Côte d’Ivoire: harmonisation des filières de la formation professionnelle

Quelque 12 filières et 93 spécialités retenues comme les plus pertinentes de l’enseignement technique et de la formation professionnelle en Côte d’Ivoire, ont été harmonisées et actualisées au terme d’un atelier dont les résultats ont été restitués jeudi à Abidjan.

Chacune de ces 12 filières et 93 spécialités retenues, ont fait  l’objet d’une dénomination consensuelle.

A cette occasion, Djedj Mel, le directeur de cabinet du secrétariat d’Etat en charge de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, a  rappelé que le gouvernement ivoirien entend faire de la formation professionnelle un axe majeur de son action,  « afin de répondre efficacement  aux besoins de main d’œuvre de notre  économie ».

Pour sa part, Noël Kossonou, le directeur des filières, de l’innovation et de la qualité (DFIQ), s’est réjoui de la tenue de cet atelier, soulignant l’importance des filières et des spécialités au regard de leur incidence sur l’efficacité du dispositif de formation.

Quant à N’Dri Koffi, le président du Conseil national des branches professionnelles, il a appelé les acteurs de l’enseignement technique et de la formation professionnelle en Côte d’Ivoire à multiplier les concertations  «pour une meilleure adéquation formation-Emploi  ».

Après cet atelier qui a permis aux acteurs de l’enseignement technique et de la formation professionnelle de s’accorder sur le répertoire, les dénominations des filières et spécialités actuelles, la prochaine étape consistera  à adapter et harmoniser les curricula et les programmes de formation.

Côte d’Ivoire: le Collectif des syndicats des collectivités territoriales suspend sa grève

Le Collectif des syndicats des collectivités territoriales de Côte d’Ivoire a suspendu jeudi son mot d’ordre de grève de trois jours entamée la veille, appelant à la reprise du travail vendredi, à l’issue d’une Assemblée générale à Abidjan.

Réunis à la Bourse du travail d’Abidjan, les membres du Collectif des syndicats des collectivités territoriales ont décidé de reprendre le travail le vendredi 9 avril 2021 à partir de 7h. Et ce, à la suite d’une acclamation.

« On appelle nos camarades à reprendre le service », a dit le président du Collectif des syndicats des collectivités territoriales, Albert Vouandé Gue, par ailleurs secrétaire général du Syndicat national du personnel des collectivités territoriales.

Cette suspension du mot d’ordre de grève intervient après la suspension, par le ministre de l’Intérieur et de la sécurité, de l’application des dispositions d’une circulaire prise le 18 février 2021, qui suspendait le paiement des indemnités de départ à la retraite des agents des collectivités territoriales. 

M. Vagondo explique que cette note ministérielle a lieu « dans le cadre de l’examen des conditions de départ à la retraite des agents localement recrutés des collectivités territoriales et entités décentralisées particulières et dans l’attente de nouvelles mesures visant à une meilleure prise en compte de la spécificité liée à cette catégorie de personnel ».

Concernant la revalorisation de la prime de transport, le président du Collectif des syndicats des collectivités territoriales Albert Gue a relevé que les responsables syndicaux allaient faire un travail avec les services techniques du ministère pour ressortir des montants selon les régions.

Sur la prise des arrêtés d’application du décret du 18 février 2015, portant organisation de la police municipale et la création de la direction centrale de ladite police, M. Gue a indiqué qu’ à l’issue d’une rencontre avec le ministre la veille, connaissant le dossier, s’en chargera.

« Il a précisé que les tenues des policiers municipaux varient d’une commune à une autre et qu’ il va mettre fin à cela afin qu’en voyant un policier municipal, on sache que c’est un policier municipal », a-t-il révélé.  

Quant au point sur la mise en place effective du statut de la fonction publique territoriale, « le ministre nous a dit qu’il nous donne trois mois, le temps de comprendre le dossier parce que ça ne dépend pas de lui seul », a rapporté M. Albert Gue.

Pour le paiement effectif des arriérés de salaires de la Zone ex-CNO (Centre, Nord, Ouest), un protocole avait été arrêté sur un « morcellement, on devrait payer par tranche, mais il va préparer un décret qui sera pris pour qu’on commence à donner par tranche » ces indemnités, a-t-il poursuivi.

Saluant la « prédisposition » du ministre qui a signé la circulaire sur la suspension de l’application du 18 février 2021 lors de leur rencontre, mercredi, M. Albert Gue, s’est félicité de cet acte joint à la parole, avant d’ajouter « ce courrier, pour nous, c’est la plus grande victoire ».

« Nous suspendons le mot d’ordre de grève jusqu’à ce que nous épuisons tous les point de revendication avec le ministre de l’Intérieur et de la sécurité », a déclaré M. Karim Sanou,  secrétaire général national, membre du Collectif des syndicats des collectivités territoriales. 

Côte d’Ivoire: le Collectif des syndicats des collectivités territoriales suspend sa grève

Le Collectif des syndicats des collectivités territoriales de Côte d’Ivoire a suspendu jeudi son mot d’ordre de grève de trois jours entamée la veille, appelant à la reprise du travail vendredi, à l’issue d’une Assemblée générale à Abidjan.

Réunis à la Bourse du travail d’Abidjan, les membres du Collectif des syndicats des collectivités territoriales ont décidé de reprendre le travail le vendredi 9 avril 2021 à partir de 7h. Et ce, à la suite d’une acclamation.

« On appelle nos camarades à reprendre le service », a dit le président du Collectif des syndicats des collectivités territoriales, Albert Vouandé Gue, par ailleurs secrétaire général du Syndicat national du personnel des collectivités territoriales.

Cette suspension du mot d’ordre de grève intervient après la suspension, par le ministre de l’Intérieur et de la sécurité, de l’application des dispositions d’une circulaire prise le 18 février 2021, qui suspendait le paiement des indemnités de départ à la retraite des agents des collectivités territoriales. 

M. Vagondo explique que cette note ministérielle a lieu « dans le cadre de l’examen des conditions de départ à la retraite des agents localement recrutés des collectivités territoriales et entités décentralisées particulières et dans l’attente de nouvelles mesures visant à une meilleure prise en compte de la spécificité liée à cette catégorie de personnel ».

Concernant la revalorisation de la prime de transport, le président du Collectif des syndicats des collectivités territoriales Albert Gue a relevé que les responsables syndicaux allaient faire un travail avec les services techniques du ministère pour ressortir des montants selon les régions.

Sur la prise des arrêtés d’application du décret du 18 février 2015, portant organisation de la police municipale et la création de la direction centrale de ladite police, M. Gue a indiqué qu’ à l’issue d’une rencontre avec le ministre la veille, connaissant le dossier, s’en chargera.

« Il a précisé que les tenues des policiers municipaux varient d’une commune à une autre et qu’ il va mettre fin à cela afin qu’en voyant un policier municipal, on sache que c’est un policier municipal », a-t-il révélé.  

Quant au point sur la mise en place effective du statut de la fonction publique territoriale, « le ministre nous a dit qu’il nous donne trois mois, le temps de comprendre le dossier parce que ça ne dépend pas de lui seul », a rapporté M. Albert Gue.

Pour le paiement effectif des arriérés de salaires de la Zone ex-CNO (Centre, Nord, Ouest), un protocole avait été arrêté sur un « morcellement, on devrait payer par tranche, mais il va préparer un décret qui sera pris pour qu’on commence à donner par tranche » ces indemnités, a-t-il poursuivi.

Saluant la « prédisposition » du ministre qui a signé la circulaire sur la suspension de l’application du 18 février 2021 lors de leur rencontre, mercredi, M. Albert Gue, s’est félicité de cet acte joint à la parole, avant d’ajouter « ce courrier, pour nous, c’est la plus grande victoire ».

« Nous suspendons le mot d’ordre de grève jusqu’à ce que nous épuisons tous les point de revendication avec le ministre de l’Intérieur et de la sécurité », a déclaré M. Karim Sanou,  secrétaire général national, membre du Collectif des syndicats des collectivités territoriales. 

Les travaux de la première centrale solaire de Côte d’Ivoire seront lancés en 2021

Le nouveau ministre ivoirien des Mines, du pétrole et de l’énergie, Thomas Camara a officiellement pris fonction, jeudi à Abidjan, au cours d’une cérémonie de passation de charges avec son prédécesseur, Abdourahmane Cissé.

Au cours de cette cérémonie présidée par  Roger Charlemagne Dah du Secrétariat général du gouvernement, Abdourahmane Cissé,  a dressé le bilan et les perspectives de son passage à la tête de ce ministère, saluant dans la foulée la nomination de son successeur.

A propos des perspectives, le ministre Cissé a énuméré le lancement en 2021 des travaux de construction de la première centrale solaire de la Côte d’Ivoire, l’accélération du processus d’électrification des localités en vue d’atteindre un taux de couverture de 100% à fin 2025, un mix énergétique d’au moins 42% d’énergies renouvelables à fin 2030 et l’entrée de nouveaux acteurs dans le domaine des hydrocarbures.

Parlant de son bilan dans le domaine de l’énergie, le ministre Abdourahmane Cissé a rappelé que sur la période  2019-2020, 1 841 localités ont été électrifiées, soit en moyenne 900 localités par an contre 300 par an sur la période 2012-2018.

Le taux de couverture national est passé de 33,1% en 2011 à 58% en 2018 et 80% à fin 2020. A ce propos, les localités de plus de 500 habitants, seront électrifiées avant fin juin 2021, selon les prévisions.

Par ailleurs, il ressort de ce bilan que 1,4 million de familles à revenu modeste ont bénéficié de la baisse de 20% du tarif social d’électricité, quand plus de 425 000 familles ont obtenu leur propre compteur à domicile à travers le Programme Electricité Pour Tous (PEPT) 2019-2020.

Il y a également le démarrage du projet de construction, à Aboisso (Sud-Est), de la plus grande centrale biomasse d’Afrique de l’Ouest, à base de palmier à huile  et d’une capacité de 46 MW.

Dans le domaine de la formation, il a cité la création de l’Ecole supérieure du pétrole et de l’énergie avec des doubles diplômes de l’Ecole polytechnique de Paris et de l’Institut français du pétrole. Cette école est logée au sein de l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro.

Un prix de l’innovation dans l’énergie et les hydrocarbures doté d’une récompense de 10 millions FCFA a été également institué sous le ministre Cissé pour encourager les entrepreneurs des secteurs de l’énergie et des hydrocarbures.

En outre, au niveau des hydrocarbures, un programme a été initié pour doubler la capacité de stockage national en butane.

Par ailleurs, une loi sur le contenu local dans les activités pétrolières et gazières en Côte d’Ivoire pour créer des champions nationaux et des emplois pour les  jeunes a été adoptée le 24 mars dernier, en Conseil des ministres.

«Je suis l’un des vôtres et je souhaite que la collaboration soit bonne », a lancé le nouveau ministre en direction de ses nouveaux collaborateurs, émettant le vœu que «nous puissions poursuivre les grands projets ».

« Que la confiance que le Président de la République a placée à la grande famille du pétrole et de l’Energie ne soit pas trahie », a conclu Thomas Camara qui assurait jusqu’à sa nomination le 06 avril dernier le poste de directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR).

Un nouveau gouvernement ivoirien de 41 membres dirigé par le premier ministre Jérôme Patrick Achi a été dévoilé le mardi 06 avril 2021. Auparavant, Abdourahmane Cissé a été nommé ministre-secrétaire général de la présidence de la République.

Les travaux de la première centrale solaire de Côte d’Ivoire seront lancés en 2021

Le nouveau ministre ivoirien des Mines, du pétrole et de l’énergie, Thomas Camara a officiellement pris fonction, jeudi à Abidjan, au cours d’une cérémonie de passation de charges avec son prédécesseur, Abdourahmane Cissé.

Au cours de cette cérémonie présidée par  Roger Charlemagne Dah du Secrétariat général du gouvernement, Abdourahmane Cissé,  a dressé le bilan et les perspectives de son passage à la tête de ce ministère, saluant dans la foulée la nomination de son successeur.

A propos des perspectives, le ministre Cissé a énuméré le lancement en 2021 des travaux de construction de la première centrale solaire de la Côte d’Ivoire, l’accélération du processus d’électrification des localités en vue d’atteindre un taux de couverture de 100% à fin 2025, un mix énergétique d’au moins 42% d’énergies renouvelables à fin 2030 et l’entrée de nouveaux acteurs dans le domaine des hydrocarbures.

Parlant de son bilan dans le domaine de l’énergie, le ministre Abdourahmane Cissé a rappelé que sur la période  2019-2020, 1 841 localités ont été électrifiées, soit en moyenne 900 localités par an contre 300 par an sur la période 2012-2018.

Le taux de couverture national est passé de 33,1% en 2011 à 58% en 2018 et 80% à fin 2020. A ce propos, les localités de plus de 500 habitants, seront électrifiées avant fin juin 2021, selon les prévisions.

Par ailleurs, il ressort de ce bilan que 1,4 million de familles à revenu modeste ont bénéficié de la baisse de 20% du tarif social d’électricité, quand plus de 425 000 familles ont obtenu leur propre compteur à domicile à travers le Programme Electricité Pour Tous (PEPT) 2019-2020.

Il y a également le démarrage du projet de construction, à Aboisso (Sud-Est), de la plus grande centrale biomasse d’Afrique de l’Ouest, à base de palmier à huile  et d’une capacité de 46 MW.

Dans le domaine de la formation, il a cité la création de l’Ecole supérieure du pétrole et de l’énergie avec des doubles diplômes de l’Ecole polytechnique de Paris et de l’Institut français du pétrole. Cette école est logée au sein de l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro.

Un prix de l’innovation dans l’énergie et les hydrocarbures doté d’une récompense de 10 millions FCFA a été également institué sous le ministre Cissé pour encourager les entrepreneurs des secteurs de l’énergie et des hydrocarbures.

En outre, au niveau des hydrocarbures, un programme a été initié pour doubler la capacité de stockage national en butane.

Par ailleurs, une loi sur le contenu local dans les activités pétrolières et gazières en Côte d’Ivoire pour créer des champions nationaux et des emplois pour les  jeunes a été adoptée le 24 mars dernier, en Conseil des ministres.

«Je suis l’un des vôtres et je souhaite que la collaboration soit bonne », a lancé le nouveau ministre en direction de ses nouveaux collaborateurs, émettant le vœu que «nous puissions poursuivre les grands projets ».

« Que la confiance que le Président de la République a placée à la grande famille du pétrole et de l’Energie ne soit pas trahie », a conclu Thomas Camara qui assurait jusqu’à sa nomination le 06 avril dernier le poste de directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR).

Un nouveau gouvernement ivoirien de 41 membres dirigé par le premier ministre Jérôme Patrick Achi a été dévoilé le mardi 06 avril 2021. Auparavant, Abdourahmane Cissé a été nommé ministre-secrétaire général de la présidence de la République.

Côte d’Ivoire: Birahima Ouattara s’engage à lutter contre les bandes terroristes

Le nouveau ministre ivoirien de la défense, Téné Birahima Ouattara dit «Photocopie » qui a pris officiellement fonction jeudi à la tête de ce département ministériel, s’est engagé à lutter contre les bandes terroristes et criminelles qui sévissent dans la sous-région.

« (…) Nous devons donc continuer sur cette lancée pour relever les défis qui s’imposent encore à nous à savoir la lutte contre les bandes terroristes et criminelles qui sévissent dans la sous-région, le renforcement de la coopération militaire avec les pays frères et amis, l’assistance et la protection des populations et de leurs biens, la poursuite de l’amélioration des conditions de vie et de travail de l’ensemble des personnels de la défense», a dit M. Ouattara dans une cérémonie de passation de charges.

M. Ouattara  entend poursuivre les objectifs et renforcer les résultats grâce aux valeurs de discipline, de dévouement et d’engagement. 

«  Nous devons toujours être animés d’un esprit d’équipe afin d’être efficaces en tout lieu et en tout temps. Je sais pouvoir compter sur vous », a souhaité le nouveau ministre de la défense.

Auparavant, M. Ouattara a salué les résultats obtenus par son prédécesseur, l’ex-premier ivoirien ministre feu Hamed Bakayoko à la tête de ce ministère. 

«Pour nous qui avons connu Hamed Bakayoko, je peux porter le témoignage que Hamed était un homme exceptionnel. Il nous a toujours impressionné par ses qualités de travail, son dévouement, sa fidélité», a fait savoir M. Ouattara.

« Je mesure pleinement les responsabilités qui sont les miennes et je prie le tout puissant afin qu’il me donne la force et le discernement nécessaire pour l’accomplissement de cette mission», a-t-il conclu.

Avant lui, Jean-Paul Malan, le directeur de cabinet du ministre de la défense, a expliqué au nouveau ministre les projets déjà réalisés, en cours de réalisation ou en perspectives.

 « L’action du ministère de la défense s’est articulée autour de l’amélioration des conditions de vie et de travail des militaires et des gendarmes, par le renforcement des capacités opérationnelles des unités, l’acquisition d’équipements de communication, de véhicules tactiques et la réhabilitation de nombreux bâtiments  », a entre autres indiqué M. Malan.

Téné Birahima Ouattara a été nommé ministre de la défense par intérim le 08 mars dernier. Il a été confirmé ministre d’Etat, ministre de la défense mardi dernier dans le premier gouvernement du premier ministre Patrick Achi.

Le budget 2021 du ministère ivoirien de la défense s’élève à 354 milliards FCFA dont 55 milliards FCFA d’investissements.

Côte d’Ivoire: Birahima Ouattara s’engage à lutter contre les bandes terroristes

Le nouveau ministre ivoirien de la défense, Téné Birahima Ouattara dit «Photocopie » qui a pris officiellement fonction jeudi à la tête de ce département ministériel, s’est engagé à lutter contre les bandes terroristes et criminelles qui sévissent dans la sous-région.

« (…) Nous devons donc continuer sur cette lancée pour relever les défis qui s’imposent encore à nous à savoir la lutte contre les bandes terroristes et criminelles qui sévissent dans la sous-région, le renforcement de la coopération militaire avec les pays frères et amis, l’assistance et la protection des populations et de leurs biens, la poursuite de l’amélioration des conditions de vie et de travail de l’ensemble des personnels de la défense», a dit M. Ouattara dans une cérémonie de passation de charges.

M. Ouattara  entend poursuivre les objectifs et renforcer les résultats grâce aux valeurs de discipline, de dévouement et d’engagement. 

«  Nous devons toujours être animés d’un esprit d’équipe afin d’être efficaces en tout lieu et en tout temps. Je sais pouvoir compter sur vous », a souhaité le nouveau ministre de la défense.

Auparavant, M. Ouattara a salué les résultats obtenus par son prédécesseur, l’ex-premier ivoirien ministre feu Hamed Bakayoko à la tête de ce ministère. 

«Pour nous qui avons connu Hamed Bakayoko, je peux porter le témoignage que Hamed était un homme exceptionnel. Il nous a toujours impressionné par ses qualités de travail, son dévouement, sa fidélité», a fait savoir M. Ouattara.

« Je mesure pleinement les responsabilités qui sont les miennes et je prie le tout puissant afin qu’il me donne la force et le discernement nécessaire pour l’accomplissement de cette mission», a-t-il conclu.

Avant lui, Jean-Paul Malan, le directeur de cabinet du ministre de la défense, a expliqué au nouveau ministre les projets déjà réalisés, en cours de réalisation ou en perspectives.

 « L’action du ministère de la défense s’est articulée autour de l’amélioration des conditions de vie et de travail des militaires et des gendarmes, par le renforcement des capacités opérationnelles des unités, l’acquisition d’équipements de communication, de véhicules tactiques et la réhabilitation de nombreux bâtiments  », a entre autres indiqué M. Malan.

Téné Birahima Ouattara a été nommé ministre de la défense par intérim le 08 mars dernier. Il a été confirmé ministre d’Etat, ministre de la défense mardi dernier dans le premier gouvernement du premier ministre Patrick Achi.

Le budget 2021 du ministère ivoirien de la défense s’élève à 354 milliards FCFA dont 55 milliards FCFA d’investissements.

Les mairies de Côte d’Ivoire paralysées par une grève des agents

Les mairies de Côte d’Ivoire ont été paralysées, mercredi, par une grève de 72 heures lancée par un collectif de syndicats.

Cette grève a fortement perturbé plusieurs mairies d’Abidjan et de l’intérieur du pays où des documents administratifs sollicités par les usagers n’ont pu être délivrés. Des mariages programmés n’ont pu être célébrés.

A travers cette grève, le  Collectif des syndicats nationaux des agents des collectivités territoriales (SYNAPECOCI, SYNAMCI, SYNAPECODI, SYNAPOMUCI) réclame l’annulation de la mesure de suspension du paiement des indemnités de départ à la retraite des agents des collectivités territoriales.

Après des négociations entamées au premier jour de cette grève avec le ministère de l’intérieur et de la sécurité, le collectif a convoqué une Assemblée générale pour ce jeudi à la Bourse de travail de Treichville afin de statuer sur la conduite à tenir.

Le paiement intégral de la revalorisation de la prime de transport,  la prise effective des arrêtés d’application du décret portant organisation de la police municipale et la création de la direction centrale de ladite police, la mise en place effective du statut de la fonction publique territoriale et le paiement effectif des arriérés de salaire des agents des collectivités territoriales des zones ex-CNO (Centre-Nord et Ouest) figurent également sur la table de revendication des grévistes.

Ils réclament enfin, le paiement des indemnités et avantages en faveur de certains fonctionnaires et agents exerçant dans les collectivités territoriales et l’application sans réserve du décret portant non licenciement des agents des collectivités territoriales.

Les mairies de Côte d’Ivoire paralysées par une grève des agents

Les mairies de Côte d’Ivoire ont été paralysées, mercredi, par une grève de 72 heures lancée par un collectif de syndicats.

Cette grève a fortement perturbé plusieurs mairies d’Abidjan et de l’intérieur du pays où des documents administratifs sollicités par les usagers n’ont pu être délivrés. Des mariages programmés n’ont pu être célébrés.

A travers cette grève, le  Collectif des syndicats nationaux des agents des collectivités territoriales (SYNAPECOCI, SYNAMCI, SYNAPECODI, SYNAPOMUCI) réclame l’annulation de la mesure de suspension du paiement des indemnités de départ à la retraite des agents des collectivités territoriales.

Après des négociations entamées au premier jour de cette grève avec le ministère de l’intérieur et de la sécurité, le collectif a convoqué une Assemblée générale pour ce jeudi à la Bourse de travail de Treichville afin de statuer sur la conduite à tenir.

Le paiement intégral de la revalorisation de la prime de transport,  la prise effective des arrêtés d’application du décret portant organisation de la police municipale et la création de la direction centrale de ladite police, la mise en place effective du statut de la fonction publique territoriale et le paiement effectif des arriérés de salaire des agents des collectivités territoriales des zones ex-CNO (Centre-Nord et Ouest) figurent également sur la table de revendication des grévistes.

Ils réclament enfin, le paiement des indemnités et avantages en faveur de certains fonctionnaires et agents exerçant dans les collectivités territoriales et l’application sans réserve du décret portant non licenciement des agents des collectivités territoriales.

Côte d’Ivoire: 2500 militants attendus à la célébration de l’an 75 du Pdci

Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, opposition) a annoncé mercredi la célébration de son 75e anniversaire, dont le lancement et prévu samedi à son siège à Abidjan, où sont attendus 2500 militants.

L’information a été donnée, au siège du parti à Cocody, une cité huppée dans l’Est d’Abidjan, par le président du Comité d’organisation des festivités, Kamagaté Brahima, lors d’une conférence de presse.     

M. Kamagaté a précisé que le vendredi 09 avril 2021, le Pdci-Rda aura 75 ans, mais les festivités auront lieu samedi à la Maison du parti. Les grandes articulations de cette célébration, elles,  s’étendront toutefois du 09 avril au 18 octobre 2021. 

Il s’est félicité de cette longévité du parti qui est à mettre au compte du génie politique du père fondateur, le premier président ivoirien Félix Houphouët-Boigny, mais aussi de la clairvoyance et du leadership de son digne successeur, Henri Konan Bédié.

Le président du Comité d’organisation a salué en outre « l’engagement sans faille des militants qui ont œuvré chaque jour durant ces longues années à faire du Pdci-Rda, un grand parti, rayonnant et conquérant ». 

La direction du parti, dira-t-il, a décidé de « célébrer ce soixante quinzième anniversaire dans la prière, le recueillement et la réflexion, une célébration dans la sobriété ». Cet anniversaire se tient par ailleurs dans un contexte de Covid-19.  

Le secrétaire exécutif du Pdci, Maurice Kakou Guikahué, est le coordinateur général de l’organisation de cet événement dont le lancement aura lieu à la place Henri Konan Bédié de la Maison du parti, à Cocody, samedi. 

Le président du parti, l’ancien chef d’Etat ivoirien Henri Konan Bédié, est annoncé à ces festivités, où sont aussi attendus entre autres les vice-présidents du parti, le Comité des Sages, les délégués départementaux et communaux.

Afrique : « le déficit de culture démocratique » à l’origine des crises électorales (chercheur)

Sur le continent noir, la lutte pour le pouvoir donne souvent lieu à des élections sous haute tension. Pour Gilles Yabi, analyste politique, il faut couper le mal à la racine.Du diagnostic du fondateur du Think tank Wathi, il ressort que « le déficit de culture démocratique » a plongé un certain nombre de pays africains dans des violences électorales récurrentes.

Pour que les scrutins, surtout la présidentielle, ne soient plus des moments d’instabilité, Gilles Yabi propose un remède : « Il faut investir dans les dimensions non électorales de la démocratie. Il s’agit notamment de l’éducation civique, de la culture politique, de la qualité de l’offre politique et de toutes les institutions impliquées dans l’organisation des élections. Il faut toujours penser à ces éléments même si on n’est pas en période électorale ».

S’exprimant ce mercredi 7 avril à Dakar, en marge de la conférence de presse de Partners West Africa Sénégal qui prépare un hommage au Général Lamine Cissé, le spécialiste des questions politiques a déconseillé la recherche de « solutions faciles ».

Par rapport au troisième mandat ayant divisé des pays africains, M. Yabi a soutenu que cette quête prouve « le manque d’éthique dans la gestion des affaires publiques », non sans mentionner qu’ « on ne peut pas consolider la démocratie si les gouvernants n’ont pas de culture démocratique ».

Les sources d’instabilité sont à éviter en Afrique de l’Ouest d’autant plus que les mouvements jihadistes y sévissent déjà. De l’avis du politologue, la région est confrontée à d’ « énormes défis sécuritaires » qui pourraient se corser « davantage dans le futur ».

Pour que cette prédiction ne se réalise pas, le Directeur exécutif de Wathi a invité à repenser la relation entre les gouvernants et les gouvernés. « La réponse strictement militaire ne suffit pas à régler durablement les problèmes de sécurité. On le voit bien au Sahel. Il faut également une approche politique, sociale et économique », a-t-il préconisé.

Dans le cadre de la célébration du second anniversaire de la disparition du Général Lamine Cissé (1939-2019), Partners West Africa Sénégal, dont il fut le tout premier président du Conseil d’administration, organise un colloque international le 16 avril prochain dans la capitale sénégalaise.

Le thème retenu pour ces activités de réflexion en mixte, présentiel et dématérialisé est « L’intégrité, l’éthique et la bonne gouvernance au service de la paix et de la sécurité, sur la voie tracée par un homme d’exception : le Général Lamine Cissé ».

Ce dernier fut notamment ministre de l’Intérieur du Sénégal, Chef d’Etat-Major Général des Armées du Sénégal, Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en Centrafrique et Secrétaire Général des Nations Unies en Afrique de l’Ouest.

Côte d’Ivoire: 2500 militants attendus à la célébration de l’an 75 du Pdci

Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, opposition) a annoncé mercredi la célébration de son 75e anniversaire, dont le lancement et prévu samedi à son siège à Abidjan, où sont attendus 2500 militants.

L’information a été donnée, au siège du parti à Cocody, une cité huppée dans l’Est d’Abidjan, par le président du Comité d’organisation des festivités, Kamagaté Brahima, lors d’une conférence de presse.     

M. Kamagaté a précisé que le vendredi 09 avril 2021, le Pdci-Rda aura 75 ans, mais les festivités auront lieu samedi à la Maison du parti. Les grandes articulations de cette célébration, elles,  s’étendront toutefois du 09 avril au 18 octobre 2021. 

Il s’est félicité de cette longévité du parti qui est à mettre au compte du génie politique du père fondateur, le premier président ivoirien Félix Houphouët-Boigny, mais aussi de la clairvoyance et du leadership de son digne successeur, Henri Konan Bédié.

Le président du Comité d’organisation a salué en outre « l’engagement sans faille des militants qui ont œuvré chaque jour durant ces longues années à faire du Pdci-Rda, un grand parti, rayonnant et conquérant ». 

La direction du parti, dira-t-il, a décidé de « célébrer ce soixante quinzième anniversaire dans la prière, le recueillement et la réflexion, une célébration dans la sobriété ». Cet anniversaire se tient par ailleurs dans un contexte de Covid-19.  

Le secrétaire exécutif du Pdci, Maurice Kakou Guikahué, est le coordinateur général de l’organisation de cet événement dont le lancement aura lieu à la place Henri Konan Bédié de la Maison du parti, à Cocody, samedi. 

Le président du parti, l’ancien chef d’Etat ivoirien Henri Konan Bédié, est annoncé à ces festivités, où sont aussi attendus entre autres les vice-présidents du parti, le Comité des Sages, les délégués départementaux et communaux.

Un témoin accable Amédé Ouérémi devant le Tribunal d’Abidjan

Un témoin a accablé, mercredi, l’ex-chef de milice Amadé Ouérémi qui comparait devant le Tribunal de première instance d’Abidjan dans le cadre du procès des massacres de Duékoué.

Lors de son passage à la barre, ce témoin qui a requis l’anonymat, a relevé que  «ce sont des vieillards qui ont été assassinés majoritairement par Amadé Ouéremi et ses hommes à Duékoué ».

« C’est le groupe d’Amadé qui a commis le massacre de Duékoué et je suis affirmatif», a soutenu ce témoin, présentant au                 Tribunal une centaine de photos des exactions attribuées à l’accusé et ses hommes au moment des faits.

 « (…) Quand nous sommes rentrés au quartier carrefour, c’était un carnage indescriptible», a-t-il ajouté, affirmant avoir comptabilisé et photographié 265 corps après ces tueries de Duékoué.

Rappelant les abus d’Amadé Ouérémi et ses hommes dans l’ouest ivoirien à cette époque, ce témoin a indiqué qu’au moment des faits, celui-ci, «plus qu’un seigneur, était le roi de la forêt du mont Péko (ouest ivoirien)».

A son tour, l’accusé Amadé Ouérémi a nié en bloc les accusations portées contre lui.  « C’est parce que je suis un Burkinabè au milieu des ivoiriens qu’on m’accuse de ce massacre », a-t-estimé.

Poursuivant, M. Ouérémi a imputé la responsabilité de la crise post-électorale ivoirienne de 2010-2011 aux acteurs politiques dont le président Alassane Ouattara et l’ex-président Laurent Gbagbo.

Le procès de l’ex-chef de milice, Amadé Ouérémi qui est accusé de crimes de guerre commis pendant la crise post-électorale ivoirienne de 2010-2011 à Duékoué (Ouest ivoirien), s’est ouvert le 24 mars dernier devant le Tribunal criminel d’Abidjan plus de sept ans après son arrestation.

Agé de 57 ans, Amadé Ouérémi a occupé pendant plusieurs années la forêt du mont Péko dans l’ouest ivoirien.

Afrique : « le déficit de culture démocratique » à l’origine des crises électorales (chercheur)

Sur le continent noir, la lutte pour le pouvoir donne souvent lieu à des élections sous haute tension. Pour Gilles Yabi, analyste politique, il faut couper le mal à la racine.Du diagnostic du fondateur du Think tank Wathi, il ressort que « le déficit de culture démocratique » a plongé un certain nombre de pays africains dans des violences électorales récurrentes.

Pour que les scrutins, surtout la présidentielle, ne soient plus des moments d’instabilité, Gilles Yabi propose un remède : « Il faut investir dans les dimensions non électorales de la démocratie. Il s’agit notamment de l’éducation civique, de la culture politique, de la qualité de l’offre politique et de toutes les institutions impliquées dans l’organisation des élections. Il faut toujours penser à ces éléments même si on n’est pas en période électorale ».

S’exprimant ce mercredi 7 avril à Dakar, en marge de la conférence de presse de Partners West Africa Sénégal qui prépare un hommage au Général Lamine Cissé, le spécialiste des questions politiques a déconseillé la recherche de « solutions faciles ».

Par rapport au troisième mandat ayant divisé des pays africains, M. Yabi a soutenu que cette quête prouve « le manque d’éthique dans la gestion des affaires publiques », non sans mentionner qu’ « on ne peut pas consolider la démocratie si les gouvernants n’ont pas de culture démocratique ».

Les sources d’instabilité sont à éviter en Afrique de l’Ouest d’autant plus que les mouvements jihadistes y sévissent déjà. De l’avis du politologue, la région est confrontée à d’ « énormes défis sécuritaires » qui pourraient se corser « davantage dans le futur ».

Pour que cette prédiction ne se réalise pas, le Directeur exécutif de Wathi a invité à repenser la relation entre les gouvernants et les gouvernés. « La réponse strictement militaire ne suffit pas à régler durablement les problèmes de sécurité. On le voit bien au Sahel. Il faut également une approche politique, sociale et économique », a-t-il préconisé.

Dans le cadre de la célébration du second anniversaire de la disparition du Général Lamine Cissé (1939-2019), Partners West Africa Sénégal, dont il fut le tout premier président du Conseil d’administration, organise un colloque international le 16 avril prochain dans la capitale sénégalaise.

Le thème retenu pour ces activités de réflexion en mixte, présentiel et dématérialisé est « L’intégrité, l’éthique et la bonne gouvernance au service de la paix et de la sécurité, sur la voie tracée par un homme d’exception : le Général Lamine Cissé ».

Ce dernier fut notamment ministre de l’Intérieur du Sénégal, Chef d’Etat-Major Général des Armées du Sénégal, Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en Centrafrique et Secrétaire Général des Nations Unies en Afrique de l’Ouest.

Un témoin accable Amédé Ouérémi devant le Tribunal d’Abidjan

Un témoin a accablé, mercredi, l’ex-chef de milice Amadé Ouérémi qui comparait devant le Tribunal de première instance d’Abidjan dans le cadre du procès des massacres de Duékoué.

Lors de son passage à la barre, ce témoin qui a requis l’anonymat, a relevé que  «ce sont des vieillards qui ont été assassinés majoritairement par Amadé Ouéremi et ses hommes à Duékoué ».

« C’est le groupe d’Amadé qui a commis le massacre de Duékoué et je suis affirmatif», a soutenu ce témoin, présentant au                 Tribunal une centaine de photos des exactions attribuées à l’accusé et ses hommes au moment des faits.

 « (…) Quand nous sommes rentrés au quartier carrefour, c’était un carnage indescriptible», a-t-il ajouté, affirmant avoir comptabilisé et photographié 265 corps après ces tueries de Duékoué.

Rappelant les abus d’Amadé Ouérémi et ses hommes dans l’ouest ivoirien à cette époque, ce témoin a indiqué qu’au moment des faits, celui-ci, «plus qu’un seigneur, était le roi de la forêt du mont Péko (ouest ivoirien)».

A son tour, l’accusé Amadé Ouérémi a nié en bloc les accusations portées contre lui.  « C’est parce que je suis un Burkinabè au milieu des ivoiriens qu’on m’accuse de ce massacre », a-t-estimé.

Poursuivant, M. Ouérémi a imputé la responsabilité de la crise post-électorale ivoirienne de 2010-2011 aux acteurs politiques dont le président Alassane Ouattara et l’ex-président Laurent Gbagbo.

Le procès de l’ex-chef de milice, Amadé Ouérémi qui est accusé de crimes de guerre commis pendant la crise post-électorale ivoirienne de 2010-2011 à Duékoué (Ouest ivoirien), s’est ouvert le 24 mars dernier devant le Tribunal criminel d’Abidjan plus de sept ans après son arrestation.

Agé de 57 ans, Amadé Ouérémi a occupé pendant plusieurs années la forêt du mont Péko dans l’ouest ivoirien.

Côte d’Ivoire: lancement d’une formation visant les acteurs des assurances

Un programme de renforcement des capacités des acteurs du secteur des assurances en Côte d’Ivoire a démarré le 24 mars 2021 et devrait s’étendre dans la zone CIMA.

Ce programme est assuré par Jely Group, un Cabinet de conseil dédié aux PME. Ce Cabinet a dispensé le 24 mars 2021, une formation aux agents généraux de la compagnie d’assurances GNA Côte d’Ivoire sur le thème : « Comment développer et pérenniser son entreprise ? ».

Cette formation est le premier volet de la mise en œuvre d’un important programme de renforcement des capacités qui s’étendra à tous les acteurs du secteur des assurances en Côte d’Ivoire et dans la zone de la Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurance (CIMA).

La séance s’est tenue au siège de l’Association des sociétés d’Assurances de Côte d’Ivoire (ASA-CI), et avait pour principal objectif de fournir aux bénéficiaires les outils nécessaires pour accroître significativement leur chiffre d’affaires et pérenniser leurs activités.

M. Mamadou Kouyaté, Managing Partner du groupe a instruit les agents sur la thématique retenue. Il a abordé lors de cette session des modules tels que les stratégies de développement commercial dans un environnement fortement concurrentiel.

 Il a également formé les agents sur la gestion de la satisfaction client, les politiques de communication B to C, la gestion du capital humain et la recherche de financement.

Selon lui, « les agents généraux sont le fer de lance de la stratégie commerciale d’une compagnie d’assurance qui veut s’inscrire dans la durée ».

A cet effet, il a invité les compagnies d’assurance à donner à leur personnel « les outils de gestion qui vont leur permettre de grandir et de laisser un capital solide aux générations futures ». 

Ce projet devrait par ailleurs permettre à la zone CIMA de disposer d' »agents généraux robustes à même de devenir des champions locaux et soutenant ainsi leurs compagnies respectives », a-t-il poursuivi.

GNA Assurances a réalisé, en 2020, plus de 10 millions de Dollars US de chiffre d’affaires selon les chiffres provisoires de l’ASA-CI, soit une progression de plus de 130% par rapport à l’année précédente.

Côte d’Ivoire: lancement d’une formation visant les acteurs des assurances

Un programme de renforcement des capacités des acteurs du secteur des assurances en Côte d’Ivoire a démarré le 24 mars 2021 et devrait s’étendre dans la zone CIMA.

Ce programme est assuré par Jely Group, un Cabinet de conseil dédié aux PME. Ce Cabinet a dispensé le 24 mars 2021, une formation aux agents généraux de la compagnie d’assurances GNA Côte d’Ivoire sur le thème : « Comment développer et pérenniser son entreprise ? ».

Cette formation est le premier volet de la mise en œuvre d’un important programme de renforcement des capacités qui s’étendra à tous les acteurs du secteur des assurances en Côte d’Ivoire et dans la zone de la Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurance (CIMA).

La séance s’est tenue au siège de l’Association des sociétés d’Assurances de Côte d’Ivoire (ASA-CI), et avait pour principal objectif de fournir aux bénéficiaires les outils nécessaires pour accroître significativement leur chiffre d’affaires et pérenniser leurs activités.

M. Mamadou Kouyaté, Managing Partner du groupe a instruit les agents sur la thématique retenue. Il a abordé lors de cette session des modules tels que les stratégies de développement commercial dans un environnement fortement concurrentiel.

 Il a également formé les agents sur la gestion de la satisfaction client, les politiques de communication B to C, la gestion du capital humain et la recherche de financement.

Selon lui, « les agents généraux sont le fer de lance de la stratégie commerciale d’une compagnie d’assurance qui veut s’inscrire dans la durée ».

A cet effet, il a invité les compagnies d’assurance à donner à leur personnel « les outils de gestion qui vont leur permettre de grandir et de laisser un capital solide aux générations futures ». 

Ce projet devrait par ailleurs permettre à la zone CIMA de disposer d' »agents généraux robustes à même de devenir des champions locaux et soutenant ainsi leurs compagnies respectives », a-t-il poursuivi.

GNA Assurances a réalisé, en 2020, plus de 10 millions de Dollars US de chiffre d’affaires selon les chiffres provisoires de l’ASA-CI, soit une progression de plus de 130% par rapport à l’année précédente.

Côte d’Ivoire: Ouattara annonce la mise en place des ministres-gouverneurs de district

Le président ivoirien Alassane Ouattara annoncé, mercredi, la mise en place prochaine des ministres-gouverneurs de district pour renforcer la décentralisation de l’action gouvernementale.

M. Ouattara s’exprimait lors du premier Conseil des ministres au lendemain de la formation d’un nouveau gouvernement de 41 membres dirigé par le premier ministre Jérôme Patrick Achi.

« Je profite de l’occasion pour exprimer ma gratitude aux ministres sortants pour leur contribution au développement de notre pays durant de nombreuses années », a déclaré Alassane Ouattara, expliquant que « grâce à  eux et à toute l’équipe gouvernementale, notre pays a connu un essor et des progrès considérables au cours de ces dix dernières années ».

Au regard de leur expérience, a-t-il poursuivi, « d’autres missions leur seront confiées, notamment dans le cadre de la mise en place des ministres-gouverneurs de district, pour renforcer la décentralisation de l’action gouvernementale, car ils n’ont pas démérité ».

Auparavant, le président ivoirien a félicité les membres du nouveau gouvernement.  « Je voudrais vous féliciter pour votre nomination à la tête de ce nouveau gouvernement. Votre nomination est la reconnaissance de votre compétence, de votre efficacité, de votre loyauté, et de votre sens élevé de l’Etat » a dit M. Ouattara en s’adressant au premier ministre, Jérôme Patrick Achi.

« Je vous souhaite beaucoup de succès dans l’accomplissement de votre mission. J’adresse également mes vives félicitations à tous les membres du précédent gouvernement, qui viennent d’être reconduits ainsi qu’aux ministres et aux secrétaires d’Etat qui viennent de rejoindre l’équipe gouvernementale » a ajouté le président ivoirien.

Selon lui, compte tenu du profil et de la compétence de chacune et de chacun de vous, je suis convaincu que vous serez à même de relever les importants défis soulignés par monsieur le Premier ministre dans son intervention.

Enfin, M. Ouattara a adressé ses félicitations à monsieur Eugène Aka Aouélé pour sa nomination au poste de président du Conseil économique, social, environnemental et culturel.

« Grâce à la solidité des fondamentaux de notre économie, aux actions et aux choix judicieux du Gouvernement, ainsi qu’aux efforts de tous nos compatriotes, nous avons réussi à relever les nombreux défis auxquels nous avons dû faire face, notamment avec la pandémie de Covid-19 » s’est félicité Alassane Ouattara.

Par ailleurs, a noté M. Ouattara, « les efforts déployés par la Côte d’Ivoire ainsi que plusieurs pays de l’UEMOA et du monde, nous ont permis de faire face aux attaques terroristes perpétrées par des groupes armées ».

« Je félicite nos Forces de Défense et de Sécurité, qui se battent jour et nuit, au péril de leurs vies, pour faire échec aux attaques terroristes à nos frontières », a conclu Alassane Ouattara, saluant « la mémoire de tous ces hommes tombés sur le champ d’honneur en défendant la Côte d’Ivoire, notamment à Kafolo ».

Côte d’Ivoire: Ouattara annonce la mise en place des ministres-gouverneurs de district

Le président ivoirien Alassane Ouattara annoncé, mercredi, la mise en place prochaine des ministres-gouverneurs de district pour renforcer la décentralisation de l’action gouvernementale.

M. Ouattara s’exprimait lors du premier Conseil des ministres au lendemain de la formation d’un nouveau gouvernement de 41 membres dirigé par le premier ministre Jérôme Patrick Achi.

« Je profite de l’occasion pour exprimer ma gratitude aux ministres sortants pour leur contribution au développement de notre pays durant de nombreuses années », a déclaré Alassane Ouattara, expliquant que « grâce à  eux et à toute l’équipe gouvernementale, notre pays a connu un essor et des progrès considérables au cours de ces dix dernières années ».

Au regard de leur expérience, a-t-il poursuivi, « d’autres missions leur seront confiées, notamment dans le cadre de la mise en place des ministres-gouverneurs de district, pour renforcer la décentralisation de l’action gouvernementale, car ils n’ont pas démérité ».

Auparavant, le président ivoirien a félicité les membres du nouveau gouvernement.  « Je voudrais vous féliciter pour votre nomination à la tête de ce nouveau gouvernement. Votre nomination est la reconnaissance de votre compétence, de votre efficacité, de votre loyauté, et de votre sens élevé de l’Etat » a dit M. Ouattara en s’adressant au premier ministre, Jérôme Patrick Achi.

« Je vous souhaite beaucoup de succès dans l’accomplissement de votre mission. J’adresse également mes vives félicitations à tous les membres du précédent gouvernement, qui viennent d’être reconduits ainsi qu’aux ministres et aux secrétaires d’Etat qui viennent de rejoindre l’équipe gouvernementale » a ajouté le président ivoirien.

Selon lui, compte tenu du profil et de la compétence de chacune et de chacun de vous, je suis convaincu que vous serez à même de relever les importants défis soulignés par monsieur le Premier ministre dans son intervention.

Enfin, M. Ouattara a adressé ses félicitations à monsieur Eugène Aka Aouélé pour sa nomination au poste de président du Conseil économique, social, environnemental et culturel.

« Grâce à la solidité des fondamentaux de notre économie, aux actions et aux choix judicieux du Gouvernement, ainsi qu’aux efforts de tous nos compatriotes, nous avons réussi à relever les nombreux défis auxquels nous avons dû faire face, notamment avec la pandémie de Covid-19 » s’est félicité Alassane Ouattara.

Par ailleurs, a noté M. Ouattara, « les efforts déployés par la Côte d’Ivoire ainsi que plusieurs pays de l’UEMOA et du monde, nous ont permis de faire face aux attaques terroristes perpétrées par des groupes armées ».

« Je félicite nos Forces de Défense et de Sécurité, qui se battent jour et nuit, au péril de leurs vies, pour faire échec aux attaques terroristes à nos frontières », a conclu Alassane Ouattara, saluant « la mémoire de tous ces hommes tombés sur le champ d’honneur en défendant la Côte d’Ivoire, notamment à Kafolo ».

Côte d’Ivoire: Achi promet « un gouvernement de combat »

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, a promis mercredi que son Cabinet ministériel sera « un gouvernement de mission, de combat et de resultats », lors du premier Conseil des ministres de la nouvelle équipe gouvernementale.

« Ce gouvernement sera un gouvernement de mission et de combat, un gouvernement de résultats, qui servira à chaque instant la noblesse et la justesse de notre nation, de tous les Ivoiriens et de toute la Côte d’Ivoire », a déclaré M. Patrick Achi.

Pour ce faire, il a exhorté les membres du gouvernement à conduire avec « dévouement, rigueur et effectivité les programmes relevant de vos ministères respectifs dans un esprit de cohésion de l’activité gouvernementale,  seul gage du succès ».

Il a appelé les différents ministres à « dépenser sans compter leur énergie ». Car, « c’est grâce à ce bouillonnement patriotique » qu’ils réussiront ensemble, à traduire en résultats la vision du président de la République.

Dans cette optique, le Premier ministre ivoirien a annoncé dans les tous prochains jours un séminaire afin de mettre en oeuvre la feuille de route que le président aura arrêté, tout en lui renouvelant la gratitude de son Cabinet ministériel.

« J’attends de chacune et de chacun de vous que vous soyez des exemples qui insuffleront la transformation attendue de l’administration publique et de l’ensemble des Ivoiriens », a affirmé M. Alassane Ouattara, leur demandant de travailler en équipe et d’être au contact des populations.

Il a relevé que les défis sont encore nombreux pour la mise en oeuvre réussie de l’ambitieux programme de développement intitulé une Côte d’Ivoire solidaire qui place chaque Ivoirien au coeur de l’action de l’Etat.

« C’est pourquoi, nous devons aller encore plus vite pour l’amélioration du bien-être de nos concitoyens. Je vous demande donc de vous mettre au travail dès à présent et de traiter les dossiers avec célérité et diligence », a-t-il lancé.

M. Ouattara a instruit le Premier ministre afin que le décret portant les membres du gouvernement soit prêt pour le mois d’avril de même que les organigrammes des ministères et le choix des principaux responsables.

Il lui a en outre demandé de produire un document d’évaluation de travail des différents membres du gouvernement qui permettra de suivre l’action gouvernementale et de juger individuellement chacun des ministres. 

Côte d’Ivoire: Achi promet « un gouvernement de combat »

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, a promis mercredi que son Cabinet ministériel sera « un gouvernement de mission, de combat et de resultats », lors du premier Conseil des ministres de la nouvelle équipe gouvernementale.

« Ce gouvernement sera un gouvernement de mission et de combat, un gouvernement de résultats, qui servira à chaque instant la noblesse et la justesse de notre nation, de tous les Ivoiriens et de toute la Côte d’Ivoire », a déclaré M. Patrick Achi.

Pour ce faire, il a exhorté les membres du gouvernement à conduire avec « dévouement, rigueur et effectivité les programmes relevant de vos ministères respectifs dans un esprit de cohésion de l’activité gouvernementale,  seul gage du succès ».

Il a appelé les différents ministres à « dépenser sans compter leur énergie ». Car, « c’est grâce à ce bouillonnement patriotique » qu’ils réussiront ensemble, à traduire en résultats la vision du président de la République.

Dans cette optique, le Premier ministre ivoirien a annoncé dans les tous prochains jours un séminaire afin de mettre en oeuvre la feuille de route que le président aura arrêté, tout en lui renouvelant la gratitude de son Cabinet ministériel.

« J’attends de chacune et de chacun de vous que vous soyez des exemples qui insuffleront la transformation attendue de l’administration publique et de l’ensemble des Ivoiriens », a affirmé M. Alassane Ouattara, leur demandant de travailler en équipe et d’être au contact des populations.

Il a relevé que les défis sont encore nombreux pour la mise en oeuvre réussie de l’ambitieux programme de développement intitulé une Côte d’Ivoire solidaire qui place chaque Ivoirien au coeur de l’action de l’Etat.

« C’est pourquoi, nous devons aller encore plus vite pour l’amélioration du bien-être de nos concitoyens. Je vous demande donc de vous mettre au travail dès à présent et de traiter les dossiers avec célérité et diligence », a-t-il lancé.

M. Ouattara a instruit le Premier ministre afin que le décret portant les membres du gouvernement soit prêt pour le mois d’avril de même que les organigrammes des ministères et le choix des principaux responsables.

Il lui a en outre demandé de produire un document d’évaluation de travail des différents membres du gouvernement qui permettra de suivre l’action gouvernementale et de juger individuellement chacun des ministres. 

Côte d’Ivoire: le scrutin législatif fixé à Niakaramandougou le 24 avril 2021

Le gouvernement ivoirien a approuvé mercredi en Conseil des ministres la tenue du scrutin législatif dans la circonscription électorale de Arikokaha, Niakaramandougou et Tortiya le 24 avril 2021.

« Sur proposition de la Commission électorale indépendante (CEI), le gouvernement a convoqué pour le samedi 24 avril 2021 le collège électoral de la circonscription électorale No 97 Arikokaha, Niakaramandougou et Tortiya communes et sous-préfectures en vue de l’élection du député de ladite commune », a dit le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly. 

Il a fait savoir que « toujours, sur proposition de la CEI conformément à l’article 28 du code électoral, il a été proposé au gouvernement de fixer la campagne à trois jours, tenant compte du fait que la campagne lors de la précédente convocation du collège avait été largement entamée ».

« Donc, pour cette reprise, la durée de la campagne sera de trois jours », a-t-il poursuivi. La CEI   avait annoncé après les législatives  du 6 mars 2021 que le scrutin, sursis à Arikokaha, Niakaramandougou et Tortiya communes et sous-préfectures, allait être organisé dans cette circonscription électorale. 

Le report du scrutin dans cette circonscription a été dû au décès d’une candidate suppléante  à la veille de l’élection législative du 06 mars dernier.  

De nouvelles élections devaient être organisées à une date ultérieurement dans quatre circonscriptions électorales où les résultats du scrutin initial ont été annulés, ainsi que dans les circonscriptions n°203 Séguéla commune, dont le siège est vacant suite au décès du Premier ministre, Hamed Bakayoko.

Côte d’Ivoire: le scrutin législatif fixé à Niakaramandougou le 24 avril 2021

Le gouvernement ivoirien a approuvé mercredi en Conseil des ministres la tenue du scrutin législatif dans la circonscription électorale de Arikokaha, Niakaramandougou et Tortiya le 24 avril 2021.

« Sur proposition de la Commission électorale indépendante (CEI), le gouvernement a convoqué pour le samedi 24 avril 2021 le collège électoral de la circonscription électorale No 97 Arikokaha, Niakaramandougou et Tortiya communes et sous-préfectures en vue de l’élection du député de ladite commune », a dit le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly. 

Il a fait savoir que « toujours, sur proposition de la CEI conformément à l’article 28 du code électoral, il a été proposé au gouvernement de fixer la campagne à trois jours, tenant compte du fait que la campagne lors de la précédente convocation du collège avait été largement entamée ».

« Donc, pour cette reprise, la durée de la campagne sera de trois jours », a-t-il poursuivi. La CEI   avait annoncé après les législatives  du 6 mars 2021 que le scrutin, sursis à Arikokaha, Niakaramandougou et Tortiya communes et sous-préfectures, allait être organisé dans cette circonscription électorale. 

Le report du scrutin dans cette circonscription a été dû au décès d’une candidate suppléante  à la veille de l’élection législative du 06 mars dernier.  

De nouvelles élections devaient être organisées à une date ultérieurement dans quatre circonscriptions électorales où les résultats du scrutin initial ont été annulés, ainsi que dans les circonscriptions n°203 Séguéla commune, dont le siège est vacant suite au décès du Premier ministre, Hamed Bakayoko.

Gbagbo et Blé Goudé sont « libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent » (Ouattara)

L’ex-chef d’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo et Blé Goudé, acquittés par la Cour pénale internationale (CPI) dans l’affaire de crimes contre l’humanité lors des violences postélectorales de 2010-2011, sont « libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent », a déclaré mercredi Alassane Ouattara, lors d’un Conseil des ministres.

« La Cour pénale internationale a rendu le 31 mars 2021 sa décision sur l’appel du procureur relatif au procès de M. Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. Nous en prenons acte », a affirmé M. Alassane Ouattara, lors du premier Conseil des ministres du gouvernement Patrick Achi. 

Il a ajouté avoir « bien évidemment, une pensée émue pour les victimes et leurs familles », tout en les assurant de la compassion et du soutien de l’Etat. En outre, « le gouvernement continuera de leur apporter assistance ».

« Quant à M. Laurent Gbagbo et Blé Goudé, ils sont libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent. Les frais de voyage de M. Laurent Gbagbo ainsi que ceux des membres de sa famille seront pris en charge par l’Etat de Côte d’Ivoire », a dit M. Ouattara.

Le président ivoirien a relevé que « les dispositions seront également prises pour que M. Laurent Gbagbo bénéficie conformément aux textes en vigueur, les avantages et les indemnités dus aux anciens présidents de la République de Côte d’Ivoire ».

Le secrétaire général d’une aile du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Assoa Adou qui a rencontré les 3 et 4 avril 2021 M. Gbagbo à Bruxelles, a rapporté que l’ancien président ivoirien a assuré qu’il sera en Côte d’Ivoire « incessamment ».

Gbagbo et Blé Goudé sont « libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent » (Ouattara)

L’ex-chef d’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo et Blé Goudé, acquittés par la Cour pénale internationale (CPI) dans l’affaire de crimes contre l’humanité lors des violences postélectorales de 2010-2011, sont « libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent », a déclaré mercredi Alassane Ouattara, lors d’un Conseil des ministres.

« La Cour pénale internationale a rendu le 31 mars 2021 sa décision sur l’appel du procureur relatif au procès de M. Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. Nous en prenons acte », a affirmé M. Alassane Ouattara, lors du premier Conseil des ministres du gouvernement Patrick Achi. 

Il a ajouté avoir « bien évidemment, une pensée émue pour les victimes et leurs familles », tout en les assurant de la compassion et du soutien de l’Etat. En outre, « le gouvernement continuera de leur apporter assistance ».

« Quant à M. Laurent Gbagbo et Blé Goudé, ils sont libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent. Les frais de voyage de M. Laurent Gbagbo ainsi que ceux des membres de sa famille seront pris en charge par l’Etat de Côte d’Ivoire », a dit M. Ouattara.

Le président ivoirien a relevé que « les dispositions seront également prises pour que M. Laurent Gbagbo bénéficie conformément aux textes en vigueur, les avantages et les indemnités dus aux anciens présidents de la République de Côte d’Ivoire ».

Le secrétaire général d’une aile du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Assoa Adou qui a rencontré les 3 et 4 avril 2021 M. Gbagbo à Bruxelles, a rapporté que l’ancien président ivoirien a assuré qu’il sera en Côte d’Ivoire « incessamment ».

Côte d’Ivoire : un gouvernement « Achi-1 » plus jeune

Dans la sélection de son nouveau gouvernement, le président ivoirien Alassane Ouattara a choisi de rajeunir son équipe mais dans la continuité.Le chef de l’Etat ivoirien a procédé mardi 6 avril à la nomination de 37 ministres et de quatre secrétaires d’État, dont huit femmes. Pas de grands changements n’ont été notés par rapport au précédent gouvernement de 47 ministres. A part que Téné Birahima Ouattara, frère cadet du président Ouattara, occupe désormais le poste stratégique de ministre de la Défense. Au-delà, aucun ministre n’est âgé de plus de 68 ans dans le nouveau gouvernement.

Confirmé au poste de Premier ministre après le décès de Hamed Bakayoko, Patrick Achi, 65 ans, est suivi dans l’ordre protocolaire par Kandia Camara, nommée ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora. Proche de Ouattara et figure du parti au pouvoir, le RHDP, vainqueur des dernières élections législatives de mars, elle était jusque-là ministre de l’Education nationale.

Réagissant à ce « grand honneur pour moi et en même temps une grande fierté », Mme Camara dit dédier cette « nomination aux femmes de Côte d’Ivoire ». Selon elle, c’est la première fois dans l’histoire de la Côte d’Ivoire qu’une femme est nommée à ce poste.

Le numéro trois du gouvernement, Téné Birahima Ouattara, est confirmé à la Défense dont il dirigeait l’intérim depuis le décès, le 10 mars dernier, du Premier ministre Hamed Bakayoko.

Le général Vagondo Diomandé conserve aussi son poste de ministre de l’Intérieur et de la Sécurité là où Kobenan Kouassi Adjoumani est promu ministre d’Etat en charge de l’Agriculture et du Développement rural.

Par ailleurs, 13 nouveaux ministres effectuent leur entrée contre 18 sortants. Il s’agit entre autres, pour les nouvelles têtes, d’Amadou Coulibaly, patron des services de renseignement extérieurs, nommé ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement. Pierre Dimba, ancien directeur général de l’Ageroute, est le nouveau ministre de la Santé là où Thomas Camara, ancien Directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR), est devenu ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie.

Parmi les sortants, on retrouve Ally Coulibaly, ex-ministre des Affaires étrangères, Sidiki Konaté, qui occupait l’Artisanat, ou encore Eugène Aka Aouélé, qui avait en charge la Santé. Ce dernier est nommé à la tête du Conseil économique et social.

En revanche, le nouveau gouvernement n’est pas élargi à l’opposition malgré le vent de décrispation notée ces derniers mois dans la vie sociopolitique du pays.

Celle-ci reste marquée par une présidentielle très tendue tenue en octobre dernier et des législatives un peu plus calmes en mars, mais aussi par le récent acquittement de l’ex-président Laurent Gbagbo par la Cour pénale internationale (CPI). L’organisation du retour de celui-ci dans son pays est d’ailleurs l’une des missions prioritaires du nouveau gouvernement.

Côte d’Ivoire : un gouvernement « Achi-1 » plus jeune

Dans la sélection de son nouveau gouvernement, le président ivoirien Alassane Ouattara a choisi de rajeunir son équipe mais dans la continuité.Le chef de l’Etat ivoirien a procédé mardi 6 avril à la nomination de 37 ministres et de quatre secrétaires d’État, dont huit femmes. Pas de grands changements n’ont été notés par rapport au précédent gouvernement de 47 ministres. A part que Téné Birahima Ouattara, frère cadet du président Ouattara, occupe désormais le poste stratégique de ministre de la Défense. Au-delà, aucun ministre n’est âgé de plus de 68 ans dans le nouveau gouvernement.

Confirmé au poste de Premier ministre après le décès de Hamed Bakayoko, Patrick Achi, 65 ans, est suivi dans l’ordre protocolaire par Kandia Camara, nommée ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora. Proche de Ouattara et figure du parti au pouvoir, le RHDP, vainqueur des dernières élections législatives de mars, elle était jusque-là ministre de l’Education nationale.

Réagissant à ce « grand honneur pour moi et en même temps une grande fierté », Mme Camara dit dédier cette « nomination aux femmes de Côte d’Ivoire ». Selon elle, c’est la première fois dans l’histoire de la Côte d’Ivoire qu’une femme est nommée à ce poste.

Le numéro trois du gouvernement, Téné Birahima Ouattara, est confirmé à la Défense dont il dirigeait l’intérim depuis le décès, le 10 mars dernier, du Premier ministre Hamed Bakayoko.

Le général Vagondo Diomandé conserve aussi son poste de ministre de l’Intérieur et de la Sécurité là où Kobenan Kouassi Adjoumani est promu ministre d’Etat en charge de l’Agriculture et du Développement rural.

Par ailleurs, 13 nouveaux ministres effectuent leur entrée contre 18 sortants. Il s’agit entre autres, pour les nouvelles têtes, d’Amadou Coulibaly, patron des services de renseignement extérieurs, nommé ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement. Pierre Dimba, ancien directeur général de l’Ageroute, est le nouveau ministre de la Santé là où Thomas Camara, ancien Directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR), est devenu ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie.

Parmi les sortants, on retrouve Ally Coulibaly, ex-ministre des Affaires étrangères, Sidiki Konaté, qui occupait l’Artisanat, ou encore Eugène Aka Aouélé, qui avait en charge la Santé. Ce dernier est nommé à la tête du Conseil économique et social.

En revanche, le nouveau gouvernement n’est pas élargi à l’opposition malgré le vent de décrispation notée ces derniers mois dans la vie sociopolitique du pays.

Celle-ci reste marquée par une présidentielle très tendue tenue en octobre dernier et des législatives un peu plus calmes en mars, mais aussi par le récent acquittement de l’ex-président Laurent Gbagbo par la Cour pénale internationale (CPI). L’organisation du retour de celui-ci dans son pays est d’ailleurs l’une des missions prioritaires du nouveau gouvernement.

Un accord pour développer les compétences de 20 000 agriculteurs ivoiriens

Le programme des Ponts du Commerce Arabo Africains (AATB) a conclu à Rabat au Maroc, un partenariat avec OCP Africa pour développer les compétences de 20 mille agriculteurs ivoiriens à travers son programme dénommé « Agribooster » .AATB est un  programme multi-organisations dirigé par la Société Internationale Islamique de Financement du Commerce (ITFC).

Selon une note d’information transmise mardi à APA, cet accord qui bénéficiera à 20 000 agriculteurs ivoiriens, a pour objectif de soutenir les riziculteurs ivoiriens et améliorer les chaînes de valeur agricoles dans le pays. 

« La subvention de l’ITFC pour le programme OCP Africa Agribooster en Côte d’Ivoire a pour objectif de minimiser l’impact économique de la Covid-19 en maintenant les chaînes d’approvisionnement alimentaire mondiales mais aussi en améliorant les chaînes de valeur agricoles du pays surtout pendant les circonstances difficiles », a indiqué Hani Salem Sonbol, le directeur général de l’ITFC.

De son côté,  Dr Mohamed Anouar Jamali, le directeur général d’OCP Africa a soutenu que « le programme Agribooster est un bon exemple d’initiative destiné à supporter les systèmes alimentaires africains à devenir plus résilients ».

Le programme Agribooster d’OCP Africa est consacré au développement durable de l’agriculture. Il permet une formation approfondie aux bonnes pratiques agricoles et un suivi régulier tout au long de l’année.

A l’échelle du continent africain, a conclu la note, ce programme a touché plus de 630 000 petits exploitants agricoles dans quatre pays (Ghana, Sénégal, Nigéria et Côte d’Ivoire), avec une augmentation de leur rendement allant jusqu’à 40 % pour les principaux exploitants.

L’AATB est un programme multi-donateurs, multi-pays et multi-organisations, qui vise à promouvoir et à accroître le commerce et l’investissement entre les pays africains et arabes. Quant à OCP Africa qui est une filiale du groupe OCP, elle a pour mission de contribuer au développement d’écosystèmes agricoles intégrés en Afrique.

Un accord pour développer les compétences de 20 000 agriculteurs ivoiriens

Le programme des Ponts du Commerce Arabo Africains (AATB) a conclu à Rabat au Maroc, un partenariat avec OCP Africa pour développer les compétences de 20 mille agriculteurs ivoiriens à travers son programme dénommé « Agribooster » .AATB est un  programme multi-organisations dirigé par la Société Internationale Islamique de Financement du Commerce (ITFC).

Selon une note d’information transmise mardi à APA, cet accord qui bénéficiera à 20 000 agriculteurs ivoiriens, a pour objectif de soutenir les riziculteurs ivoiriens et améliorer les chaînes de valeur agricoles dans le pays. 

« La subvention de l’ITFC pour le programme OCP Africa Agribooster en Côte d’Ivoire a pour objectif de minimiser l’impact économique de la Covid-19 en maintenant les chaînes d’approvisionnement alimentaire mondiales mais aussi en améliorant les chaînes de valeur agricoles du pays surtout pendant les circonstances difficiles », a indiqué Hani Salem Sonbol, le directeur général de l’ITFC.

De son côté,  Dr Mohamed Anouar Jamali, le directeur général d’OCP Africa a soutenu que « le programme Agribooster est un bon exemple d’initiative destiné à supporter les systèmes alimentaires africains à devenir plus résilients ».

Le programme Agribooster d’OCP Africa est consacré au développement durable de l’agriculture. Il permet une formation approfondie aux bonnes pratiques agricoles et un suivi régulier tout au long de l’année.

A l’échelle du continent africain, a conclu la note, ce programme a touché plus de 630 000 petits exploitants agricoles dans quatre pays (Ghana, Sénégal, Nigéria et Côte d’Ivoire), avec une augmentation de leur rendement allant jusqu’à 40 % pour les principaux exploitants.

L’AATB est un programme multi-donateurs, multi-pays et multi-organisations, qui vise à promouvoir et à accroître le commerce et l’investissement entre les pays africains et arabes. Quant à OCP Africa qui est une filiale du groupe OCP, elle a pour mission de contribuer au développement d’écosystèmes agricoles intégrés en Afrique.

Foot : onze prétendants pour le Prix Marc-Vivien Foé 2021

La liste des joueurs retenus pour ce prix, récompensant le meilleur footballeur africain en Ligue 1 française, a été dévoilée ce mardi 6 avril.Qui succédera au Nigérian Victor Osimhen, lauréat de la précédente édition ? On le saura bientôt. En tout cas, « le trio final sera choisi par un comité de journalistes et annoncé le 29 avril prochain » selon RFI et France 24 qui décernent le Prix Marc-Vivien Foé.

Pour la saison 2020-2021, les joueurs africains ayant retenu l’attention des membres du jury sont : Nayef Aguerd (Stade Rennais, Maroc), Farid Boulaya (FC Metz, Algérie), Andy Delort (Montpellier Hérault, Algérie), Boulaye Dia (Stade de Reims, Sénégal), Seko Fofana (Racing Club de Lens, Côte d’Ivoire), Idrissa Gana Guèye (Paris Saint Germain, Sénégal), Tino Kadewere (Olympique Lyonnais, Zimbabwe), Gaël Kakuta (Racing Club de Lens, République démocratique du Congo), Alexandre Oukidja (FC Metz, Algérie), Reinildo Mandava (LOSC Lille, Mozambique) et Karl Toko-Ekambi (Olympique Lyonnais, Cameroun).

Palmarès du Prix Marc-Vivien Foé :

2009 : Marouane Chamakh (Maroc), 2010 : Gervinho (Côte d’Ivoire), 2011 : Gervinho (Côte d’Ivoire), 2012 : Younès Belhanda (Maroc), 2013 : Pierre-Emerick Aubameyang (Gabon), 2014 : Vincent Enyeama (Nigeria), 2015 : André Ayew (Ghana), 2016 : Sofiane Boufal (Maroc), 2017 : Jean Michaël Seri (Côte d’Ivoire), 2018 : Karl Toko-Ekambi (Cameroun), 2019 : Nicolas Pépé (Côte d’Ivoire), 2020 : Victor Osimhen (Nigeria).