Saint-Valentin : les amoureux dans la quête d’un cadeau

A un jour du 14 février les amoureux mettent tout leur cœur dans la recherche du cadeau qui fera la différence auprès de leur belle.

Si certains opteront pour les traditionnels bouquets de fleurs, parfums, montres, téléphones portables, ordinateurs et autres coffrets de maquillage, d’autres sortiront des sentiers battus en choisissant des présents originaux, notamment, un restaurant ou un film voir même une balade sur le pont de la Corniche.

C’est la recherche d’un moment où l’on se retrouve seul avec sa partenaire, on peut alors lui raconter toutes les belles histoires et lui faire sa déclaration amoureuse. C’est un vrai moment de complicité dans le couple.

Nombreux vont dormir dans un lieu rêvé pour s’éloigner un peu du lit conjugal habituel. L’hôtel va donner à cette nuit une plus grande intensité et briser la monotonie.

Une demande en mariage, c’est le bouquet final, que de se faire une demande en mariage un 14 Février. Elle trouvera cela romantique et préférera que la demande soit accompagnée d’une jolie bague.

Aucune « Valentine » ne pourra résister à la surprise ! Peu importe le budget ou la crise financière qui étrangle les congolais, les idées foisonnent pour cette Saint-Valentin et donneront le sourire à l’être cher.

On rappelle qu’il y a des décennies que les congolais s’accommodent de plus en plus à la célébration de la Saint-Valentin, l’une des plus vieilles traditions européennes.

Saint -Valentin : un café littéraire pour parler d’amour

Un café littéraire pour parler d’amour. C’est le rendez-vous de ce 14 février 2018, jour de la Saint-Valentin. L’activité sera organisée par l’Institut Français du Congo (IFC) de Pointe-Noire, pour permettre au public de mettre en partage les mots des auteurs qui le touchent.

Dans la ville de Pointe-Noire, l’amour sera célébré en littérature et en poésie, car l’IFC organise un bal à lire qui met en lumière la littérature amoureuse. Pendant cette activité, le public est invité à parcourir le fonds de la médiathèque de l’IFC, à y choisir un texte (poème, extrait de roman, correspondances) et  le présenter publiquement, le 14 février, à partir de 18h30.

Les correspondances de Maria Casarès et Albert Camus, récemment publiées chez Gallimard  et acquises dernièrement par l’IFC, illustrent à merveille la puissance et la beauté d’un amour extraordinaire au sens littéral du mot.

En effet, lorsque Camus  publie L’Etranger en 1942, Maria Casarès, fille d’un républicain espagnol en exil, débute sa carrière de comédienne à Paris. Ils se rencontrent deux ans plus tard, alors que Camus est seul à Paris, son épouse étant restée à Oran où elle enseigne.

Ils deviennent  amants et entretiendront, jusqu’à la mort accidentelle de l’écrivain en 1960, une correspondance nourrie, qui révèle l’intensité d’un amour hors du commun. Catherine Camus, la fille de l’écrivain, publie, cinquante-cinq ans après la mort de son père, ces correspondances amoureuses, aussi émouvantes qu’incandescentes, à l’intelligence vive, sur fond d’après guerre.

Cet événement littéraire permet ainsi à l’IFC de proposer aux amateurs de beaux textes, une plongée dans les replis des âmes amoureuses, à travers les sélections mises en avant par les lecteurs eux-mêmes.

Notons que l’équipe de l’IFC accueille dès à présent toutes celles et tous ceux qui souhaitent plonger dans ses collections pour y dénicher la pépite qui parlera à leur cœur. Le rendez-vous est donc pris pour le 14 février, afin de célébrer l’amour à travers les mots des poètes, d’un jour ou de toujours.