RGPH 2021: le PPA-CI, parti de Gbagbo, invite ses militants à se faire enrôler

Le Parti des peuples africains-Côte d’Ivoire (PPA-CI), la nouvelle formation politique de Laurent Gbagbo, invite ses militants à se faire enrôler massivement à l’opération de Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH 2021) qui se déroule du 8 au 28 novembre 2021.

« La direction du Parti des peuples africains Côte d’Ivoire (PPA-CI) demande à tous et aux populations vivant en Côte d’Ivoire d’adhérer totalement à cette opération » de recensement, dans un communiqué signé de Katinan Koné,  2e vice-président du Conseil stratégique et politique (CSP). 

Le parti fait observer que cette opération qui concerne toutes les populations ivoiriennes et étrangères vivant en Côte d’Ivoire, débouchera sur la planification du développement, sur les opérations de découpage électoral et de dressage des listes électorales pour les futures échéances. 

Cette opération de recensement de la population et de l’habitat (RGPH), la 5e que connait le pays, a démarré lundi sur toute l’étendue du territoire national pour s’achever le 28 novembre 2021, soit durant trois semaines.  

 Il va mobiliser quelque 38.000 personnes sur le terrain dont 28.500 agents recenseurs et devrait permettre de mieux connaître la structure de la population résidente en Côte d’Ivoire.

L’opération permettra d’établir des statistiques sur les habitants (nombre, âge, profession, logement…) et de mieux planifier le développement, tout en prenant en compte l’évolution quantitative de la demande sociale, notamment en matière d’écoles, d’universités, d’hôpitaux, de centres de santé et d’addiction d’eau potable.

Ce 5e RGPH, qui intervient après celui de 1975, 1988, 1998 et 2014, vise à collecter les informations afin de les mettre à la disposition du gouvernement dans le cadre de la planification et de la politique de développement.  

Des pays ouest-africains tablent en Côte d’Ivoire sur les enjeux de la transhumance

Des pays ouest-africains réunis en atelier, à Grand-Bassam, cité balnéaire située à 40 Km au Sud-est d’Abidjan, tablent sur les enjeux de la mobilité du bétail pour un meilleur accès aux ressources et aux marchés.

Cet atelier qui se déroule du 8 au 9 novembre 2021, porte sur le projet d’appui à la mobilité du bétail pour un meilleur accès aux ressources et aux marchés en Afrique de l’Ouest. Ce projet vise neuf pays de la sous-région. 

Dans un mot, à l’ouverture, le représentant du ministre ivoirien des ressources animales et halieutiques, a soutenu que « l’accroissement de nos ressources animales est le moyen de s’affranchir de la dépendance face aux importations en viande et en lait ». 

Il a fait observer que ce projet favorise l’autosuffisance alimentaire et la création d’emplois, ainsi que la réduction de la pauvreté. C’est pourquoi la Côte d’Ivoire a édicté un cadre réglementaire propice à une croissance durable de cette filière.   

A l’insécurité, avec la montée des actes de terrorisme dans la région, et au changement climatique, il faut ajouter les conflits entre les différents acteurs et usagers de la terre, des facteurs qui menacent la transhumance. 

Selon les résultats présentés, ce projet a permis une gouvernance partagée entre les organisations agro-pastorales et les collectivités, ainsi que la mise en place de marchés de bétails, des points d’eaux, des km de corridors sécurisés.

Il a favorisé également l’implantation d’aires de repos et des aires de pâturage qui ont permis de réduire les conflits entre agriculteurs et éleveurs, ce qui a entraîné une transhumance paisible entres les communautés.

En outre, le projet a permis d’améliorer le bien-être économique des habitants et des acteurs dans les communautés concernées et de générer des revenus au niveau des collectivités territoriales dans les pays d’intervention.  

Dans la sous-région ouest-africaines, plusieurs pays côtiers dépendent des pays sahéliens pour leur approvisionnement en viande, tel le Ghana et la Côte d’Ivoire. La sécurité des corridors et la transhumance constituent des leviers pour une intégration régionale. 

M. Cédric Touquet, responsable des programmes Afrique pour l’ONG française Acting for Life, qui pilote ce projet, a mis l’accent sur le défi sécuritaire dans l’ensemble de ces pays transfrontaliers du Nord et des pays côtiers de la sous-région pour une meilleure mobilité. 

Il a fait observer que « la filière agropastorale n’est pas segmentée ». Ce projet qui met en synergie les activités des collectivités et les organisations pastorales, a permis de construire,  entre autres, des dépôts d’aliments bétails et des infrastructures marchandes. 

Le projet à termes vise sur les territoires transfrontaliers un développement économique et un prix abordable du kg de viande, et la prise en compte du contexte sécuritaire dont la dégradation en réduit la mobilité, clé de voûte du système agropastorale.

Cet atelier a réuni des représentants de la société civile et des collectivités territoriales des pays d’intervention (Guinée, Nigéria, Niger, Mali, Burkina Faso, Côte d’Ivoire…). Le projet, co-financé par l’AFD et l’UE à hauteur de 13 millions d’euros, a déjà fait trois ans sur quatre ans prévus. 

Sa mise en place est faite grâce à plus d’une vingtaine d’organisations de la société civile ouest-africaine qui oeuvrent sur le terrain avec les collectivités et les organisations pastorales pour installer des balises et permettre aux animaux de circuler sans conflits. 

L’Uemoa fait sa Revue annuelle 2020 au Sénégal

Dakar, la capitale sénégalaise, accueille, du 8 au 10 novembre, la 7e Revue annuelle des réformes, politiques, programmes et projets communautaires de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa).Au total, 10 projets et 116 textes communautaires portant sur la gouvernance économique et la convergence, le marché commun et les réformes structurelles seront évalués pendant les trois jours de l’atelier.

S’exprimant hier lundi lors de la cérémonie d’ouverture de la phase technique, Bamba Kâ, Directeur Général du Secteur financier et de la Compétitivité, a réaffirmé « la ferme volonté » du Sénégal d’ « accélérer l’ensemble des actions favorisant le renforcement de l’intégration régionale ».

A en croire M. Kâ, dans son pays, « des avancées notables ont été notées aussi bien dans l’application des textes communautaires que dans la mise en œuvre des projets » depuis la revue de l’année précédente.

De son côté, Aïssa Kabo Sidikou, Représentant Résident de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest africaine au Sénégal, a rappelé que l’exercice technique de la Revue annuelle « s’inscrit dans le processus d’identification des facteurs pouvant altérer les acquis des efforts communautaires, en vue d’anticiper les actions idoines pour une impulsion politique ciblée du processus d’intégration dans l’espace Uemoa ».

Poursuivant, elle a soutenu que « les résultats, obtenus à ce jour, témoignent de la forte contribution de cette initiative non seulement à l’effectivité de l’harmonisation des législations nationales mais surtout à la coordination du suivi de la mise en œuvre des politiques, programmes et projets communautaires ».

La Revue annuelle des réformes, politiques, programmes et projets communautaires de l’Uemoa a été instituée en 2013 par la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement. L’objectif est de favoriser l’accélération de leur application au sein de la zone monétaire.

Services publics ivoiriens: une plateforme de dénonciation annoncée dès janvier

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, a annoncé lundi la mise en place, dès janvier 2022, d’une plateforme de dénonciation pour lutter contre la corruption et le non respect des dispositions administratives.

M. Patrick Achi a annoncé la création de cette plateforme électronique à l’occasion de son premier grand oral, face à la presse à la Primature.  Répondant à la question d’un journaliste sur le non respect des cautions des loyers d’habitations, le Premier ministre a indiqué qu' »il a été décidé de mettre en place dès janvier une plateforme de dénonciation ».

Ce dispositif, dira-t-il, permettra aux populations, de façon anonymes d’envoyer des e-mails ou de faire des appels pour dénoncer un administrateur indélicat ou le non respect d’une mesure officielle. 

Derrière cette plateforme, c’est une véritable équipe qui va piloter le suivi pour s’assurer que les décisions qui sont prises par l’Etat sont respectées.  Et, ce afin que « s’il y a des indélicats qui ne sont pas prêts à respecter ces règles, ils puissent être identifiés et sanctionnés », a-t-il poursuivi.

La plateforme de dénonciation sera conduite par le ministère de la Bonne gouvernance et la lutte contre la corruption avec d’autres ministères. 

Lutte contre la contrefaçon: les industriels ivoiriens signent une convention avec Unifab

L’Union des grandes entreprises industrielles de Côte d’Ivoire (Ugeci) et l’Union des fabricants (Unifab) ont signé lundi à Abidjan une convention en vue de la lutte contre la contrefaçon et la protection de la propriété intellectuelle.

Le paraphe du protocole a eu lieu à la Maison de l’entreprise, le siège de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire  (Cgci, Patronat ivoirien), en présence du ministre du Commerce et de l’industrie, Souleymane Diarrassouba et du directeur général des douanes, M. Da Pierre. 

M. Jean-Louis Menudier, le président de l’Ugeci a signé la convention avec Mme Delphine Sarfati, directrice générale de l’Unifab France, après une table ronde sur la contrefaçon et la protection de la propriété intellectuelle.

« Comment espérer que les entreprises innovent lorsque tous les fruits de la recherche et du développement, tous les investissements marketing consacrés à l’émergence de nouvelles marques sont ruinées par la contrefaçon », a lancé M. Jean-Louis Menudier.  

Il a fait savoir que la contrefaçon et son corollaire, la fraude, pénalisent le retour sur investissement, entraînent une perte de compétitivité, fragilisent l’emploi et entraînent des pertes importantes de recettes budgétaires pour l’Etat. 

Dans son Plan national de développement  (PND,  2021-2025), la Côte d’Ivoire a résolument opté pour une transformation structurelle de son économie par l’industrialisation. Et face au phénomène de la contrefaçon, le pays veut lutter contre cette concurrence déloyale. 

Le ministre ivoirien du Commerce et de l’industrie, Souleymane Diarrassouba, s’est dit « très heureux » de participer à cette cérémonie de signature entre l’Ugeci et l’Unifab portant sur la lutte contre la contrefaçon. 

Il a fait savoir que la lutte contre la contrefaçon fait partie des axes prioritaires du gouvernement ivoirien,  rappelant que lors du dernier séminaire gouvernemental, la problématique de la contrefaçon a été posée par le secteur privé.  

Le chef du gouvernement a créé un groupe de travail regroupant les acteurs du secteur privé et de l’administration publique, qui a planché durant un mois sur les attentes des entreprises, assorties d’un diagnostic, a-t-il poursuivi. 

Interrogée en marge de la cérémonie, Mme Delphine Sarfati a indiqué que « l’Unifab a décidé de s’implanter en Côte d’Ivoire parce que la Côte d’Ivoire est le moteur économique de l’Afrique avec une volonté très importante de lutter contre la contrefaçon ». 

Cela vise également à promouvoir la création et l’innovation,  a-t-elle relevé,  avant d’ajouter que c’est une opportunité aussi pour les entreprises de s’implanter en Côte d’Ivoire et de savoir que leurs droits de propriété intellectuelle seront défendus correctement.

« Pour l’instant, nous allons ouvrir une antenne avec cette convention, puis nous espérons pouvoir ouvrir un bureau qui sera pérenne dans l’avenir pour aider les entreprises ivoiriennes, françaises et même internationales à mieux lutter contre la contrefaçon », a-t-elle dit. 

Cette antenne sera animée par un représentant qui sera sans doute ivoirien dans le cadre d’une coopération pour pouvoir protéger les intérêts des entreprises et des consommateurs, a confié Mme Delphine Sarfati.

En Côte d’Ivoire, les secteurs du textile, des pièces détachés des véhicules et les boissons alcoolisées sont les plus impactés par la contrefaçon. Les panélistes ont recommandé les recherches d’antériorité pour sécuriser sa propriété intellectuelle. 

Selon une enquête de l’organisation de coopération et de développement économique (OCDE) et de l’office  de l’Union européenne pour la propriété intellectuelle  (EUIPO), la contrefaçon représente environ 3,3% des échanges mondiaux. 

Affaire Pandora papers: la société créée n’a « jamais travaillé » et n’a « aucun actif » (Achi)

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, a déclaré lundi à Abidjan que son entreprise citée dans l’affaire Pandora papers n’a « jamais travaillé » et n’a « aucun actif », lors d’une conférence de presse.

« Ce sont des sociétés qui n’ont jamais travaillé, qui n’ont aucun actif, il n’y a aucun actif, vraiment que ce dossier soit clos, parce qu’il ne faut pas chercher là où il n’y a rien », a dit le Premier ministre face à la presse, à la Primature. 

M. Patrick Achi a relaté avoir travaillé pendant 15 ans dans le secteur privé avant de rentrer dans l’administration publique. A son retour au pays, il officiait pour une multinationale, et au bout de quelques années, il démissionnera pour créer sa propre entreprise.

Consultant en privé, il travaillera avec le ministère ivoirien de l’Énergie, celui de l’agriculture, et avec la Primature à un moment donné et avec d’autres pays de la sous-région, aussi bien pour le secteur public que pour le secteur privé.

« A un moment donné, certainement satisfaits de mes services, certaines personnes à l’extérieur, en France, aux États-unis, en Angleterre ont souhaité et sollicité mes services pour intervenir là-bas (aux Bahamas) », a-t-il ajouté. 

« Il fallait pour cela que j’ai une société qui soit installée, donc j’ai créé une société. Mais, il s’est trouvé que quelques mois après mes charges ne m’ont pas permis de faire ces consultations », a-t-il poursuivi. 

Au poste de Premier ministre, M. Patrick Achi estime que « c’est une grâce inimaginable » de se retrouver aujourd’hui comme chef de gouvernement d’un pays comme la Côte d’Ivoire, et il voudrait vraiment être « infiniment et éternellement reconnaissant au président Alassane Ouattara ».  

Pour lui, chaque jour, il est « en mission » s’interrogeant sur ce qu’ il peut faire dans ce temps pour avoir le sentiment qu’il a changé le destin de quelques personnes et que le président de la République est satisfait du travail qu’ il lui a confié.

« C’est tout cela mon souci, maintenant si d’autres ont d’autres motivations, moi je ne les connais pas, mais de grâce, qu’ils me laissent faire le petit travail que je suis en train de faire », a conclu M. Patrick Achi. 

Un pool de journalistes dans le monde a fait des investigations ressortant des entreprises créées par des personnalités dans des paradis fiscaux. 

Affaire Pandora papers: la société créée n’a « jamais travaillé » et n’a « aucun actif » (Achi)

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, a déclaré lundi à Abidjan que son entreprise citée dans l’affaire Pandora papers n’a « jamais travaillé » et n’a « aucun actif », lors d’une conférence de presse.

« Ce sont des sociétés qui n’ont jamais travaillé, qui n’ont aucun actif, il n’y a aucun actif, vraiment que ce dossier soit clos, parce qu’il ne faut pas chercher là où il n’y a rien », a dit le Premier ministre face à la presse, à la Primature. 

M. Patrick Achi a relaté avoir travaillé pendant 15 ans dans le secteur privé avant de rentrer dans l’administration publique. A son retour au pays, il officiait pour une multinationale, et au bout de quelques années, il démissionnera pour créer sa propre entreprise.

Consultant en privé, il travaillera avec le ministère ivoirien de l’Énergie, celui de l’agriculture, et avec la Primature à un moment donné et avec d’autres pays de la sous-région, aussi bien pour le secteur public que pour le secteur privé.

« A un moment donné, certainement satisfaits de mes services, certaines personnes à l’extérieur, en France, aux États-unis, en Angleterre ont souhaité et sollicité mes services pour intervenir là-bas (aux Bahamas) », a-t-il ajouté. 

« Il fallait pour cela que j’ai une société qui soit installée, donc j’ai créé une société. Mais, il s’est trouvé que quelques mois après mes charges ne m’ont pas permis de faire ces consultations », a-t-il poursuivi. 

Au poste de Premier ministre, M. Patrick Achi estime que « c’est une grâce inimaginable » de se retrouver aujourd’hui comme chef de gouvernement d’un pays comme la Côte d’Ivoire, et il voudrait vraiment être « infiniment et éternellement reconnaissant au président Alassane Ouattara ».  

Pour lui, chaque jour, il est « en mission » s’interrogeant sur ce qu’ il peut faire dans ce temps pour avoir le sentiment qu’il a changé le destin de quelques personnes et que le président de la République est satisfait du travail qu’ il lui a confié.

« C’est tout cela mon souci, maintenant si d’autres ont d’autres motivations, moi je ne les connais pas, mais de grâce, qu’ils me laissent faire le petit travail que je suis en train de faire », a conclu M. Patrick Achi. 

Un pool de journalistes dans le monde a fait des investigations ressortant des entreprises créées par des personnalités dans des paradis fiscaux. 

La première rame du Métro d’Abidjan « fonctionnelle en 2025 » (PM)

Le gouvernement ivoirien a exigé que la première rame du Métro d’Abidjan, attendue à l’horizon 2030, soit « fonctionnelle en 2025 », a dit lundi le Premier ministre, Patrick Achi, à l’occasion de son premier grand oral face à la presse.

« En terme de délai, nous avons exigé (auprès du consortium contractant) que la première rame du Métro d’Abidjan soit fonctionnelle en 2025, par rapport à 2028 qui était initialement prévu », a déclaré M. Patrick Achi, face à la presse. 

Concernant l’effectivité des travaux, le Premier ministre ivoirien a expliqué qu' »en réalité, quand on a 70% des personnes qui ont accepté et qu’on a payé (les indemnisations), on démarre » le projet. 

Il a fait observer que ce qui fait souvent retarder le démarrage des travaux, c’est qu’il y a des propriétaires qu’on ne retrouve plus ou qui ont donné un contact injoignable. Mais, arrivé à un seuil, les démolitions seront engagées. 

« On n’a pas mis beaucoup de temps sur Anyama (à l’Ouest d’Abidjan), où ça s’est fait dans le temps, on a eu quelques problèmes sur Abobo », a ajouté M. Patrick Achi, indiquant que « ça fait trois semaines qu’à Adjamé, les travaux sont arrêtés ». 

« Sur Adjamé, on s’est rendu compte qu’il y a encore une quantité de personnes non encore indemnisées qu’il faut rechercher et on s’est donné un délai pour les retrouver avant de reprendre les déguerpissements », a-t-il poursuivi.  

« Le consortium en charge des travaux n’a jamais imaginé qu’on aurait pu arriver à la moitié de la démolition, parce qu’ils en faisaient une condition sine qua non de démarrage du chantier », a relevé le chef du gouvernement ivoirien.  

« On est arrivé à la moitié de la démolition (…) A Adjamé (dans le Nord d’Abidjan), on va reprendre le déguerpissement et ça se passe pour le moment dans de bonnes conditions », a-t-il rassuré.

Le Métro d’Abidjan est projet de réseau ferroviaire de transport urbain, dont les travaux préparatoires ont commencé en 2018. Ce projet vise à désengorger le trafic à Abidjan. Les principaux travaux devraient débuter en 2022. 

La première rame du Métro d’Abidjan « fonctionnelle en 2025 » (PM)

Le gouvernement ivoirien a exigé que la première rame du Métro d’Abidjan, attendue à l’horizon 2030, soit « fonctionnelle en 2025 », a dit lundi le Premier ministre, Patrick Achi, à l’occasion de son premier grand oral face à la presse.

« En terme de délai, nous avons exigé (auprès du consortium contractant) que la première rame du Métro d’Abidjan soit fonctionnelle en 2025, par rapport à 2028 qui était initialement prévu », a déclaré M. Patrick Achi, face à la presse. 

Concernant l’effectivité des travaux, le Premier ministre ivoirien a expliqué qu' »en réalité, quand on a 70% des personnes qui ont accepté et qu’on a payé (les indemnisations), on démarre » le projet. 

Il a fait observer que ce qui fait souvent retarder le démarrage des travaux, c’est qu’il y a des propriétaires qu’on ne retrouve plus ou qui ont donné un contact injoignable. Mais, arrivé à un seuil, les démolitions seront engagées. 

« On n’a pas mis beaucoup de temps sur Anyama (à l’Ouest d’Abidjan), où ça s’est fait dans le temps, on a eu quelques problèmes sur Abobo », a ajouté M. Patrick Achi, indiquant que « ça fait trois semaines qu’à Adjamé, les travaux sont arrêtés ». 

« Sur Adjamé, on s’est rendu compte qu’il y a encore une quantité de personnes non encore indemnisées qu’il faut rechercher et on s’est donné un délai pour les retrouver avant de reprendre les déguerpissements », a-t-il poursuivi.  

« Le consortium en charge des travaux n’a jamais imaginé qu’on aurait pu arriver à la moitié de la démolition, parce qu’ils en faisaient une condition sine qua non de démarrage du chantier », a relevé le chef du gouvernement ivoirien.  

« On est arrivé à la moitié de la démolition (…) A Adjamé (dans le Nord d’Abidjan), on va reprendre le déguerpissement et ça se passe pour le moment dans de bonnes conditions », a-t-il rassuré.

Le Métro d’Abidjan est projet de réseau ferroviaire de transport urbain, dont les travaux préparatoires ont commencé en 2018. Ce projet vise à désengorger le trafic à Abidjan. Les principaux travaux devraient débuter en 2022. 

Côte d’Ivoire: le PM annonce la reprise du dialogue politique « dès décembre »

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, a annoncé lundi à Abidjan la poursuite du dialogue politique « dès décembre » 2021 avec les acteurs concernés, lors de son premier grand oral face à la presse.

Le chef de l’Etat « m’a instruit en ce qui concerne effectivement le dialogue politique mené précédemment par feu Hamed Bakayoko et Gon Coulibaly, de reprendre dès décembre la poursuite de ce dialogue politique avec les acteurs concernés », a dit M. Patrick Achi. 

« Dans les tout prochains jours, ils seront contactés », a-t-il ajouté, faisant observer que le dialogue politique « ne s’est jamais arrêté », à preuve, le chef de l’Etat a échangé avec les anciens présidents M. Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo. 

En outre, le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, mentionnera-t-il, procède depuis plusieurs années à libération de détenus et favorise le retour d’exilés de la crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011.   

M. Ouattara « a la main tendue, il a le cœur ouvert (et) il fait la démonstration quotidienne et permanente du dialogue politique » avec des actes de cohésion sociale, a soutenu M. Patrick Achi, face aux caméras. 

« Il faut reconnaître qu’en matière de dialogue politique, au cours de ces derniers mois, le chef de l’Etat a posé des actes exemplaires et exceptionnels », a-t-il poursuivi, lors de la conférence de presse tenue à l’auditorium de la Primature.  

Le président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Affi N’Guessan a plaidé en octobre pour la reprise du dialogue politique en vue d’un « consensus » autour de la présidentielle de 2025, lors d’une rencontre avec Alassane Ouattara au palais présidentiel.

« Il ne faut pas attendre au dernier moment pour engager des discussions. Je crois que le Premier ministre va être instruit de manière à ce que le dialogue politique reprenne avec les partis politiques », avait déclaré M. Affi qui conduisait une délégation de son parti. 

Cette démarche, notera le chef du FPI, a lieu afin que « ce qui a été à l’origine des problèmes de 2020 puissent être discuté et que nous puissions trouver un consensus largement et longtemps avant l’échéance de 2025 ».

Le président du FPI a émis le vœu que 2025, une année électorale, puisse permettre à la Côte d’Ivoire de tourner la mage des élections contestées et des crises à l’instar du scrutin présidentiel qui s’est soldé par une crise ayant fait plus de 3.000 morts en 2010-2021.    

Côte d’Ivoire: le PM annonce la reprise du dialogue politique « dès décembre »

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, a annoncé lundi à Abidjan la poursuite du dialogue politique « dès décembre » 2021 avec les acteurs concernés, lors de son premier grand oral face à la presse.

Le chef de l’Etat « m’a instruit en ce qui concerne effectivement le dialogue politique mené précédemment par feu Hamed Bakayoko et Gon Coulibaly, de reprendre dès décembre la poursuite de ce dialogue politique avec les acteurs concernés », a dit M. Patrick Achi. 

« Dans les tout prochains jours, ils seront contactés », a-t-il ajouté, faisant observer que le dialogue politique « ne s’est jamais arrêté », à preuve, le chef de l’Etat a échangé avec les anciens présidents M. Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo. 

En outre, le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, mentionnera-t-il, procède depuis plusieurs années à libération de détenus et favorise le retour d’exilés de la crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011.   

M. Ouattara « a la main tendue, il a le cœur ouvert (et) il fait la démonstration quotidienne et permanente du dialogue politique » avec des actes de cohésion sociale, a soutenu M. Patrick Achi, face aux caméras. 

« Il faut reconnaître qu’en matière de dialogue politique, au cours de ces derniers mois, le chef de l’Etat a posé des actes exemplaires et exceptionnels », a-t-il poursuivi, lors de la conférence de presse tenue à l’auditorium de la Primature.  

Le président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Affi N’Guessan a plaidé en octobre pour la reprise du dialogue politique en vue d’un « consensus » autour de la présidentielle de 2025, lors d’une rencontre avec Alassane Ouattara au palais présidentiel.

« Il ne faut pas attendre au dernier moment pour engager des discussions. Je crois que le Premier ministre va être instruit de manière à ce que le dialogue politique reprenne avec les partis politiques », avait déclaré M. Affi qui conduisait une délégation de son parti. 

Cette démarche, notera le chef du FPI, a lieu afin que « ce qui a été à l’origine des problèmes de 2020 puissent être discuté et que nous puissions trouver un consensus largement et longtemps avant l’échéance de 2025 ».

Le président du FPI a émis le vœu que 2025, une année électorale, puisse permettre à la Côte d’Ivoire de tourner la mage des élections contestées et des crises à l’instar du scrutin présidentiel qui s’est soldé par une crise ayant fait plus de 3.000 morts en 2010-2021.    

Prix d’excellence 2021: l’OSEP, l’administration publique ivoirienne la plus innovante

L’Observatoire du service public (OSEP) de Côte d’Ivoire a reçu le Prix d’excellence de l’administration publique moderne la plus innovante, à l’occasion de l’édition 2021 de la Journée nationale de l’excellence, tenue vendredi au palais présidentiel, à Abidjan.

L’OSEP, organe de veille permanent, permettant d’apprécier l’efficacité et la transparence du service public, par le recueil et le traitement des préoccupations des usagers de l’administration publique, a décroché ce sésame pour sa qualité de service.

Selon les critères de sélection, l’observatoire a été retenu pour la qualité de ses ressources humaines, l’utilisation d’outils innovants dans ses process, la qualité de sa gestion financière, l’operationnalité du service, de ses équipements et l’environnement de travail. 

Il utilise les modes de saisine classiques, tél l’appel, le courriel, le courrier physique, l’auto-saisine, des outils qui ont été renforcés par une plateforme digitale dénommée le portail du Citoyen « Miliê ».

De 386 requêtes enregistrées en 2018, le nombre de requêtes est passé du 1er janvier au 11 juin 2020, à 3 309, soit une augmentation de 685,29%. Ce qui traduit le dynamisme du dispositif de recueil des requêtes et l’interaction effective administration/usagers.

Ces performances ont impacté positivement la gouvernance des administrations publiques ainsi que la situation socio-économique des populations. Toute chose qui contribue à l’amélioration de la qualité du service public.

La cérémonie de remise du Prix national de l’excellence s’est tenue en présence du chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, et la Première dame Dominique Ouattara, ainsi que des présidents d’institutions et des membres du gouvernement. 

Prix d’excellence 2021: l’OSEP, l’administration publique ivoirienne la plus innovante

L’Observatoire du service public (OSEP) de Côte d’Ivoire a reçu le Prix d’excellence de l’administration publique moderne la plus innovante, à l’occasion de l’édition 2021 de la Journée nationale de l’excellence, tenue vendredi au palais présidentiel, à Abidjan.

L’OSEP, organe de veille permanent, permettant d’apprécier l’efficacité et la transparence du service public, par le recueil et le traitement des préoccupations des usagers de l’administration publique, a décroché ce sésame pour sa qualité de service.

Selon les critères de sélection, l’observatoire a été retenu pour la qualité de ses ressources humaines, l’utilisation d’outils innovants dans ses process, la qualité de sa gestion financière, l’operationnalité du service, de ses équipements et l’environnement de travail. 

Il utilise les modes de saisine classiques, tél l’appel, le courriel, le courrier physique, l’auto-saisine, des outils qui ont été renforcés par une plateforme digitale dénommée le portail du Citoyen « Miliê ».

De 386 requêtes enregistrées en 2018, le nombre de requêtes est passé du 1er janvier au 11 juin 2020, à 3 309, soit une augmentation de 685,29%. Ce qui traduit le dynamisme du dispositif de recueil des requêtes et l’interaction effective administration/usagers.

Ces performances ont impacté positivement la gouvernance des administrations publiques ainsi que la situation socio-économique des populations. Toute chose qui contribue à l’amélioration de la qualité du service public.

La cérémonie de remise du Prix national de l’excellence s’est tenue en présence du chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, et la Première dame Dominique Ouattara, ainsi que des présidents d’institutions et des membres du gouvernement. 

Des évangéliques décident à Abidjan de plus s’engager dans les oeuvres sociales

Des dirigeants d’églises évangéliques de plus d’une dizaine de pays de la planète, ont à l’issue d’une conférence internationale à Abidjan, décidé ce week-end de s’engager davantage dans les œuvres sociales.

Selon Dr Dieunedort Kamdem, l’Assemblée générale a invité les confessions évangéliques à « mieux s’engager dans les oeuvres sociales », car « l’église doit penser ce monde meurtri, les orphelins, les veufs, les drogués, etc ».

« Nous devons de plus en plus manifester l’amour de Christ en prenant soin de ceux qui sont autour de nous », a-t-il ajouté, indiquant que les dirigeants des églises présentes à la conférence, ont décidé d’assister les épouses de pasteurs qui sont veuves.  

Lorsque les pasteurs meurent, beaucoup laissent des épouses et des enfants qui n’ont pratiquement rien dans un compte bancaire. De ce fait, l’Assemblée a résolu qu’à la perte de leur époux, elles puissent avoir un fonds qui leur permette de prendre soin de leurs enfants, a-t-il dit.  

Sans ambages, il a martelé que « l’église semble ne plus avoir de repère, elle n’est plus le sel de la terre et la lumière du monde. (Parce que) ce qui s’est passé dans les temps apostoliques semble disparaître de nos jours ». 

A travers cette conférence internationale qui a vu la participation de près de 17 nations, des hommes et des femmes de Dieu, venus entre autres, de la France, la Belgique, le Canada, Cameroun,  Gabon, Togo, Bénin, Italie, Haïti, ont célébré Dieu pour ses grâces. 

 Les réflexions, poursuivra-t-il, ont soutenu que les hommes et les femmes peuvent répondre aux problèmes sociaux, c’est pourquoi des décisions ont été prises pour l’évolution de l’église et permettre au corps de Christ d’être plus représentatif dans la société. 

« L’égalisé doit se positionner comme l’interprète des visions, des rois, des hommes d’affaires et des administrateurs », a fait savoir Dr Dieunedort Kamdem, en marge de  la 30e édition de la Conférence internationale des dirigeants d’églises évangéliques du monde, tenue au siège de la Mission royale ange de Nazareth (MIRAN).

Depuis le 3 novembre 2021, la Côte d’Ivoire accueille 200 prophètes, évêques, diacres et pasteurs,  venus de plus d’une dizaine de pays. La conférence a regroupé quelque 2000 âmes qui ont dans la ferveur célébré l’Éternel. 

Ce rendez-vous marque par ailleurs les 30 ans de la CIFI, un moment de réflexion et de formation pour répondre aux problématiques, telles les catastrophes, les épidémies, la pauvreté qui impactent le monde.   

A l’occasion de cette rencontre, il y a eu une ordination de 40 pasteurs, prophètes et apôtres, tandis que deux évêques ont été consacrés. Dr Kamdem a lancé un appel à la réconciliation et au rassemblement en Côte d’Ivoire.  

Selon Dr Dieunedort Kamdem, président fondateur de la Mission royale ange de Nazareth (Miran) – Cathédrale de la foi, la confession religieuse compte dans le monde 78 églises réparties dans les trois continents. Après le Canada, la Mira a vu le jour en Côte d’Ivoire. 

Des étudiants ivoiriens instruits sur les enjeux de l’innovation technologique

L’Ecole supérieure Africaine des technologies de l’information et de la communication (ESATIC), une grande école publique ivoirienne, a ouvert vendredi ses portes pour l’année académique 2021-2022 par une conférence sur les enjeux de l’innovation technologique.

Cette rentrée solennelle, couplée d’une conférence inaugurale sur le thème « Développement de compétences et innovation », était animée par M. Roger Félix Adom, le ministre de l’Economie numérique, des télécommunications et de l’innovation.

À travers cette conférence, l’établissement veut amener ses étudiants à  comprendre et à s’approprier les stratégies et recommandations en matière de compétences numériques et l’innovation technologique.  

Les exposés développés ont permis d’informer les apprenants sur les progrès et les nouveaux métiers du secteur des télécommunication /TIC et de leur faire comprendre les enjeux de l’innovation pour le développement du pays. 

Cet espace initié par la direction générale de la grande école a également permis de renforcer la motivation des jeunes, surtout les filles esaticiennes aux métiers du numérique. 

Au cours de cette cérémonie, il a été procédé à la présentation des enseignants chercheurs de l’Esatic promus au Cames, ainsi que les 16 apprenants qui représenteront l’Esatic au concours national de la ICT Compétition de Huawei.

Le directeur général de l’Esatic, le professeur Adama Konaté, a fait savoir que de 100 étudiants en 2012, l’école compte aujourd’hui 808 étudiants répartis dans cinq parcours de licence et sept parcours de Master.

Ces différents parcours ont été conçus et mis en place avec le soutien et la participation effective du secteur privé des TIC, notamment le Gotic et l’Union nationale des entreprises de télécommunications (Unetel). 

Selon le professeur Adama Konaté, sept de ces parcours sont accrédités par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et le Centre africain et Malgache pour l’enseignement supérieur et des écoles partenaires. 

« Les taux de réussite à l’Esatic restent bons. Nous enregistrons environ 97% des étudiants de l’Esatic qui ont une moyenne générale supérieure ou égale à 10 sur 20, et un taux de passage en classe supérieure qui est de l’ordre de 90% », a-t-il dit. 

Créée en 2012, l’Ecole supérieure africaine des technologies de l’information et de la communication (Esatic), est une grande école publique qui a pour mission de former des cadres dans le domaine des (Tic).

L’école a ouvert ses portes, conformément au calendrier fixé par le gouvernement et à mis en application, dès la rentrée académique 2012-2013 le système Licence Master Doctorat (LMD)

A l’aube des dix ans de fonctionnement, l’Esatic, l’institution peut être fière de son bilan avec l’homologation de ses parcours de formation, l’insertion de ses diplômés à 80% et l’obtention du Prix d’Excellence du président de la République trois année de suite. L’école a la certification ISO 9001 versions 2015.

Des étudiants ivoiriens instruits sur les enjeux de l’innovation technologique

L’Ecole supérieure Africaine des technologies de l’information et de la communication (ESATIC), une grande école publique ivoirienne, a ouvert vendredi ses portes pour l’année académique 2021-2022 par une conférence sur les enjeux de l’innovation technologique.

Cette rentrée solennelle, couplée d’une conférence inaugurale sur le thème « Développement de compétences et innovation », était animée par M. Roger Félix Adom, le ministre de l’Economie numérique, des télécommunications et de l’innovation.

À travers cette conférence, l’établissement veut amener ses étudiants à  comprendre et à s’approprier les stratégies et recommandations en matière de compétences numériques et l’innovation technologique.  

Les exposés développés ont permis d’informer les apprenants sur les progrès et les nouveaux métiers du secteur des télécommunication /TIC et de leur faire comprendre les enjeux de l’innovation pour le développement du pays. 

Cet espace initié par la direction générale de la grande école a également permis de renforcer la motivation des jeunes, surtout les filles esaticiennes aux métiers du numérique. 

Au cours de cette cérémonie, il a été procédé à la présentation des enseignants chercheurs de l’Esatic promus au Cames, ainsi que les 16 apprenants qui représenteront l’Esatic au concours national de la ICT Compétition de Huawei.

Le directeur général de l’Esatic, le professeur Adama Konaté, a fait savoir que de 100 étudiants en 2012, l’école compte aujourd’hui 808 étudiants répartis dans cinq parcours de licence et sept parcours de Master.

Ces différents parcours ont été conçus et mis en place avec le soutien et la participation effective du secteur privé des TIC, notamment le Gotic et l’Union nationale des entreprises de télécommunications (Unetel). 

Selon le professeur Adama Konaté, sept de ces parcours sont accrédités par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et le Centre africain et Malgache pour l’enseignement supérieur et des écoles partenaires. 

« Les taux de réussite à l’Esatic restent bons. Nous enregistrons environ 97% des étudiants de l’Esatic qui ont une moyenne générale supérieure ou égale à 10 sur 20, et un taux de passage en classe supérieure qui est de l’ordre de 90% », a-t-il dit. 

Créée en 2012, l’Ecole supérieure africaine des technologies de l’information et de la communication (Esatic), est une grande école publique qui a pour mission de former des cadres dans le domaine des (Tic).

L’école a ouvert ses portes, conformément au calendrier fixé par le gouvernement et à mis en application, dès la rentrée académique 2012-2013 le système Licence Master Doctorat (LMD)

A l’aube des dix ans de fonctionnement, l’Esatic, l’institution peut être fière de son bilan avec l’homologation de ses parcours de formation, l’insertion de ses diplômés à 80% et l’obtention du Prix d’Excellence du président de la République trois année de suite. L’école a la certification ISO 9001 versions 2015.

Le Prix d’excellence ivoirien de la qualité décerné à la CIE

Le Prix ivoirien de la qualité décerné à la direction de la production d’électricité de la Compagnie ivoirienne d’électricité (DPE-CIE), a été remis vendredi par le Premier ministre Patrick Achi, au Palais présidentiel, lors de la Journée nationale de l’excellence.

Le prix a été réceptionné par le directeur général de la CIE, M. Ahmadou Bakayoko, lors d’une cérémonie en présence du chef de l’Etat M. Alassane Ouattara, de la Première dame Mme Dominique Ouattara, des présidents d’institutions et des membres du gouvernement.  

Cette distinction, qui récompense les entités qui se sont illustrées par la qualité de leurs produits et services dans le domaine du commerce et de l’industrie, est un concours organisé par la Direction de la promotion de la qualité et de la normalisation (DPQN) du ministère du Commerce et de l’industrie. 

Adressé à toutes les organisations publiques ou privées exerçant en Côte d’Ivoire et engagées dans une démarche qualité, ce prix vise à promouvoir la culture de la Qualité en Côte d’Ivoire et à inciter les entreprises à entreprendre une démarche qualité. 

Pour cette édition, le prix vient couronner la démarche qualité de la Direction de la Production d’Electricité de la CIE, déjà certifiée Qualité Sécurité Environnement (QSE) sur le périmètre production, transport et mouvement d’énergie.

Le directeur général de la CIE, dont l’entité est engagée dans la promotion de la qualité depuis de nombreuses années, a remercié l’Etat de Côte d’Ivoire pour cette reconnaissance, qui couronne les efforts de l’entreprise.   

M. Ahmadou Bakayoko a félicité l’ensemble de ses collaborateurs pour les efforts constants accomplis et les a exhortés à poursuivre la politique qualité qui n’a pour seul but que la satisfaction des engagements contractuels de la CIE avec l’Etat et celle de ses clients. 

« L’Excellence et la compétence technique de la CIE sont reconnues, entre autres, au niveau de la qualité de nos facteurs de production hydraulique et thermique ; et cela représente un grand honneur pour tous les braves agents de notre entreprise », a déclaré M. Ahmadou Bakayoko. 

Le déficit de qualité des produits et des services constitue l’un des freins majeurs à la participation des Etats membres de la région ouest-africaine au commerce mondial et à la compétitivité. 

Pour permettre à la Côte d’Ivoire de se positionner au rang des nations émergentes, le gouvernement ivoirien, à travers le ministère chargé de l’Industrie, s’est résolument engagé à créer les conditions d’un environnement favorable pour le développement de la qualité.

C’est dans ce cadre que l’Etat de Côte d’Ivoire a institué le 13 juin 2002, le concours du Prix Ivoirien de la Qualité et confié son organisation au ministère de l’Industrie et des mines, à travers la Direction de la Promotion de la Qualité et de la Normalisation.

Ce sont au total 84 lauréats dont 48 personnes physiques, issus de l’édition 2020 auxquels se sont ajoutés ceux de l’année 2021 du secteur Education-Formation professionnelle, qui ont reçu leurs Prix au cours de cette cérémonie.

Intervenant à cette occasion, le chef de l’Etat ivoirien a exprimé sa joie de présider la traditionnelle Journée nationale de l’excellence qui est devenue une opportunité de raffermissement de l’unité nationale autour des valeurs du travail et du mérite. 

M. Ouattara a exprimé ses vives félicitations aux lauréats de cette 8ème édition du Prix national d’excellence, et souhaité la pérennisation de la Journée nationale de l’excellence, pour une saine compétition des talents du pays.  Ce prix est constitué d’un diplôme, d’un trophée et d’un chèque de 10 millions de FCFA.

Le Prix d’excellence ivoirien de la qualité décerné à la CIE

Le Prix ivoirien de la qualité décerné à la direction de la production d’électricité de la Compagnie ivoirienne d’électricité (DPE-CIE), a été remis vendredi par le Premier ministre Patrick Achi, au Palais présidentiel, lors de la Journée nationale de l’excellence.

Le prix a été réceptionné par le directeur général de la CIE, M. Ahmadou Bakayoko, lors d’une cérémonie en présence du chef de l’Etat M. Alassane Ouattara, de la Première dame Mme Dominique Ouattara, des présidents d’institutions et des membres du gouvernement.  

Cette distinction, qui récompense les entités qui se sont illustrées par la qualité de leurs produits et services dans le domaine du commerce et de l’industrie, est un concours organisé par la Direction de la promotion de la qualité et de la normalisation (DPQN) du ministère du Commerce et de l’industrie. 

Adressé à toutes les organisations publiques ou privées exerçant en Côte d’Ivoire et engagées dans une démarche qualité, ce prix vise à promouvoir la culture de la Qualité en Côte d’Ivoire et à inciter les entreprises à entreprendre une démarche qualité. 

Pour cette édition, le prix vient couronner la démarche qualité de la Direction de la Production d’Electricité de la CIE, déjà certifiée Qualité Sécurité Environnement (QSE) sur le périmètre production, transport et mouvement d’énergie.

Le directeur général de la CIE, dont l’entité est engagée dans la promotion de la qualité depuis de nombreuses années, a remercié l’Etat de Côte d’Ivoire pour cette reconnaissance, qui couronne les efforts de l’entreprise.   

M. Ahmadou Bakayoko a félicité l’ensemble de ses collaborateurs pour les efforts constants accomplis et les a exhortés à poursuivre la politique qualité qui n’a pour seul but que la satisfaction des engagements contractuels de la CIE avec l’Etat et celle de ses clients. 

« L’Excellence et la compétence technique de la CIE sont reconnues, entre autres, au niveau de la qualité de nos facteurs de production hydraulique et thermique ; et cela représente un grand honneur pour tous les braves agents de notre entreprise », a déclaré M. Ahmadou Bakayoko. 

Le déficit de qualité des produits et des services constitue l’un des freins majeurs à la participation des Etats membres de la région ouest-africaine au commerce mondial et à la compétitivité. 

Pour permettre à la Côte d’Ivoire de se positionner au rang des nations émergentes, le gouvernement ivoirien, à travers le ministère chargé de l’Industrie, s’est résolument engagé à créer les conditions d’un environnement favorable pour le développement de la qualité.

C’est dans ce cadre que l’Etat de Côte d’Ivoire a institué le 13 juin 2002, le concours du Prix Ivoirien de la Qualité et confié son organisation au ministère de l’Industrie et des mines, à travers la Direction de la Promotion de la Qualité et de la Normalisation.

Ce sont au total 84 lauréats dont 48 personnes physiques, issus de l’édition 2020 auxquels se sont ajoutés ceux de l’année 2021 du secteur Education-Formation professionnelle, qui ont reçu leurs Prix au cours de cette cérémonie.

Intervenant à cette occasion, le chef de l’Etat ivoirien a exprimé sa joie de présider la traditionnelle Journée nationale de l’excellence qui est devenue une opportunité de raffermissement de l’unité nationale autour des valeurs du travail et du mérite. 

M. Ouattara a exprimé ses vives félicitations aux lauréats de cette 8ème édition du Prix national d’excellence, et souhaité la pérennisation de la Journée nationale de l’excellence, pour une saine compétition des talents du pays.  Ce prix est constitué d’un diplôme, d’un trophée et d’un chèque de 10 millions de FCFA.

Trois ministres ivoiriens se prêtent au jeu du mannequin à un défilé de modes

Trois ministres ivoiriens se sont prêtés samedi nuit, au jeu du mannequin, lors d’un défilé de modes, à l’occasion de la 15e édition de Afrik fashion show, tenue à Abidjan.

Invités par le maître de cérémonie, l’animatrice télé Mariam Coulibaly, le ministre du Tourisme et des loisirs, Siandou Fofana, la cheffe de de la diplomatie Kandia Camara, et le ministre de la Promotion des PME et de l’artisanat, Félix Anoblé, ont défilé sous des slaves d’applaudissements du public. 

Peu avant, l’artiste ivoirien Manadja, membre du Groupe Magic System, est apparu sur la scène, vêtu d’un complet pourpre, esquissant des pas tout le long du podium pour exhiber son apparat, somptueux et d’éclat. Il avait à ses côtés l’animatrice télé de Caroline DaSylva. 

Les mannequins ayant fait la parade d’ouverture de l’édition 2021 de Afrik fashion show, promue par l’Ivoirienne Isabelle Anoh, étaient habillés par le styliste de renom, Pathé’O, l’un des couturiers de feu Nelson Mandela.

Pathé’O a dit « merci aux ministres qui ont rehaussé cette cérémonie par leur présence », avant de lancer à l’endroit de l’assistance « portez (ce que le continent produit parce que)  l’Afrique doit se développer par les Africains ».

La 15e session de cette grande messe de la mode, dédiée à la « créativité et à l’élégance », a eu pour thème « Valorisation du Made in Côte d’Ivoire ». Cette thématique illustre le combat du label Made in Côte d’Ivoire de Mme Isabelle Anoh. 

Meeting de la créativité,  sur les bords de la lagune Ebrié,  Afrik fashion show, a pris le pari de réunir 15 stylistes ivoiriens représentant quatre générations de créateurs, qui ont exposé leur savoir-faire. 

L’une des innovations de cette édition, est la vente éphémère qui a débuté dans la matinée de samedi et qui a pris fin après le défilé qui a démontré la résilience des stylistes et des créateurs de modes, également impactés par les effets de la pandémie de Covid-19.

« Les marques ivoiriennes qui exposent nous confortent dans le choix de valoriser le label Made in Côte d’Ivoire », a déclaré Mme Isabelle Anoh, qui a salué les acteurs de l’écosystème, les mannequins, les fabriquants de textiles, ceux de de la coiffure et de la cosmétique.   

De Tendance Party à Afrik fashion show, Isabelle Anoh, en dépit des défis du parcours, a toujours su donner une impulsion à son rêve et à sa passion. Cela fait 15 ans que dure cette aventure qui se bonifie au fil des ans. 

Elle a annoncé que dès la 16e édition, Afrik fashion show se nommera désormais « Afrik fashion week » et s’étendra sur plusieurs jours avec un Comité scientifique, un Comité organisationnel et une participation plus accrue des acteurs de la mode.  

Plus d’un millier de personnes, ferrures de la mode et venus de divers horizons du continent, ont pris part à la 15e édition de Afrik fashion show, qui a dévoilé des marques telles « Missano » by I. Anoh ou encore Diamond couture.  

Trois ministres ivoiriens se prêtent au jeu du mannequin à un défilé de modes

Trois ministres ivoiriens se sont prêtés samedi nuit, au jeu du mannequin, lors d’un défilé de modes, à l’occasion de la 15e édition de Afrik fashion show, tenue à Abidjan.

Invités par le maître de cérémonie, l’animatrice télé Mariam Coulibaly, le ministre du Tourisme et des loisirs, Siandou Fofana, la cheffe de de la diplomatie Kandia Camara, et le ministre de la Promotion des PME et de l’artisanat, Félix Anoblé, ont défilé sous des slaves d’applaudissements du public. 

Peu avant, l’artiste ivoirien Manadja, membre du Groupe Magic System, est apparu sur la scène, vêtu d’un complet pourpre, esquissant des pas tout le long du podium pour exhiber son apparat, somptueux et d’éclat. Il avait à ses côtés l’animatrice télé de Caroline DaSylva. 

Les mannequins ayant fait la parade d’ouverture de l’édition 2021 de Afrik fashion show, promue par l’Ivoirienne Isabelle Anoh, étaient habillés par le styliste de renom, Pathé’O, l’un des couturiers de feu Nelson Mandela.

Pathé’O a dit « merci aux ministres qui ont rehaussé cette cérémonie par leur présence », avant de lancer à l’endroit de l’assistance « portez (ce que le continent produit parce que)  l’Afrique doit se développer par les Africains ».

La 15e session de cette grande messe de la mode, dédiée à la « créativité et à l’élégance », a eu pour thème « Valorisation du Made in Côte d’Ivoire ». Cette thématique illustre le combat du label Made in Côte d’Ivoire de Mme Isabelle Anoh. 

Meeting de la créativité,  sur les bords de la lagune Ebrié,  Afrik fashion show, a pris le pari de réunir 15 stylistes ivoiriens représentant quatre générations de créateurs, qui ont exposé leur savoir-faire. 

L’une des innovations de cette édition, est la vente éphémère qui a débuté dans la matinée de samedi et qui a pris fin après le défilé qui a démontré la résilience des stylistes et des créateurs de modes, également impactés par les effets de la pandémie de Covid-19.

« Les marques ivoiriennes qui exposent nous confortent dans le choix de valoriser le label Made in Côte d’Ivoire », a déclaré Mme Isabelle Anoh, qui a salué les acteurs de l’écosystème, les mannequins, les fabriquants de textiles, ceux de de la coiffure et de la cosmétique.   

De Tendance Party à Afrik fashion show, Isabelle Anoh, en dépit des défis du parcours, a toujours su donner une impulsion à son rêve et à sa passion. Cela fait 15 ans que dure cette aventure qui se bonifie au fil des ans. 

Elle a annoncé que dès la 16e édition, Afrik fashion show se nommera désormais « Afrik fashion week » et s’étendra sur plusieurs jours avec un Comité scientifique, un Comité organisationnel et une participation plus accrue des acteurs de la mode.  

Plus d’un millier de personnes, ferrures de la mode et venus de divers horizons du continent, ont pris part à la 15e édition de Afrik fashion show, qui a dévoilé des marques telles « Missano » by I. Anoh ou encore Diamond couture.  

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat s’ouvre lundi à Abidjan

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat Etat/secteur privé (JNP) s’ouvre, lundi, à Abidjan pour débattre de « la vision 2030 du développement de la Côte d’Ivoire».

Cette cinquième  édition  vise à renforcer la vision partagée et complémentaire entre l’Etat et le secteur privé pour l’atteinte des objectifs de développement socio-économique de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2030.

La  JNP se positionne comme le rendez-vous clé et le cadre d’échanges propices, entre autres, à la présentation des réformes et efforts consentis par l’Etat et à l’expression des attentes du secteur privé.

Après avoir enregistré 3 463 participants à la précédente édition de 2019, celle de 2021 sera organisée dans un format hybride avec 2 000 personnes en présentiel et 5 000 autres en ligne.

La première journée s’ouvrira avec la session régionale de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) dédiée au partage d’expériences sur le dialogue public/privé.

 S’en suivra, le premier atelier thématique sur «intégration économique africaine : quelles opportunités avec la ZLECAF (Zone de libre-échange continentale africaine) dans la vision 2030 ». 

Le second temps fort de cette première journée sera la cérémonie d’ouverture en début d’après-midi avec l’allocution du Premier ministre Patrick Achi, haut patron de cette journée et président du Conseil de Concertation qui viendra en réponse à celle du président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI, patronat ivoirien), représentant le secteur privé.

Cette série de discours sera ouverte par le ministre de l’Economie et des finances, président du Comité Technique de Concertation et président de la JNP 2021. Les visites du site des B to G et de l’espace d’exposition, meubleront également cette première journée.

 Le volet  scientifique de la JNP 2021 s’ouvrira avec le premier panel autour du thème, «reprise économique post-covid : rôle de l’Etat et stratégie des entreprises ». 

La deuxième journée débutera avec l’organisation de trois ateliers thématiques qui se tiendront de façon parallèle sur les thèmes: « développement des pôles économiques régionaux compétitifs : enjeux et  défis », « PND (Plan national de développement)  2021-2025 : quelles opportunités pour le secteur productif ? » et «accès au financement des entreprises : activités des Fonds Covid et garantie des crédits  aux entreprises ».

Un panel de clôture sur le thème,  «vision Côte d’Ivoire 2030: contribution du partenariat Etat secteur privé », permettra au cabinet du premier ministre, d’approfondir la réflexion avec la participation du patronat ivoirien, de la Fédération ivoirienne des PME et  de la Banque mondiale.

La cérémonie de clôture, qui verra la remise des cinq différents prix du partenariat, ainsi que les prix spéciaux  aux acteurs de l’administration publique et du secteur privé viendra clore ces deux journées de réflexions.

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat s’ouvre lundi à Abidjan

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat Etat/secteur privé (JNP) s’ouvre, lundi, à Abidjan pour débattre de « la vision 2030 du développement de la Côte d’Ivoire».

Cette cinquième  édition  vise à renforcer la vision partagée et complémentaire entre l’Etat et le secteur privé pour l’atteinte des objectifs de développement socio-économique de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2030.

La  JNP se positionne comme le rendez-vous clé et le cadre d’échanges propices, entre autres, à la présentation des réformes et efforts consentis par l’Etat et à l’expression des attentes du secteur privé.

Après avoir enregistré 3 463 participants à la précédente édition de 2019, celle de 2021 sera organisée dans un format hybride avec 2 000 personnes en présentiel et 5 000 autres en ligne.

La première journée s’ouvrira avec la session régionale de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) dédiée au partage d’expériences sur le dialogue public/privé.

 S’en suivra, le premier atelier thématique sur «intégration économique africaine : quelles opportunités avec la ZLECAF (Zone de libre-échange continentale africaine) dans la vision 2030 ». 

Le second temps fort de cette première journée sera la cérémonie d’ouverture en début d’après-midi avec l’allocution du Premier ministre Patrick Achi, haut patron de cette journée et président du Conseil de Concertation qui viendra en réponse à celle du président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI, patronat ivoirien), représentant le secteur privé.

Cette série de discours sera ouverte par le ministre de l’Economie et des finances, président du Comité Technique de Concertation et président de la JNP 2021. Les visites du site des B to G et de l’espace d’exposition, meubleront également cette première journée.

 Le volet  scientifique de la JNP 2021 s’ouvrira avec le premier panel autour du thème, «reprise économique post-covid : rôle de l’Etat et stratégie des entreprises ». 

La deuxième journée débutera avec l’organisation de trois ateliers thématiques qui se tiendront de façon parallèle sur les thèmes: « développement des pôles économiques régionaux compétitifs : enjeux et  défis », « PND (Plan national de développement)  2021-2025 : quelles opportunités pour le secteur productif ? » et «accès au financement des entreprises : activités des Fonds Covid et garantie des crédits  aux entreprises ».

Un panel de clôture sur le thème,  «vision Côte d’Ivoire 2030: contribution du partenariat Etat secteur privé », permettra au cabinet du premier ministre, d’approfondir la réflexion avec la participation du patronat ivoirien, de la Fédération ivoirienne des PME et  de la Banque mondiale.

La cérémonie de clôture, qui verra la remise des cinq différents prix du partenariat, ainsi que les prix spéciaux  aux acteurs de l’administration publique et du secteur privé viendra clore ces deux journées de réflexions.

Abidjan accueille le 3e sommet de AfricTivistes

Le 3e sommet de AfricTivistes s’ouvre le jeudi prochain à Abidjan autour du thème « promouvoir le développement et la gouvernance démocratique de l’internet en Afrique ».

Cette édition permettra de mettre en avant la maturité des écosystèmes africains et d’encourager la réflexion pour imaginer les scénarios des futurs possibles et des nouvelles perspectives africaines de la société de l’information et du cyberespace.

Ce sera aussi l’occasion de réfléchir sur les différentes questions liées aux mécanismes systémiques et institutionnels de gouvernance d’internet pour un écosystème plus juste et plus respectueux des droits humains, souligne l’organisation dans un communiqué transmis à APA, dimanche.

« Ce sommet d’Abidjan, marque une réelle volonté d’intégration africaine, de consolidation des différentes initiatives pour un internet plus neutre et accessible et de mutualisation des compétences à l’échelle du continent et auprès des citoyens actifs que nous composons », ajoute l’organisation précisant que les travaux se dérouleront les 11, 12 et 13 novembre.

Au-delà de la mise en réseau d’acteurs de changement et de la promotion de la démocratie participative, les Sommets AfricTivistes symbolisent aussi une activité au titre d’un événement d’une ‘’Union Africaine” des peuples.

Ce rendez-vous continental se déroulera sur trois jours et réunira 70 personnes dont 20 locaux. Ces activistes du web, acteurs du changement, membres de mouvements sociaux, chercheurs et innovateurs, partenaires, blogueurs, journalistes et netizens du continent vont se pencher sur plusieurs  thématiques.

Il s’agit notamment :  Compétences numériques et communautés en ligne; Gouvernements: goulot d’étranglement pour le développement de l’Internet en Afrique ?; Perturbations à l’engagement civique en raison du manque d’accès à internet; Gouvernance de l’Internet en Afrique : quels rôles pour  la société civile; Utiliser les réseaux d’organisations de la société civile pour promouvoir la démocratie en Afrique.

Cet évènement est organisé chaque deux ans en vue de discuter des enjeux du continent en relation avec la démocratie et la bonne gouvernance ainsi que la place et l’impact du numérique dans les processus démocratiques, la gouvernance et la conscience citoyenne.

AfricTivistes est une organisation panafricaine basée à Dakar. AfricTivistes fédère les blogueurs et web-activistes du continent pour promouvoir et défendre les valeurs démocratiques, les droits humains et la bonne gouvernance à travers le numérique.

Lancée en novembre 2015, AfricTivistes est une sentinelle de la démocratie dans tous les pays africains. A ce titre, la ligue est résolue à intervenir directement ou à faire des plaidoyers pour faire intervenir des acteurs dans les différents processus de changement politique et social.

 Elle mène et pilote des projets de développement et d’implication citoyenne dans les dispositifs démocratiques.

Abidjan accueille le 3e sommet de AfricTivistes

Le 3e sommet de AfricTivistes s’ouvre le jeudi prochain à Abidjan autour du thème « promouvoir le développement et la gouvernance démocratique de l’internet en Afrique ».

Cette édition permettra de mettre en avant la maturité des écosystèmes africains et d’encourager la réflexion pour imaginer les scénarios des futurs possibles et des nouvelles perspectives africaines de la société de l’information et du cyberespace.

Ce sera aussi l’occasion de réfléchir sur les différentes questions liées aux mécanismes systémiques et institutionnels de gouvernance d’internet pour un écosystème plus juste et plus respectueux des droits humains, souligne l’organisation dans un communiqué transmis à APA, dimanche.

« Ce sommet d’Abidjan, marque une réelle volonté d’intégration africaine, de consolidation des différentes initiatives pour un internet plus neutre et accessible et de mutualisation des compétences à l’échelle du continent et auprès des citoyens actifs que nous composons », ajoute l’organisation précisant que les travaux se dérouleront les 11, 12 et 13 novembre.

Au-delà de la mise en réseau d’acteurs de changement et de la promotion de la démocratie participative, les Sommets AfricTivistes symbolisent aussi une activité au titre d’un événement d’une ‘’Union Africaine” des peuples.

Ce rendez-vous continental se déroulera sur trois jours et réunira 70 personnes dont 20 locaux. Ces activistes du web, acteurs du changement, membres de mouvements sociaux, chercheurs et innovateurs, partenaires, blogueurs, journalistes et netizens du continent vont se pencher sur plusieurs  thématiques.

Il s’agit notamment :  Compétences numériques et communautés en ligne; Gouvernements: goulot d’étranglement pour le développement de l’Internet en Afrique ?; Perturbations à l’engagement civique en raison du manque d’accès à internet; Gouvernance de l’Internet en Afrique : quels rôles pour  la société civile; Utiliser les réseaux d’organisations de la société civile pour promouvoir la démocratie en Afrique.

Cet évènement est organisé chaque deux ans en vue de discuter des enjeux du continent en relation avec la démocratie et la bonne gouvernance ainsi que la place et l’impact du numérique dans les processus démocratiques, la gouvernance et la conscience citoyenne.

AfricTivistes est une organisation panafricaine basée à Dakar. AfricTivistes fédère les blogueurs et web-activistes du continent pour promouvoir et défendre les valeurs démocratiques, les droits humains et la bonne gouvernance à travers le numérique.

Lancée en novembre 2015, AfricTivistes est une sentinelle de la démocratie dans tous les pays africains. A ce titre, la ligue est résolue à intervenir directement ou à faire des plaidoyers pour faire intervenir des acteurs dans les différents processus de changement politique et social.

 Elle mène et pilote des projets de développement et d’implication citoyenne dans les dispositifs démocratiques.

Côte d’Ivoire: 28 athlètes décrochent l’or au championnat des arts martiaux chinois

Vingt-huit athlètes ont décroché la médaille d’or à l’occasion du championnat national des arts martiaux chinois de Côte d’Ivoire, tenu les 30 et 31 octobre 2021, à Kani, dans le Nord ivoirien.

Ce championnat national en Traolou (technique ou kata) et Sanda (combats), sénior et junior, délocalisé à Kani, ville située à 563 Km au Nord d’Abidjan, a été organisé par la Fédération ivoirienne des arts martiaux chinois (FIAMC). 

L’événement a été marqué par des démonstrations et des compétitions. Le président de la FIAMC, Maître Méïté Siaka, a souligné que cette discipline, outre la défense, procure la santé physique, morale et inculque des valeurs. 

Depuis 12 ans qu’il dirige cette fédération, fera-t-il observer, l’organisation a glané environ 99 médailles à son actif et 70% étant des médailles d’or. Cette session a enregistré le champion d’Afrique poids lourd dans la série des combats. 

Le champion d’Afrique en tao  (technique) était également de cette partie qui s’est déroulée dans la rubrique à main nue, la rubrique à armes courtes, à arme longue et le taiji chan, les compétiteurs ayant la possibilité de faire les formes souples. 

Le député de Kani commune et sous-préfecture, Ben Méïté, s’est réjoui de ce que l’édition 2021 de ce championnat national se tienne, dans sa circonscription, la preuve que « ce qui se fait à Abidjan peut aussi se faire à Kani ».

Pour lui, les arts martiaux chinois permettent de se défendre, mais constituent aussi « un véhicule de valeurs et d’humilité » nécessaires aux Ivoiriens, notamment les jeunes en vue de la construction d’un Etat « solidaire ». 

Voici la liste des lauréats 

RÉSULTATS SANDA

SENIOR HOMMES (SANDA)

– catégorie 52 Kg (Sanda)

1er, Jean Baptiste Assamoi, médaille d’or 

2e, Cissé Yacouba, médaille d’argent 

3e, Kalifa Koné, médaille de bronze

3e ex, Komité Kolié, médaille de bronze 

-catégorie 56 Kg Hommes (Sanda)

1er, Jonathan Koffi Kouakou, médaille d’or

2e, Akissi Séka, médaille d’argent 

3e, Marcelin Kouamé Kouassi, médaille de bronze 

-catégorie 60 Kg Hommes (Sanda) 

1er, Hervé Kouamé Kouadio, médaille d’or 

2e, Diby Alloh, médaille d’argent 

3e, Ousmane Doumbia, médaille de bronze 

3e ex, Arouna Belem, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Hommes (Sanda)

1er, Hamed Kallo, médaille d’

2e, Dramane Coulibaly Adjai, médaille d’argent 

3e, Soro Zié,  médaille de bronze 

3e ex, Amara Kamagaté, médaille de bronze 

-catégorie 70 Kg Hommes (Sanda)

1er, Mensa Aka Miezan, médaille d’or 

2e, Koné Cheick, médaille d’argent 

3e, Sy Abdul Aziz, médaille de bronze 

3e ex, Cissé Abdoulaye, médaille de bronze

-catégorie 75 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Moussa Touré, médaille d’or 

2e, Traoré Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Lacina, bronze

3e ex, Traoré Soumaila, bronze 

-catégorie 80 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Lath Wilfried, médaille or

2e, Tra Bi Botty Rodrigue, médaille d’argent 

3e, Koné Zié, médaille de bronze 

-catégorie 85 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Douma Serge Pacome, médaille d’or

2e, Bakaré Akim, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Kouyaté Mory, médaille d’or

2e, Ouoba Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Issouf Idrissa, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes 

1er, Koffi Bhaly Ricardo, médaille d’or 

2e, Yedoh Meledje François 

JUNIOR HOMMES (SANDA)

-catégorie 56 Kg Hommes 

1er, Houphouët Kouassi, médaille d’or 

2e, Ballet Forest Elisée, médaille d’argent 

-catégorie 60 Kg Hommes 

1er, Kallo Oumarou, médaille d’or 

2e, Aurel Atchoum Marc, médaille d’argent 

3e, Ouedraogo Abdul Fatao, médaille de bronze 

3e ex, Nguessan Kouakou Guy Mathieu,  médaille de bronze 

-catégorie 75 Kg Hommes 

1er, Coulibaly Abou, médaille d’or 

2e, Konan Allou Zilé, médaille d’argent

3e, Nguessan Kouakou Ezechiel, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES (SANDA)

-catégorie 52 Kg et 52 Kg hors rang

1er, Ory Doriane, médaille d’or 

2e, Yeo Henriette, médaille d’argent 

3e, Silué Grâce, médaille de bronze 

3e ex, Lady Awa Honorine, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Femmes 

1er, Haba Jeanne, médaille d’or

2e, Lokoubi Zémini, médaille d’argent 

3e, Kanté Radia, médaille de bronze 

3e ex, Coulibaly Maimouna, médaille de bronze 

-catégorie 80 Kg Femmes 

1er, Meité Nowata, médaille d’or 

2e, Kanga Amenan, médaille d’argent 

RESULTATS TRAOLOU

SENIOR HOMMES (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Soro Guy Roland, médaille d’or 

2e, Yama Aké Mobio Alex, médaille d’argent 

3e, M’Bolo Gaël,  médaille de bronze 

-catégorie Tadji Chuan mains nues

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Sawadogo Paul, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel mains nues

1er, Bamba Beh Moussa, médaille d’or 

2e, Coulibaly Tiémokodjan, médaille d’argent 

3e, Okou  Assenan, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes

1er, Kouabenan Beranger, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Yama Aké Mobio, médaille de bronze 

-catégorie Taji chuan à armee

1e, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Soro Alama, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel à armes 

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Barry Abdou Salam, médaille d’argent 

-catégorie armes longues

1er, Yama Aké Mobio, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Kouabenan Beranger, médaille de bronze 

JUNIOR HOMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille d’argent 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes 

1er, Kesse Douad, médaille d’or

2e, Bamba Ben Mohamed, médaille de bronze 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes longues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Kouakou Ndri Yvann, médaille d’argent 

3e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues 

1er,  Ehoussou Annick, médaille d’or 

2e, Tiemoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Aminata, médaille de bronze 

-catégorie armes 

1er, Bakayoko Aminata, médaille d’or

2e,  Tiémoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Ehoussou Annick, médaille de bronze 

Côte d’Ivoire: 28 athlètes décrochent l’or au championnat des arts martiaux chinois

Vingt-huit athlètes ont décroché la médaille d’or à l’occasion du championnat national des arts martiaux chinois de Côte d’Ivoire, tenu les 30 et 31 octobre 2021, à Kani, dans le Nord ivoirien.

Ce championnat national en Traolou (technique ou kata) et Sanda (combats), sénior et junior, délocalisé à Kani, ville située à 563 Km au Nord d’Abidjan, a été organisé par la Fédération ivoirienne des arts martiaux chinois (FIAMC). 

L’événement a été marqué par des démonstrations et des compétitions. Le président de la FIAMC, Maître Méïté Siaka, a souligné que cette discipline, outre la défense, procure la santé physique, morale et inculque des valeurs. 

Depuis 12 ans qu’il dirige cette fédération, fera-t-il observer, l’organisation a glané environ 99 médailles à son actif et 70% étant des médailles d’or. Cette session a enregistré le champion d’Afrique poids lourd dans la série des combats. 

Le champion d’Afrique en tao  (technique) était également de cette partie qui s’est déroulée dans la rubrique à main nue, la rubrique à armes courtes, à arme longue et le taiji chan, les compétiteurs ayant la possibilité de faire les formes souples. 

Le député de Kani commune et sous-préfecture, Ben Méïté, s’est réjoui de ce que l’édition 2021 de ce championnat national se tienne, dans sa circonscription, la preuve que « ce qui se fait à Abidjan peut aussi se faire à Kani ».

Pour lui, les arts martiaux chinois permettent de se défendre, mais constituent aussi « un véhicule de valeurs et d’humilité » nécessaires aux Ivoiriens, notamment les jeunes en vue de la construction d’un Etat « solidaire ». 

Voici la liste des lauréats 

RÉSULTATS SANDA

SENIOR HOMMES (SANDA)

– catégorie 52 Kg (Sanda)

1er, Jean Baptiste Assamoi, médaille d’or 

2e, Cissé Yacouba, médaille d’argent 

3e, Kalifa Koné, médaille de bronze

3e ex, Komité Kolié, médaille de bronze 

-catégorie 56 Kg Hommes (Sanda)

1er, Jonathan Koffi Kouakou, médaille d’or

2e, Akissi Séka, médaille d’argent 

3e, Marcelin Kouamé Kouassi, médaille de bronze 

-catégorie 60 Kg Hommes (Sanda) 

1er, Hervé Kouamé Kouadio, médaille d’or 

2e, Diby Alloh, médaille d’argent 

3e, Ousmane Doumbia, médaille de bronze 

3e ex, Arouna Belem, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Hommes (Sanda)

1er, Hamed Kallo, médaille d’

2e, Dramane Coulibaly Adjai, médaille d’argent 

3e, Soro Zié,  médaille de bronze 

3e ex, Amara Kamagaté, médaille de bronze 

-catégorie 70 Kg Hommes (Sanda)

1er, Mensa Aka Miezan, médaille d’or 

2e, Koné Cheick, médaille d’argent 

3e, Sy Abdul Aziz, médaille de bronze 

3e ex, Cissé Abdoulaye, médaille de bronze

-catégorie 75 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Moussa Touré, médaille d’or 

2e, Traoré Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Lacina, bronze

3e ex, Traoré Soumaila, bronze 

-catégorie 80 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Lath Wilfried, médaille or

2e, Tra Bi Botty Rodrigue, médaille d’argent 

3e, Koné Zié, médaille de bronze 

-catégorie 85 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Douma Serge Pacome, médaille d’or

2e, Bakaré Akim, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Kouyaté Mory, médaille d’or

2e, Ouoba Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Issouf Idrissa, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes 

1er, Koffi Bhaly Ricardo, médaille d’or 

2e, Yedoh Meledje François 

JUNIOR HOMMES (SANDA)

-catégorie 56 Kg Hommes 

1er, Houphouët Kouassi, médaille d’or 

2e, Ballet Forest Elisée, médaille d’argent 

-catégorie 60 Kg Hommes 

1er, Kallo Oumarou, médaille d’or 

2e, Aurel Atchoum Marc, médaille d’argent 

3e, Ouedraogo Abdul Fatao, médaille de bronze 

3e ex, Nguessan Kouakou Guy Mathieu,  médaille de bronze 

-catégorie 75 Kg Hommes 

1er, Coulibaly Abou, médaille d’or 

2e, Konan Allou Zilé, médaille d’argent

3e, Nguessan Kouakou Ezechiel, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES (SANDA)

-catégorie 52 Kg et 52 Kg hors rang

1er, Ory Doriane, médaille d’or 

2e, Yeo Henriette, médaille d’argent 

3e, Silué Grâce, médaille de bronze 

3e ex, Lady Awa Honorine, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Femmes 

1er, Haba Jeanne, médaille d’or

2e, Lokoubi Zémini, médaille d’argent 

3e, Kanté Radia, médaille de bronze 

3e ex, Coulibaly Maimouna, médaille de bronze 

-catégorie 80 Kg Femmes 

1er, Meité Nowata, médaille d’or 

2e, Kanga Amenan, médaille d’argent 

RESULTATS TRAOLOU

SENIOR HOMMES (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Soro Guy Roland, médaille d’or 

2e, Yama Aké Mobio Alex, médaille d’argent 

3e, M’Bolo Gaël,  médaille de bronze 

-catégorie Tadji Chuan mains nues

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Sawadogo Paul, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel mains nues

1er, Bamba Beh Moussa, médaille d’or 

2e, Coulibaly Tiémokodjan, médaille d’argent 

3e, Okou  Assenan, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes

1er, Kouabenan Beranger, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Yama Aké Mobio, médaille de bronze 

-catégorie Taji chuan à armee

1e, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Soro Alama, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel à armes 

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Barry Abdou Salam, médaille d’argent 

-catégorie armes longues

1er, Yama Aké Mobio, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Kouabenan Beranger, médaille de bronze 

JUNIOR HOMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille d’argent 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes 

1er, Kesse Douad, médaille d’or

2e, Bamba Ben Mohamed, médaille de bronze 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes longues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Kouakou Ndri Yvann, médaille d’argent 

3e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues 

1er,  Ehoussou Annick, médaille d’or 

2e, Tiemoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Aminata, médaille de bronze 

-catégorie armes 

1er, Bakayoko Aminata, médaille d’or

2e,  Tiémoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Ehoussou Annick, médaille de bronze 

Abidjan et Abuja signent 9 accords bilatéraux et économiques

La Côte d’Ivoire et la République fédérale du Nigéria ont signé samedi à Abidjan neuf accords bilatéraux et économiques dont un protocole en matière de coopération militaire.

Ces accords ont été signés à la clôture de la 2e Grande commission mixte de coopération ivoiro-nigériane, tenue à Abidjan du 4 au 6 novembre 2021, en présence du Premier ministre ivoirien Patrick Achi et du vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo.

Les différents protocoles ont été paraphés, pour la partie nigériane par M. Yemi Osinbajo, tandis que le Premier ministre ivoirien, représentait l’Etat de Côte d’Ivoire. Ces neuf accords de coopération viennent renforcer les relations entre ces deux pays ouest-africains.

Les deux parties ont signé un protocole d’accord en matière de coopération militaire, en matière de protection civile et d’assistance technique, et un autre sur la coopération dans la lutte contre la production, la fabrication et le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes.

Elles ont en outre signé un mémorandum d’entente dans le domaine des sports, et un autre sur la coopération culturelle, puis une lettre d’intention entre la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci, Patronat ivoirien) et l’Association des manufacturiés du Nigéria.

Le vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo, qui conduisait une importante délégation, s’est dit « très heureux » de ces accords qui ont été signés et qui renforcent surtout les relations entre les secteurs privés des deux pays.

Pour sa part, M. Patrick Achi a salué le leadership affirmé de M. Osinbajo et ses orientations constructives qui ont permis d’adopter des recommandations pertinentes devant aider leurs deux pays à réactiver de manière consensuelle les leviers d’une coopération bilatérale. 

« Il nous faudra dans les mois à venir procéder à la signature de nouveaux accords qui élargissent davantage le champ de notre coopération et prennent en compte les besoins réels de nos peuples », a dit M. Patrick Achi.

Face à la montée en puissance du terrorisme dans la sous-région, qui exige plus que jamais une réponse ferme et concertée des pays, M. Patrick Achi a appelé à une coopération militaire plus accrue. 

« C’est pourquoi nous accueillons favorablement les négociations en cours en vue de la signature de bien d’autels accords qui permettront de renforcer davantage la sécurité au sein de notre espace communautaire », a-t-il ajouté.

Le chef de la diplomatie ivoirienne, Kandia Camara, a fait savoir que 20 projets d’accords sont en cours de négociations, déclarant que les investisseurs ivoiriens ne bénéficient pas de facilités au Nigéria du fait de la législation, notamment les restrictions liées aux transferts financiers. 

La République fédérale du Nigéria est le premier partenaire économique de la Côte d’Ivoire sur le continent africain. Les échanges commerciaux entre les deux pays s’élèvent à 860,874 milliards Fcfa en 2020, soit plus de 1,5 milliard de dollars US. 

Le 1er août 2013, a eu lieu la première session de la Grande Commission mixte ivoiro-nigériane à Abuja. Les deux États ont convenu de la réactivation et de l’accélération du projet de l’autoroute -Abidjan-Lagos. 

La troisième session est prévue au Nigéria. Les deux pays ont au terme de la rencontre de haut niveau réaffirmé leurs engagements à œuvrer à la consolidation des acquis et au renforcement des liens d’amitié et de coopération.

Abidjan et Abuja signent 9 accords bilatéraux et économiques

La Côte d’Ivoire et la République fédérale du Nigéria ont signé samedi à Abidjan neuf accords bilatéraux et économiques dont un protocole en matière de coopération militaire.

Ces accords ont été signés à la clôture de la 2e Grande commission mixte de coopération ivoiro-nigériane, tenue à Abidjan du 4 au 6 novembre 2021, en présence du Premier ministre ivoirien Patrick Achi et du vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo.

Les différents protocoles ont été paraphés, pour la partie nigériane par M. Yemi Osinbajo, tandis que le Premier ministre ivoirien, représentait l’Etat de Côte d’Ivoire. Ces neuf accords de coopération viennent renforcer les relations entre ces deux pays ouest-africains.

Les deux parties ont signé un protocole d’accord en matière de coopération militaire, en matière de protection civile et d’assistance technique, et un autre sur la coopération dans la lutte contre la production, la fabrication et le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes.

Elles ont en outre signé un mémorandum d’entente dans le domaine des sports, et un autre sur la coopération culturelle, puis une lettre d’intention entre la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci, Patronat ivoirien) et l’Association des manufacturiés du Nigéria.

Le vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo, qui conduisait une importante délégation, s’est dit « très heureux » de ces accords qui ont été signés et qui renforcent surtout les relations entre les secteurs privés des deux pays.

Pour sa part, M. Patrick Achi a salué le leadership affirmé de M. Osinbajo et ses orientations constructives qui ont permis d’adopter des recommandations pertinentes devant aider leurs deux pays à réactiver de manière consensuelle les leviers d’une coopération bilatérale. 

« Il nous faudra dans les mois à venir procéder à la signature de nouveaux accords qui élargissent davantage le champ de notre coopération et prennent en compte les besoins réels de nos peuples », a dit M. Patrick Achi.

Face à la montée en puissance du terrorisme dans la sous-région, qui exige plus que jamais une réponse ferme et concertée des pays, M. Patrick Achi a appelé à une coopération militaire plus accrue. 

« C’est pourquoi nous accueillons favorablement les négociations en cours en vue de la signature de bien d’autels accords qui permettront de renforcer davantage la sécurité au sein de notre espace communautaire », a-t-il ajouté.

Le chef de la diplomatie ivoirienne, Kandia Camara, a fait savoir que 20 projets d’accords sont en cours de négociations, déclarant que les investisseurs ivoiriens ne bénéficient pas de facilités au Nigéria du fait de la législation, notamment les restrictions liées aux transferts financiers. 

La République fédérale du Nigéria est le premier partenaire économique de la Côte d’Ivoire sur le continent africain. Les échanges commerciaux entre les deux pays s’élèvent à 860,874 milliards Fcfa en 2020, soit plus de 1,5 milliard de dollars US. 

Le 1er août 2013, a eu lieu la première session de la Grande Commission mixte ivoiro-nigériane à Abuja. Les deux États ont convenu de la réactivation et de l’accélération du projet de l’autoroute -Abidjan-Lagos. 

La troisième session est prévue au Nigéria. Les deux pays ont au terme de la rencontre de haut niveau réaffirmé leurs engagements à œuvrer à la consolidation des acquis et au renforcement des liens d’amitié et de coopération.

Côte d’Ivoire : des réformes annoncées dans le recrutement des docteurs

Le ministre ivoirien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, prof. Adama Diawara a annoncé, vendredi à Abidjan, des réformes dans le processus de recrutement des docteurs.

Il a fait cette annonce au cours d’une rencontre avec les deux collectifs des «docteurs » dans divers domaines «non encore recrutés» à la fonction publique dont l’une des manifestations a été étouffée, mercredi, au Plateau, le quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne par les forces de l’ordre.

Parmi ces réformes, figure la «suppression des candidatures multiples», car a expliqué le ministre, ce sont ces candidatures multiples qui ont faire dire aux gens sur les réseaux sociaux qu’il y a « 3189 docteurs non recrutés» à la fonction publique.  « Ce sont des chiffres erronés », a-t-il dit. La candidature unique induira également le paiement une seule fois des frais de concours fixés à 50 000 FCFA.

« Il y a parfois une seule personne qui est candidate à plusieurs postes comme ce fut le cas de quelqu’un qui a été candidat à six postes dans plusieurs universités. Dans un tel cas, il y a six candidatures derrière lesquelles il n’y a qu’une seule personne, donc un seul docteur et non six docteurs» a expliqué le prof. Adama Diawara.

A ce jour, il n’y a que «1120 docteurs non encore recrutés» dans nos fichiers, a précisé le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, appelant les « docteurs non encore recrutés» à «mettre balle à terre», car les recrutements sont transparents et se font selon les besoins exprimés par les structures, notamment les universités.

« Cette année, nous avons recruté 252 dont 151 nouveaux, 6 contractuels et le reste ce sont les glissements catégoriels », a encore expliqué le ministre, apportant ainsi un démenti au chiffre de 256 avancé sur les réseaux sociaux. Le recrutement de 252 est venu en complément du quota de l’année dernière.

Les réformes prévoient également que les candidats soient interrogés sur la recherche et l’enseignement.  « 450 nouveaux postes seront mis en compétition au premier trimestre 2022. Donc préparez-vous », a-t-il lancé à ses interlocuteurs.

Auparavant, les deux collectifs des docteurs non encore recrutés, à travers leurs porte-paroles, Olivier Dally et Martiale Adou ont exposé au ministre leurs griefs, faisant dans la foulée des plaidoiries.  Ils ont souhaité que l’âge maximum pour être recruté passe de 45 à 50 ans, une mesure exceptionnelle du président de la République pour le recrutement de tous les docteurs.

D’autres questions diverses liées au coût du certificat  de nationalité, du casier judiciaire, au test de non bégaiement et à l’attitude de certains agents impliqués dans le processus de recrutement ont été également posées.  

A propos du recrutement exceptionnel, le ministre a brandit la contrainte budgétaire. En effet, un recrutement exceptionnel de tous les docteurs coûtera près de 12 milliards FCFA à l’Etat.

En Côte d’Ivoire, la masse salariale des fonctionnaires et agents de l’Etat représente 42% des recettes du pays, là où la norme prévoit 35%.

« Il y a beaucoup d’efforts qui sont faits en Côte d’Ivoire pour le recrutement des docteurs depuis que le président Alassane Ouattara est là », a poursuivi le ministre Adama Diawara, soulignant que la moyenne est de 400 à 450 recrutements par an en Côte d’Ivoire, là où d’autres pays de la sous-région sont à 100 ou même moins que 100 par an ».

Côte d’Ivoire : des réformes annoncées dans le recrutement des docteurs

Le ministre ivoirien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, prof. Adama Diawara a annoncé, vendredi à Abidjan, des réformes dans le processus de recrutement des docteurs.

Il a fait cette annonce au cours d’une rencontre avec les deux collectifs des «docteurs » dans divers domaines «non encore recrutés» à la fonction publique dont l’une des manifestations a été étouffée, mercredi, au Plateau, le quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne par les forces de l’ordre.

Parmi ces réformes, figure la «suppression des candidatures multiples», car a expliqué le ministre, ce sont ces candidatures multiples qui ont faire dire aux gens sur les réseaux sociaux qu’il y a « 3189 docteurs non recrutés» à la fonction publique.  « Ce sont des chiffres erronés », a-t-il dit. La candidature unique induira également le paiement une seule fois des frais de concours fixés à 50 000 FCFA.

« Il y a parfois une seule personne qui est candidate à plusieurs postes comme ce fut le cas de quelqu’un qui a été candidat à six postes dans plusieurs universités. Dans un tel cas, il y a six candidatures derrière lesquelles il n’y a qu’une seule personne, donc un seul docteur et non six docteurs» a expliqué le prof. Adama Diawara.

A ce jour, il n’y a que «1120 docteurs non encore recrutés» dans nos fichiers, a précisé le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, appelant les « docteurs non encore recrutés» à «mettre balle à terre», car les recrutements sont transparents et se font selon les besoins exprimés par les structures, notamment les universités.

« Cette année, nous avons recruté 252 dont 151 nouveaux, 6 contractuels et le reste ce sont les glissements catégoriels », a encore expliqué le ministre, apportant ainsi un démenti au chiffre de 256 avancé sur les réseaux sociaux. Le recrutement de 252 est venu en complément du quota de l’année dernière.

Les réformes prévoient également que les candidats soient interrogés sur la recherche et l’enseignement.  « 450 nouveaux postes seront mis en compétition au premier trimestre 2022. Donc préparez-vous », a-t-il lancé à ses interlocuteurs.

Auparavant, les deux collectifs des docteurs non encore recrutés, à travers leurs porte-paroles, Olivier Dally et Martiale Adou ont exposé au ministre leurs griefs, faisant dans la foulée des plaidoiries.  Ils ont souhaité que l’âge maximum pour être recruté passe de 45 à 50 ans, une mesure exceptionnelle du président de la République pour le recrutement de tous les docteurs.

D’autres questions diverses liées au coût du certificat  de nationalité, du casier judiciaire, au test de non bégaiement et à l’attitude de certains agents impliqués dans le processus de recrutement ont été également posées.  

A propos du recrutement exceptionnel, le ministre a brandit la contrainte budgétaire. En effet, un recrutement exceptionnel de tous les docteurs coûtera près de 12 milliards FCFA à l’Etat.

En Côte d’Ivoire, la masse salariale des fonctionnaires et agents de l’Etat représente 42% des recettes du pays, là où la norme prévoit 35%.

« Il y a beaucoup d’efforts qui sont faits en Côte d’Ivoire pour le recrutement des docteurs depuis que le président Alassane Ouattara est là », a poursuivi le ministre Adama Diawara, soulignant que la moyenne est de 400 à 450 recrutements par an en Côte d’Ivoire, là où d’autres pays de la sous-région sont à 100 ou même moins que 100 par an ».