Congo : de nouveaux lycées vont accueillir les élèves le 2 octobre

Au titre de l’année scolaire 2023-2024, dont la rentrée est prévue le 2 octobre, plusieurs lycées accueilleront les élèves dans quelques départements du pays.

 

La rentrée scolaire 2023-2024 est prévue le 02 octobre prochain sur toute l’étendue du territoire national. Plusieurs nouveaux lycées dans 5 départements vont ouvrir leurs portes pour accueillir les élèves.

Dans la Bouenza, c’est le lycée de Nkayi 2 qui ouvrira ses portes. Dans le Niari, c’est celui de Makabana. Dans les Plateaux, il s’agit des lycées d’Inkouelé et d’Abala. Le bâtiment du lycée de Pokola, dans le département de la Sangha, est en cours d’achèvement. La réhabilitation des lycées interdépartementaux de Madingou (Bouenza) et de Sibiti dans le département de la Lekoumou est en cours.

Selon un extrait tiré sur adiac-congo.com, « Au niveau des infrastructures, un effort est fait en termes de construction et de réhabilitation des établissements scolaires afin de résorber la pléthore dans les salles de classe, de rapprocher l’école des apprenants et leur offrir un meilleur cadre d’apprentissage ». C’est une déclaration du ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean-Luc Mouthou. Il s’exprimait à l’occasion de la 25e session du Conseil national de l’enseignement primaire et secondaire.

Dans les départements du Niari, de la Bouenza, des Plateaux, de la Sangha, de la Lekoumou, des lycées vont accueillir les élèves à la rentrée scolaire du 2 octobre, selon le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean-Luc Mouthou.

Dans ces départements, les élèves étaient obligés de se déplacer d’un département à un autre pour se rendre à l’école.

Congo : l’O2CD craint une crise de transport en commun

L’Observatoire congolais des droits des consommateurs (O2CD) se préoccupe des répercussions de la hausse du prix du carburant à la pompe sur les coûts de transport.

 

Depuis la hausse du prix du carburant à la pompe en République du Congo, les syndicats des transporteurs ont sollicité des mesures d’accompagnement. L’O2CD fustige le « mutisme » du gouvernement face à la requête des syndicats des transporteurs. L’observatoire en appelle à la responsabilité des pouvoirs publics pour prévenir une crise de transport en commun.

Pour l’O2CD, le silence du gouvernement devient inquiétant surtout à la veille de la rentrée scolaire 2023-2024.

L’étude des impacts de la hausse du prix du carburant s’est invitée au débat de l’atelier de formation sur les techniques de plaidoyer et de réseautage initié par l’O2CD en partenariat avec la coordination du Réseau des associations des consommateurs qui réunit une dizaine de plateformes. Cette rencontre de deux jours visait, selon le principal orateur, Félix Batantou-Oumba, secrétaire exécutif de l’O2CD, à renforcer les capacités des acteurs de la société civile sur les stratégies de plaidoyer et de réseautage en vue d’améliorer l’impact de leurs actions sur le terrain.