Les vendeurs des friperies, plus connues sous l’appellation de « Mutuki », sont en colère. La vente de ces vêtements de seconde main importés d’Europe et des États-Unis, est désormais interdite à Libreville. La mairie explique que les attroupements provoqués par ce commerce sont susceptibles d’entraîner des nouvelles contaminations.
Covid-19 au Gabon: le durcissement des mesures sanitaires suscite des mécontentements
Publié le 15.02.2021 à 12h12 par Florine Mouano

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