La Confédération africaine de handball évalue les infrastructures à Brazzaville

Le 21 décembre, la président de la Confédération africaine de handball (Cahb), Arêmou Mansourou, a visité les infrastructures qui accueilleront les rencontres du ‘’Challenge Edith-Lucie-Bongo-Ondimba’’

Les choses se mettent progressivement au point en ce qui concerne la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de handball, version féminine, que le Congo abritera en décembre 2018.

Le président de la Confédération africaine de handball (Cahb), Arêmou Mansourou, a, en effet, visité les infrastructures qui accueilleront les rencontres de cette compétition continentale dénommée ‘’Challenge Edith-Lucie-Bongo-Ondimba’’.

Bravant la pluie qui s’est abattue sur Brazzaville dans la matinée du 21 décembre, les délégations de la Cahb et de la Fédération congolaise de handball (Fécohand) ont visité le gymnase Henri-Elendé et le Palais des sports du complexe sportif la Concorde de Kintélé. La visite n’a pas uniquement concerné les infrastructures sportives mais aussi les hôtels dans lesquels logeront les délégations des officiels et athlètes.

Le président de la Cahb et celui de la Fécohand, Jean Claude Ibovi, ont, par ailleurs, échangé avec le directeur de cabinet du ministre des Sports et de l’éducation physique, Jacques Gambou. « Nous avons évoqué les questions organisationnelles pour la réussite de cet évènement sportif », a déclaré le directeur de cabinet. Arêmou Mansourou a également abondé dans le même sens. « Tous les acteurs ont décidé de se réunir pour harmoniser les points de vue, de sorte à garantir le succès de la CAN en 2018 », a-t-il fait savoir.

La Cahb et la Fécohand vont signer un protocole d’accord, ce 22 décembre.