Société Actualité




Coopération : le dossier relatif au projet Pont route-rail Brazzaville-Kinshasa est sur la table des discussions

Un avis à manifestation d’intérêt d’appel d’offres international pour la sélection d’un partenaire pour le projet de financement, de construction…

Un avis à manifestation d’intérêt d’appel d’offres international pour la sélection d’un partenaire pour le projet de financement, de construction et d’exploitation du Pont route-rail sur le fleuve Congo entre Brazzaville et Kinshasa, a été signé  mercredi 22 juin dans la capitale de la République Démocratique du Congo (RDC). 

 

Le dossier relatif au projet Pont route-rail Jean jacques Bouya a été mis sur la table des discussions lors de la rencontre à Kinshasa, en République Démocratique du Congo (RDC),  mercredi 22 juin, entre le ministre de la République du Congo en charge de l’Aménagement du territoire, Jean-Jacques Bouya et le ministre d’Etat de la RDC, chargé du Plan, Christian Mwando Simba.

Les deux personnalités ont conjointement signé l’avis à manifestation d’intérêt en vue de la sélection d’un partenaire stratégique pour le financement de la construction du Pont route-rail sur le fleuve Congo entre Brazzaville et Kinshasa.

Cette signature vise à la matérialisation dudit projet devant relier les deux capitales les plus proches du monde, à savoir Brazzaville et Kinshasa.

« C’est une étape importante de franchi. On ne peut que se féliciter de la volonté des deux présidents de mettre cela en œuvre. Aucun Etat ne peut espérer se développer seul, c’est de l’illusion, ce n’est pas possible. Et qu’est–ce qui manque au développement de l’Afrique ? c’est la connectivité », a déclaré Jean jacques Bouya.

Pour sa part, Christian Mwando Simba, la signature de ce document va donner une nouvelle impulsion aux échanges socio-économique entre les deux pays mais aussi sur le continent.

Cette cérémonie s’est tenue en présence de la commissaire chargée de l’Aménagement du territoire et des infrastructures à la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac), Marie-Thérèse Foula et de plusieurs experts.