Un appartement de Claudia Sassou N’Guesso à New York considéré comme bien mal acquis

Une demande de saisie aurait été déposée à la suite d’une plainte considérant cette maison appartenant à la fille du président congolais comme bien mal acquis.

 

Selon RFI, c’est un appartement d’angle d’environ 160 m2. Ladite maison qui appartiendrait à Claudia Sassou N’Guesso est situé dans un édifice appartenant à l’organisation Trump, le Trump international hotel and tower, est également équipé d’un spa et d’une piscine.

La même source révèle que l’appartement dispose de deux chambres, de fenêtres allant du sol au plafond et en conséquence d’une vue panoramique et absolument imprenable sur le célèbre parc situé au cœur de Manhattan.

Tout a commencé lorsque l’organisation non gouvernementale anti-corruption Global Witness avait affirmé en 2019 que l’appartement avait été acheté en 2014 par un homme d’affaires portugais représentant la fille du chef de l’État congolais, pour 7 millions de dollars. C’est à la suite de ces informations qu’une plainte à été déposée par les autorités fédérales américains. « L’argent utilisé pour le bien était une partie des quelque 19,5 millions de dollars de fonds de l’État congolais détournés par le biais de contrats fictifs, et ces fonds détournés ont été utilisés pour l’enrichissement personnel de la propriétaire. », selon la plainte.

Une demande de saisie a été déposée à la suite d’une plainte qui considère qu’il s’agit d’un bien mal acquis.

Neuilly-sur-Seine : cambriolage à la résidence de Danis Sassou N’Guesso

Des documents relatifs à des puits de pétrole et autres objets importants auraient disparu.

 

Une propriété appartenant au président Denis Sassou-Nguesso, située à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) a été cambriolée pendant la période de fête de noël. Des individus se seraient introduit par effraction dans la résidence du chef d’Etat en son absence entre le 23 et le 26 décembre dernier pour dérober.

Au premier étage au le forfait a été commis, le coffre-fort, qui était non-scellé, a été emporté. Dans le même étage se trouvaient plusieurs objets de valeur notamment des cartes d’identité, 18.000 euros, 6000 dollars, un chéquier, des bijoux, de la maroquinerie de luxe mais aussi des documents relatifs à des puits de pétrole.

Une enquête a été ouverte pour « vol par effraction » à la suite de la plainte du fils du président. L’information a été confirmé au Figaro par le parquet de Nanterre. Les investigations ont été confiées à la police judiciaire des Hauts-de-Seine.

Congo : Giannela Imbula serait impliqué dans une affaire de vol de voiture

Ce joueur congolais est au centre d’un problème lui opposant à un particulier qui l’accuse de vol de voiture.

Gianneli Imbula est impliqué dans une affaire de justice. Un particulier a porté plainte à ce joueur pour vol de voiture. L’ancien de l’OM quant à lui, réclame réparation pour « escroquerie » et « chantage ».

Les faits remontent à il y a deux ans. Une voiture d’Imbula est victime d’un accident de la circulation alors que l’un de ses cousins était au volant. Selon le camp d’Imbula, c’est un particulier qui aurait réparé le véhicule et celui-ci aurait obtenu un dédommagement de l’assurance.

Mais, le particulier annonce avoir acheté ledit véhicule. Et l’engin lui aurait été volé par le joueur. Gianneli Imbula dénonce une escroquerie et un chantage.

Congo : une plainte contre Claudia et Christel Sassou

Une plateforme d’ONG congolaises de défense des droits de l’homme et pour la démocratie a porté plainte vendredi 11 octobre devant le procureur de la république.

Christel Sassou Nguesso et Claudia Sassou N’Guesso, sont accusés par Global Witness d’avoir détourné plus de 70 millions du trésor public congolais. Ces ONG veulent que la justice congolaise apporte la lumière sur cette affaire de détournement dont sont impliqués ces parlementaires et enfants du président de la République.

« Nous attendons simplement que notre justice se saisisse de l’affaire. Nous voulons savoir si ces accusations de Global Witness sont justes ou infondées. Nous qui sommes congolais nous devons avoir plus d’information. La voix légale c’est la justice congolaise. Nous avons donc utilisé ce droit qui est fondamental », a déclaré Jo Washington

En août dernier, ces ONG avaient exigé la levée de l’immunité parlementaire de ces deux députés, mais ils n’avaient pas obtenu gain de cause.

Pour d’aucuns, cette plainte est une provocation.

« Lorsqu’au Congo les gens souffrent, ce n’est pas une provocation. La misère est tellement grande il y a des retraités qui ne sont pas payés, des étudiants qui souffrent. Est-ce une provocation de demander la vérité ? Au contraire c’est une provocation de détourner les fonds publics », a dit M. Ebina

Congo: une plainte contre Inès Bertille Néfer Ingani

La ministre de la Promotion de la femme est accusée de « diffamation » par le secrétariat national de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads/opposition).

Le secrétariat national de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads/opposition), Pascal Tsaty Mabiala a décidé, vendredi dernier à Brazzaville, de porter plainte contre la ministre de la Promotion de la femme, Inès Bertille Néfer Ingani pour diffamation, dans l’affaire d’un enregistrement audio posté sur les réseaux sociaux, incriminant le patron de l’opposition congolaise.

On rappelle que depuis plusieurs jours, un enregistrement audio attribué à la ministre Inès Bertille Néfer Igani fait le buzz sur les réseaux sociaux.

Dans cet audio où elle serait en conversation avec un jeune militant de la Force montante congolaise, la ministre de la Promotion de la femme, selon le parti créé par le Professeur Pascal Lissouba, aurait accusé Pascal Tsaty Mabiala d’avoir reçu de l’argent de certains cadres du Parti congolais du travail (PCT, parti au pouvoir) pour tenir des propos outrageux contre le député d’Oyo, Christel Sassou N’Guesso.

Il aurait fait le sale boulot, le 18 août, lors de l’interpellation du gouvernement à l’Assemblée nationale.

Réagissant à ce propos, le député (UPADS) de Loudima a balayé d’un revers de main toutes les accusations portées contre lui.

Il a marqué son indignation et condamné avec fermeté cette affirmation qu’il qualifie de « gratuite » et qui, selon lui, relève d’une pure et simple « diffamation ».