Philippe Labonne : « Personne ne s’attendait à ce que Bolloré parte en six mois »

Le président d’Africa Global Logistics (AGL), anciennement Bolloré Transport & Logistics (BTL), revient sur les évolutions de ces derniers mois au sein de l’entreprise, notamment dans les secteurs portuaire et maritime dans une interview accordée à Jeune Afrique.

 

Entré dans le groupe Bolloré en 1993, Philippe Labonne était aux premières loges lors des négociations portant sur le rachat, en décembre 2022, de Bolloré Transport & Logistics (BTL) par la compagnie maritime Mediterranean Shipping Company (MSC) pour un montant de 5,7 milliards d’euros.

À 57 ans, l’ancien directeur général adjoint de BTL fait partie des 23 000 salariés que l’armateur italo-suisse a conservés. Il tient toujours le gouvernail d’une entreprise rebaptisée Africa Global Logistics (AGL) à la n de mars 2023.

Pour la première fois, Philippe Labonne décrit les conséquences de cette opération pour l’entreprise et, plus encore, pour la desserte maritime et logistique de l’Afrique, dont AGL, au sein de MSC, est l’un des principaux acteurs.

Il y a quelques mois encore, vous étiez à la tête de Bolloré Transport & Logistics (BTL), appelé à disparaître à la suite de son rachat par MSC pour la partie africaine et par CMA CGM pour l’ensemble des autres actifs. Que vous inspire ce changement aussi rapide que soudain ?

Il correspond à l’évolution globale du secteur. Nous sommes à une période charnière pour le commerce international. Après la pandémie de Covid-19 ou la guerre en Ukraine, les grands acteurs économiques mondiaux anticipent désormais les crises et redirigent leurs flux vers le Moyen-Orient, le sud-est asiatique et l’Afrique. Le continent va donc bénéficier d’une relocalisation d’investissements qui étaient destinés précédemment à la Chine, au moment où le développement des nouvelles technologies l’aidera à devenir un acteur crédible pour la production de biens.

Autre événement dont il faut absolument tenir compte : la transition énergétique. Là encore, le continent dispose d’atouts qui pourraient lui permettre de faire un leap-frog, en passant directement à une production d’énergie propre à des coûts très compétitifs. Tout cela oblige aujourd’hui à repenser les chaînes logistiques à l’échelle de la planète.

Pensez-vous être davantage en mesure, aujourd’hui, de répondre à cette évolution du continent ?

Le fait d’appartenir à un groupe qui exerce dans ses domaines spécifiques d’activité (transport maritime et logistique) au développement desquels il consacre ses ressources, est plus porteur, pour nous, que de faire partie d’un conglomérat multisectoriel comme c’était le cas précédemment.

Quelles sont les ambitions d’AGL en Afrique ?

Comme Diego Aponte [le président de MSC] l’a armé, nous nous inscrivons dans la continuité de ce qu’a fait le groupe Bolloré, en étant un acteur de la croissance durable de l’Afrique. Notre priorité est de développer notre portefeuille de concessions portuaires tout en garantissant la productivité de nos installations sur le continent.

AGL se veut un levier au service des économies africaines, dans le cadre des transitions globales où le continent est engagé, qu’il s’agisse de la croissance démographique, de l’amélioration du niveau de vie, de la transition énergétique, du développement du commerce intra-africaine ou de l’industrialisation. Nous comptons, pour cela, poursuivre nos investissements dans tous les segments de la chaîne multimodale, dont le rail, pour lequel MSC a développé un savoir-faire reconnu avec sa filiale Medway.

Avez-vous été surpris que le groupe Bolloré abandonne le secteur du transport et de la logistique, qui a pourtant été son fleuron pendant des décennies ?

Personne ne s’attendait à ce qu’il parte en six mois. Vincent Bolloré a su faire preuve d’une grande agilité. C’est un génie dans son style, avec sa propre stratégie, que rares sont ceux à pouvoir prédire. Sa décision peut s’expliquer par le fait que son groupe n’était pas uniquement présent dans la filière transport, où les enjeux ont considérablement changé de taille ces dernières années. Il était donc peut-être plus raisonnable, en effet, de passer la main à un acteur qui ache plus d’envie et de capacités d’investir dans le secteur.

Cela signifie-t-il que seuls des acteurs spécialisés peuvent se faire une place ?

Dans tous les métiers et dans toutes les filières, nous assistons à l’émergence de géants de taille mondiale, ainsi qu’à la massification des volumes et des échanges. Il devient donc de plus en plus difficile pour un outsider de se démarquer.

Confirmez-vous qu’AGL reste le correspondant de BTL en Afrique ?

Nous allons continuer à travailler ensemble, tout en nous ouvrant aux autres réseaux qui cherchent à développer leurs activités en Afrique pour le compte de leurs clients. Nous restons multi-usagers, capables de charger les marchandises sur les navires de plusieurs compagnies et de travailler avec différents partenaires logistiques, dans l’objectif de fournir le meilleur service possible à nos clients

L’opération de rachat par MSC a été validée en moins d’un an. Il semble que ce qui a pris le plus de temps et s’est révélé le plus difficile a été de rassurer les autorités des pays concernés…

Nous avons en effet dû leur expliquer le projet, ce qui est normal puisque nous sommes acteur d’un partenariat public-privé. Les autorités confient à un opérateur privé une partie du patrimoine national ; elles s’attendent donc, en cas de changement, à ce que le nouvel actionnaire vienne se présenter, expliquer son projet et confirmer que les engagements pris seront respectés. C’est ce qui a été fait auprès de autorités publiques africaines, de nos clients et de notre personnel.

Comment ce changement a-t-il été perçu dans les capitales africaines ?

Tout le monde a bien compris que MSC était le mieux placé pour reprendre les actifs d’AGL. Le réseau est aujourd’hui entre les mains d’un armateur qui a clairement choisi de se concentrer sur son secteur d’activité au sens large et de s’engager en faveur du développement de l’Afrique.

MSC attend de nous que les infrastructures portuaires deviennent encore plus performantes, qu’elles soient gérées avec la plus grande efficacité et ce, pour l’ensemble de nos clients, c’est-à-dire pour les compagnies maritimes.

Notre priorité est d’améliorer la productivité de nos terminaux. Pour cela, nous allons suivre une stratégie d’anticipation de nos investissements de manière à garantir la fluidité de nos opérations, d’où nos projets d’extension à Pointe-Noire, à Conakry…Nous cherchons toujours être en avance d’une étape, ce qui bénéficiera à l’ensemble des acteurs de la filière.

Grâce à cette acquisition AGL retrouve-t-il des capacités d’investissements plus importantes ?

Elles sont en effet supérieures à ce qu’elles étaient. Nous ne sommes plus dans un groupe au sein duquel nous devions partager les ressources nancières avec d’autres secteurs d’activité. Nous sommes aujourd’hui au cœur du réacteur.

Qui, d’AGL ou de MSC, prend les décisions d’investir ou de désinvestir ?

Nous disposons d’une délégation d’autorité (DOA), et la stratégie arrêtée par le conseil d’administration est mise en œuvre par AGL. En fonction d’un certain seuil d’investissement et de désinvestissement, les dossiers sont présentés au conseil d’administration, qui les valide.

Depuis le rachat, tout le monde insiste sur la grande autonomie dont dispose AGL au sein de MSC. Est-ce effectivement le cas ?

Oui, nous bénéficions d’une large autonomie, dans un cadre de gouvernance bien déni. Le conseil de surveillance est composé de quatre personnes, Ela Aponte [l’épouse de Diego, le président de MSC], Nicolas Sartini, vice-président du développement chez MSC et moi-même, placé sous la présidence de Hugues Favard, directeur des investissements de MSC. Il se réunit régulièrement pour valider les budgets. C’est un fonctionnement classique, mais avec une grande liberté d’exécution, où on cherche toujours à créer de la valeur pour le groupe MSC.

Développez-vous les synergies avec Terminal Investment Limited (TIL), la filiale portuaire de MSC ?

TIL est beaucoup plus grand que nous. Nous sommes un acteur régional, ils sont de taille mondiale. Bien entendu, nous avons ouvert les discussions pour comparer nos pratiques et faire en sorte de nous inspirer mutuellement. Mais nous ne sommes pas la filiale africaine de TIL Notre actionnariat est différent.

Qui, au sein du groupe MSC, va gérer le terminal de Douala, perdu par BTL au profit de TIL ?

Il faut poser la question aux autorités camerounaises. Nous sommes prêts à discuter avec elles du cadre à mettre en place pour que MSC participe au mieux au développement du port et du pays.

Comment le différend qui a opposé pendant cinq ans BTL à la direction portuaire de Lomé a-t-il été résolu ?

Les autorités togolaises ont souhaité profiter de la transaction avec MSC pour tourner la page et ouvrir une nouvelle ère dans notre partenariat. Il n’y a plus aujourd’hui de litige, toutes les plaintes ont été retirées. Et AGL s’est engagé à faire d’importants investissements pour hâter le développement du port.

L’État togolais en a profité pour augmenter sa participation au capital de votre terminal. Quelques semaines plus tard, le Sénégal faisait de même sur les installations portuaires gérées par DP World, à Dakar. Assiste-t-on à un rééquilibrage entre partenaires privés et public ?

Il existe plusieurs schémas de mise en concession, et ce sont les États qui décident de la manière dont ils veulent gérer leur patrimoine. Les contrats de concession sont aujourd’hui très protecteurs des intérêts des États puisque ces derniers restent propriétaires des actifs.

Il faut différencier l’État autorité de régulation, qui fixe les règles, de l’État actionnaire, qui doit être traité à égalité avec les autres. S’il est tout à fait compréhensible que les pouvoirs publics souhaitent être associés à l’exploitation d’un terminal, ils doivent le faire dans des conditions équivalentes aux autres actionnaires, en assumant leur part d’investissements. Certains pays sont intéressés, d’autres préfèrent allouer leurs ressources à d’autres domaines. Il n’existe pas qu’un seul chemin vertueux en la matière.

Pensez-vous que ce soit une bonne chose pour le secteur de voir les armateurs « débarquer » sur les terminaux ?

Oui, car ce sont des acteurs qui apportent des flux de marchandises dans les ports. Quand un opérateur développe une plateforme portuaire et compte un armateur parmi ses actionnaires, il bénéficie donc de ces flux. Les armateurs sont nos clients en même temps que nos fournisseurs, pour la partie portuaire mais aussi pour la partie logistique, où leur soutien permet d’apporter davantage de solutions et de capacités. Mieux vaut voir arriver sur les quais des compagnies maritimes, qui connaissent très bien leur secteur et ont une approche industrielle fondée sur la performance, que de purs nanciers, intéressés par des intérêts à plus court terme.

Vincent Bolloré est aussi un nancier…

Non, c’est un industriel qui a une vision patrimoniale de son groupe mais qui connaît très bien les métiers. S’il n’avait été qu’un nancier, il n’aurait certainement pas investi dans le domaine portuaire africain il y a vingt ans.

Les craintes portant sur le traitement équitable entre les compagnies maritimes sur les terminaux sont-elles fondées ?

Nous avons déjà eu, par le passé, un actionnaire qui était aussi armateur. Nous travaillons aujourd’hui sur certains terminaux avec des partenaires qui sont également armateurs, et nous avons toujours fait preuve de neutralité. Nos structures ont besoin de tous les flux des différentes compagnies maritimes pour se développer.

Il faut également compter avec les engagements pris en matière d’égalité de traitement et que nous devons respecter dans le cadre de notre contrat de délégation. Enfin, les armateurs sont très vigilants quant à la manière dont ils sont traités face à la concurrence. Notre intérêt est de voir les ports se développer. MSC cherche, certes, à augmenter ses activités mais en contribuant à la prospérité de l’Afrique, de manière à pouvoir en bénéficier en toute légitimité.

Où comptez-vous investir, sur le continent ?

Il existe près de 240 projets de zones logistiques industrielles en Afrique. Nous sommes prêts à investir dans un certain nombre d’entre elles, soit en tant que promoteur soit en tant que simple opérateur logisticien. Les arbitrages se feront en fonction de l’environnement de chaque dossier.

Il reste également quelques projets portuaires importants, que nous suivons de près. Pour nous, l’essentiel est de participer à la consolidation et à l’amélioration de l’écosystème portuaire et logistique du continent en développant des plateformes dans les ports ou autour des ports, en améliorant la connectivité entre les plateformes portuaires et logistiques, les villes et les hinterlands.

Le vrai dé auquel nous sommes confrontés est d’accompagner le développement industriel et agricole du continent an que celui-ci puisse réaliser pleinement son potentiel. Nous souhaitons mettre en place une logistique intégrée, en stockant au plus près des zones de production plutôt que dans les ports, pour pouvoir charger les marchandises le plus tôt possible dans les conteneurs. Notre logique, à long terme, est d’accompagner la transformation du continent en gardant un œil sur tous les secteurs d’activité qui contribuent à l’amélioration du niveau de vie des Africains.

Vous vous inscrivez donc dans la logique continentale de la Zlecaf ?

Nous voulons contribuer à sa concrétisation, mais c’est aux États de la mettre en œuvre. Pour qu’un tel projet puisse se matérialiser, beaucoup d’efforts politiques restent à faire.

Cela vous pousse-t-il à regarder davantage vers l’est et le sud du continent, où AGL est moins présent qu’en Afrique de l’ouest et en Afrique centrale ?

Nous avons toujours tourné nos regards vers ces régions. En matière de logistique, nous sommes présents en Éthiopie, en Tanzanie et au Kenya. Nous sommes leader au Mozambique, et avons été les premiers à servir le Soudan du Sud. Nous sommes très intéressés par le domaine portuaire de ces régions, mais encore faut-il que les terminaux soient mis en concession. Au Kenya ou en Afrique du Sud, les infrastructures sont encore à 100% publiques. Nous avions répondu à l’appel d’offres de Mombasa, mais il a été suspendu.

Quels sont les dossiers portuaires les plus importants à venir ?

Mombasa, justement, mais aussi Dar-es-Salaam et, surtout, les grands projets de privatisation en Afrique du Sud. Dans le rattrapage qui reste à faire le long de la côte orientale, le secteur privé peut jouer un rôle majeur. Il reste également d’importants investissements à réaliser sur la façade Atlantique. Le Nigeria est sous-équipé ; la Côte d’Ivoire, avec son taux de croissance, aura de plus en plus besoin de San Pedro…

Quel bilan tirez-vous de ces premiers mois à la tête d’AGL ?

L’arrimage s’est passé de la manière la plus efficace possible de sorte que l’ensemble des équipes AGL se sentent pleinement intégrées à la grande famille MSC. Nous appartenons à un acteur puissant du secteur, qui mène une politique très axée sur les métiers et qui a une stratégie industrielle orientée vers l’Afrique. Nous sortons d’une phase de consolidation pour entrer dans une nouvelle ère de redéploiement stratégique, où l’accent est mis sur la partie logistique et sur la connectivité des ports.

Le plus important, pour nous, est de nous installer dans les grands corridors qui vont traverser l’Afrique. Nous suivons également avec beaucoup d’attention certains dossiers portuaires hors d’Afrique, en Haïti par exemple. Nous regardons également de très près le marché indonésien, à partir du Timor Oriental, où nous sommes présents depuis 2011 et qui offre des perspectives très intéressantes.

Ressentez-vous déjà cet ADN, si souvent mis en avant par le groupe MSC ?

Cette compagnie a clairement un ADN d’armateur, avec une vraie passion pour le transport maritime. Gianluigi Aponte a été un très grand capitaine d’industrie, qui a mis moins de cinquante ans pour créer le leader mondial du secteur, et ce, uniquement par croissance organique. La force de la famille Aponte est d’être à la fois humble et ambitieuse. Ces valeurs, qui sont également celles de MSC, sont une source d’inspiration pour les équipes d’AGL

Christophe PUJATE : « nous souhaitons être le spécialiste de l’Afrique au service de nos clients »

Christophe Pujate, Directeur Régional Africa Global Logistics Congo/RD Congo participe à Africa CEO Forum qui se tient à Abidjan du 5 au 6 Juin 2023. Une occasion pour annoncer les investissements réalisés au Congo et les projets d’investissements à venir. C’est dans ce contexte que nous avons réalisé cette interview.

 

AGL a repris les actifs de Bolloré Transport & Logistics depuis le mois de décembre 2022.  Comment les employés l’ont-ils vécu, les postes ont-ils été conservés, il y a-t-il eu des départs ? 

Cela s’est très bien passé car dès l’annonce de MSC de racheter les actifs de Bolloré Transport & Logistics à travers sa maison mère BAL, nous avons expliqué qui était le groupe MSC peu connu au Congo et nous avons tenu nos salariés au courant de l’évolution de la situation par le biais des délégués du personnel.

De plus l’article 45 du code du travail protège efficacement les droits des travailleurs dans le cas d’une reprise d’activités. A ce jour nos effectifs sont stables.

La concession Congo Terminal date de 2009. Pouvez-vous nous parler de son évolution à date ?  Votre programme d’investissements se poursuit-il pour la modernisation du terminal à conteneurs ?  Où en êtes-vous exactement ? 

La concession de Congo Terminal a été signée en 2009. Elle correspond à une véritable vision de son excellence le Pdt DSN de faire de PNR un Hub sous-régional. Aujourd’hui grâce à la confiance accordée au groupe Bolloré, nous avons investi environ 400 Millions d’euros de CAPEX, traités plus d’un million de conteneurs en 2022 soit 5 fois plus qu’en 2009 et embauché plus de 900 personnes. AGL via sa filiale Congo Terminal va poursuivre la modernisation des équipements existants mais souhaite aussi participer à l’extension du terminal.

Votre entreprise est souvent présentée comme une société très performante.  Ne faites-vous pas face à quelques contre-performances ou difficultés notamment depuis votre rachat.  Si oui, lesquelles ? 

Je vous remercie de reconnaître la qualité du travail des équipes d’AGL. Nous sommes un spécialiste de l’Afrique et nous voulons offrir le meilleur service à nos clients en Afrique mais aussi en Inter Afrique. Depuis l’arrivée de notre nouvel actionnaire, celui-ci a particulièrement insisté sur le fait qu’il souhaitait que les deux parties s’attachent à créer de la valeur et non à faire des synergies. En termes clairs à développer notre business plutôt que de regarder à réduire nos charges par une augmentation de nos marges. Cela nous engage donc à être plus performant et nous rend optimiste pour la suite.

Avez-vous prévu des investissements particuliers dans un des secteurs clés de la logistique ?

Comme je l’ai évoqué précédemment, nous souhaitons continuellement apporter des solutions à nos clients sur l’Afrique. Dans cette optique nous souhaitons leur assurer des liaisons du monde vers l’Afrique mais aussi inter Afrique. Tout ce qui va concourir à cet objectif sera source d’investissement.

Pour le Congo en particulier, nous souhaitons développer encore plus notre rôle dans la logistique pétrolière et devenir un partenaire incontournable des majors. Tant sur les normes RSE, HSE que sur notre appui en matériels de transport et levage respectueux de l’environnement.

Pourquoi AGL est-il prêt à investir autant dans ses filiales congolaises ?  D’ailleurs ces investissements concernent-ils toutes les filiales ? Quelle valeur ajoutée ont-ils pour le pays ?

Au Congo, nous avons trois sociétés pour un effectif global supérieur à 1.500 personnes en CDI. Plus de 99% de nos effectifs sont Congolais. Nombres d’entre eux sont des cadres de nos entreprises à des postes clés, DAG de filiale, responsable transit, responsable livraison, logistique, contrôleur de gestion pays, et j’en passe. Plusieurs sont également des femmes, la parité, la performance sont au cœur de notre politique RH.

Nous investissons donc dans tous les domaines :

  • La formation à la conduite d’engins, grues, élévateurs
  • La formation HSE
  • La formation ISPS, RSE
  • Le management

Sans ces formations, inutile d’investir dans l’infrastructure et le matériel.

Pour ce qui est des investissements par société j’ai déjà évoqué plus haut ce que le Groupe AGL souhaite faire pour CT, pour AGL Congo. Enfin pour TBC qui est le port de BZV, nous sommes en discussion avec les autorités pour donner une nouvelle dynamique à ce port.

Avez-vous un mot pour la fin ?

Le mot de la fin sera pour rappeler les valeurs de AGL :

  • L’Humilité : nous souhaitons être le spécialiste de l’Afrique au service de nos clients, Vers l’Afrique et au travers de l’Afrique. Vous avez souligné notre qualité de service nous souhaitons la mettre au service de nos clients.
  • La Passion : nous avons la passion de l’Afrique. Plus de 99% de nos effectifs sont africains. Depuis que nous sommes en Afrique cela n’a pas été un long fleuve tranquille mais notre abnégation, nos effectifs et demain encore la qualité de notre nouvel actionnaire va nous permettre d’alimenter cette passion.
  • L’Agilité, il en faut car comme le reste du monde l’Afrique évolue et évolue vite il nous faut donc être agile, flexible réactif afin de proposer des solutions toujours plus innovantes à nos clients.
  • Solidaire : Nous devons être au service de ceux qui nous entourent et rendre une partie de ce que l’Afrique nous donne.

 

Journée africaine de la sécurité routière : Bollore Transport & Logistics mobilise ses équipes

Du 18 au 21 novembre 2022, à l’occasion de la 11e journée africaine de la sécurité routière, Bolloré Transport & Logistics Congo a organisé plusieurs sessions de sensibilisations sur les mesures en vigueur pour lutter contre les accidents. Plus de 400 salariés ont participé à ces sessions organisées sur les sites opérationnels de Pointe-Noire et Bondi.

 

Celles-ci ont repris les mesures concernant l’analyse annuelle des risques, le contrôle des équipements, le respect des processus de mise en route des camions et du code de la route. D’autres éléments interviennent quotidiennement dans la sensibilisation du personnel, la géolocalisation des véhicules en temps réel, les tests d’alcoolémie, le survey sur des zones à risques et le permis à point. Ce dernier est un projet qui s’appuie sur les 14 règles de conduite de Bolloré Transport et Logistics et qui permet de suivre, évaluer, former, encourager ou reprendre les comportements des chauffeurs en attribuant des bonus et / ou malus.

« Le contrôle régulier des équipements et le respect des consignes en matière de sécurité routière sont au cœur de notre engagement. Nous faisons de chaque chauffeur, un acteur majeur de lutte contre les accidents de la route » déclare Christophe PUJALTE, Directeur Régional Bolloré Transport & Logistics Congo / RD Congo.

L’ensemble de ces sujets a permis à Bolloré Transport & Logistics de réduire de plus de 33% les accidents routiers entre 2019 et 2022 et ce malgré l’accroissement de son parc automobile. L’entreprise, poursuit ses actions de prévention des risques routiers avec l’objectif d’atteindre zéro accident sur
l’année.

À propos de Bolloré Transport & Logistics au Congo

Présent au Congo dans le transport et la logistique, Bolloré Transport & Logistics compte 1500 collaborateurs congolais à travers ses agences et ses filiales portuaires et logistiques. Implanté à Pointe-Noire, Brazzaville et Dolisie, l’entreprise déploie des systèmes de management QHSE reposant sur des référentiels reconnus tels que l’ISO 4500. Bolloré Transport & Logistics s’investit dans l’amélioration des compétences de ses collaborateurs et participe activement au développement socio-économique du pays au moyen d’actions de responsabilité sociétale dans les secteurs de l’éducation, la réinsertion sociale, la préservation de l’environnement et l’accompagnement humanitaire.

Plus 500 collaborateurs des filiales congolaises du groupe Bollore mobilises pour la 7eme édition du marathon day

Le 29 septembre 2022, à l’occasion de la 7ème édition du Marathon Day, plus de 500 collaborateurs de Bolloré Transport & Logistics et Vivendi ont participé au Marathon day à Pointe-Noire et Brazzaville.

 

A Pointe-Noire, un parcours de 5.6 km dans l’enceinte portuaire a été suivi par près de 500 collaborateurs au départ du cercle civil. A Brazzaville, près de 100 collaborateurs sont partis de Canal Olympia Poto-Poto à la case de Gaulle marchant et courant en aller-retour. Toutes les filiales congolaises du Groupe Bolloré étaient présentes : Bolloré Transport & Logistics, Canal +, Canal Olympia, GVA Congo, Congo Terminal et Terminaux du Bassin du Congo (TBC).

« Cette année, la course coïncide avec les 200 ans du Groupe Bolloré. C’est un moment historique pour nos équipes. Un symbole d’unité et de solidarité. Le Marathon day est une course de solidarité qui vise à lever des fonds en faveur de ceux qui sont dans le besoin » soutient Christophe PUJALTE, Directeur Régional Bolloré Transport & Logistics Congo/RD Congo.

Le Marathon Day est la course solidaire du Groupe Bolloré lancée à l’initiative de son Président Directeur Général Cyrille Bolloré. Elle se tient tous les derniers jeudis du mois de septembre et invite tous les collaborateurs du monde entier à se rassembler pour parcourir le plus grand nombre de kilomètres en marchant et/ou courant. Année anniversaire du Groupe Bolloré qui fête ses 200 ans, les 73 000 collaborateurs répartis dans 130 pays se sont mobilisés pour parcourir ensemble 200 000 km.

À propos de Bolloré Transport & Logistics au Congo

Présent au Congo dans le transport et la logistique, Bolloré Transport & Logistics compte 1500 collaborateurs congolais à travers ses agences et ses filiales portuaires et logistiques. Implanté à Pointe Noire, Brazzaville et Dolisie, l’entreprise déploie des systèmes de management QHSE reposant sur des référentiels reconnus tels que l’ISO 4500. Bolloré Transport & Logistics s’investit dans l’amélioration des compétences de ses collaborateurs et participe activement au développement socio-économique du pays au moyen d’actions de responsabilité sociétale dans les secteurs de l’éducation, la réinsertion sociale, la préservation de l’environnement et l’accompagnement humanitaire

Les collaborateurs de Congo Terminal et Bollore transport & Logistics Congo se mobilisent pour assainir l’environnement

Dans le cadre de la semaine internationale de la protection de l’environnement, les collaborateurs de Congo Terminal et Bolloré Transport & Logistics Congo, ont participé massivement jeudi 9 juin dernier à la collecte des déchets qui jonchent la plage voisine du terminal à conteneurs de Pointe-Noire.

 

Le jeudi 9 juin 2022, dans le cadre de la semaine internationale de la protection de l’environnement les collaborateurs de Congo Terminal et Bolloré Transport & Logistics Congo ont participé massivement à la collecte des déchets qui jonchent la plage voisine du terminal à conteneurs de Pointe-Noire. Au total plus de deux tonnes de déchets dont 90% du plastique ont été récoltés et confiés à un sous-traitant en charge des déchets portuaires pour destruction.

Dans l’enceinte du Port autonome de Pointe-Noire, un piège à sable borde le terminal à conteneurs. L’Océan y rejette de nombreux de détritus : plastique, verre, métal, etc. Les collaborateurs des deux entreprises se sont constitués en binôme pour procéder à l’assainissement de ce site.

« Notre engagement pour l’environnement ne faiblit pas. Nous organisons régulièrement le nettoyage de cette plage et accentuons nos actions pour un Green Terminal. C’est notre contribution pour préserver la planète. Car nous n’avons qu’une seule terre » précise Anthony SAMZUN, Directeur Général Congo Terminal.

Depuis plusieurs années Bolloré Transport & Logistics et ses filiales restent mobilisés sur la réduction de l’empreinte carbone liées à leurs activités. Outre la consommation responsable, le tri et le recyclage des déchets, des actions visant à dépolluer l’environnement, sensibiliser les salariés et les populations riveraines sont régulièrement organiser en vue d’impliquer pleinement toutes les parties prenantes aux questions environnementales.

À propos de Bolloré Transport & Logistics au Congo

Présent au Congo dans le transport et la logistique, Bolloré Transport & Logistics compte 1500 collaborateurs congolais à travers ses agences et ses filiales portuaires et logistiques. Implanté à Pointe Noire, Brazzaville et Dolisie, l’entreprise déploie des systèmes de management QHSE reposant sur des référentiels reconnus tels que l’ISO 4500. Bolloré Transport & Logistics s’investit dans l’amélioration des compétences de ses collaborateurs et participe activement au développement socio-économique du pays au moyen d’actions de responsabilité sociétale dans les secteurs de l’éducation, la réinsertion sociale, la préservation de l’environnement et l’accompagnement humanitaire.

Bolloré Transport & Logistics RDC livre 700 tonnes de matériaux pour la construction de logements à Kinshasa

Durant le dernier trimestre de l’année 2021, Bolloré Transport & Logistics a achevé pour le compte d’une ONG locale un projet visant à fournir 700 tonnes de matériaux qui serviront à la construction de 26 logements à Kinshasa. Cette opération exceptionnelle, qui s’est déroulée sur plusieurs mois, a mobilisé le savoir-faire des équipes en Chine d’où a été exportée la cargaison par voie maritime et en RDC pour assurer la livraison jusque sur le site.

 En coordination avec les spécialistes du réseau en charge des projets industriels, un long travail de préparation a été élaboré pour mettre en place un plan de transport de bout en bout faisant intervenir de nombreux experts (ingénieurs, douanes, logistique…). Une fois les marchandises dédouanées, 5 convois ont été réalisés sous escorte depuis le port de Matadi jusqu’à Kinshasa et 17 camions de 40 pieds utilisés pour les besoins de ce projet.

 Des solutions sur-mesure ont par ailleurs été déployées pour faire face aux situations complexes. Des extensions ont notamment été ajoutées à 6 des 11 camions utilisés pour transporter les modules atteignant jusqu’à 17 mètres de long et une grue de 250 tonnes a été importée depuis la France pour favoriser l’installation de ces équipements sur le site du client. Au-delà des aspects techniques, les équipes de Bolloré Transport & Logistics ont aussi coordonné en parallèle avec les autorités locales toutes les étapes de transport pour garantir le transfert des équipements en toute sécurité.

 « Bolloré Transport & Logistics a su lier son expertise et les exigences requises par notre client pour garantir le succès de ce projet de grande ampleur. Nous sommes fiers d’avoir pu mener à bien cette opération qui a mobilisé les compétences techniques de nos équipes en RDC et en Chine tout en démontrant une parfaite coordination entre toutes les parties prenantes. » a déclaré Eric KALALA, Président Directeur général de Bolloré Transport & Logistics République Démocratique du Congo.

 À propos de Bolloré Transport & Logistics en RDC

 Bolloré Transport & Logistics est un acteur de référence de la logistique en République Démocratique du Congo. Il assure le transport, le stockage, l’entreposage et la livraison des marchandises au travers de ses 25 agences déployées dans tout le pays. Spécialiste de la consignation maritime, commissionnaire agréé en douane, il offre des solutions logistiques sur-mesure et apporte son expertise aux opérateurs miniers. Fort de ses 800 collaborateurs, Bolloré Transport & Logistics RDC participe au développement socio-économique du pays dans plusieurs domaines notamment le secteur de la santé, l’éducation et l’environnement.

Plus de 3 200 personnes de Bolloré Transport & Logistics vaccinées contre la covid-19

Du 21 août au 18 décembre 2021, Bolloré Transport & Logistics a mené une campagne de vaccination auprès de ses collaborateurs à Pointe-Noire et Brazzaville.

 

En quatre mois, plus de 3 200 personnes (en incluant les salariés, les membres de leurs familles et les entreprises sous-traitantes) ont accepté de se faire vacciner contre la Covid-19 pour contribuer à l’effort collectif et lutter efficacement contre l’épidémie.

Dans ce but, un point de vaccination a été ouvert dans chacune des deux villes pour accueillir les volontaires de toutes les entités du Groupe Bolloré (Bolloré Transport & Logistics Congo, Canal+, Congo Terminal, Group Vivendi Africa et Terminaux du Bassin du Congo). Les participants ont pu notamment choisir leurs vaccins entre tous ceux qui étaient disponibles : Sinopharm (deux doses), Spoutnik light (unidose) ou Janssen (unidose).

« Nos équipes ont pris conscience que la lutte contre la Covid-19 passe également par la vaccination qui est essentielle pour se protéger et protéger les personnes les plus vulnérables contre les formes graves de la maladie. Grâce au travail de sensibilisation que nous initié en amont, nous avons pu compter sur la participation de plus de 70 % de nos collaborateurs. » a déclaré Christophe PUJALTE, Directeur Régional Bolloré Transport & Logistics Congo/République Démocratique du Congo.

Deux séances de sensibilisation en visio-conférence et six en présentiel ont précédé cette campagne de vaccination. Elles ont permis de rappeler l’importance de la vaccination, d’aborder avec simplicité l’ensemble des inquiétudes du personnel et de prévenir la désinformation.

À propos de Bolloré Transport & Logistics au Congo

Présent au Congo dans le transport et la logistique, Bolloré Transport & Logistics compte 1500 collaborateurs congolais à travers ses agences et ses filiales portuaires et logistiques. Implanté à Pointe Noire, Brazzaville et Dolisie, l’entreprise déploie des systèmes de management QHSE reposant sur des référentiels reconnus tels que l’ISO 4500. Bolloré Transport & Logistics s’investit dans l’amélioration des compétences de ses collaborateurs et participe activement au développement socio-économique du pays au moyen d’actions de responsabilité sociétale dans les secteurs de l’éducation, la réinsertion sociale, la préservation de l’environnement et l’accompagnement humanitaire.

Bolloré Transport & Logistics Congo s’engage pour la lutte contre le VIH/Sida en milieu scolaire

Du 1er au 03 décembre 2021, à l’occasion de la journée internationale de lutte contre le VIH/Sida, plus de 500 jeunes ont été sensibilisés par l’entreprise sur la prévention et le dépistage contre le VIH/Sida et les maladies sexuellement transmissibles (MST) en milieu scolaire.

Associés au personnel de l’ACBEF (Association Congolaise pour le Bien-être Social), les pairs éducateurs de Bolloré Transport & Logistics et de sa filiale Congo Terminal, ont participé à une action de sensibilisation au Collège d’Enseignement Général (CEG) 30 mars de Pointe-Noire. Une séance de dépistage contre le VIH/Sida et les MST a également été proposée au cours de cette journée et a mobilisé au total plus de 300 élèves.

Pour Franck KINANGA, Directeur Juridique Pays « Nous avons pour ambition de donner à la jeunesse les clés de son autonomie. C’est pourquoi nous nous devons de les sensibiliser sur l’existence du VIH/Sida et d’autres maladies sexuellement transmissibles qui présentent toujours une menace. Notre champ d’actions dépasse le cadre de la sensibilisation puisque nous prenons également en charge 100 % des frais de dépistage volontaire et anonyme. »

Klement MVEMBE, Coordonnateur ACBEF Pointe-Noire, explique à son tour : « Nous intervenons en milieu scolaire pour freiner la propagation du VIH/Sida parmi les jeunes adolescents et prévenir les grossesses précoces qui sont la principale cause de décrochage scolaire pour les jeunes filles. Cette action est d’autant plus importante que notre population est constituée de plus de 50 % de jeunes ». Chaque année, Bolloré Transport & Logistics et ses filiales se mobilisent à l’occasion de la journée internationale de lutte contre le VIH/Sida et organisent pour leurs salariés et ayants droits des campagnes de sensibilisation ainsi que des séances de dépistage volontaire pour agir de manière durable et efficace.

À propos de Bolloré Transport & Logistics au Congo

Présent au Congo dans le transport et la logistique, Bolloré Transport & Logistics compte 1500 collaborateurs congolais à travers ses agences et ses filiales portuaires et logistiques. Implanté à Pointe Noire, Brazzaville et Dolisie, l’entreprise déploie des systèmes de management QHSE reposant sur des référentiels reconnus tels que l’ISO 4500. Bolloré Transport & Logistics s’investit dans l’amélioration des compétences de ses collaborateurs et participe activement au développement socio-économique du pays au moyen d’actions de responsabilité sociétale dans les secteurs de l’éducation, la réinsertion sociale, la préservation de l’environnement et l’accompagnement humanitaire.

Bolloré Transport & Logistics soutient le projet d’installation d’une unité de services essentiels au profit des villages du fleuve Congo

Au mois d’Octobre dernier, Congo Terminal et les Terminaux du Bassin du Congo, filiales de Bolloré Transport & Logistics, ont apporté leur soutien aux associations « Pot@maï » et « Aide à l’Enfance » en prenant en charge tous les frais de transport et de logistique pour faciliter l’installation d’une Unité de Services Essentiels (USE) au profit des villages bordant le fleuve Congo.

Alimentée par une hydrolienne flottante, ce dispositif alimentera toute l’année 3 villages d’environ 3000 personnes autour de Loubassa avec une production de 10kW 24h/24. Elle permettra à ces villages enclavés sur les berges du fleuve Congo d’avoir un accès à l’eau potable, de stocker les produits agroalimentaires et de bénéficier d’une autonomie énergétique pour favoriser l’essor de l’agriculture locale.

« Ce projet est une belle initiative et je suis contente d’y prendre part. Grâce à l’intervention des associations Pot@maï et Aide à l’Enfance ainsi que le soutien de Bolloré Transport & Logistics, le village va pouvoir avoir accès à l’eau potable et à l’électricité ce qui lui permettra de gagner en autonomie » a indiqué Christ Loubelo, bénévole participant à la logistique du projet.

« Nous accompagnons ce projet qui s’inscrit parfaitement dans notre démarche RSE. Il répond ainsi à un double objectif : favoriser la transition énergétique et soutenir les populations locales afin d’améliorer leur qualité de vie. La crise sanitaire mondiale rend tout ceci encore plus indispensable au regard de la dégradation des conditions de vie des plus vulnérables » a réagi Anthony Samzun, Directeur général de Congo Terminal.

À propos de Bolloré Transport & Logistics au Congo

Présent au Congo dans le transport et la logistique, Bolloré Transport & Logistics compte 1500 collaborateurs congolais à travers ses agences et ses filiales portuaires et logistiques. Implanté à Pointe Noire, Brazzaville et Dolisie, l’entreprise déploie des systèmes de management QHSE reposant sur des référentiels reconnus tels que l’ISO 4500. Bolloré Transport & Logistics s’investit dans l’amélioration des compétences de ses collaborateurs et participe activement au développement socio-économique du pays au moyen d’actions de responsabilité sociétale dans les secteurs de l’éducation, la réinsertion sociale, la préservation de l’environnement et l’accompagnement humanitaire.

Éric Kalala Nsantu, nouveau Président Directeur Général de Bolloré Transport & Logistics RDC

Éric KALALA NSANTU est le nouveau Président Directeur Général de Bolloré Transport et Logistics en RDC. Directeur Général depuis 2019 de la filiale congolaise, il succède ainsi à François KANIKI qui a été Président du Conseil d’Administration de Bolloré Transport & Logistics pendant plus de dix ans. Éric KALALA NSANTU possède une solide expérience dans les métiers de la gestion financière et de la logistique minière. Ingénieur de Gestion de l’Institut d’Administration et de Gestion à l’Université Catholique de Louvain, il est aussi titulaire d’un « Master in International Management » de HEC-Paris et du « General Management Program » de la Harvard Business School.

Éric KALALA a pour mission de renforcer l’offre logistique de l’entreprise en RDC. Il va notamment soutenir les projets de développement de la chaîne logistique du pays. Grâce à l’expertise et l’expérience des 800 collaborateurs RD Congolais, le nouveau Président Directeur Général va apporter la contribution de Bolloré Transport & Logistics au développement socio-économique du pays.

« Je remercie notre Président et la Direction générale de Bolloré Transport & Logistics pour cette belle marque de confiance. Je mesure pleinement le sens du relai que me passe François Kaniki dont j’ai eu le privilège de bénéficier des précieux conseils. A une période où la covid-19 déstabilise les économies, nous allons fédérer nos équipes pour résister à la crise, se frayer un chemin vers la relance économique et continuer à garantir un service de qualité à nos clients. »

A propos de Bolloré Transport & Logistics RDC Bolloré Transport & Logistics est un acteur de référence de la logistique en République Démocratique du Congo. Il assure le transport, le stockage, l’entreposage et la livraison des marchandises grâce à ses 25 agences déployées à travers le pays. Spécialiste de la consignation maritime, commissionnaire agréé en douane, il offre des solutions logistiques sur-mesure et apporte son expertise aux opérateurs miniers. Fort de ses 800 collaborateurs, Bolloré Transport & Logistics RDC participe au développement socio-économique du pays au moyen d’actions de responsabilité sociétale dans le secteur de la santé, de l’éducation et de l’environnement.

Ahmat Abdelkerim est nommé directeur général du cluster corne de l’Afrique de Bolloré Transport & Logistics

Celui-ci succède à Patrick Gerenthon et il dirigera les activités de l’entreprise sur trois pays : Djibouti, Éthiopie et Érythrée.

 

Ahmat Abdelkerim est depuis le mois de juillet 2021 Directeur général du cluster corne de l’Afrique de Bolloré Transport & Logistics. Il dirigera les activités de l’entreprise sur trois pays : Djibouti, Éthiopie et Érythrée. Il succède à Patrick Gerenthon qui a été appelé à d’autres fonctions au sein de Bolloré Transport & Logistics. De nationalité tchadienne, Ahmat Abdelkerim est diplômé de Sup’Management au Maroc et titulaire d’un mastère spécialisé en politiques et management du développement obtenu à Sciences Po Paris. En 20 ans de carrière au sein des différentes filiales de Bolloré Transport & Logistics, il a occupé plusieurs fonctions managériales avant d’être promu Directeur général de Bolloré Transport & Logistics Tchad en 2016.

Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Ahmat Abdelkerim supervisera le développement des activités logistiques de l’entreprise dans les pays du cluster et contribuera à renforcer sa présence en Afrique de l’Est. Sa connaissance des métiers opérationnels, lui permettra de développer des solutions innovantes et agiles adaptées aux besoins de la clientèle locale et internationale. « C’est une grande fierté pour moi de rejoindre les équipes du périmètre de la corne de l’Afrique et de contribuer avec le soutien des collaborateurs au succès de Bolloré Transport & Logistics. Ensemble, nous allons continuer à développer les activités de l’entreprise en Afrique de l’Est et à offrir à nos clients des solutions compétitives en s’appuyant sur notre savoir-faire et notre connaissance des marchés. » a déclaré Ahmat Abdelkerim.

À propos de Bolloré Transport & Logistics Présent dans 107 pays, Bolloré Transport & Logistics est un acteur majeur du transport international et de la logistique avec 36 500 collaborateurs dans 107 pays. Acteur mondial de la gestion de la supply chain, l’entreprise conçoit et déploie des solutions sur-mesure à forte valeur ajoutée. Implanté sur les principaux hubs portuaires et aéroportuaires du monde, Bolloré Transport & Logistics propose à ses clients un service de proximité, une parfaite connaissance des marchés et une maîtrise des opérations de bout en bout. En Afrique, l’entreprise investit environ 300 millions d’euros chaque année pour innover et développer des infrastructures portuaires et ferroviaires, des hubs logistiques régionaux et des entrepôts à haute valeur ajoutée.