Congo : l’école de génie travaux a de nouveaux lauréats

Ces officiers subalternes sont venus du Bénin, de la Centrafrique, de Madagascar,  du Niger, du Mali, du Burkina-Faso, de la…

Ces officiers subalternes sont venus du Bénin, de la Centrafrique, de Madagascar,  du Niger, du Mali, du Burkina-Faso, de la Côte d’Ivoire, du Togo, du Sénégal et du Congo pour être formés.

Fin de stage pour des cadres supérieurs de l’armée le 25 juin 2019 à Brazzaville. Le ministre de la Défense nationale du Congo, Charles Richard Mondjo, et son homologue des Zones économiques spéciales, Gilbert Mokoki, ont assisté à la séance de clôture de l’année académique et de la première session du stage de perfectionnement des officiers subalternes (CPOS) génie travaux.

Le cours de perfectionnement suivis par des officiers subalternes, a été organisé par l’École de génie travaux (EGT) à vocation régionale. Ce stage a permis de former vingt-six personnes ainsi que seize autres pour le stage d’application de génie travaux.

Ces stagiaires venus de ces différents pays d’Afrique et les vingt-cinq autres civils venus du ministère des Zones économiques spéciales, ont été formés dans les métiers de la maçonnerie, la menuiserie, la plomberie, la métallerie, l’électricité, la filière eau,  le laboratoire du sol, l’énergie et la conduite des engins.

Même si expérimentée depuis dix ans, les dirigeants de l’EGT reconnaissent qu’il y a encore d’importantes charges pour renforcer la qualité des formations annuelles. Notamment des équipements, des pensions, du soutien des formateurs, de l’entretien, du renouvellement et de l’acquisition de manuels pédagogiques indispensables aux enseignants et à la pratique pour les apprenants.

« Tout récemment, les gouvernements français et congolais ont renouvelé la convention de partenariat qui permet le fonctionnement du projet pour les prochaines années. Il y a deux semaines, l’école de génie travaux et l’école du génie d’Angers ont signé une autre convention de partenariat. L’engagement de la France assure la caution internationale de l’école et se traduit par la prise en compte des charges importantes de fonctionnement de l’école », a déclaré le colonel Patrick Immath Mouyoki, il est le directeur général de cette école.

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