Avec son million et demi d’habitants, la ville de Brazzaville n’échappe pas aux phénomènes de violences urbaines. Les agressions commises par les gangs, communément appelés « bébés noirs », qui opèrent avec des armes blanches gagnent du terrain dans les quartiers périphériques. Ces gangs sont réprimés par une police loin d’en venir à bout. La société civile propose des solutions à long terme, allant au-delà de la répression.
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