Le gouvernement algérien a implicitement écarté lundi l’hypothèse d’un renoncement d’Abdelaziz Bouteflika en affirmant que les « urnes trancheront », dans une première réaction officielle aux manifestations populaires contre un cinquième mandat du président sortant. Au pouvoir depuis 1999, le président Bouteflika a mis fin récemment à de longs mois d’interrogations sur ses intentions en annonçant qu’il briguerait un nouveau mandat lors de la présidentielle du 18 avril.
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