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Congo-Enseignement supérieur privé : près de 88 % des dossiers d’agrément approuvés

La 9ᵉ session ordinaire de la Commission d’agrément des établissements privés de l’enseignement supérieur s’est achevée sur un bilan globalement…

La 9ᵉ session ordinaire de la Commission d’agrément des établissements privés de l’enseignement supérieur s’est achevée sur un bilan globalement satisfaisant.

 

Sur les 33 dossiers de demande d’agrément examinés, 29 ont reçu un avis favorable, soit un taux d’approbation de 87,87 %, selon le communiqué final des travaux. Les dossiers validés concernent plusieurs types d’agréments, notamment la création, l’ouverture, l’extension, l’agrément définitif des établissements, ainsi que l’ouverture de nouveaux programmes de formation allant du BTS à la licence, en passant par le Certificat d’études supérieures en administration des entreprises (C.E.S.A) et le master.

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Dans le détail, 17 dossiers de création d’établissements privés ont été approuvés, tandis que six demandes d’agrément d’ouverture ont obtenu un avis favorable. Par ailleurs, deux établissements ont décroché leur agrément définitif, marquant ainsi une étape importante dans leur processus de reconnaissance officielle.

La commission a également validé l’ensemble des demandes d’ouverture de nouveaux programmes de licence, de même que les quatre demandes d’extension de sites examinées. Une demande d’ouverture du programme de C.E.S.A a, elle aussi, reçu un avis favorable.

Toutefois, la session s’est montrée plus réservée concernant les formations de Brevet de technicien supérieur (BTS). En effet, aucun des huit programmes de BTS examinés n’a été approuvé, illustrant la rigueur des critères d’évaluation appliqués par la commission afin de garantir la qualité de l’offre de formation.

Clôturant les travaux, la ministre de l’Enseignement supérieur, le Pr Edith Delphine Emmanuel, a salué le sérieux et la qualité du travail accompli par les membres de la commission. Elle a assuré que les structures n’ayant pas obtenu d’avis favorable recevront des notifications officielles, afin de leur permettre de corriger les insuffisances relevées et de se conformer aux normes en vigueur.

De leur côté, les participants ont formulé une recommandation majeure, appelant le gouvernement à harmoniser les termes utilisés pour définir les différents types d’autorisations et d’agréments, conformément aux décrets du 13 mai 1996 et du 23 mai 2008.

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