UBA Congo modernise ses plateformes digitales : plus simple, plus rapide, plus sécurisé – au bénéfice direct de ses utilisateurs

UBA Congo franchit une nouvelle étape dans sa transformation digitale en annonçant l’évolution de ses services Internet Banking et UBA Mobile App. Ces plateformes, désormais optimisées, ont été conçues avec un objectif clair : offrir à chaque client une expérience fluide, intuitive et sécurisée dans la gestion de ses opérations bancaires.

Après une phase de tests techniques rigoureux, les transferts interbancaires via Internet Banking sont officiellement opérationnels et accessibles à l’ensemble de la clientèle. Cette avancée majeure permettra aux utilisateurs de :

  • Envoyer et recevoir de l’argent vers d’autres banques en toute simplicité
  • Réduire considérablement les délais et démarches administratives
  • Gagner en autonomie et en flexibilité sur leurs transactions

Cette fonctionnalité marque un pas important vers une bancarisation moderne, où le client maîtrise totalement ses opérations depuis un ordinateur ou un smartphone, sans se déplacer.

Dans le même esprit d’innovation, UBA Congo annonce la réouverture de l’application UBA Mobile App, entièrement préparée pour accueillir de nouveaux utilisateurs au sein de toutes les filiales UBA Africa. À partir du lundi 24 novembre 2025, l’ouverture de compte via l’application sera possible dans toutes les agences du réseau UBA.

Cette modernisation apporte de multiples avantages concrets aux utilisateurs :

  • Ouverture de compte en quelques minutes, sans formulaire papier
  • Accès immédiat aux services bancaires essentiels
  • Expérience utilisateur simplifiée et intuitive
  • Sécurité renforcée des données personnelles et des transactions
  • Disponibilité 24h/24 et 7j/7
  • Compatibilité sur App Store et Play Store

Grâce à cette rénovation digitale, UBA Congo démontre sa volonté de placer le client au centre de sa stratégie, en lui offrant une gestion bancaire moderne, accessible et adaptée aux nouveaux modes de vie.

Les équipes du Centre de Satisfaction Client restent mobilisées pour accompagner les utilisateurs et répondre à toute question à l’adresse suivante : cfcubacongo@ubagroup.com

UBA Congo remercie l’ensemble de ses clients pour leur confiance et leur patience tout au long de ce processus, qui a permis de garantir la fiabilité et la performance de ces outils digitaux. La banque confirme ainsi son engagement : simplifier la banque au quotidien et offrir à chacun l’opportunité d’être maître de ses finances, en toute simplicité.

UBA œuvre pour la diversité végétale

La Fondation UBA Congo annonce le lancement officiel de son opération de planting d’arbres visant à planter 2 000 arbres entre Brazzaville et Pointe-Noire, une initiative qui s’inscrit pleinement dans la dynamique nationale de protection de l’environnement impulsée par Son Excellence Monsieur le Président de la République, ainsi que dans la célébration de la Journée Nationale de l’Arbre.

 

L’action de la Fondation UBA constitue également un appui déterminant pour la recherche scientifique. En effet, selon Madame Paul Sara Nguie, Coordonnatrice de l’ONG Human Empress, les espèces plantées ce jour étaient jusqu’alors absentes de l’arboretum de Brazzaville. Grâce à cette initiative, les étudiants pourront désormais accéder à des essences d’arbres qu’ils n’auraient pu étudier qu’en se rendant à l’étranger.

Cette action contribue à l’effort collectif de lutte contre les effets du réchauffement climatique, de préservation de la biodiversité et de restauration des espaces verts au Congo. Elle marque également une étape majeure de l’engagement RSE de la banque, conformément au programme environnemental du Groupe UBA, qui a fixé pour objectif à chacune de ses filiales de planter 10 000 arbres dans leur pays respectif.

Un engagement continental porté par la vision panafricaine du PCA du Groupe UBA

Cette initiative s’inscrit dans la vision stratégique et panafricaine de Monsieur Tony O. Elumelu, Président du Conseil d’Administration du Groupe UBA, qui place l’impact social, la durabilité et le développement inclusif au cœur des priorités du groupe. Convaincu que les grandes transformations du continent doivent venir des Africains eux-mêmes, M. Elumelu œuvre à fédérer les énergies autour de projets porteurs, à travers la banque mais aussi via la Tony Elumelu Foundation et les programmes sociétaux de grande ampleur.

Son récent AFRICA TOUR, au cours duquel il a rencontré cinq Chefs d’État dans cinq pays africains, illustre cette volonté d’amplifier l’impact de projets continentaux contribuant au progrès économique, social et environnemental du continent. Le projet de reboisement UBA s’inscrit dans cette dynamique d’engagement au service de l’Afrique.

UBA Congo, un acteur engagé pour un avenir durable

À travers cette campagne de planting, la Fondation UBA Congo entend jouer pleinement son rôle de partenaire du développement durable et sensibiliser les communautés, les écoles, les associations et les acteurs publics à l’importance de la reforestation et de la protection de l’environnement.

« Nous sommes fiers de participer activement à la reforestation nationale et d’apporter une contribution concrète aux efforts du gouvernement pour la protection de notre environnement. Cette initiative traduit l’engagement du Groupe UBA et de sa Fondation en faveur de projets à fort impact pour les générations futures. »
— Divin Mpandzou, Directeur du Secteur Public UBA Congo (représentant de la Direction Générale).

Congo : l’UPADS redéfinit ses orientations lors de son 2e congrès

Le 2e Congrès ordinaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), parti fondé par le Professeur Pascal Lissouba, s’est tenu du 20 au 22 novembre 2025 à Brazzaville.

 

Plus de 1 200 congressistes, venus des douze départements du Congo, ont pris part à ces assises très attendues, les premières d’une telle envergure depuis 2007. Ce rendez-vous politique majeur a permis au parti d’engager une profonde introspection, d’actualiser ses textes fondateurs et de renouveler ses instances dirigeantes.

Pendant trois jours d’intenses travaux, les 1 225 délégués ont examiné les points inscrits à l’ordre du jour et analysé les contributions issues des congrès départementaux organisés les 4 et 5 octobre derniers. Les coordinations départementales ont, dans leur majorité, réaffirmé la nécessité d’accélérer les réformes engagées, en vue de renforcer l’efficacité organisationnelle et la compétitivité politique de l’UPADS.

Élection de Pascal Tsaty Mabiala à la tête du Conseil national

Moment fort du congrès : l’élection du camarade Pascal Tsaty Mabiala au poste de président du Conseil national, devenant ainsi le chef de l’exécutif du parti. Dans la dynamique de réorganisation du parti, le président du Conseil national a proposé, et obtenu l’approbation du Conseil, la nomination du camarade Jérémy Lissouba en qualité de secrétaire général de l’UPADS. Il s’agit d’un changement notable dans l’architecture institutionnelle du parti, puisque cette fonction remplace désormais celle de Premier secrétaire.

Les autres organes dirigeants seront installés lors de la prochaine session inaugurale du Conseil national, conformément aux nouveaux textes adoptés.

À l’issue des travaux, Pascal Tsaty Mabiala a exprimé sa satisfaction et salué la tenue réussie du congrès, qu’il a qualifié de moment historique pour la famille social-démocrate.

« Moments intenses de bonheur et de fierté, de voir une fois de plus l’UPADS donner le ton de la démocratie à la classe politique congolaise », a-t-il déclaré, rappelant l’exemple du congrès extraordinaire de 2013, marqué par l’instauration du système d’université directe pour la désignation des dirigeants.

Le nouveau président du Conseil national a assuré qu’il mettrait son expérience au service du parti, afin d’approfondir les réformes en cours :

« Je connais le parti et les défis auxquels il est confronté. Chacun jouera son rôle, et le capitaine que je suis, le mien, pour maintenir le navire sur la bonne trajectoire », a-t-il ajouté.

Il a également insisté sur la discipline partisane et sur le respect des décisions prises démocratiquement au sein des instances : un principe qu’il considère essentiel à la phase de renaissance engagée par l’UPADS.

Congo-Madingou : deux ans de prison ferme pour détention illégale d’un bébé chimpanzé

Il s’agit de la sentence que le Tribunal de grande instance de Madingou a infligé à Fulgence Claver Ntondele Moukoko.

 

Le Tribunal de grande instance de Madingou, dans le département de la Bouenza, a condamné le 20 novembre Fulgence Claver Ntondele Moukoko à deux ans de prison ferme. Le motif énoncé pour cette condamnation est trafic d’un bébé chimpanzé vivant, une espèce intégralement protégée par la loi congolaise.

En plus de la peine d’emprisonnement, le trafiquant, âgé de plus de quarante ans, devra s’acquitter d’une amende de 200 000 FCFA et verser 1 000 000 FCFA de dommages-intérêts à l’État congolais.

Arrêté le 28 octobre 2025 à Nkayi, Fulgence Claver Ntondele Moukoko détenait illégalement un bébé chimpanzé vivant, capturé dans une forêt du district de Kindamba, dans le département du Pool. Selon une source proche du dossier, le trafiquant revenait de Madingou avec l’animal dans l’intention de le vendre à Nkayi.

Plusieurs chefs d’accusation pesaient sur lui notamment détention illégale d’une espèce intégralement protégée ; circulation d’un animal sauvage vivant et tentative de commercialisation d’un bébé chimpanzé.

La loi n°37-2008 du 28 novembre 2008 sur la faune et les aires protégées interdit strictement « l’importation, l’exportation, la détention et le transit des espèces intégralement protégées, ainsi que de leurs trophées », sauf dérogation exceptionnelle accordée pour la recherche scientifique ou la reproduction.

L’interpellation du trafiquant a été rendue possible grâce à une action coordonnée entre les agents de la région de gendarmerie de la Bouenza basés à Nkayi et Madingou, les agents de la direction départementale de l’Économie forestière, et l’appui du Projet d’appui à l’application de la loi sur la faune sauvage.

Le bébé chimpanzé saisi a été confié à l’équipe de l’Institut Jane Goodall, au sanctuaire de Tchimpounga, dans le département du Kouilou. L’animal y reçoit actuellement des soins adaptés, première étape avant une réhabilitation complète en vue de son retour dans la nature.

Le président Denis Sassou N’Guesso à Ouesso pour inaugurer l’hôpital général

Le Chef de l’État a été accueilli par les autorités locales, les corps constitués ainsi qu’une population venue nombreuse saluer sa présence.

 

Le Président Denis Sassou N’Guesso, est arrivé le dimanche 23 novembre 2025, à Ouesso pour un séjour de travail placé sous le signe du renforcement des infrastructures sanitaires nationales.

Au cœur de ce déplacement figure l’inauguration officielle de l’hôpital général de Ouesso, un établissement moderne dont la mise en service marque une avancée majeure pour le département de la Sangha. Cette nouvelle structure sanitaire, dotée d’équipements de dernière génération, contribuera à améliorer l’offre de soins, à renforcer la prise en charge des patients et à rapprocher davantage les services de santé des communautés locales.

La cérémonie d’ouverture, prévue dans les prochaines heures, symbolise la volonté du gouvernement de poursuivre la modernisation du système de santé et de réduire les inégalités d’accès aux soins sur l’ensemble du territoire national.

Avec cette nouvelle infrastructure, la Sangha renforce son rôle stratégique dans la dynamique de développement régional. Les autorités locales saluent d’ores et déjà un projet porteur d’espoir pour les populations, qui y voient l’opportunité d’une meilleure qualité de vie et d’un accès amélioré aux soins spécialisés.

Le séjour présidentiel se poursuivra avec d’autres activités inscrites à l’agenda, traduisant l’importance accordée par le Chef de l’État à l’amélioration continue des services publics essentiels.

Congo : une délégation de journalistes congolais en immersion à Yunfu

Ce déplacement s’inscrit dans la dynamique de coopération entre la Chine et la République du Congo dans les domaines du développement, de l’innovation et des échanges culturels.

 

La délégation de journalistes congolais qui a séjournée du 17 au 19 novembre 2025, à Yunfu, dans la province du Guangdong a visité les avancés économiques, culturelles et technologiques de la région. La première étape a conduit les journalistes au Centre de radio et de télévision du Guangdong, où ils ont assisté à la conférence thématique « Le caractère sportif des villes », organisée dans le cadre des 15e Jeux nationaux de Chine. Cinq grandes villes, Shenzhen, Shanwei, Dongguan, Jieyang et Yunfu y ont présenté leurs stratégies d’organisation sportive et le développement de leur industrie liée au sport.

À cette occasion, Yunfu a officiellement dévoilé sa nouvelle identité sportive de « Ville du hockey sur gazon », illustrant sa volonté d’intégrer le sport à la culture, au tourisme et au commerce. Un positionnement salué par la délégation congolaise, qui y voit un exemple inspirant de diversification et de dynamisation économique.

La visite s’est poursuivie à l’Institut de recherche du groupe Wens, leader chinois de l’agriculture intelligente. Les journalistes ont pu découvrir les technologies d’élevage numérique, les systèmes de surveillance de la sécurité alimentaire et les plateformes de recherche avancée développées par l’entreprise.

Les participants ont également exprimé leur intérêt pour l’importation d’équipements chinois destinés à l’élevage et à la transformation alimentaire, estimant que le modèle « technologie + agriculture » constitue une voie prometteuse pour la modernisation rurale.

Au musée des ustensiles de cuisine Othello, la délégation a retracé l’évolution de l’industrie de l’acier inoxydable à Yunfu, de ses innovations technologiques à ses débouchés sur les marchés internationaux. Une immersion dans un secteur emblématique du dynamisme manufacturier chinois.

La visite du centre d’exposition du site de montagne de Modao a, quant à elle, offert une plongée dans l’histoire ancienne du Lingnan. Les journalistes y ont découvert des artefacts archéologiques et des explications sur l’évolution des établissements humains de la région.

Enfin, au temple Guo’en, la délégation a pu ressentir l’atmosphère spirituelle du bouddhisme du Lingnan, tout en découvrant les actions sociales, caritatives et culturelles menées par l’institution.

Congo : l’ACPE lance la certification des chauffeurs

L’Agence congolaise pour l’emploi (ACPE) a organisé, le 18 novembre, une cérémonie officielle de certification des transporteurs, couplée à la présentation de la nouvelle carte de travail des chauffeurs.

 

L’initiative s’inscrit dans la continuité de la lettre de mission adressée le 26 août 2024 par le Premier ministre au ministre de tutelle. Le gouvernement y réaffirme sa volonté d’accompagner la formalisation de plusieurs catégories professionnelles. À cet effet, l’article 9 de la loi de finances 2025 prévoit une prise en charge totale de l’IRPP et 50 % des cotisations patronales pour les 50 000 premiers emplois formalisés, incluant les chauffeurs de taxis et de bus.

Pour atteindre cet objectif, l’ACPE a mené plusieurs séances de concertation avec les syndicats des transporteurs. Ces échanges ont débouché sur la signature d’un mémorandum d’entente portant sur la formalisation et la promotion d’au moins 15 000 emplois de chauffeurs congolais.

L’objectif central de ce programme est de régulariser l’activité des chauffeurs et de responsabiliser leurs employeurs afin d’assurer à ces professionnels un accès effectif aux avantages sociaux liés à leur métier. La démarche repose sur des actions clés telles que : la création d’une base de données nationale et régulièrement mise à jour des chauffeurs ; la sensibilisation des employeurs à leurs obligations fiscales, sociales et patronales ; l’information des chauffeurs sur leurs droits et devoirs ; la promotion des bonnes pratiques de sécurité routière.

L’opération prévoit également l’enrôlement des chauffeurs en quête d’emploi et la mise en place de contrats de travail formels, condition indispensable à leur intégration durable dans un marché structuré.

Le directeur général de l’ACPE, Jean Pinda Niangoula, a annoncé que les campagnes d’information et d’enrôlement seront lancées dans les prochains jours dans tous les départements du pays. Selon lui, cette démarche contribue non seulement à la création d’emplois, mais aussi à la consolidation des droits sociaux des travailleurs et à une meilleure organisation du transport en commun.

Avec le lancement officiel de la certification et de la carte de travail, l’ACPE entend poser un jalon majeur dans la professionnalisation du métier de chauffeur au Congo, au bénéfice des travailleurs, des entreprises et des usagers.

Congo-épidémies : l’OMS alerte et sollicite l’appui du Sénat

Lors d’une journée de sensibilisation organisée à l’intention des sénateurs sur la situation épidémiologique en Afrique et en République du Congo, le représentant résident de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Dr Vincent Dossou Sodjinou, a exhorté la chambre haute à soutenir la création d’une ligne budgétaire nationale dédiée aux interventions de l’agence onusienne.

 

Vaccinologue et expert en sécurité sanitaire, le Dr Sodjinou a expliqué que cette ligne budgétaire permettrait de consolider deux axes majeurs d’action de l’OMS au Congo : la réhabilitation et la construction de Centres de santé intégrés (CSI) dans les zones qui en sont dépourvues, ainsi que le redéploiement des équipes techniques de l’organisation sur le terrain pour accompagner les acteurs sanitaires dans la planification et la mise en œuvre de leurs activités.

« Nous sollicitons aussi que le Sénat appuie le gouvernement pour qu’il continue de payer les fonds de contrepartie, parce que cela permettra au pays de continuer à bénéficier des interventions », a-t-il plaidé.

Au cours de la séance, le représentant de l’OMS a également dressé un tableau des principales épidémies qui frappent actuellement plusieurs pays africains, notamment le choléra, la variole du singe, la rougeole, ainsi qu’Ebola dont des foyers sont signalés dans le voisinage de la République du Congo.

Ces résurgences sont souvent favorisées, a-t-il expliqué, par la faiblesse des systèmes de santé, le manque de moyens logistiques et la coopération frontalière encore insuffisante entre les États. Il a néanmoins assuré aux sénateurs que ces défis peuvent être surmontés à condition qu’un appui financier durable soit garanti pour soutenir les opérations de prévention et de riposte.

Cette démarche intervient dans un contexte mondial marqué par une réduction des financements accordés à l’OMS, poussant l’organisation à renforcer son plaidoyer auprès des gouvernements.

 

Congo Terminal participe au 45ème conseil annuel de l’AGPAOC

Du 4 au 7 novembre 2025, Congo Terminal a pris part au 45è conseil annuel de l’Association de Gestion des Ports d’Afrique de l’Ouest et du Centre (AGPAOC) qui a réuni pus de 6 00 personnes. Les participants ont échangé autour du thème « Réinventer la gestion domaniale portuaire : vers une valorisation durable et résiliente des infrastructures face aux défis économiques et environnementaux » en vue d’innover et bâtir une vision commune pour l’avenir de la logistique portuaire régionale

Le premier armateur mondial MSC, les délégations d’experts du secteur maritime et portuaire de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, les membres ainsi que les partenaires techniques et financiers de l’AGPAOC y étaient présents. Ils débattu sur comment optimiser l’exploitation des espaces portuaires, développer des infrastructures intelligentes et durables, renforcer la résilience face aux chocs économiques et climatiques et répondre efficacement aux mutations économiques mondiales ainsi qu’aux menaces liées aux changements climatiques.

Une occasion pour Anthony Samzun, Directeur Général de Congo Terminal, de mettre en lumière les investissements réalisés par Congo Terminal au terminal à conteneurs de Pointe-Noire et le projet d’extension du quai Môle Est qui va permettre au port de Pointe-Noire d’accueillir les plus gros porte-conteneurs.

“Cette année nous allons traiter un peu plus de 1 200 000 EVP contre 200 000 EVP au début de la concession en 2009. Ceci est le résultat des investissements réalisés au port de Pointe-Noire qui attirent les grands armateurs et qui font du Congo un hub de transbordement avec plus de 90% de volumes traités. L’attractivité du terminal à conteneurs nous a amené à investir dans une nouvelle plateforme portuaire au Môle Est en vue de doubler nos capacités pour valoriser nos atouts géographiques et continuer à fluidifier les échanges économiques dans la sous-région. Cette nouvelle plateforme actuellement en construction sera opérationnelle en 2027” explique Anthony Samzun, Directeur Général Congo Terminal.

L’AGPAOC est une organisation économique intergouvernementale sous-régionale, composée de vingt-deux ports membres réguliers et de neuf membres associés, y compris les pays sans littoral et les organisations maritimes, tous situés le long de la côte ouest du continent Africain s’étendant de la Mauritanie à l’Angola.

À propos de Congo Terminal

Congo Terminal, filiale d’AGL (Africa Global Logistics), est l’opérateur exclusif des activités de manutention de navires porte-conteneurs et rouliers escalant au port de Pointe Noire. L’entreprise est engagée dans un partenariat public-privé qui lui permet de répondre aux exigences de ses clients armateurs, importateurs ou exportateurs. Grâce à ses nombreux investissements, Congo Terminal participe à l’amélioration du pouvoir d’achat et contribue activement à la lutte contre la vie chère. Certifiée ISO 9001/2015, ISPS (sûreté) et Pedestrian Free Yard (HSE) et Green Terminal, l’entreprise dispose d’équipements et de technologies de pointe dont le système d’exploitation Navis 4. Congo Terminal a dépassé le seuil de 1.000.000 EVP manutentionnés par an depuis 2022 et emploie près de 900 collaborateurs congolais. L’entreprise mène des actions solidaires en faveur de la jeunesse, de la protection de l’environnement et de l’éducation.

Congo : Pointe-Noire se dote de nouveaux engins pour moderniser ses voiries urbaines

Ce matériel, composé notamment d’un chargeur Komatsu, d’une niveleuse de la même marque et de trois compacteurs de la firme Sakai.

 

Le ministre de l’Assainissement urbain et du Développement local, Juste Désiré Mondélé, a procédé récemment à la visite d’un premier lot d’engins destinés à renforcer l’entretien des voiries de Pointe-Noire.

Issus d’un partenariat conclu entre le gouvernement congolais, les entreprises Komatsu et Sakai Industry, ainsi que l’agence japonaise JICS (Japanese International Cooperation System), ces équipements sont actuellement stockés sur les sites prévus par la mairie, en attendant leur mise en service officielle auprès des équipes techniques.

Cette initiative fait suite à la visite du ministre Mondélé au Japon, en juin dernier, où il avait négocié un accord d’accompagnement avec JICS. « C’est un projet concret puisque la ville de Pointe-Noire va bénéficier d’un lot de matériel d’assainissement et d’entretien des routes », avait-il alors déclaré à Tokyo.

Selon les techniciens, le chargeur Komatsu, dont la puissance avoisine les 2 000 chevaux et la capacité atteint 40 m³, figure parmi les pièces maîtresses de ce lot. L’ensemble des machines permettra de décaper, terrasser, niveler et compacter les sols : des opérations indispensables à l’amélioration durable des chaussées et à la mise à niveau du réseau routier urbain.

« L’arrivée de ces équipements est un pas de géant. Grâce à eux, nous pourrons enfin améliorer efficacement les routes et l’assainissement à Pointe-Noire », s’est réjoui un cadre du service municipal d’assainissement.

Inscrite dans le cadre du partenariat Japon-Congo, cette acquisition renforce les capacités opérationnelles de la municipalité tout en contribuant à l’amélioration du cadre de vie des habitants.