Ouvrant les travaux de la onzième session ordinaire le 1er février à Brazzaville, le président du Sénat, Pierre Ngolo, a attiré l’attention des sénateurs sur la prochaine présidentielle qui peut être, selon lui, un moment de cristallisation des passions aux conséquences sociales néfastes si les acteurs politiques venaient à se dérober de leur ligne éthique.
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