Sélectionnés pour subir une formation de magistrat à l’étranger, les jeunes juristes, en attente vaine des attestations de mise en route du ministère depuis quelques années, ont exprimé leur ras-le-bol le 3 septembre, devant la primature, pour fustiger cette léthargie administrative qu’ils estiment être un « fait exprès ».
LA SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ