Taekwondo : les arbitres invités à se recycler

Cette demande est celle de la fédération congolaise de taekwondo (Fecotae).

La Fédération mondiale de taekwondo entend organiser des séances de formations au profit des arbitres de la discipline. C’est cette optique que la Fécotae a demandé à ces médiateurs du jeu de profiter de l’occasion. Lesdites formations se feront par visioconférence.

Il faut dire que depuis l’apparition de la pandémie à coronavirus (Covid-19), plusieurs structures sportives ont instauré via les nouvelles technologies de l’information et de la communication. La Fédération mondiale de taekwondo n’est pas restée en marge puisque plusieurs séminaires à l’endroit des entraîneurs et arbitres sont régulièrement animés.

Pour permettre ainsi aux arbitres congolais d’approfondir en acquérant de nouvelles techniques de travail, la Fecotae demande dans note circulaire que les responsables de la direction technique devraient s’occuper du dépôt des noms des différents arbitres au secrétariat de la Fecotae.

« Tout candidat doit être titulaire d’une globale licence en cours et d’un diplôme d’arbitre national. Cette formation servira de prérequis pour être éligible au séminaire international des arbitres refree Kyorigi », explique la note.

Enrôlement des jeunes à Pointe-Noire : le gouvernement et la BM satisfaits de l’évolution

Nicephore Antoine Thomas Fylla Saint-Eudes et Korotoumou Ouattara l’ont exprimé leur satisfaction lors de leur visite dans les différents centres de collecte des candidatures.

Le ministre de l’Enseignement technique et professionnel, de la Formation qualifiante et de l’Emploi, Nicephore Antoine Thomas Fylla Saint-Eudes et la Banque mondiale par sa représentante résidente pour la République du Congo, Korotoumou Ouattara, ont effectué une visite dans les différents centres de collecte des candidatures pour les formations.

Ces formations gratuites sont une initiative du Projet de développement des compétences pour l’employabilité (PDCE).

« A ce jour, nous avons reçu au niveau de Pointe-Noire, 4 915 jeunes et de Brazzaville 9 400, ce qui nous donne un total avoisinant les 13 000 jeunes. Pour nous, c’est un indicateur important de la demande de la formation au niveau de la jeunesse. Nous sommes d’autant plus heureux que les deux responsables soient là afin d’ouvrir les autres possibilités ou solutions de formation qu’attendent les jeunes », a déclaré l’un des initiateurs du projet, Auxence Léonard Okombi.

Après deux semaines d’enrôlement, Korotoumou Ouattara a indiqué : « Nous savons que la formation est une priorité du gouvernement du Congo. La Banque mondiale a appuyé le gouvernement dans son plan de développement dans lequel il est question de mettre l’accent sur le développement du capital humain et donc l’éducation et l’apprentissage des jeunes, surtout pour réduire le chômage au niveau des jeunes, des femmes et des couches défavorisées ».

« En dehors de ce projet, nous allons développer aussi le projet de compétitivité qui aide les jeunes à développer des entreprises, le projet agricole qui va prendre aussi en compte la formation des jeunes, surtout que le gouvernement veut mettre l’accent sur la diversification de l’économie en priorisant le domaine agricole. Toutes les activités iront de pair pour qu’on puisse avoir l’impact au niveau de nos appuis et du gouvernement », a ajouté le fonctionnaire de la Banque mondiale.

Les inscriptions à Pointe-Noire pour les formations qu’offre le PDCE prend fin le 22 juillet.