L’INS engage le dialogue avec les industriels sur la refonte des indicateurs économiques

L’Institut national de la statistique (INS) a réuni les chefs d’entreprise du secteur industriel autour d’un échange consacré à la modernisation de deux instruments clés de mesure de la performance économique : l’Indice de la production industrielle (IPI) et l’Indice des prix à la production de l’industrie (IPPI).

 

Cette rencontre, organisée à Brazzaville, marque une première dans la collaboration entre l’institution statistique et les acteurs du secteur productif. Elle s’inscrit dans la volonté de renforcer la qualité et la fiabilité des données économiques, essentielles à la lecture de la conjoncture nationale.

En ouvrant les travaux, le directeur général de l’INS, Stève Bertrand Mboko Ibara, a insisté sur le rôle déterminant des statistiques dans la gestion des entreprises. « Votre participation active à la collecte des données permettra de garantir la qualité, la crédibilité et la représentativité des nouveaux indices », a-t-il déclaré, invitant les industriels à s’impliquer davantage dans le processus.

Les deux indices concernés constituent des baromètres essentiels de l’économie congolaise. L’IPI mesure la production réelle des entreprises industrielles, tandis que l’IPPI suit l’évolution des prix à la production. Leur refonte vise à aligner les méthodes de calcul sur les standards internationaux et à mieux refléter la diversité du tissu industriel du pays.

Pour Fatoumata Diallo, cheffe du service Analyse conjoncturelle à l’INS, cette modernisation permettra d’obtenir « des données plus fiables et représentatives, utiles aussi bien pour l’État que pour les entreprises ».

Au-delà de l’aspect technique, cette réforme devrait accroître la visibilité du secteur industriel et améliorer l’analyse économique nationale. L’INS a par ailleurs tenu à rassurer les participants sur la confidentialité des informations collectées, utilisées exclusivement à des fins statistiques.

Les discussions ont également porté sur les prochaines étapes du projet et les impacts attendus sur la politique économique, la planification budgétaire et la prise de décision publique.

Côte d’Ivoire-Présidentielle : Alassane Ouattara élu dès le premier tour avec 89,77 % des voix

Le chef de l’État ivoirien, au pouvoir depuis 2011, recueillerait 89,77 % des suffrages, un score qualifié de « coup KO » par le président de la CEI.

 

Le président sortant Alassane Ouattara est donné très large vainqueur de l’élection présidentielle du 25 octobre 2025, selon les résultats globaux provisoires publiés lundi 27 octobre 2025, par la Commission électorale indépendante (CEI).

Ces résultats doivent encore être validés par le Conseil constitutionnel, après la période légale de contentieux électoral. Mais sauf surprise, Alassane Ouattara, 83 ans, s’achemine vers un quatrième mandat consécutif à la tête du pays, après ses victoires en 2015 et 2020.

Face au président sortant, les quatre autres candidats ont recueilli des scores très modestes : Jean-Louis Billon (Congrès démocratique) obtient 3,09 %, Simone Ehivet (Mouvement des générations capables) 2,42 %, Ahoua Don Mello (indépendant) 1,97 %, et Henriette Lagou (Groupement des partis pour la paix) 1,15 %.

Le président Ouattara réalise des scores particulièrement élevés dans le nord du pays jusqu’à 99,68 % à Kani, avec un taux de participation de 99,08 %. Il arrive également en tête dans toutes les circonscriptions, y compris à l’étranger.

La participation nationale s’établit à 50,10 %, en légère baisse par rapport à 2020 (53,90 %) et 2015 (52,86 %). Dans certaines zones, notamment Gagnoa (20,68 %) ou Cocody à Abidjan (19,24 %), la mobilisation des électeurs a été particulièrement faible.

En revanche, dans les bastions du pouvoir, la participation a atteint des niveaux records, contribuant à renforcer l’avance du candidat du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP).

Octobre rose : AGL accompagne la lutte contre les cancers du sein et de l’utérus en milieu scolaire à Pointe-Noire

Le 23 octobre 2025, près de 250 étudiantes venues des écoles supérieures de Pointe-Noire et ses environs (EAD, ESCIC, Le Littoral, ECAM, IUTAC, ESCIC) ont participé à une conférence organisée par Africa Global Logistics (AGL) Congo et Congo Terminal pour sensibiliser les jeunes filles contre les cancers du sein et de l’utérus.

L’évènement a connu la participation du gynécologue Nzikou Boussoukou et du médecin généraliste Jennifer Mavoungou qui ont abordé les questions de prévention et traitement. L’atelier pratique d’autopalpation conduit par la sage-femme Damil Kinguedi a mis en lumière les bons gestes à apprendre pour faciliter le dépistage précoce.

Le moment émouvant a été celui des témoignages de ceux qui ont perdu des proches par suite du cancer du sein ou de l’utérus. L’idée étant de faire prendre conscience aux étudiantes qu’il ne s’agit pas ici d’un sujet utopique mais d’une réalité et qu’il vaut mieux prévenir que guérir.

« Parler des cancers du sein et de l’utérus sous toutes ses formes, encourager le dépistage précoce ou accompagner les femmes qui luttent contre la maladie, c’est déjà sauver des vies. Car le silence et l’ignorance font plus de victimes que le cancer lui-même » a déclaré Mayrise Manienze-Mbongo, Chef de département développement RH & Relations écoles à Congo Terminal.

A l’occasion d’octobre rose, Africa Global Logistics (AGL) Congo et Congo Terminal se mobilisent contre les cancers du sein et de l’utérus. Ces entreprises encouragent la prévention et le dépistage précoce par des sensibilisations. Elles accompagnent les efforts des pouvoirs publics à œuvrer pour le bien-être des jeunes en facilitant l’appropriation des mesures de prévention en milieu estudiantin

Congo : la SCCE lance ses premières journées scientifiques sur l’épilepsie post-AVC

La Société congolaise contre l’épilepsie (SCCE) organise, du 28 au 30 octobre à Brazzaville, la première édition de ses Journées scientifiques, placée sous le thème : « Épilepsie post-accident vasculaire cérébral (AVC) : quelles perspectives pour la prise en charge ? »

 

Pendant trois jours, la capitale congolaise se transforme en carrefour du savoir médical et scientifique autour d’une pathologie encore mal comprise et souvent stigmatisée. Médecins spécialistes, psychologues, sociologues, linguistes, étudiants, paramédicaux et chercheurs vont multiplier les ateliers pratiques, panels interdisciplinaires et conférences pour améliorer la compréhension et la prise en charge de l’épilepsie post-AVC.

Les organisateurs rappellent que l’épilepsie post-AVC représente l’une des complications neurologiques les plus fréquentes après un accident vasculaire cérébral. Pourtant, son diagnostic et sa prise en charge demeurent encore insuffisants, faute d’outils adaptés et de formation spécialisée.

Ces journées visent donc à renforcer les capacités des professionnels sur plusieurs axes notamment le diagnostic de l’épilepsie vasculaire, la lecture des TDM et l’IRM cérébrales, la sémiologie des crises, la rééducation fonctionnelle post-AVC ou encore l’adaptation du discours thérapeutique aux patients concernés.

Outre les aspects cliniques, les participants s’attarderont sur la création de messages de sensibilisation à l’épilepsie, la valorisation de la recherche médicale congolaise, ainsi que les innovations curriculaires dans la formation des soignants.

Un atelier de recherche permettra par ailleurs aux jeunes médecins et chercheurs de se familiariser avec la rédaction d’un protocole de recherche clinique et l’initiation aux types d’études en médecine.

Pour la SCCE, cette première édition constitue un tournant dans la mobilisation scientifique nationale autour de l’épilepsie. En réunissant diverses disciplines, la société espère faire évoluer les pratiques, réduire la stigmatisation et améliorer la qualité de vie des patients.

AGL Angola et ALT participent au sommet Angola Hub Transport & Logistics 2025

Du 17 au 19 octobre 2025, Africa Global Logistics (AGL) Angola et AGL Lobito Terminal (ALT) ont participé au sommet Angola Hub Transport & Logistics 2025. Ce sommet organisé sous la thématique « Connecter les opportunités, générer de la valeur mondiale » se veut une plateforme de coopération et d’affaires de haut niveau, réunissant les gouvernements, entreprises de premier plan, investisseurs et start-ups. Plus de 100 entreprises nationales et internationales et 24 start-ups sélectionnés dans la région de la SADC ont pris part à cet évènement aux côtés des autorités gouvernementales.

Le sommet comprenait les sessions ministérielles, tables rondes sectorielles, présentations techniques, espaces d’innovation et des spots sur les opportunités d’investissement dans le pays.

Cátia Fernandes, Directrice Juridique AGL Angola, a participé à un panel sur « L’Angola en tant que plateforme stratégique pour le commerce et la logistique régionaux ». Elle y a mis en lumière les solutions innovantes qu’AGL propose pour l’industrie énergétique notamment le transport multimodal (maritime, routière, ferroviaire et aérien), le transport de colis lourds et les solutions logistiques sur mesure (dédouanement, opérations onshore/offshore).

« AGL Angola et ALT se veulent un levier au service de l’économie du pays grâce à l’expertise de ses collaborateurs et son large réseau. Nous sommes là pour connecter l’Angola au monde et le monde à l’Angola » précise Cátia Fernandes, Directrice Juridique AGL Angola.

ALT, filiale d’AGL et nouveau gestionnaire du terminal polyvalent du port de Lobito, a montré les investissements réalisés depuis le depuis de la concession et l’accroissement des volumes traités qui en découle. Ces investissements portent sur l’acquisition des équipements modernes et le développement des compétences du personnel. Ils permettent de stimuler l’économie nationale, accroître les importations/exportations et créer de nouvelles opportunités d’affaires dans le pays.

Pendant les 3 trois jours, nos équipes commerciales, marketing et communication ont reçu des centaines de visiteurs sur les stands et ont pu échanger avec plusieurs investisseurs sur les offres door-to-door que proposent Africa Global Logistics Angola et ALT.

Cameroun : Paul Biya réélu avec 53,66 % des voix pour un huitième mandat

Le Conseil constitutionnel a proclamé lundi 27 octobre 2025, la victoire du président sortant Paul Biya à l’élection présidentielle du 12 octobre dernier. À 92 ans, le chef de l’État, au pouvoir depuis 43 ans, entame ainsi un huitième mandat de sept ans à la tête du Cameroun.

 

Selon les résultats officiels rendus publics à Yaoundé lors d’une audience solennelle à laquelle n’étaient pas représentées les chancelleries européennes et américaine, Paul Biya, candidat du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), a obtenu 53,66 % des suffrages, soit plus de 2,47 millions de voix.

Son principal adversaire, Issa Tchiroma Bakary, candidat du Front pour le salut national du Cameroun (FSNC), arrive en deuxième position avec 35,19 % des voix, soit environ 1,62 million de suffrages. Il a immédiatement rejeté ces résultats, affirmant « ne pas reconnaître cette mascarade ».

La proclamation intervient dans un climat de fortes tensions politiques et sociales. Dimanche, veille de la proclamation des résultats, à Douala, des manifestations à l’appel du camp Tchiroma ont tourné à l’affrontement, faisant quatre morts, selon les autorités.

Issa Tchiroma Bakary, depuis son domicile de Garoua où il s’est exprimé entouré de ses partisans, a dénoncé « une mascarade électorale », accusant le pouvoir de « confisquer la volonté du peuple ».

Arrivé au pouvoir en 1982, Paul Biya consolide ainsi un règne de plus de quatre décennies, ce qui fait de lui l’un des plus anciens dirigeants en exercice sur le continent africain. Cette nouvelle victoire, bien que contestée, confirme la mainmise du RDPC sur les institutions camerounaises et ouvre un nouveau chapitre politique pour le pays.

Congo : les experts de l’UEAC planchent sur le budget 2026 de la CEMAC

La 44e session ordinaire du Conseil des experts de l’Union économique de l’Afrique centrale (UEAC) s’est ouverte lundi 27 octobre, à Brazzaville, en présence des représentants des six pays membres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC).

 

La rencontre qui se tient dans la capitale congolaise, précède la session du Conseil des ministres de l’Économie, des Finances et du Plan prévue le 31 octobre prochain. Elle a pour thème : « Vers la mise en œuvre du budget-programme pour promouvoir la gouvernance communautaire ».

Durant plusieurs jours, les experts venus du Cameroun, du Congo, du Gabon, de la Guinée équatoriale, de la République centrafricaine et du Tchad vont plancher sur les grands axes budgétaires et financiers de la communauté, avec en ligne de mire l’examen du projet de budget 2026, évalué à plus de 85 milliards de francs CFA, soit environ 150,8 millions de dollars américains.

Selon Charles Assamba Ongodo, vice-président de la Commission de la CEMAC, ce budget enregistre une légère hausse par rapport à celui de 2025, arrêté à 83 milliards de francs CFA (147,2 millions de dollars).

« Cette progression s’explique par une augmentation des ressources propres de plus de 31,6 % et une hausse des financements extérieurs de plus de 10,4 % », a-t-il indiqué.

Le responsable a souligné que ce budget reflète des orientations réalistes et prend en compte les contraintes financières de la communauté, conformément aux directives du président de la Commission, Baltasar Engonga Edjo’o.

L’objectif affiché est clair : assurer une gestion rigoureuse et transparente des fonds communautaires, tout en favorisant une gouvernance efficace au service du développement sous-régional.

Les discussions s’inscrivent dans la continuité des réformes engagées lors de la 43e session tenue en septembre dernier à Bangui, où les ministres avaient examiné plusieurs mesures clés, notamment : l’harmonisation de l’évaluation des dépenses fiscales ; la création d’un Comité régional de mobilisation des recettes fiscales intérieures ; et l’adoption d’un dispositif de sanctions en cas de manquements aux règles de surveillance multilatérale.

Ces réformes traduisent la volonté des États membres de renforcer la discipline budgétaire, d’améliorer la mobilisation des ressources internes et de consolider la solidarité économique au sein de la CEMAC.

Avec la mise en œuvre progressive du budget-programme, la CEMAC amorce une nouvelle étape de sa gouvernance institutionnelle. Ce mode de gestion, axé sur les résultats, vise à mieux orienter les dépenses vers des priorités stratégiques et à garantir une plus grande efficacité dans l’utilisation des ressources.

La 44e session du Conseil des experts apparaît ainsi comme une étape cruciale dans la préparation du budget 2026 et dans la consolidation de l’intégration économique régionale. Les conclusions issues de ces travaux seront soumises à l’approbation du Conseil des ministres, dont les délibérations devraient tracer les grandes orientations financières de la CEMAC pour l’année à venir.

Congo : Denis Sassou N’Guesso invité au sommet de la CIRGL à Kinshasa

Le président de la République du Congo, Denis Sassou N’Guesso, a reçu, jeudi 23 octobre à Brazzaville, une invitation officielle de son homologue de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour prendre part au prochain sommet de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), prévu le 15 novembre à Kinshasa.

 

C’est le ministre RDcongo de l’Intégration régionale, Floribert Anzuluni, qui a remis en main propre cette invitation au chef de l’État congolais.

« Le président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a tenu à ce que cette invitation soit transmise officiellement à son homologue et obtenir ses engagements et suggestions par rapport à l’avenir de cette organisation, dans un contexte régional complexe qui demande sa redynamisation pour ramener la paix dans la région des Grands Lacs », a déclaré le ministre Anzuluni à l’issue de l’audience.

Selon lui, la RDC demeure résolument engagée dans les efforts visant à instaurer une paix durable, notamment dans la partie orientale de son territoire en proie à des violences récurrentes.

« Nous pouvons renforcer cette dynamique ; nous restons optimistes quant à un meilleur aboutissement de tous ces processus », a-t-il ajouté, réaffirmant la volonté de Kinshasa de collaborer étroitement avec les pays voisins dans la recherche de solutions concertées.

Le sommet de Kinshasa s’inscrit dans la continuité des initiatives diplomatiques entreprises au sein de la CIRGL, une organisation régionale regroupant douze États africains, dont l’objectif principal est de promouvoir la paix, la sécurité et le développement dans la région des Grands Lacs.

La participation du président Denis Sassou N’Guesso, connu pour son rôle de médiateur et d’artisan de paix sur la scène régionale, est attendue comme un signe fort de la volonté des États membres de renforcer la coopération et la stabilité dans cet espace stratégique du continent.

Sassou N’Guesso échange avec le clergé catholique sur la traque des « Bébés noirs »

L’opération de traque des gangs de « Bébés noirs », a été au centre de l’audience que le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, a accordée à la Résidence du Plateau à une délégation du clergé catholique conduite par l’archevêque de Brazzaville, Mgr Bienvenu Manamika Bafouakouahou.

 

Au cours de cet échange, qui s’est déroulé en présence du ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou, et du conseiller politique du chef de l’État, Rodrigue Malanda Samba, les discussions ont également porté sur les conclusions de la 54ᵉ assemblée plénière annuelle du clergé congolais, sanctionnée par la présentation de nouveaux évêques.

Mais c’est surtout la question sécuritaire, avec la montée de la criminalité urbaine attribuée aux « Bébés noirs » ou « kulunas », qui a retenu l’attention des hommes d’Église. Préoccupés par le climat de violence qui règne dans certains quartiers de Brazzaville, ils ont souhaité connaître les motivations et les objectifs de l’opération engagée par les forces de sécurité.

À l’issue de l’audience, Mgr Bienvenu Manamika Bafouakouahou a livré à la presse le message du chef de l’État :

« Le président de la République nous a expliqué en long et en large le sens de cette opération. Malgré la douleur, malgré les interprétations qu’il peut y avoir, l’objectif est de faire en sorte que, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, le Congo puisse vivre en paix. Il s’est engagé à rassurer les populations sur la poursuite de cet objectif. »

Selon l’archevêque de Brazzaville, la délégation du clergé a obtenu des réponses « appropriées » aux préoccupations soulevées, notamment sur les conditions dans lesquelles se déroule la campagne de sécurisation menée à Brazzaville et dans d’autres localités du pays.

Cette rencontre, placée sous le signe de l’écoute et du dialogue, a permis de réaffirmer la complémentarité entre les autorités civiles et religieuses dans la quête de la paix et de la cohésion nationale.

Pour le président Sassou N’Guesso, la lutte contre les violences urbaines demeure une priorité, tout comme la préservation des valeurs morales et citoyennes que promeut l’Église catholique.

Congo Terminal accueille un navire de plus de 15 000 EVP

Congo Terminal marque une nouvelle étape dans le développement de ses capacités de manutention en accueillant le Maersk Halifax, en provenance du port de Cape Town. Un porte-conteneurs de 368m de long et 54m de large pouvant transporter jusqu’à 15 690 EVP. C’est
une première au port de Pointe-Noire.

 

« L’accueil du Maersk Halifax est une fierté collective et une preuve de notre capacité à s’adapter à l’évolution du trafic maritime international », souligne Christel ANGA Execution Manager à Congo Terminal.

Cette étape a été rendue possible grâce aux investissement réalisés au terminal à conteneurs du port autonome de Pointe-Noire par Congo Terminal filiale d’Africa Global Logistics (AGL). Depuis le début de la concession en 2009, le groupe y a investi plus 350 millions d’euros dans le développement des infrastructures, la formation du personnel et l’acquisition des équipements à la pointe de la technologie.

L’entreprise poursuit le développement de ses activités avec la construction d’une nouvelle plateforme portuaire au Môle Est. Elle pourrait accueillir les navires de plus 20 000 EVP dès sa mise en exploitation courant 2027.