UBA œuvre pour la diversité végétale

La Fondation UBA Congo annonce le lancement officiel de son opération de planting d’arbres visant à planter 2 000 arbres entre Brazzaville et Pointe-Noire, une initiative qui s’inscrit pleinement dans la dynamique nationale de protection de l’environnement impulsée par Son Excellence Monsieur le Président de la République, ainsi que dans la célébration de la Journée Nationale de l’Arbre.

 

L’action de la Fondation UBA constitue également un appui déterminant pour la recherche scientifique. En effet, selon Madame Paul Sara Nguie, Coordonnatrice de l’ONG Human Empress, les espèces plantées ce jour étaient jusqu’alors absentes de l’arboretum de Brazzaville. Grâce à cette initiative, les étudiants pourront désormais accéder à des essences d’arbres qu’ils n’auraient pu étudier qu’en se rendant à l’étranger.

Cette action contribue à l’effort collectif de lutte contre les effets du réchauffement climatique, de préservation de la biodiversité et de restauration des espaces verts au Congo. Elle marque également une étape majeure de l’engagement RSE de la banque, conformément au programme environnemental du Groupe UBA, qui a fixé pour objectif à chacune de ses filiales de planter 10 000 arbres dans leur pays respectif.

Un engagement continental porté par la vision panafricaine du PCA du Groupe UBA

Cette initiative s’inscrit dans la vision stratégique et panafricaine de Monsieur Tony O. Elumelu, Président du Conseil d’Administration du Groupe UBA, qui place l’impact social, la durabilité et le développement inclusif au cœur des priorités du groupe. Convaincu que les grandes transformations du continent doivent venir des Africains eux-mêmes, M. Elumelu œuvre à fédérer les énergies autour de projets porteurs, à travers la banque mais aussi via la Tony Elumelu Foundation et les programmes sociétaux de grande ampleur.

Son récent AFRICA TOUR, au cours duquel il a rencontré cinq Chefs d’État dans cinq pays africains, illustre cette volonté d’amplifier l’impact de projets continentaux contribuant au progrès économique, social et environnemental du continent. Le projet de reboisement UBA s’inscrit dans cette dynamique d’engagement au service de l’Afrique.

UBA Congo, un acteur engagé pour un avenir durable

À travers cette campagne de planting, la Fondation UBA Congo entend jouer pleinement son rôle de partenaire du développement durable et sensibiliser les communautés, les écoles, les associations et les acteurs publics à l’importance de la reforestation et de la protection de l’environnement.

« Nous sommes fiers de participer activement à la reforestation nationale et d’apporter une contribution concrète aux efforts du gouvernement pour la protection de notre environnement. Cette initiative traduit l’engagement du Groupe UBA et de sa Fondation en faveur de projets à fort impact pour les générations futures. »
— Divin Mpandzou, Directeur du Secteur Public UBA Congo (représentant de la Direction Générale).

Congo : 1000 arbres plantés à Oyo

En séjour de travail à Oyo, le président de la République,Denis Sassou N’Guesso a présidé dimanche 2 novembre, la cérémonie anticipée de la trente-neuvième édition de la Journée nationale de l’arbre, placée sous le thème : « Un arbre, une forêt, une plantation pour un Congo florissant ».

 

En prélude à la célébration de la 39e édition de la Journée nationale de l’arbre, 1 000 plants ont été mis en terre à Oyo, répartis selon un espacement de 5 m x 5 m sur un site de 2,5 hectares au sein du Lycée d’excellence d’Oyo. Cette action initiée par le Programme national d’afforestation et de reboisement (ProNAR), vise à enrichir le patrimoine forestier du Congo et à sensibiliser la jeunesse aux valeurs écologiques.

Selon François Mankessi, coordonnateur par intérim du ProNAR, ce jardin d’ornement de 2,25 hectares, est composé de 900 Terminalia mantaly, une espèce choisie pour son ombrage et son esthétique apaisante. L’espace sera dédié au repos, à la lecture et à la réflexion des élèves.

Un verger pédagogique de 0,25 hectare, réunissant une centaine de plants fruitiers (safoutiers, manguiers, orangers, citronniers, avocatiers) destinés à l’apprentissage et à l’expérimentation des techniques horticoles.

Les plantations ont été réalisées dans des trous enrichis en fertilisant organique, à base de Tithonia diversifolia et Echinochloa pyramidalis, pour améliorer la croissance des plants. Les interlignes seront exploités pour la culture du maïs, dans une logique d’agroforesterie intégrée, associant production vivrière, boisement et protection des sols.

Instituée depuis 1984 et célébrée chaque 6 novembre, cette journée symbolique rappelle à chaque Congolais le devoir de planter un arbre, où qu’il se trouve, pour contribuer à la préservation de l’environnement et à la lutte contre le changement climatique. L’édition 2025 coïncide avec la décennie des Nations unies pour l’afforestation et le reboisement.

Congo-Journée internationale des forêts : le MJEC plante des arbres

Ce planting d’arbre dans les zones d’érosion près des tourbières de Ngamakala s’inscrit dans le cadre de la commémoration de la journée internationale des forêts.

 

Comme chaque année, la communauté internationale a célébré la journée internationale des forêts le 21 mars dernier. Au Congo, le Mouvement des jeunes écologistes congolais (MJEC) a procédé, le 22 mars, au planting d’arbres dans les zones d’érosion près des tourbières de Ngamakala, situées à environ 35 km au nord de Brazzaville.

Selon un constat fait par ONG, les tourbières de Ngamakala, riches en biodiversité et en tourbe, sont aujourd’hui menacées par des érosions sévères. Le sable évacué par ces phénomènes naturels envahit et déstabilise ces écosystèmes fragiles, menaçant ainsi leur biodiversité et leur rôle crucial dans le maintien de l’équilibre écologique de la région. C’est pour limiter les dégâts que le MJEC s’est engagé à marquer cette célébration en planta les arbres.

C’est près d’une centaine d’arbres fruitiers qui ont été plantés lors de cette activité. L’initiative a répondu à deux objectifs majeurs : planter des arbres pour lutter contre l’érosion et sauver les tourbières de Ngamakala en durcissant le sol. C’est du moins ce qu’ont expliqué les organisateurs.

Le MJEC prévoit de planter le 22 avril prochain, à l’occasion de la Journée mondiale de la Terre, plus de 500 arbres à Ngamakala.

 

 

 

 

 

Congo : plus de 1000 espèces d’arbres plantés Patte d’Oie

Les membres du Lions club ont planté, le 3 septembre, 1150 plants d’Hévéa sur les sites de la forêt de la Patte d’Oie et du lycée Chaminade à Brazzaville.

 

L’activité dénommée « Opération reboisement » s’est inscrite dans l’axe environnemental du Lions club international. L’objectif est de contribuer à la protection de l’environnement. Ladite opération a mobilisé une centaine de membres de ladite fondation.

Notons que cette opération de planting d’arbres qui s’est tenue au Congo en présence de l’actuel 1er vice-gouverneur du district 403 B1 et futur gouverneur du même district, Yves Ickonga, a simultanément eu lieu dans plusieurs autres pays d’Afrique: Cameroun, Gabon, Guinée, République centrafricaine, Angola et Tchad.

Congo : vers la plantation de 200 000 arbres à Ngo

Lors de sa 35ème édition de la Journée nationale de l’arbre, samedi 6 novembre, le Congo a mis à profit cette occasion pour lancer le projet BaCaSi.

 

La République du Congo lance le projet BaCaSi. Financé par le groupe français Total Énergie, il devrait créer un massif forestier de 40 000 hectares de forêts, avec 200 000 arbres, pouvant séquestrer 10 millions de tonnes de carbone sur vingt ans.

Le thème de cette édition est « Planter les arbres pour séquestrer le carbone et lutter contre les changements climatiques ».C’est près de la localité de Ngo, dans le département des Plateaux au centre du pays, que le projet dénommé BaCaSi a été lancé par le Premier Ministre Anatole Collinet Makosso.

Au moins 5 % des plantations serviront aux activités agro-forestières, l’ambition des initiateurs du projet étant de créer au moins 1 000 emplois directs.

Congo-reboisement : plus de 3000 espèces d’arbres plantés à Ngamakosso

L’opération qui s’est déroulée le 04 mars dernier, est une initiative de la députée de la 5 e circonscription électorale de Talangaï, Claudia Ikia Sassou N’ Guesso.

Ce sont au total 3100 espèces d’arbres qui ont été plantés sur le site de l’érosion de Ngamakosso. L’opération planting de plus de 3000 espèces d’arbres, a été initiée par la députée Claudia Ikia Sassou N’Guesso avec l’appui du ministère de l’Economie forestière. Ces arbres seront renforcés par des bambous de chine et du vétiver. L’objectif est de stabiliser le sol à cet endroit afin de prévenir de nouveaux éboulements de sol et de sauvegarder le viaduc qui commençait à être englouti par le sable.

Il est important de rappeler que la circulation avait été coupée à la deuxième sortie nord de Brazzaville en 2015 à cause de l’érosion hydrique. Plus tard des travaux de traitement avaient été réalisés par une société chinoise. Travaux qui ont débutés en 2016 et la voie a été rouverte au public le 2 juin 2020.

Pour un coût global  de plus de dix milliards dix millions de francs CFA, précisait le ministre de l’Aménagement et des Grands travaux, Jean Jacques Bouya, à l’ouverture provisoire de la  route. Ces travaux concernaient, entre autres, la construction du collecteur provisoire, la réalisation des murs de soutènement sur une distance de 110 mètres; et  la reconstruction des talus en béton armé.