UBA et l’histoire africaine – Un héritage d’impact

L’Afrique d’aujourd’hui est un « Géant » en pleine mutation. Les différentes politiques Economiques et Sociales mises en œuvre à travers le Continent témoignent de cette volonté, des différents pays de s’orienter vers une intégration Economique Inclusive et portée principalement par les Africains pour les Africains.

 

La dynamique est lancée vers un continent plus intégré, plus résilient et plus ambitieux. Des projets concrets, des collaborations régionales comme la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), le Marché unique du transport aérien africain (MUTAA) ou le Programme de développement des infrastructures en Afrique (PIDA) qui permettent aux pays africains de renforcer leurs échanges, d’aligner leurs politiques industrielles et de bâtir des chaînes de valeur régionales sont des parfaits exemples.

Le Groupe UBA, depuis sa création incarne cet idéal, ce rêve. Celui ou l’Afrique s’appuie sur le potentiel Africain pour se développer pour les Africains.

Aujourd’hui présent dans plus de 20 pays en Afrique, le groupe Bancaire panafricain accompagne ces mutations économiques du continent, soutient les États dans leurs stratégies de développement durable et facilite le commerce intra-africain.

UBA n’est pas qu’un simple groupe Bancaire ; c’est une institution qui reflète les aspirations de plus de 1,6 milliards d’Africains.

À travers son réseau et sa fondation (Tony Elumelu Foundation), le groupe UBA a déjà soutenu plus de 15 000 entrepreneurs africains dans 54 pays à travers l’Afrique, facilité les investissements transfrontaliers au financement par syndication et renforcé la stabilité financière dans plusieurs régions.

UBA Congo : un acteur clé de l’économie congolaise

Au Congo Brazzaville, UBA s’impose comme un partenaire incontournable de l’économie nationale. Grâce à ses services bancaires adaptés aux besoins locaux, sa politique d’inclusion financière et son accompagnement des très petites, petites et moyennes entreprises et industries, la banque contribue activement à la croissance et à la diversification de l’économie du pays.  Elle facilite l’accès au crédit, soutient les initiatives entrepreneuriales, et promeut la bancarisation des populations à travers la digitalisation et ses canaux numériques. UBA Congo est également un acteur responsable, engagé dans des actions citoyennes, éducatives et sociales à travers la Fondation UBA. Par son ancrage local et sa vision panafricaine, la banque participe à l’intégration de l’économie congolaise dans les dynamiques régionales. Elle joue un rôle essentiel dans le financement des projets publics et privés, et constitue un pont entre le Congo et le reste du continent.

L’Afrique n’est plus qu’un simple continent attentiste et en marge du développement. Elle est en perpétuelle mutation, portée par ses peuples, ses ressources et sa jeunesse. L’intégration économique, l’inclusion sociale, l’innovation entrepreneuriale et la solidarité régionale sont les piliers d’une renaissance panafricaine. Les institutions comme l’Union africaine, les banques panafricaines comme UBA, et les acteurs du secteur privé, chacun à leur échelle, doivent continuer à construire cette Afrique nouvelle. L’heure est venue de faire de l’unité africaine une réalité économique, de financer notre avenir avec nos ressources, et de raconter nous-mêmes notre histoire. Une histoire de progrès, d’ambition et de fierté partagée.

Congo-Zlécaf : 10 milliards de dollars pour héberger le fonds d’ajustement

Le gouvernement rwandais, le secrétariat de la Zone économique de libre-échange continentale africaine (Zlécaf) et la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) ont signé, le 10 mars, un accord pour officialiser le siège du fonds à Kigali, la capitale du Rwanda.

 

Les dix milliards de dollars, dont un milliard déjà promis par l’Afreximbank, permettront non seulement de compenser les baisses de revenus à court terme liées à la réduction des taxes sur les échanges entre pays africains, mais aussi d’aider le secteur privé à tirer profit des opportunités créées par la zone de libre-échange.

« Le gouvernement rwandais s’aligne fortement avec cette initiative qui va aider à garantir que tous les pays puissent bénéficier des opportunités offertes par l’accord de libre-échange continentale et le fonds d’ajustement qui contribueront à une croissance économique inclusive et durable sur l’ensemble du continent », a dit Vincent Biruta, ministre Rwandais des Affaires étrangères et de la Coopération internationale.

La signature de l’accord intervient cinq ans après celui de mars 2018 à Kigali, portant accord initial de la Zlécaf.

Rappelons que la Zlécaf est un projet de zone de libre-échange en cours de création sur l’ensemble du continent africain. Elle doit regrouper la zone tripartite de libre-échange, qui doit inclure le Maché commun de l’Afrique orientale et australe, la Communauté d’Afrique de l’Est et la Communauté de développement d’Afrique australe, avec, d’autre part, la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, l’Union du Maghreb arabe et la Communauté des Etats sahélo-sahariens.

L’objectif du projet est d’intégrer à terme l’ensemble des cinquante-cinq États de l’Union africaine au sein de la zone de libre-échange. Dans un premier temps, l’objectif de la Zl2caf sera de stimuler le commerce intra-africain en permettant de faire des affaires plus facilement sur tout le continent. L’accord de libre-échange envisage de supprimer les droits de douane pour 90 % des marchandises. Il a été signé à Kigali, en mars 2018, et prévoit un marché continental de 1,2 milliard de personnes, avec un produit intérieur brut combiné de plus de 3 400 milliards de dollars.

 

 

Congo : le ministère du Commerce s’engage à accompagner les entreprises à bâtir un business-plan compétitif

La République du Congo a signé un accord le 21 mars dernier, au Rwanda, portant création de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF).

Ce sont 21 pays africains qui ont déjà ratifié cet accord, notamment la république du Congo en février 2019. Désormais, le ministère du Commerce aidera les entreprises congolaises, à s’adapter aux mutations à venir.

Cet accord sur la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF), rentrera en vigueur à sa 22ème ratification. Il faut tout de même noter que, le Congo disposera d’un délai de 10 ans pour se mettre en conformité sur l’élimination effective des barrières douanières et autres obstacles à la circulation de biens et des services. Le département du Commerce anticipe déjà sur les mutations qu’édicte ce grand marché commun, pour les entreprises congolaises, en les accompagnant à la mise en place des standards plus compétitifs, pour soutenir la concurrence, exister et prospérer.

La mise en place de cette zone de libre-échange continentale africaine permettra au continent d’être un seul espace d’échanges économiques, avec la liberté de circulation des biens et services. Elle ouvrira certainement la voie à une économie panafricaine pleinement intégrée qui dopera la création d’emplois et d’opportunités économiques.

Le nouveau marché qui s’ouvre est de 1,2 milliards de personnes, avec un PIB de 2500 milliards de dollars. Dès lors, les entreprises doivent revoir leurs stratégies initiales, qui ont prévalu à la création de celles-ci, afin de les adapter à la nouvelle donne, et faire de celles-ci des entités compétitives, prêtes à affronter la concurrence de manière sereine.

Un diagnostic indique qu’aujourd’hui, l’Afrique ne pèse qu’autour de 5% du Pib mondial alors qu’elle abrite 17% de la population mondiale. Le continent concentre moins de 2% des investissements directs étrangers et moins de 2% du commerce mondial et le niveau des échanges intra africains, n’est pas plus reluisant. Très faible, il est estimé à moins de 16%, là où dans les autres continents, le niveau des échanges intérieurs dépasse la barre des 60%. Une situation qui doit changer.