Les responsables de trois entreprises congolaises citées dans l’affaire de détournement de fonds alloués au programme d’urgence de 100 jours du président Félix TSHISEKEDI, ont été placés en détention préventive depuis plus d’une semaine. Ces travaux « a priori » surfacturés feraient partie d’un contrat de gré à gré entre l’Office congolais des voiries et drainage et la Société congolaise de construction (Sococ), une firme privée. Ces projets auraient été financés en partie par le Fonds national d’entretien routier (Foner).
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