus dans la deuxième phase.

Parmi les personnes qui viennent se faire vacciner, certaines d’entre elles connaissent leur statut virologique pour avoir déjà fait des tests Covid-19 par le passé. Les autres par contre le font de façon directe à titre préventif. Il convient de rappeler qu’au plus fort de la pandémie, les contaminés ont été suivis médicalement, sans vaccination, dans des sites de prise en charge. La vaccination est gratuite et concerne toutes les personnes qui n’ont jamais été vaccinées.

Coronavirus : le Congo en quête d’un vaccin approprié

A l’instar des autres pays du monde, le Congo est également dans la course au vaccin contre le Covid-19. Les autorités sanitaires se sont retrouvées à Brazzaville le 25 janvier 2021 pour statuer sur celui qui conviendrait au pays

Quel vaccin du covid-19 pour le Congo ? Cette problématique a réuni autour d’une table, les pharmaciens, médecins et biologistes du pays à l’effet d’examiner la nature du vaccin qui permettrait de circonscrire cette pandémie. La journée de travail dite scientifique a permis de survoler certains paramètres ayant trait à la manifestation de la maladie.

Au cours des travaux, les personnels de santé ont examiné et évalué les effets secondaires post-vaccin. La nature du vaccin qui correspondrait et le nombre de doses, la sensibilisation et le dépistage massif de la population et l’administration des malades asymptomatiques. D’après le directeur de la pharmacie et du médicament: « le Congo a un guide de pharmacovigilance reconnu à l’international et nous avons informé les pharmaciens, médecins et biologistes médicaux. Nous avons expliqué comment notre pays peut se procurer du vaccin anti-covid-19. Pour choisir ce vaccin, nous nous basons sur la qualité, l’innocuité, l’efficacité et le coût ».

Les doses seront mises sur pied pour une traçabilité et un meilleur suivi des produits destinés à soulager les douleurs et les problèmes psychologiques.

Congo-coronavirus : les premières livraisons de vaccin arrivent au plus tard en mars

L’annonce a été faite par la ministre de la santé, Jacqueline Lydie Mikolo au cours d’une conférence de presse le 06 janvier à Brazzaville.

La ministre de la Santé, Jacqueline Lydia Mikolo, a annoncé, lors d’une conférence de presse tenue le 6 janvier à Brazzaville, que le Congo va acquérir les premières livraisons du vaccin contre le coronavirus au cours du premier trimestre 2021.

« La facilité que le Congo aura au sein du consortium de l’initiative internationale Covax, pour l’accès équitable au vaccin permettra au pays de couvrir 20% de la population. Avec la mobilisation des ressources propres, la proportion sera élargie à 60% voire plus », a déclaré Jacqueline Lydia Mikolo, ajoutant que les réflexions se poursuivent pour déterminer le vaccin le mieux adéquat pour la population tenant compte de l’environnement et d’autres facteurs.

La ministre en charge de la Santé a précisé que ce vaccin ne sera pas administré tous azimuts. Il y a des cibles prioritaires qui seront définies, entre autres, les personnes souffrant des comorbidités, c’est-à-dire d’autres maladies dont la Covid-19 devient un facteur aggravant qui peut entraîner la mort.

Dans son rapport, la Commission affaires juridiques et administrative (Caja) du Sénat, s’inspirant du dernier bulletin épidémiologique de la coordination de gestion de la covid-19, a relevé qu’au 1er janvier, 1162 personnes étaient détectées positives au coronavirus, dont 182 sont actuellement hospitalisées dans les sites de prise en charge et six en soins intensifs.

Congo-coronavirus : les congolais recevront le vaccin d’ici mars

Lors d’une conférence de presse tenue le 6 janvier à Brazzaville, la ministre de la Santé, Jacqueline Lydia Mikolo, a indiqué que le pays va acquérir les premières livraisons du vaccin contre le coronavirus au cours du premier trimestre 2021.

Dans son discours sur l’état de la nation, le 23 décembre, le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, annonçait avoir mis le Congo sur la voie du vaccin contre la pandémie de Covid-19, en instruisant le gouvernement à prendre toutes les dispositions y relatives. Visiblement, le travail vient d’être amorcé. « La facilité que le Congo aura au sein du consortium de l’initiative internationale Covax, pour l’accès équitable au vaccin permettra au pays de couvrir 20% de la population. Avec la mobilisation des ressources propres, la proportion sera élargie à 60% voire plus », a expliqué la ministre Jacqueline Lydia Mikolo,  précisant que les réflexions se poursuivent pour déterminer le vaccin le mieux adéquat pour la population tenant compte de l’environnement et d’autres facteurs.

Par ailleurs, la ministre en charge de la Santé a souligné que le moment venu, ce vaccin ne sera pas administré tous azimuts. Il y a des cibles prioritaires qui seront définies, entre autres, les personnes souffrant des comorbidités, c’est-à-dire d’autres maladies dont la Covid-19 devient un facteur aggravant qui peut entraîner la mort.