La Lybie ne compte plus que 32 centres de détention, contre 53 en mai 2017, selon le général Mohamed Bichr, chef du département de lutte contre l’immigration clandestine. Cette baisse s’explique par l’accélération du rythme de rapatriements des migrants menés notamment par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Des rapatriements qui ont fait passer ces migrants détenus en Lybie, de 27 000 en mai à 5200 à ce jour. Ces mouvements intenses sont partis d’un scandale né après la diffusion d’un reportage de CNN sur un trafic d’esclaves présumé dans ce pays.
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