Congo Terminal s’équipe de 4 nouveaux RTG

Le 23 juin 2025, Congo Terminal annonce la réception de 4 nouveaux portiques de parc RTG.

 

Avec une capacité de levage de 40 tonnes, ces équipements vont accroître les capacités de stockage des conteneurs sur les parcs et participer à l’amélioration de la fluidité sur l’ensemble des opérations.

Ces engins viennent enrichir une flotte déjà bien fournie, composée de 8 portiques de quai STS, 26 portiques de parc RTG, 5 grues mobiles et 11 Reachstackers. Congo Terminal attend 3 RTG supplémentaires d’ici la fin de l’année 2025.

« L’acquisition de ces nouveaux équipements et la construction d’une nouvelle plateforme portuaire au Môle Est témoignent de notre engagement à soutenir la compétitivité du pays et le développement des échanges commerciaux dans la région » explique Sandrine WAMY, Directeur d’exploitation Congo Terminal.

L’entreprise poursuit son programme d’investissement afin de faire de Pointe-Noire, le port de référence en eaux profondes et la plateforme d’excellence en transbordement sur toute la partie sud de la côte ouest africaine. En 2022 et 2023, Congo Terminal a dépassé le seuil de 1.000.000 EVP manipulés par an et envisage traiter plus de 2.400.000 EVP par an d’ici 2027 avec la mise en service de la nouvelle plateforme portuaire actuellement en construction au Môle Est.

Assainissement urbain : Albayrak Waste Management entre en service à Brazzaville et Pointe-Noire

La nouvelle entreprise chargée de la propreté urbaine au Congo, Albayrak Waste Management, a officiellement lancé ses activités le 19 juin à Brazzaville, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère dans la gestion des déchets dans les deux principales villes du pays.

 

Succédant à la société Averda dont le contrat est arrivé à expiration, Albayrak Waste Management, entreprise de droit congolais, a pris les rênes de l’assainissement urbain à Brazzaville et à Pointe-Noire pour une durée de cinq ans. Ce lancement fait suite à la signature, le 23 avril dernier, d’un accord de délégation de service public qui confère à la société la gestion de la collecte, du transport et du traitement des déchets solides urbains.

Dès son entrée en fonction, la société a mobilisé ses premières équipes techniques dans plusieurs quartiers stratégiques de Brazzaville. Les opérations de nettoyage sont déjà visibles au rond-point du 5 juin 1997 à Mpila — communément appelé « Place Plus Jamais Ça » — ainsi que sur l’avenue Pointe Hollandaise, les rues de Poto-Poto, l’avenue Amilcar Cabral, le boulevard Denis Sassou N’Guesso et aux abords du ministère des Finances.

Munis de balais, pelles et équipements spécialisés, les agents s’attellent à redonner à la capitale son lustre, par des activités intensives de balayage, de ramassage des ordures et de désencombrement des abords routiers. Ce déploiement progressif s’accompagnera dans les prochains jours d’un renforcement des effectifs et de l’arrivée de moyens logistiques supplémentaires.

Outre la propreté des artères urbaines, les missions de la société incluent la collecte sécurisée des déchets dans les aires de transit, la gestion des décharges et le désengorgement des canalisations. Des concertations sont en cours avec la mairie de Brazzaville pour assurer une transition fluide, notamment par la reprise des infrastructures précédemment utilisées par Averda.

Ce changement d’opérateur s’inscrit dans la dynamique gouvernementale de réforme du secteur de l’assainissement. En confiant cette mission à Albayrak Waste Management, les autorités souhaitent poser les bases d’un service plus efficace, durable et adapté aux défis croissants de la gestion urbaine.

Les attentes des populations de Brazzaville et Pointe-Noire sont élevées. Dans un contexte marqué par la prolifération des décharges sauvages et leurs impacts sur la santé publique, l’environnement et l’économie, la société est appelée à jouer un rôle déterminant dans l’amélioration du cadre de vie urbain.

À travers cette opération, le gouvernement entend faire de l’assainissement une priorité nationale, pour des villes plus propres, plus saines et plus attractives. Albayrak Waste Management est désormais attendue au tournant.

Congo-Hôpital général Adolphe-Sicé : vers une amélioration des offres de soins

L’hôpital général Adolphe-Sicé de Pointe-Noire, a tenue le 17 juin, dans la salle de conférence, sa 7e session du Conseil d’établissement.

 

Plusieurs délibérations ont été adoptées, dans l’objectif de l’amélioration des offres de soins et le bon fonctionnement de cette structure sanitaire. La 7e session du Conseil d’établissement de l’hôpital général Adolphe-Sicé de Pointe-Noire s’est tenue sous la présidence de son directeur général, Lambert Chakirou, en prélude au comité de direction à venir.

Il a été question pour les conseillers de passer en revue les questions concourant au bon fonctionnement de l’hôpital afin de mieux servir les patients et d’émettre des suggestions que devront examiner le comité de direction.

Après les débats, les participants ont pris entre autres délibérations le projet portant rapport d’activité 2024, le projet portant plan de travail budgétisé exercice 2025, le projet portant compte administratif exercice 2024, le projet portant compte de gestion exercice 2024, le projet portant budget exercice 2025.

En ce qui concerne les recommandations prises, l’on note le projet portant organisation de la commission administrative paritaire, le projet portant révision de la convention collective applicable aux agents de l’Hôpital général Adolphe-Sicé.

Coopération : le Congo renforce ses liens avec l’Inde et le Venezuela dans l’enseignement supérieur

La ministre Delphine Edith Emmanuel eu des échanges, le 19 juin, à Brazzaville avec l’ambassadeur de l’Inde au Congo, Madan-Lal Raigar et l’ambassadrice du Venezuela, Laura Suarez.

 

Au centre des discussions avec l’ambassadeur indien, la volonté commune d’approfondir la coopération bilatérale dans le domaine de l’enseignement supérieur. Le Congo et l’Inde entendent développer des partenariats visant le renforcement des capacités pédagogiques, notamment à travers la mobilité des enseignants et l’augmentation du nombre de bourses pour les étudiants congolais.

« Nous allons établir des partenariats qui vont nous permettre de renforcer les capacités de nos enseignants à travers des mobilités de courte durée, mais surtout de permettre à nos étudiants d’avoir des formations dans des domaines précis », a indiqué la ministre Delphine Édith Emmanuel.

De son côté, l’ambassadeur Madan-Lal Raigar a réaffirmé l’engagement de son pays à accompagner le Congo dans la concrétisation de sa vision pour le développement de l’enseignement supérieur. Il a également exprimé son soutien à la tenue des Assises de l’employabilité et de l’entrepreneuriat des étudiants, prévues du 30 juin au 1er juillet à Brazzaville. Ce forum national constituera une plateforme d’échange sur l’adaptation du système éducatif aux exigences du marché de l’emploi et aux ambitions de développement du pays.

Relance de la coopération éducative avec le Venezuela

La ministre de l’Enseignement supérieur a également reçu en audience l’ambassadrice du Venezuela, Laura Suarez. Cette rencontre s’inscrit dans la suite logique de l’accord de coopération signé entre les deux pays en 2023 lors de la commission mixte.

« Il est donc question de voir comment appliquer cet accord dans le domaine de l’enseignement supérieur », a déclaré la diplomate vénézuélienne.

Les deux parties ont évoqué la nécessité d’aller au-delà des offres de bourses d’études, en promouvant la mobilité des enseignants entre les deux pays, dans une logique de partage d’expérience et d’amélioration continue de la qualité de l’enseignement.

Congo : Emma Clesh Atipo Ngapi reçoit une délégation de la BAD

La rencontre qui a eu lieu mercredi 18 juin, s’inscrivait dans le cadre des préparatifs des assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD).

 

Le deuxième vice-président du Conseil municipal et départemental de Brazzaville, Emma Clesh Atipo Ngapi a eu des échanges avec une délégation de cette institution bancaire africaine conduite par le secrétaire général, le Pr Vincent O. Nmehielle et le directeur général Dr Léandre Bassolé. La rencontre s’inscrivait dans le cadre des préparatifs des assemblées annuelles de la BAD, qui se tiendront en mai 2026 dans la ville de Brazzaville.

Les deux parties ont passé en revue les questions liées à l’organisation des assemblées annuelles de la BAD de 2026. Pour répondre à la question de savoir si Brazzaville est prête à accueillir l’évènement, le Pr Vincent O. Nmehielle a expliqué que « Le Congo est habitué à accueillir les grands événements et les assemblées annuelles de la BAD ne font pas exception ».

Pour rappel, la BAD est une institution financière multinationale de développement. Fondée en 1964, elle a pour but de contribuer au développement et au progrès social des États africains.

En République du Congo, la BAD intervient dans deux domaines stratégiques prioritaires, à savoir le développement des infrastructures durables en soutien au renforcement des chaînes de valeur à forte potentialité de croissance ainsi que l’amélioration du capital humain et de la gouvernance économique et financière en appui au climat des affaires.

Congo : un nouveau Centre d’hémodialyse inauguré au CHU de Brazzaville

La structure mise en service mercredi 18 juin 2025, a été réceptionnée ce mercredi par le ministre de la Santé et de la Population, Jean Rosaire-Ibara.

 

Les clés de cette unité spécialisée ont été remises au ministre de la santé par Michel Mongo, secrétaire général de la Fondation Congo Assistance, au nom de la présidente de cette ONG, Antoinette Sassou N’Guesso. Situé à proximité du Centre national de référence de la drépanocytose Antoinette-Sassou-N’Guesso, le nouveau centre d’hémodialyse offrira des soins spécialisés à des coûts accessibles. Il est destiné tant aux patients drépanocytaires qu’à ceux souffrant d’autres pathologies rénales.

Le professeur Alexis Elira Dokékias, directeur général du Centre de la drépanocytose, a rappelé l’importance de cette unité : « L’hémodialyse est un traitement qui sauve des vies, bien qu’il ne soit pas définitif. Elle représente une réponse vitale pour les malades du sang, mais également pour ceux touchés par d’autres affections. » La première séance de dialyse a d’ailleurs été réalisée dès le jour de l’inauguration sur une jeune patiente en urgence.

Le Centre est équipé de cinq postes de dialyse avec leurs lits respectifs, ainsi que d’un système de traitement d’eau pouvant alimenter jusqu’à dix machines, permettant ainsi de traiter entre 60 et 120 patients. Ces installations ont été fournies par la société marocaine Pharmaforall, partenaire technique du projet.

Le docteur Richard Loumingou, chef de service de néphrologie au CHU-B, a insisté sur la nécessité de mieux informer la population sur les facteurs de risque de l’insuffisance rénale. « Beaucoup de malades ignorent leur condition. Hypertension, diabète, surpoids, tabagisme, sédentarité ou consommation excessive d’alcool sont autant de facteurs qui exposent à ces maladies », a-t-il expliqué, rappelant que les cas aigus peuvent être mortels dans 50 % des situations s’ils ne sont pas rapidement pris en charge.

Ce centre est l’aboutissement d’un plaidoyer fort porté par Antoinette Sassou N’Guesso. Lors du gala du 40e anniversaire de la Fondation Congo Assistance, de nombreux partenaires s’étaient engagés à soutenir la réalisation de projets sanitaires d’envergure.

Likouala : le Figa soutient l’entrepreneuriat des jeunes lors du Forum Fhic

Des chèques d’un montant compris entre 400 000 et 500 000 FCFA ont été remis à cinq jeunes, à l’occasion du Forum Horizon Initiative et Créativité (Fhic).

 

Le Fonds d’impulsion, de garantie et d’accompagnement (Figa) a apporté son soutien financier à de jeunes entrepreneurs de la Likouala, à l’occasion du Forum Horizon Initiative et Créativité (Fhic), organisé du 12 au 14 juin à Impfondo. Des chèques d’un montant compris entre 400 000 et 500 000 FCFA ont été remis à cinq jeunes, sélectionnés parmi les cinquante-cinq bénéficiaires.

Ces financements visent à booster les activités dans les secteurs de l’agriculture, de la pêche, de l’élevage et de la restauration. « J’étais dans l’informel, mais grâce à ce soutien, je peux envisager une transition vers le secteur formel. C’est un véritable élan pour aller plus loin », a confié l’un des récipiendaires.

Présent lors de la cérémonie de clôture, le président du conseil d’administration du Figa, Rodrigue Malanda Samba, a exhorté les jeunes à faire bon usage des fonds reçus. De son côté, le représentant d’Express Union, Flauvert Kouam, a souligné l’importance du respect des engagements liés à ces appuis financiers pour promouvoir un développement économique durable.

Les peuples autochtones mis à l’honneur

Le Fhic a également été l’occasion de célébrer les efforts des peuples autochtones. Roland Mokéké, reconnu pour son expertise dans la pêche, a reçu le prestigieux prix d’excellence « Le Prince ». Les prix « Bronze » et « Silvère » ont respectivement été attribués à Guillaumette Matala et Alida, deux femmes engagées dans l’agriculture. Ces distinctions visent à valoriser le travail de ces acteurs locaux.

Située au bord de l’Oubangui, la Likouala regorge de richesses naturelles. L’agriculture, la pêche et la chasse y constituent les principales sources de revenus. Lors du forum, les intervenants ont plaidé pour une meilleure structuration de ces activités afin d’en augmenter la productivité et d’améliorer la commercialisation des produits.

« Nous manquons parfois de poisson pour vendre, même si nous avons assez pour la consommation. Le développement d’étangs piscicoles pourrait créer des revenus durables pour les jeunes », a proposé le député de Dongou, Guy Patrick Gondzia.

Producteur expérimenté, Rufin Kinanga a partagé des techniques de valorisation des ressources locales, encourageant notamment l’utilisation d’engrais bio produits sur place. « Nous avons ici tout ce qu’il faut pour fabriquer des engrais organiques sans recourir systématiquement aux produits chimiques », a-t-il expliqué.

Des difficultés persistantes dans la Likouala

La 4e édition du Fhic a également permis de soulever plusieurs difficultés persistantes dans le département. Les populations autochtones ont exprimé leur désarroi face aux discriminations subies. « On détruit nos champs, nos huttes, on nous exclut des opportunités d’emploi local, et nos enfants reçoivent des soins de santé très limités », a dénoncé Sosthène Ekeba, un jeune autochtone.

Au-delà de ces injustices, les problèmes d’infrastructures ont été vivement pointés. Lobah Sebette a notamment évoqué l’état des routes, les coupures fréquentes d’électricité et le manque d’eau potable. « Comment développer l’artisanat ou l’agriculture sans électricité ni transport fiable ? Nous appelons les autorités à réagir », a-t-il lancé.

En clôturant le forum, le général Noël Léonard Essongo, parrain de l’événement, a invité la jeunesse à prendre en main son destin. « Vous n’avez pas le droit de baisser les bras. Affrontez les obstacles avec courage et soyez les bâtisseurs du futur de la Likouala », a-t-il déclaré, appelant à un engagement collectif pour le développement du territoire.

Lutte contre la désertification : le Congo mise sur la recherche scientifique et l’implication communautaire

À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse, célébrée le 16 juin à Brazzaville sous le thème « Restaurer les terres. Saisir les opportunités », la ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault, a annoncé un renforcement de la recherche scientifique et technique pour mieux cerner les mécanismes de dégradation des sols.

 

L’objectif affiché est clair : identifier des solutions de restauration adaptées aux réalités locales afin de mettre en œuvre une politique efficace de lutte contre la désertification. Pour y parvenir, le gouvernement congolais entend non seulement approfondir les connaissances scientifiques, mais aussi former les acteurs locaux – agriculteurs, communautés forestières, organisations de la société civile – aux pratiques de gestion durable des terres.

Selon la ministre, l’exécutif poursuivra ses efforts pour promouvoir des politiques incitatives à destination des communautés et des opérateurs économiques afin de favoriser l’adoption de pratiques respectueuses de l’environnement. Une approche multisectorielle sera également renforcée, à travers une meilleure coordination entre les différents ministères impliqués.

Le Congo compte mobiliser des financements nationaux et internationaux pour soutenir les initiatives locales et les projets de restauration à grande échelle. L’ensemble de ces actions s’inscrit dans le cadre juridique national, notamment la loi du 17 novembre 2023 sur la gestion durable de l’environnement, et s’appuie sur les politiques agricoles, forestières et hydriques du pays.

La ministre a par ailleurs salué les engagements pris par le président Denis Sassou N’Guesso, en tant que président de la Commission Climat du Bassin du Congo, notamment à travers la résolution des Nations unies proclamant la décennie pour le boisement et le reboisement. « Une initiative phare qui vise non seulement à préserver la biodiversité et à lutter contre le changement climatique, mais aussi à restaurer des terres gravement dégradées par la déforestation », a-t-elle souligné, exprimant la fierté des Congolais face à ce leadership.

Le gouvernement entend également mettre en place des mécanismes de suivi et d’évaluation rigoureux pour mesurer l’impact des interventions et ajuster ses stratégies en conséquence. Enfin, un accent particulier sera mis sur la sensibilisation et l’éducation de la jeunesse congolaise, afin de l’impliquer pleinement dans la protection des terres et la promotion d’un développement durable.

Partie prenante de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification, la République du Congo réaffirme ainsi sa volonté d’atteindre la neutralité en matière de dégradation des terres d’ici à 2030, conformément aux objectifs du développement durable.

Congo-drépanocytose : 36 décès enregistrés depuis 2027 au Centre national de référence

L’information a été donnée au cours d’une conférence de presse presse co-animée à Brazzaville par le Pr Alexis Elira Dokekias, Donatien Moukassa et Michel Mongo.

 

Le Centre national de référence de la drépanocytose Antoinette-Sassou-N’Guesso a enregistré 36 décès de drépanocytose en en 09 ans et 36 mille patients sont suivis dans ce centre. C’est ce qu’a indiqué le directeur général du Centre national de référence de la drépanocytose Antoinette-Sassou-N’Guesso, le Pr Alexis Elira Dokekias au cours d’une conférence de presse qu’il a co-animé avec le directeur de cabinet du ministre de la Santé et de la Population, Donatien Moukassa, ainsi que le secrétaire général de la Fondation Congo Assistance, Michel Mongo. C’était en prélude à la célébration de la journée mondiale de la drépanocytose, commémorée ce 19 juin.

Pour le Pr Alexis Elira Dokekias, par rapport au gap des calculs, si l’on prend la prévalence nationale, le risque de mortalité avant l’âge de 5 ans, l’on suppose que le pays tourne autour de soixante-seize mille et soixante-dix-huit mille patients. Il précisé également que le diplôme d’études spécialisées d’hématologie a été créé au centre national de référence de la drépanocytose Antoinette-Sassou-N’Guesso.

La même source indique que le Centre a déjà sorti trois promotions des spécialistes en hématologie qui proviennent de Brazzaville, la République démocratique du Congo, du Cameroun,

Pour rappel, la drépanocytose ou anémie falciforme est une maladie héréditaire non contagieuse. Elle est due à une anomalie de l’hémoglobine, protéine contenue dans le globule rouge qui est chargée de transporter l’oxygène des poumons aux organes.

Congo-PCT : le comité préparatoire du VIe congrès ordinaire est mis en place

La nouvelle équipe a la mission de préparer l’élection présidentielle de mars 2026, pour garantir à nouveau une victoire de son candidat.

 

Le comité préparatoire et d’organisation du VIe congrès ordinaire du Parti congolais du travail (PCT) a été mis en place par acte n° 021 du 17 juin 2025. Cette nouvelle équipe aura pour mission de préparer l’élection présidentielle de mars 2026, afin de garantir une « victoire éclatante » à son candidat. L’équipe a été mise en place, sous l’autorité du secrétaire général du parti, Pierre Moussa.

Tel que précisé en l’article premier des textes du parti, le comité préparatoire et d’organisation du VIe congrès ordinaire compte quarante et un membre au nombre desquels neuf femmes. L’instance instituée a aussi la responsabilité de planifier la logistique, d’assurer la coordination des activités et la gestion des ressources. Au cours de ces assises, les congressistes éliront un nouveau secrétariat permanent du parti, en remplacement de celui issu du Ve congrès ordinaire tenu du 27 au 30 décembre 2019, à Kintélé.