Congo : un atelier pour la mise en place d’une stratégie sectorielle de l’éducation

La formation qui s’est clôturée mardi 12 décembre, concernait les cadres de l’Institut national de recherche et d’action pédagogiques (INRAP).

 

Financée par l’UNESCO en partenariat avec le gouvernement, l’atelier de formation a permis aux apprenants de bénéficier d’une expertise. Elle s’inscrit dans le cadre de la volonté du gouvernement d’investir dans le capital humain, avec l’aide de l’UNESCO, concernant la mise en œuvre de la stratégie sectorielle de l’éducation. Elle répond aussi à la matérialisation du PND 2022-2026 et de l’agenda ODD4 et de la stratégie continentale de l’éducation en Afrique de l’Union africaine.

A l’issue de cette formation, les séminaristes ont marqué leur adhésion à booster l’action pédagogique en mettant en exergue leurs nouvelles connaissances acquises. Après six mois de formation, ces cadres, désormais mieux outillés

C’estLe ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Jean-Luc Mouthou qui a présidé la cérémonie de clôture le 12 décembre à Brazzaville, de l’atelier final de formation des cadres de l’Institut national de recherche et d’action pédagogiques. 

Source : vox.cg

Congo : une formation en kinésithérapie à l’hôpital général Adolphe-Sicé

Ouvert mardi 21 février 2023, l’atelier de formation en kinésithérapie concerne le personnel des hôpitaux généraux Adolphe-Sicé et Ngoyo.

 

Le personnel des hôpitaux généraux Adolphe-Sicé et Ngoyo dans la ville de Pointe-Noire, prend part à l’atelier d’e formation en kinésithérapie qui s’est ouvert mardi 21 février 2023. La formation a pour thème : « Prise en charge rééducative de la lombalgie commune sur rachis opéré ou non ».

En plus du thème principal, les participants développeront quelques autres sous-thèmes notamment le contrôle de connaissances de base, l’introduction à la lombalgie commune ; l’évaluation kinésithérapique ; le leadership associatif ; la prise en charge de la lombalgie commune ; la prise en charge kinésithérapique de la lombalgie commune ; la lombalgie et ergothérapie ; la hernie discale lombaire et kinésithérapie et autres.

L’ouverture dudit atelier a été présidée par Lambert Chakirou et du Pr Urbain Richard Bileckot, respectivement directeur général de cet hôpital et chef de service de rhumatologie au Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville.

Congo-finances publiques : un atelier de formation sur la méthode Pefa 2022

La formation vise à mesurer la performance du système de gestion des finances publiques conformément aux normes internationales.

 

Les cadres des structures des régies financières prennent part, du 11 au 12 janvier à Brazzaville, à un atelier de formation d’appropriation de la méthode d’évaluation du programme d’examen des dépenses publiques et responsabilité financière (Public expenditure and financial accountability – Pefa), visant à mesurer la performance du système de gestion des finances publiques conformément aux normes internationales.

Organisé conjointement par la Banque mondiale (BM) et le gouvernement congolais, appuyé par le Projet des réformes du secteur public (Prisp), l’atelier permettra aux participants de s’imprégner de la méthode d’évaluation Pefa en vue d’acquérir des notions en la matière pour une meilleure évaluation des forces et faiblesses de la gestion des finances publiques.

En effet, le Pefa est un cadre d’évaluation de la performance générale du système de gestion et son alignement sur les bonnes pratiques internationales. Il vise, entre autres, l’amélioration de l’efficacité de l’aide et la limitation des risques financiers et contribue ainsi au dialogue sur la nécessité des réformes du système de gestion des finances publiques et leur priorité à mettre en œuvre.

Ouvrant les travaux, le ministre des Finances, du Budget et du Portefeuille public, Rigobert Roger Andely, a signifié que le Pefa offre un appui, un suivi et une analyse permettant une évaluation de la performance de la gestion des finances publiques. Il est un outil essentiel sur lequel les principaux partenaires au développement, ainsi que les organisations de la société civile, fondent leur pensée sur la qualité de la gestion des finances publiques du pays.

« … une bonne gestion des finances publiques garantit une application stricte des politiques publiques pour l’atteinte des objectifs prévus, notamment le maintien de la discipline budgétaire, l’allocation stratégique des ressources et l’efficacité des services fournis. La condition sine qua non de mesure de la performance dans la gestion des finances publiques est l’existence de bons outils de collecte et d’analyse des résultats », a-t-il indiqué.

Soulignant l’importance du Pefa, la représentante de la BM au Congo, Korotoumou Ouattara, a fait savoir qu’il fournit une vue d’ensemble à 360 degrés de la gestion des finances publiques, avec des évaluations fondées sur des évidences. Des évaluations objectives et une méthodologie de notation ainsi qu’un processus de contrôle qualité fournissant une base techniquement solide pour piloter les réformes de la gestion des finances publiques et comprendre où le Congo se situe par rapport aux normes internationales.

« L’exercice du Pefa du Congo a été conçu dans un format agile, donc simplifié et accéléré dans le but de fournir un diagnostic actualisé sur la performance des systèmes de gestions des finances publiques. Le dernier exercice Pefa a été publié, il y a sept ans, en juin 2014. Il est donc temps de mesurer les progrès réalisés ainsi que de déceler les faiblesses actuelles dans un cadre reconnu et objectif de référence et de bonnes pratiques en matière de gestion des finances publiques », a déclaré la représentante de la BM au Congo.

Korotoumou Ouattara a ajouté: « Il est important d’utiliser cette évaluation Pefa non pas pour une approche standardisée de la reforme, mais dans le contexte du pays. Une évaluation réussie des dépenses publiques et de la responsabilité financière nécessite l’engagement de toutes les principales parties prenantes impliquées dans la gestion des finances publiques du pays ».

Notons qu’au terme de cet atelier, les résultats attendus contribueront à affiner les stratégies définies dans le pilotage des réformes.

Congo-santé : les femmes professionnelles du secteur en formation

Jusqu’au samedi 21 novembre 2020, les femmes professionnelles du secteur de santé renforceront leurs capacités en leadership.

Un atelier de renforcement des capacités en leadership à l’endroit des femmes professionnelles du secteur de santé s’est ouvert à Brazzaville, du 17 novembre 2020. Cet atelier vise à le renforcement des capacités et de l’expertise féminine afin d’améliorer la performance des femmes dans la conduite des affaires.

Les femmes jouent un rôle important dans le secteur de la santé. C’est du moins ce qu’a souligné le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Léon Juste Ibombo, représentant la ministre en charge de la Santé et de la Promotion de la femme.

« L’exploitation du potentiel des femmes, qui constituent 52% de la population congolaise, est un facteur essentiel dans le processus de développement. Cet atelier contribue au raffermissement de leurs compétences dans le secteur sanitaire », a-t-il déclaré.

Pour le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Lucien Manga, il est important d’outiller les femmes qui interviennent à tous les niveaux de la pyramide sanitaire. Elles pourront ainsi, mieux rendre un des services les plus essentiels à la population qui n’est autre que la santé. « Cet atelier organisé est une manière pour l’OMS de matérialiser son engagement à soutenir les efforts du gouvernement pour la promotion de la femme », a indiqué le diplomate onusien.

Lutte contre le VIH/sida : vers une harmonisation dans la prise en charge

Depuis ce 3 septembre à Brazzaville, se tient un atelier de formation des experts en vue de renforcer leurs capacités dans la gestion des comorbidités.

Avec l’appui de Sidaction, les acteurs impliqués dans la prise en charge médico-psychologique des enfants, adolescents et jeunes vivant avec la maladie en République du Congo ont entamé, le 3 septembre à Brazzaville, un atelier de formation des experts en vue de renforcer leurs capacités dans la gestion des comorbidités, notamment coïnfections.

L’atelier de trois jours est organisé par l’Association serment universel (ASU) et le Programme national de lutte contre le sida, en collaboration avec l’Agence française de développement, l’Initiative 5% sida et Expertise France. Il vise, de manière plus générale, à améliorer la qualité de prise en charge médicale et psychologique des adolescents et jeunes filles vivant avec le VIH ; promouvoir, familiariser et enfin, harmoniser les bonnes pratiques entre les soignants sur la prise de ces patients.

« L’infection du VIH demeure une affection préoccupante dans le monde. Selon le rapport de l’Onusida 2019, le nombre de personnes vivant avec le VIH dans le monde est estimé à 37,9 millions dont 36,2 millions d’adultes et 1,7 million des enfants âgés de moins de 15 ans. Au Congo, le VIH demeure un problème de santé publique avec une prévalence de 3,2% (ESIS 2009), dont les personnes âgées de 15 ans à 49 ans, avec une féminisation de l’épidémie 4,1% chez les femmes, et 2,6% chez les hommes », a précisé la cheffe du Programme national de lutte contre le VIH/sida, Dr Cécile Mapapa Miakassissa.

Pour le vice-président de l’ASU, cette activité trouve également sa justification en tenant compte de la révision des lignes directrices relatives à l’utilisation des médicaments antiretroviraux pour le traitement et la prévention du VIH mais aussi, de la mise en œuvre du plan de transition vers les protocoles à base de Dolutégravir validés par le Congo.

En rappel, l’ASU travaille en collaboration avec Sidaction qui a commencé par un projet intitulé « Projet grandir »  regroupant des enfants, des adolescents et des jeunes vivant avec le VIH et qui ont été suivis de façon globale au niveau de Brazzaville, Dolisie et Nkayi au sein de l’association, mais aussi en travaillant en collaboration ou en partenariat avec les services de santé nationaux notamment le Centre hospitalier universitaire, les hôpitaux de base de Talangaï et de Makélékélé, etc.