Dix soldats sud-soudanais ont été condamnés jeudi à de lourdes peines de prison pour l’attaque d’un hôtel de la capitale sud-soudanaise Juba en juillet 2016 durant laquelle cinq travailleuses humanitaires étrangères ont été violées et un journaliste tué. Le jugement, rendu par une cour martiale, est un des rares exemples de justice rendue pour les atrocités commises dans le conflit qui déchire le Soudan du Sud depuis fin 2013, même si certains observateurs l’attribuent à la présence d’étrangers parmi les victimes.
LA SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ