La Force Montante Congolaise lance une campagne de restructuration de ses organes

Le coup d’envoi a été donné samedi 17 février par Vadim Osdet Mvouba, Premier secrétaire de cette instance de jeunes du Parti Congolais du Travail.

 

La Force Montante Congolaise vient de débuter une campagne de structuration et restructuration des organes intermédiaires et de base. C’était au cours d’un meeting de lancement samedi 17 février.

« L’initiative de la campagne de structuration et de restructuration des organes intermédiaires et de base vise à redynamiser les actions de notre organisation, afin de devenir une force de proposition capable d’accompagner et de défendre activement les idéaux du parti Congolais du travail (PCT) », a fait savoir Vadim Osdet Mvouba, lors du meeting du lancement de la campagne y relative.

Au travers de cette campagne, la Force montante congolaise veut intensifier ses actions pour mieux jouer son rôle. Le meeting a aussi permis à Vadim Osdet d’exhorté tous les acteurs impliqués dans cette activité à faire preuve de responsabilité, d’objectivité et de tempérance dans le choix des animateurs.

Congo : lancement de l’opération planting du vétiver pour prévenir l’érosion

Plusieurs jeunes de Talangaï, dans le sixième arrondissement de Brazzaville, ont été mobilisés pour planter le vétiver au quartier Ngamakosso.

Lutter contre les effets du réchauffement climatique et ralentir l’avancée de l’érosion c’est le combat que s’est donné la Force montante congolaise (FMC). Le premier secrétaire de la FMC, Vadim Mvouba, a mobilisé les jeunes de Talangaï et ceux de son organisation, pour planter le vétiver au quartier Ngamakosso.

Le vétiver, cette plante de verdure dense permet de lutter contre l’érosion des sols et de stabiliser les talus routiers. Disposée en plants serrés, cette plante donne naissance à des haies denses qui réduisent la vitesse de l’eau sur la surface du sol et favorisent son infiltration.

Placé sur les versants de collines, le quartier Ngamakosso souffre aussi de réels problèmes d’ensablement causés par le ruissellement des eaux de pluies. Les maisons sont englouties par les eaux ou par le sable, et plusieurs familles émigrent parfois vers d’autres quartiers.

Les pluies qui s’annoncent suscitent déjà l’inquiétude des habitants de ce quartier. Partout,  le quartier Ngamakosso a subi un très net recul, une érosion allant jusqu’à plus de dix mètres par endroits.