Ce chiffre est le résultat d’une étude menée sur toute l’étendue du territoire national.
Chez les jeunes Congo, 26% de garçons contre 14% chez les filles utilisent systématiquement un préservatif et seulement 1,2% utilise la pilule. Un constat qui montre que les filles sont plus exposées.
Par ailleurs, un quart des jeunes de 15 à 24 ans a généralement sa première relation sexuelle sans contraception. Elles subissent le plus les conséquences des grossesses non désirées, entraînant ainsi l’arrêt de la scolarité, des accouchements difficiles, des difficultés socio-économiques, la contamination au VIH/sida et d’autres infections sexuellement transmissibles.
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Au Congo, les associations se sont réunies pour tirent la sonnette d’alarme afin que les actions de communication sur la contraception soient renforcées à travers les médias, réseaux sociaux ainsi que les campagnes dans les zones à forte concentration des jeunes ; favoriser l’accès des jeunes aux services de planification familiale dans les cliniques et centres de santé intégrés; aménager des espaces de discussions afin d’échanger sur les défis liés à l’accès des jeunes à la contraception.